Nouvelle collègue
Récit érotique écrit par martinmatin [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouvelle collègue
J’ai 30 ans, une femme, des enfants, une maison, un travail, bref, tout pour être heureux. Et je le suis !
Sexuellement épanoui mais … je ne me refuse pas à voir autre chose, ailleurs.
Je travaille posté dans un hôpital et voici l’histoire imaginée : « ma nouvelle collègue »
Stéphanie, comme je l’appellerai, est arrivée depuis quelques mois à mon boulot. Une femme de 35 ans, plutôt jolie, agréable, simple. Au début, je n’y prêtais pas trop attention, puis après quelques temps d’intégration, nous discutions d’avantage, nous nous taquinions et j’avoue que tout cela ne me laissais pas indifférent. J’avais même l’impression que c’était réciproque mais cette idée me passa rapidement … Je suis marié et elle aussi.
Un jour, Stéphanie et moi sommes amenés à travailler ensembles la nuit. Nous sommes chargés de « patrouiller » dans l’hôpital a tour de rôle avec une autre équipe de collègues. La nuit est plutôt calme et nous discutons de tout et de rien. La discussion dévie comme souvent sur des sujets d’adulte.
A un moment dans cette discussion, Stéphanie dit « Moi mon stérilet est rentabilisé je vous le dis ! avec mon homme on ne fait que niquer en ce moment ! ». Jentend cela d’une oreille.
L’heure de notre patrouille a sonné, nous marchons donc dans les immenses locaux de l’hôpital, nous discutions tout en marchant avec Stéphanie.
Je finis par lui dire « Alors comme ça tu fais souvent l’amour en ce moment ? »
Je récolte comme réponse, un baiser langoureux et infini de sa part, elle ouvre la porte d’une chambre inoccupée, me pousse à l’intérieur et referme la porte derrière nous.
« -J’en meurs d’envie depuis mon arrivée dans ce boulot, je ne sais pas pourquoi mais…. Tu m’excites , me dit-elle
- je dois t’avouer que moi aussi lui répondis-je »
Nous continuons, collés l’un contre l’autre, à s’embrasser langoureusement. Avec peu de temps devant nous, nous nous déshabillons tous les deux rapidement. J’admire son magnifique corps, elle est grande, presque autant que moi, fine, blonde avec des seins bien fermes. Ma verge est tendue comme jamais, la situation m’excite terriblement. Nous sommes nus l’un contre l’autre, et continuons nos caresses, j’embrasse son cou, ses seins, pendant qu’elle s’affaire à garder tendu mon sexe avec sa main. C’est à mon tour d’aller visiter son entre jambe, je descend tout doucement vers cette zone, mon majeur passant lentement entre ses grandes lèvres déjà noyées, je masse son clitoris au rythme de la respiration de Stéphanie, qui s’accélère.
« Hmmmm, oui continue j’adore, me dit-elle »
J’obéis et continue de masser son sexe. Dans un gémissement de plaisir, mon majeur glisse dans sa grotte tout trempée, je continue les vas-et-vient avec mon doigts jusqu’à en insérer un deuxième. Ses gémissements sont de puis en plus puissant et sa respiration s’accélère de plus en plus.
- Continue fais moi jouir vas y !! m’ordonne Stéphanie
- mmhhh non non tu va attendre un petit peu ma p’tite lui répondis-je
Je retire mes doigts, je l’allonge dans le lit de cette chambre qui accueille habituellement des patients, je m’installe sur elle, l’embrasse et descend progressivement en embrassant tout son corps, jusqu’à embrasser son clito et le titiller avec ma langue. Elle plaque ma tête contre elle pour augmenter encore plus la pression sur son bouton. Dans un immense cri de plaisir, elle se cambre dans tous les sens de façon incontrôlable, elle jouit :
- Ohhhhhh ouiiiiii putain ouiii que c’est bon ! Hurle t-elle. Fais moi l’amour bordel, baise moi je ne tiens plus !
Je m’installe alors sur elle en missionnaire, mon sexe glisse en elle sans résistance, elle mouille énormément et j’adore ça !
- Putin que c’est bon, tu mouilles comme j’aime, je crois qu’il va falloir que je me concentre pour me retenir de jouir en toi dans 10 secondes !
- Détend toi, ce n’est pas grave si c’est le cas, la situation est ultra excitante, et puis .. ce sera l’occasion de recommencer.
J’initie alors des lents vas et vient dans sa grotte noyée, mon sexe va exploser mais j’essaye de faire durer. J’entre et je sors de sa fente à plusieurs reprise en faisant frotter mon gland sur son clito à chaque fois, je vous laisse imaginer le bruit type « floc floc » provoquée par la cyprine abondante de son sexe! Nous somme pendant 1 minute ou deux en missionnaire, c’est alors que Stéphanie me dit :
- Tu va éclater je le sens, vient me prendre en levrette j’adore terminer comme ça.
Elle se positionne alors devant moi à 4 pattes, je présente mon gland contre l’entrée de son vagin détrempé et y entre lentement. J’entame ensuite un sprint final en la pénétrant à une allure infernale, mon bassin claque contre ses fesses, chaque assaut fait sortir de sa bouche un cri de plaisir. Cette fois c’est tout, je ne peux plus me retenir et je lache plusieurs énormes saccades de ma semence dans ses entrailles.
- Que c’était bon, mais qu’est ce qu’on vient de faire ? Dis-je, presque avec regret
- Détends toi .. ce n’est que du plaisir, que du sexe, personne ne le saura .. me rassure Stéphanie
Nous restons encore un bon moment l’un contre l’autre dans le lit, sexe pendant pour moi, et chatte dégoulinante d’un mélange de sperme et de mouille pour elle.
Contrairement à elle, j’étais empli de culpabilité, mais malgré ça je me disais : « Vivement la prochaine nuit »
Sexuellement épanoui mais … je ne me refuse pas à voir autre chose, ailleurs.
Je travaille posté dans un hôpital et voici l’histoire imaginée : « ma nouvelle collègue »
Stéphanie, comme je l’appellerai, est arrivée depuis quelques mois à mon boulot. Une femme de 35 ans, plutôt jolie, agréable, simple. Au début, je n’y prêtais pas trop attention, puis après quelques temps d’intégration, nous discutions d’avantage, nous nous taquinions et j’avoue que tout cela ne me laissais pas indifférent. J’avais même l’impression que c’était réciproque mais cette idée me passa rapidement … Je suis marié et elle aussi.
Un jour, Stéphanie et moi sommes amenés à travailler ensembles la nuit. Nous sommes chargés de « patrouiller » dans l’hôpital a tour de rôle avec une autre équipe de collègues. La nuit est plutôt calme et nous discutons de tout et de rien. La discussion dévie comme souvent sur des sujets d’adulte.
A un moment dans cette discussion, Stéphanie dit « Moi mon stérilet est rentabilisé je vous le dis ! avec mon homme on ne fait que niquer en ce moment ! ». Jentend cela d’une oreille.
L’heure de notre patrouille a sonné, nous marchons donc dans les immenses locaux de l’hôpital, nous discutions tout en marchant avec Stéphanie.
Je finis par lui dire « Alors comme ça tu fais souvent l’amour en ce moment ? »
Je récolte comme réponse, un baiser langoureux et infini de sa part, elle ouvre la porte d’une chambre inoccupée, me pousse à l’intérieur et referme la porte derrière nous.
« -J’en meurs d’envie depuis mon arrivée dans ce boulot, je ne sais pas pourquoi mais…. Tu m’excites , me dit-elle
- je dois t’avouer que moi aussi lui répondis-je »
Nous continuons, collés l’un contre l’autre, à s’embrasser langoureusement. Avec peu de temps devant nous, nous nous déshabillons tous les deux rapidement. J’admire son magnifique corps, elle est grande, presque autant que moi, fine, blonde avec des seins bien fermes. Ma verge est tendue comme jamais, la situation m’excite terriblement. Nous sommes nus l’un contre l’autre, et continuons nos caresses, j’embrasse son cou, ses seins, pendant qu’elle s’affaire à garder tendu mon sexe avec sa main. C’est à mon tour d’aller visiter son entre jambe, je descend tout doucement vers cette zone, mon majeur passant lentement entre ses grandes lèvres déjà noyées, je masse son clitoris au rythme de la respiration de Stéphanie, qui s’accélère.
« Hmmmm, oui continue j’adore, me dit-elle »
J’obéis et continue de masser son sexe. Dans un gémissement de plaisir, mon majeur glisse dans sa grotte tout trempée, je continue les vas-et-vient avec mon doigts jusqu’à en insérer un deuxième. Ses gémissements sont de puis en plus puissant et sa respiration s’accélère de plus en plus.
- Continue fais moi jouir vas y !! m’ordonne Stéphanie
- mmhhh non non tu va attendre un petit peu ma p’tite lui répondis-je
Je retire mes doigts, je l’allonge dans le lit de cette chambre qui accueille habituellement des patients, je m’installe sur elle, l’embrasse et descend progressivement en embrassant tout son corps, jusqu’à embrasser son clito et le titiller avec ma langue. Elle plaque ma tête contre elle pour augmenter encore plus la pression sur son bouton. Dans un immense cri de plaisir, elle se cambre dans tous les sens de façon incontrôlable, elle jouit :
- Ohhhhhh ouiiiiii putain ouiii que c’est bon ! Hurle t-elle. Fais moi l’amour bordel, baise moi je ne tiens plus !
Je m’installe alors sur elle en missionnaire, mon sexe glisse en elle sans résistance, elle mouille énormément et j’adore ça !
- Putin que c’est bon, tu mouilles comme j’aime, je crois qu’il va falloir que je me concentre pour me retenir de jouir en toi dans 10 secondes !
- Détend toi, ce n’est pas grave si c’est le cas, la situation est ultra excitante, et puis .. ce sera l’occasion de recommencer.
J’initie alors des lents vas et vient dans sa grotte noyée, mon sexe va exploser mais j’essaye de faire durer. J’entre et je sors de sa fente à plusieurs reprise en faisant frotter mon gland sur son clito à chaque fois, je vous laisse imaginer le bruit type « floc floc » provoquée par la cyprine abondante de son sexe! Nous somme pendant 1 minute ou deux en missionnaire, c’est alors que Stéphanie me dit :
- Tu va éclater je le sens, vient me prendre en levrette j’adore terminer comme ça.
Elle se positionne alors devant moi à 4 pattes, je présente mon gland contre l’entrée de son vagin détrempé et y entre lentement. J’entame ensuite un sprint final en la pénétrant à une allure infernale, mon bassin claque contre ses fesses, chaque assaut fait sortir de sa bouche un cri de plaisir. Cette fois c’est tout, je ne peux plus me retenir et je lache plusieurs énormes saccades de ma semence dans ses entrailles.
- Que c’était bon, mais qu’est ce qu’on vient de faire ? Dis-je, presque avec regret
- Détends toi .. ce n’est que du plaisir, que du sexe, personne ne le saura .. me rassure Stéphanie
Nous restons encore un bon moment l’un contre l’autre dans le lit, sexe pendant pour moi, et chatte dégoulinante d’un mélange de sperme et de mouille pour elle.
Contrairement à elle, j’étais empli de culpabilité, mais malgré ça je me disais : « Vivement la prochaine nuit »
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
superbe histoire !!!