Nous étions pucelles - histoire érotique

Nous nous retrouvons pour les vacances, deux mois pile après nos 18 ans. Une date qui compte: nous sommes majeures. Reste à savoir si ce que nous nous sommes promis l’an dernier est réalisé. Nous nous caressions pour jouir quand je ne sais plus laquelle d’entre nous disait: il faut absolument que l’an prochain nous ne soyons plus vierge. Ce serait mieux pour nous faire jouir.
Perdre son pucelage, devenait mn rêve. Je ne savait pas ce que je sentirai en tout cas il me tardait. Ca c’est passé chez lui, simplement: c’est moi qui lui ai demandé. Il m’a regardé de travers. Quand je levais la jupe que je portai spécialement, qu’il a vue que je ne portais pas de culotte, qu’il a vu ma fourrure, il a pâlit. Je l’ai vu bander à cause de l’espèce de bosse sur son pantalon. J’ai pratiquement tout fait, j’ai sorti son matériel, je l’ai branlé un peu. A ce moment il a enfin compris que je le voulais. Il m’a jeté sur son lit, m’a fait écarté les jambes, sans préparation aucune il est venu sur moi, a écarté mes cuisses et posé son sexe pas loin du mien: il a fallut que je le guide pour qu’il entre en moi. Au début je ne sentais pas grand-chose. J’ai senti quand il a brisé mon hymen. Je peux dire que j’ai eu mal presque tout le temps, sauf, c’est bizarre quand il jouissait et qu’il partait. S’il était resté un moment de plus il pouvait, je le suppose me faire jouir.
Donc Louise dès nos retrouvailles me pose la question principale.
- Est-ce que tu est vierge encore ?
- Non et toi ?
- Non plus.
Comment ça c’est passé ?
Je lui raconte ma première baise avec un garçon qui certainement sera le dernier. Surtout j’insiste sur le fait qu’il m’a raté que je n’ai pas joui alors qu’avec elle nous jouissons presque ensemble depuis nos 15 ou 16 ans.
Pour elle la pièce avait été la même, sauf que vers la fin elle sentait un plaisir monter dans son ventre quand il s’est retiré après lui avoir laissé du sperme partout.
On ne dirait pas, mais à notre âge, jouir devenait indispensable.
Nous sommes parties vers notre coin favori dans la cabane de la forêt. Elle était toujours en place, avec de la paille. Comme l’autre année nous avons regardé partout: personne à l’horizon. Nous nous sommes mises nues, chacune de notre coté. Enfin nous pouvions retrouver le corps aimé de l’autre. Je la trouve avec un peu plus de poitrine. Elle m’en dit autant.
Nous nous sommes embrassées sans doute mieux que l’an dernier. Et puis nos seins se caressaient bien mieux. Je soupire beaucoup quand ses seins se frottent aux miens. Je prends l’initiative de mettre ma main sur son bas ventre. Je ne force pas pour passer un doigt sur sa chatte pourtant elle n’ouvre pas les jambes. Je suis obligé de forcer pour aller sur son bouton qu’il me tarde de caresser. Elle attend que nous finissions le baiser particulièrement long pour nos retrouvailles.
Elle écarte enfin ses cuisses pour que j’aille la masturber. Son clito n’a pas changé, il est toujours aussi gros, je ne sais pourquoi. Pour lui c’est facile, je le trouve toujours rapidement. Le mien est je suppose normal, donc plus petit. Pour moi ce n’est guère compliqué elle ne cherche pas, elle trouve rapidement mon petit bouton chéri;
Nous entamons le début de nos vacances à cet instant. Nous allons nous aimer souvent et pendant presque deux mois. Même si nous devons aller à la plage, nous trouvons toujours l’endroit isolé. Nous allons reprendre l’habitude de l’an dernier: venir aussi le soir tard. Nous faisions du nudisme depuis la route jusqu’à la cabane. Nous étions comme des cinglées à nous prendre par la taille, nous caresser les fesses. Bref à faire les fofolles.
Pour l’instant de retrouvailles nous ne faisons que répéter ce que nous faisions au paravent. C’était à se demander pourquoi nous n’étions plus vierges;
Nous nous sommes allongées sur la paille, qui concevait l’empreinte de nos corps de l’an dernier. Nous étions presque l’une contre l’autre, une main sur la chatte nous ne nous caressons pas, nous tâtons simplement l’intérieur de nos cuisses. Seules nos bouches étaient réunies pour un long baiser, pire qu’au cinéma. Nos langues s’amusaient entre elles dans la bouche de l’autre. Et conquises par le besoin nous nous sommes tripotées chacune. Je regarde sa main sur son clitoris comme elle regarde la mienne. C’est agréable de vois l’autre branler.
Se branler, même devant sa copine devient lassant, alors nous avons change de sexe: j’étais sur son clitoris et elle sur le mien. J’ai mon bras sous le sien ce qui n’est pas si commode, il n’empêche que ma caresse faisait effet. J’ai changé d’endroit: puisque nous n’étions plus vierge, je veux la doigter. Je ne sais pas combien de doigts je peux lui entrer. Je commence comme l’an dernier avec un seul, ça lui fait du bien, je continue avec un deuxième: ça lui fait du bien. Je préfère arrêter là pour le moment. Je fais aller et venir ma main DANS son ventre. Elle se raidit rapidement jusqu’au moment où je la sens se raidir: elle jouit grâce à la perte de son pucelage. Evidemment je l’embrasse. Elle en est toute heureuse, enfin jouir comme les autres avec quelque chose dans son vagin.
Elle vient sur moi, se couche entre mes jambes écartées. Elle fait les mouvement de baise comme si elle était un garçon: il lui manque le principal. Elle s’écarte légèrement pour passer sa main avec deux doigts qu’elle me met lentement dans mon conduit. J’écarte encore mes cuisses comme si elle allait me mettre une pine d’éléphant. Je suis comme elle j’apprécie énormément cette pénétration. Elle m’embrasse en même temps. Elle arrête pour faire durer mon plaisir. J’aurai du en faire autant tout à l’heure avec elle. Quand elle recommence il me semble que je découvre la montée dans mon ventre pour la première fois. Elle accélère le mouvement: je ne peux pas me retenir: je jouis. C’est la première fois que je jouis autant. Nous ne restons pas longtemps immobiles.
Elle tient absolument faire un 69 que nous n’avons jamais fait: elle a vu deux filles qui le faisait sur une revu porno. Nous voulons essayer cette position: Je reste dessous pendant qu’elle vient se mettre sur moi. Je sens d’abord mes seins sur son ventre et les siens sur le mien. Elle est en position accroupie, couchée, ses genoux de part et d’autre de ma poitrine. Elle baisse le plus possible sa fente que je vois de très près pour la première fois. Je vois son clitoris ses lèvres et tout au fond j’aperçois son anus. Elle baisse sa tête et je sens sa langue sur le clitoris. Elle lèche largement.
De mon coté j’ai ma langue aussi sur son bouton. Je le lèche également un instant , je veux essayer le pouvoir de ma langue dans son vagin. J’entre et sort sans arrêt. Je sens sa jouissance autour de ma langue que je ressort pour aller lui lécher ce que je vise depuis un moment: son anus. Je le lèche pensant qu’elle va réagir négativement. Au contraire elle fait peser sur ma bouche son anus: elle approuve. Je met le bout de ma langue que je durcis à l’entrée de son cul et y pénètre. En réponse j’ai un doigt qui entre dans le mien. C’est jouissif.
Nous avons joui toutes les deux des mêmes endroits.
Que faire d’autre sinon recommencer ce soir. Elle a une idée:
- Puisque nous jouissons du clitoris toutes les deux avec nos mains ou nos langues, pourquoi ne pas s’en passer?
- Essayons nous verrons bien?
Nous cherchons une position qui nous permet d’avoir nos deux sexe en contact. C’est dur et après je ne sais combien d’essais nous nous trouvons enfin clitoris contre clitoris. Quel plaisir que t’être ainsi liées par ce simple lien fragile de nos clitoris. Nous les perdons pour les retrouver. C’est excellent et nous n’arrivons pas à jouir. Tant pis cde sera pour une prochaine fois, qui sait cette nuit peut-être.