Nouveau Job II
Récit érotique écrit par Plaisirdelavie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouveau Job II
Cela faisait maintenant 2 mois que j’avais eu le droit aux caresses buccales de Christelle. La pression était redescendu quelque peu, enfin j’avais fait redescendre la pression de mon côté, en continuant mes petites aventures habituelles, notamment mon plan cul régulier qu’on pourrait qualifier de « Sex-Friend ». Mais ceci fera l’objet d’un autre récit.
Pour en revenir à Christelle, elle faisait plus en chaleur que jamais. Et dès que je sentais que mon corps réagissait à son charme je planifiais une branlette au bureau, ou un plan cul le soir en fonction de l’urgence. Malgré la « mauvaise » expérience de ma première masturbation au bureau, j’ai vite été obligé de réitérer l’action si je ne voulais pas me faire griller. Christelle se faisait très insistante en me montrant au choix, son décolleté plongeant, son string sous son pantalon de tailleur moulant, ou carrément sa chate lorsqu’elle ne mettait de sous-vêtement sous sa jupe. Ceci est arrivé qu’une fois et bien heureusement, ce jour-là je me suis non seulement masturbé derrière mon bureau, mais en plus j’ai appelé ma copine de cul le soir.
J’avais pris cette habitude et une routine s’était plus ou moins établi. Je m’étais bien intégré et les conversations de cul allaient bon train avec mes collègues, et j’y participais activement. Je faisais partie de ceux qui fantasmait sur « la chef » et ceux, plus rare, qui se branlait au bureau en pensant à elle. A noter que cette part augmentait peu à peu, on y comptait même un marié. Par contre personne ne savait que j’avais eu le droit à un traitement de faveur. Ce n’était pas nécessaire qu’ils le sachent, au contraire même.
Un jour après avoir mâté le cul moulé par un petit tailleur de ma patronne, et m’être branlé 2 fois, je m’apprêtais à rentrer chez moi tranquillement. Il était tard et je devais sortir ce soir-là. Et là le téléphone sonne. Pensant que je ne devrais pas, je décroche quand même.
C’est Christelle, elle me fait savoir qu’elle a un dossier à me faire passer pour que je m’en occupe le lendemain. Elle m’invite à le récupérer dans son bureau. Lorsque j’arrive elle m’invite à contourner son bureau pour qu’elle me montre quelque chose sur le dossier. Pendant qu’elle fait son explication, Je ne peux m’empêcher de plonger dans son généreux décolleté, et je perds plusieurs fois le fil de son explication. Soudainement elle se recule, et comme je rêvassais, son bras est venu s’appuyer sur mon membre tendu. Elle se figea et je vis dans son regard qu’elle avait compris. Je reculais en me confondant en excuse, mais bouillant. Je lui tournais lorsqu’elle me demanda de la regarder. Et là je n’en cru pas mes yeux. Elle était assise sur le fauteuil, jupe légèrement retroussé, jambe décroisées, je voyais tout, j’en eu le souffle coupé. Et Pendant que je me délectais de cette vue. Elle m’expliqua qu’elle attendait ce moment depuis longtemps, et le fait de m’avoir sucé ne suffisait pas et qu’elle voulait plus. Sans écouter plus je me suis plongé, comme un homme assoiffé, sur ce fruit défendu qui m’était offert. J’attrapais ses jambes au niveau des tibias pour les écarter, et la jupe finit de se retrousser d’elle-même. Je plongeais entre ses jambes et embrassais goulument son sexe. Elle laissa échapper une longue plainte de soulagement à ce contact.
Je ne la lâchais une seconde. Ses gémissements se transformèrent vite petits cris. Tantôt je lui léchais légèrement le clito, tantôt j’enfonçais ma langue au plus profond. Je poussais même le vice à aller titiller du bout de ma langue son petit trou. Et elle avait l’air d’apprécier ça !! Elle soulevait sa croupe pour m’encourager. Très vite ma langue se focalisa sur lui, après l’avoir fait joui une première fois. Pendant que je pénétrais sa chatte de mes doigts, je léchais son petit cul. Sous ce traitement, elle jouit rapidement une deuxième fois. Estimant qu’il était temps de passer aux choses sérieuses, sans rien lui demander, et profitant du trouble de sa jouissance, je l’assis sur le bord du bureau, descendis mon pantalon pour libéré ma queue plus tendu que jamais. Et je m’enfonçais d’un seul tenant en elle. Elle cria une fois de plus, et avant même qu’elle reprenne son souffle j’avais déjà commencé mes va et vient. Ses fesses claquaient sur mes cuisses, elle lâchait de petits couinements à chaque coup de butoir. Le bureau avançait en rythme aussi. C’était animal, c’était bestial, et c’était le résultat de 2 mois de tension sexuel refoulé.
Très vite elle me dit qu’elle voulait que je jouisse en elle mais que ce n’était pas possible dans son vagin. Je la regardais d’un air interrogateur, ne voulant pas trop comprendre de message à demi voilée. Sans rien dire, elle prit mon membre, le fit glisser un peu plus bas, et m’agrippa pour me pousser vers elle. Je m’introduis dans son cul avec une facilité déconcertante, et pourtant il faisait aussi serré, et accueillant, que les autres culs que j’avais pu connaitre. Je lâchai un petit souffle de surprise, pendant qu’elle se laissait aller. Rapidement je repris mon rythme de croisière. Qu’est-ce que c’était bon. Je ne tiendrai pas très longtemps comme ça. Je voulais faire durer et dès que je sentais ma jouissance arriver je sortais, et faisais doucement claquer mon gland sur son clito.
Soudain, alors que je venais de reprendre une profonde pénétration, ses couinements devinrent muets, elle se mit à respirer comme si elle suffoquait, je sentis tout son corps de contracter, et surtout son anus, et soudain elle lâcha un cri aigu et long en jetant la tête en arrière, je sentis son anus se contracter violemment et je ne pris pas longtemps pour la rejoindre dans la jouissance. Pendant qu’elle criait mon plaisir, je remplis son cul de ma semence dans un long gémissement. Nous restâmes quelques minutes comme ça, moi appuyé sur mes deux mains sur le bureau, encore en elle, et elle une main me tenant au cou, l’autre sur le bureau, la tête en arrière.
Elle s’allongea sur le bureau, Je sortis de son cul. Je me rhabillai comme je pus, et je partis sans un mot, avec mon dossier, la laissant reprendre ses esprits seule, le cul dégoulinant de mon sperme.
Je garde encore les images de cette étreinte bestial, mais malheureusement se fut la première, et la seule.
Pour en revenir à Christelle, elle faisait plus en chaleur que jamais. Et dès que je sentais que mon corps réagissait à son charme je planifiais une branlette au bureau, ou un plan cul le soir en fonction de l’urgence. Malgré la « mauvaise » expérience de ma première masturbation au bureau, j’ai vite été obligé de réitérer l’action si je ne voulais pas me faire griller. Christelle se faisait très insistante en me montrant au choix, son décolleté plongeant, son string sous son pantalon de tailleur moulant, ou carrément sa chate lorsqu’elle ne mettait de sous-vêtement sous sa jupe. Ceci est arrivé qu’une fois et bien heureusement, ce jour-là je me suis non seulement masturbé derrière mon bureau, mais en plus j’ai appelé ma copine de cul le soir.
J’avais pris cette habitude et une routine s’était plus ou moins établi. Je m’étais bien intégré et les conversations de cul allaient bon train avec mes collègues, et j’y participais activement. Je faisais partie de ceux qui fantasmait sur « la chef » et ceux, plus rare, qui se branlait au bureau en pensant à elle. A noter que cette part augmentait peu à peu, on y comptait même un marié. Par contre personne ne savait que j’avais eu le droit à un traitement de faveur. Ce n’était pas nécessaire qu’ils le sachent, au contraire même.
Un jour après avoir mâté le cul moulé par un petit tailleur de ma patronne, et m’être branlé 2 fois, je m’apprêtais à rentrer chez moi tranquillement. Il était tard et je devais sortir ce soir-là. Et là le téléphone sonne. Pensant que je ne devrais pas, je décroche quand même.
C’est Christelle, elle me fait savoir qu’elle a un dossier à me faire passer pour que je m’en occupe le lendemain. Elle m’invite à le récupérer dans son bureau. Lorsque j’arrive elle m’invite à contourner son bureau pour qu’elle me montre quelque chose sur le dossier. Pendant qu’elle fait son explication, Je ne peux m’empêcher de plonger dans son généreux décolleté, et je perds plusieurs fois le fil de son explication. Soudainement elle se recule, et comme je rêvassais, son bras est venu s’appuyer sur mon membre tendu. Elle se figea et je vis dans son regard qu’elle avait compris. Je reculais en me confondant en excuse, mais bouillant. Je lui tournais lorsqu’elle me demanda de la regarder. Et là je n’en cru pas mes yeux. Elle était assise sur le fauteuil, jupe légèrement retroussé, jambe décroisées, je voyais tout, j’en eu le souffle coupé. Et Pendant que je me délectais de cette vue. Elle m’expliqua qu’elle attendait ce moment depuis longtemps, et le fait de m’avoir sucé ne suffisait pas et qu’elle voulait plus. Sans écouter plus je me suis plongé, comme un homme assoiffé, sur ce fruit défendu qui m’était offert. J’attrapais ses jambes au niveau des tibias pour les écarter, et la jupe finit de se retrousser d’elle-même. Je plongeais entre ses jambes et embrassais goulument son sexe. Elle laissa échapper une longue plainte de soulagement à ce contact.
Je ne la lâchais une seconde. Ses gémissements se transformèrent vite petits cris. Tantôt je lui léchais légèrement le clito, tantôt j’enfonçais ma langue au plus profond. Je poussais même le vice à aller titiller du bout de ma langue son petit trou. Et elle avait l’air d’apprécier ça !! Elle soulevait sa croupe pour m’encourager. Très vite ma langue se focalisa sur lui, après l’avoir fait joui une première fois. Pendant que je pénétrais sa chatte de mes doigts, je léchais son petit cul. Sous ce traitement, elle jouit rapidement une deuxième fois. Estimant qu’il était temps de passer aux choses sérieuses, sans rien lui demander, et profitant du trouble de sa jouissance, je l’assis sur le bord du bureau, descendis mon pantalon pour libéré ma queue plus tendu que jamais. Et je m’enfonçais d’un seul tenant en elle. Elle cria une fois de plus, et avant même qu’elle reprenne son souffle j’avais déjà commencé mes va et vient. Ses fesses claquaient sur mes cuisses, elle lâchait de petits couinements à chaque coup de butoir. Le bureau avançait en rythme aussi. C’était animal, c’était bestial, et c’était le résultat de 2 mois de tension sexuel refoulé.
Très vite elle me dit qu’elle voulait que je jouisse en elle mais que ce n’était pas possible dans son vagin. Je la regardais d’un air interrogateur, ne voulant pas trop comprendre de message à demi voilée. Sans rien dire, elle prit mon membre, le fit glisser un peu plus bas, et m’agrippa pour me pousser vers elle. Je m’introduis dans son cul avec une facilité déconcertante, et pourtant il faisait aussi serré, et accueillant, que les autres culs que j’avais pu connaitre. Je lâchai un petit souffle de surprise, pendant qu’elle se laissait aller. Rapidement je repris mon rythme de croisière. Qu’est-ce que c’était bon. Je ne tiendrai pas très longtemps comme ça. Je voulais faire durer et dès que je sentais ma jouissance arriver je sortais, et faisais doucement claquer mon gland sur son clito.
Soudain, alors que je venais de reprendre une profonde pénétration, ses couinements devinrent muets, elle se mit à respirer comme si elle suffoquait, je sentis tout son corps de contracter, et surtout son anus, et soudain elle lâcha un cri aigu et long en jetant la tête en arrière, je sentis son anus se contracter violemment et je ne pris pas longtemps pour la rejoindre dans la jouissance. Pendant qu’elle criait mon plaisir, je remplis son cul de ma semence dans un long gémissement. Nous restâmes quelques minutes comme ça, moi appuyé sur mes deux mains sur le bureau, encore en elle, et elle une main me tenant au cou, l’autre sur le bureau, la tête en arrière.
Elle s’allongea sur le bureau, Je sortis de son cul. Je me rhabillai comme je pus, et je partis sans un mot, avec mon dossier, la laissant reprendre ses esprits seule, le cul dégoulinant de mon sperme.
Je garde encore les images de cette étreinte bestial, mais malheureusement se fut la première, et la seule.
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