nouvelle masturbation
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2011 dans la catégorie Plus on est
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nouvelle masturbation
Nous rentrons du spectacle: une pièce de théâtre sinistre. Nous nous arrêtons en chemin pour nous
désaltérer dans un petit bistrot encore ouvert. Je prends une bière, ma femme Paule, une liqueur.
Nous bavardons sur la pièce d’abord, et sur l’envie de ma femme d’aller aux toilettes, pas pour se
soulager d’une quelconque envie d’uriner ou plus: elle a envie de se masturber: ça lui arrive
souvent. Nous ne sommes qu’à 2 minutes de la maison, je lui demande de patienter.
- Si tu veux, dépêchons nous j’en meurt d’envie.
- Je pourrait te baiser comme tu aimes.
- Bien sur, oui, mais après, je meurt d’envie d’essayer autre chose: te me regardera.
Nous partons aussitôt. Dès l’arrivée elle se déshabille rapidement, se couche et écarte les jambes.
Je vois sa chatte toutes mouillée. Pourtant elle ne se touche pas de suite, elle suce ses doigts
longuement. Elle mouille, encore plus excitée par l’attente. Elle sort les doigts de la bouche pour
en mettre trois dans la chatte. Elle les fait aller et venir dans son vagin. Bien sur elle commence
à avoir du plaisir qu’elle interrompt comme pour faire durer la sauce. Un de ses doigts sort pour
aller se planter dans le cul, comme si les sodomies que je lui fait ne suffisaient pas. Paule ne se
sert plus que du doigt qu’elle a dans l’anus. Elle le ressort pour le sucer et le lubrifier. Elle le
remet à fond dans la rondelle, en le faisant aller et venir. Quand son rectum s’est adapté, elle
entre un deuxième puis un troisième doigt. Elle se détend totalement le cul. Elle insiste en les
faisant aller et venir jusqu’au moment où elle se crispe. Elle pousse son cri de jouissance. C’est
fait, je crois bien: je suis nu devant elle, je me touche la bite en attendant qu’elle me donne une
place dans son ventre. Elle se met sur le ventre, cherche et trouve vite un plug anal banal pour le
mettre à la place de ses doigts et ainsi se boucher en l’écartant le cul. Elle se remet sur le dos,
pose les doigts habituels sur le clitoris, elle le caresse en me regardant bien d’un air de défit:
je me baise sans toi, je vais jouir. D’ailleurs elle le dit tout fort quand l’événement arrive.
Il n’est pas pour moi ce soir. C’est-ce que je crois, il lui manque ma bite dans la bouche. Ce soir
j’ai droit à la grande fellation, celle des jours de fêtes: je suis a cheval sur sa poitrine, ma
bite juste à la hauteur de sa bouche. Paule la prend dans sa main, la branle un peu, ouvre la
bouche, sort sa langue pour lécher le bout de ma queue. Elle fait trainer les choses: elle me fait
bander encore plus fort: je n’en peux plus. Si j’avais su qu’elle fasse durer ce pompier longtemps,
trop longtemps pour moi, je me serai branlé: j’aurai joui sur ses seins.
Je regarde sa bouche qui maintenant a prit ma bite en entier ou presque. Je regarde ses joues se
gonfler quand elle aspire la queue. Je sens sa langue lécher sans arrêt. Je ne tiens plus droit, je
vais tomber de plaisir. Enfin je sens mon flot de sperme arriver. C’est un véritable tsunami qui
sort de ma pine.
Elle attend que j’ai fini de jouir pour avaler lentement ma semence qu’elle avale toujours: c’est
bon pour son teint et autre.
Enfin nous pouvons parler
- Comment tu as trouvé cette nouvelle façon de te branler ?
- C’est une copine qui se le fait qui m’a dit bien jouir ainsi, alors j’ai voulu essayer.
- Tu as drôlement bien jouit ?
- Sensationnel. Je crois que je me branlerai toujours ainsi.
- Même quand nous sommes avec nos amis ?
- Pourquoi pas je le montrerai à Martine à table.
- Ils viennent quand ?
- Demain soir.
- Il me tarde de la baiser, Martine, j’aime son cul étroit.
- Moi j’aime sucer son mari. Pierre a un gout qui me plait.
- Tu ne lui déplait pas non plus.
- Je sais. En plus il baise bien. J’aime aussi quand vous vous mettez à deux sur moi.
- Tu es une salope.
- Tu découvre ça maintenant, mon salaud.
En attendant son salaud a sommeil. Je suis réveillé en pleine nuit: elle se masturbe encore cette
fois elle enlève le plug qui la gêne.
Enfin le soir nos amis, des voisins viennent passer avec nous un spécial baise. Tant Pierre que
Martine aimnt baiser avec nous qui sommes sans pudeur, toujours à la recherche de plaisir à
plusieurs.
Pierre a ma taille, bel homme bien monté, j’ai pu le voir souvent quand il bande. Elle de porte pas
ses 35 ans, elle est une baiseuse de première, elle n’a pas d’exclusive, homme ou femme, toutes
relations humaine lui plaisent.
Ils viennent chez nous peu habillés: lui un t-shirt et un pantalon sans dessous, elle avec une robe
vague, sans dessous non plus. Pour se mettre nus à peine entrer, ça ne vaut pas la peine de se
mettre en frais de vêtement.
Une poignée de main entre homme, un baiser sur la bouche entre les femmes et avec nous les hommes.
Paule a fait les choses en grand: elle a préparé un repas léger mais délicieux. Nous ne sommes pas
au dessert qu’elle montre à Martine sa nouvelle façon de se branler. Bien sur nous regardons tous.
Elles se lèvent pour aller s’assoir en face: Paule sur un fauteuil, Martine sur le divan, juste en
face. Elles sont toutes les deux les chattes bien ouvertes, elles suivent le même mode d’emploi que
Paule hier au soir. Martine part la première. Paule la suit de près.
Avec Pierre nous bandons comme de ânes en rut. Il nous faut rapidement un trou à boucher. J’ai envie
de Martine, je demande la permission à son époux, par politesse. Il se demande si je ne moque pas de
lui; habituellement je vais baiser sa femme quand j’en ai envie.
Martine sais et veut que je la baise, ou que je l’encule, elle n’a pas de préférence alors que
Paule, ma femme veut la bite de Pierre dans son val.
Je laisse Pierre s’arranger avec Paule: elle est prête à le recevoir: d’abord elle ouvre la bouche
pour le sucer un peu avant qu’il la pelote dans tous les endroit sensibles de son corps. Il prend sa
place sur le fauteuil. Paule vient s’assoir sur lui, elle prend la bite pour la placer où elle veut.
Elle me demande ce que je fais faire à Martine:
- Je vais l’enculer, et toi ?
- Dans la chatte, je me branlerai en même temps, c’est bon comme ça.
Elle s’installe la bite de Pierre bien dirigée vers son étui à plaisir.
Martine m’attend en se caressant les clitoris, juste pour passer le temps. Elle sait fort bien que
je vais m’en prendre à son petit trou. J’aime y aller: il est plus étroit que celui de ma femme.
Elle se met à genoux, les seins sur le divan, ses fesses bien ouvertes vers moi qui me met derrière
elle, la bite sur l’anus. Son trou est bien humide.
Je force un peu pour entrer: elle adore cet instant où la douleur et le plaisir se mélangent. Je
vais tout au fond de son anus: son cul est toujours agréable à pénétrer. Je ne fais jamais les
premiers mouvements: elle fait les aller et venues selon le degré de son plaisir. Je sens ma couille
contre ses fesses: elle miaule comme une chatte ronronnerait. Je la sens jouir autour de ma bite
plusieurs fois: au moins elle ne peut pas se plaindre de ne pas avoir d’orgasme avec moi.
J’entends ma femme gémir de bonheur avec la bite de Pierre qui reste un des meilleurs amants qu’elle
ait eu.
Nous jouissons presque ensemble.
Il nous faut varier les plaisirs. Les femmes sont ensemble pour s’aimer comme chaque fois: l’un et
l’autre ne crache pas sur un peu de lesbianisme. Elles aiment un bon 69. Elles se font jouir sans
entrave, devant nous, recommencent plusieurs fois. Leurs langues sont de la partie, elles lèchent
tout ce qu‘elles trouvent. Elles vont du clito au cul où elles n‘hésitent pas à entrer.
Quand nous rebandons nous allons vers elles qui comprennent que nous voulons les enculer: elle se
mettent de coté pour nous donner les petits trous. Nous ne savons que rarement à qui est l’anus que
nous pénétrons, sauf que celui de Martine étant le lus étroit nous savons si nous sodomisons la
copine ou sa femme.
Nous nous disons au revoir, à la semaine prochaine. Ce sera à nous de aller chez eux. Rien n’empêche
les femmes de se voir et baiser entre temps.
désaltérer dans un petit bistrot encore ouvert. Je prends une bière, ma femme Paule, une liqueur.
Nous bavardons sur la pièce d’abord, et sur l’envie de ma femme d’aller aux toilettes, pas pour se
soulager d’une quelconque envie d’uriner ou plus: elle a envie de se masturber: ça lui arrive
souvent. Nous ne sommes qu’à 2 minutes de la maison, je lui demande de patienter.
- Si tu veux, dépêchons nous j’en meurt d’envie.
- Je pourrait te baiser comme tu aimes.
- Bien sur, oui, mais après, je meurt d’envie d’essayer autre chose: te me regardera.
Nous partons aussitôt. Dès l’arrivée elle se déshabille rapidement, se couche et écarte les jambes.
Je vois sa chatte toutes mouillée. Pourtant elle ne se touche pas de suite, elle suce ses doigts
longuement. Elle mouille, encore plus excitée par l’attente. Elle sort les doigts de la bouche pour
en mettre trois dans la chatte. Elle les fait aller et venir dans son vagin. Bien sur elle commence
à avoir du plaisir qu’elle interrompt comme pour faire durer la sauce. Un de ses doigts sort pour
aller se planter dans le cul, comme si les sodomies que je lui fait ne suffisaient pas. Paule ne se
sert plus que du doigt qu’elle a dans l’anus. Elle le ressort pour le sucer et le lubrifier. Elle le
remet à fond dans la rondelle, en le faisant aller et venir. Quand son rectum s’est adapté, elle
entre un deuxième puis un troisième doigt. Elle se détend totalement le cul. Elle insiste en les
faisant aller et venir jusqu’au moment où elle se crispe. Elle pousse son cri de jouissance. C’est
fait, je crois bien: je suis nu devant elle, je me touche la bite en attendant qu’elle me donne une
place dans son ventre. Elle se met sur le ventre, cherche et trouve vite un plug anal banal pour le
mettre à la place de ses doigts et ainsi se boucher en l’écartant le cul. Elle se remet sur le dos,
pose les doigts habituels sur le clitoris, elle le caresse en me regardant bien d’un air de défit:
je me baise sans toi, je vais jouir. D’ailleurs elle le dit tout fort quand l’événement arrive.
Il n’est pas pour moi ce soir. C’est-ce que je crois, il lui manque ma bite dans la bouche. Ce soir
j’ai droit à la grande fellation, celle des jours de fêtes: je suis a cheval sur sa poitrine, ma
bite juste à la hauteur de sa bouche. Paule la prend dans sa main, la branle un peu, ouvre la
bouche, sort sa langue pour lécher le bout de ma queue. Elle fait trainer les choses: elle me fait
bander encore plus fort: je n’en peux plus. Si j’avais su qu’elle fasse durer ce pompier longtemps,
trop longtemps pour moi, je me serai branlé: j’aurai joui sur ses seins.
Je regarde sa bouche qui maintenant a prit ma bite en entier ou presque. Je regarde ses joues se
gonfler quand elle aspire la queue. Je sens sa langue lécher sans arrêt. Je ne tiens plus droit, je
vais tomber de plaisir. Enfin je sens mon flot de sperme arriver. C’est un véritable tsunami qui
sort de ma pine.
Elle attend que j’ai fini de jouir pour avaler lentement ma semence qu’elle avale toujours: c’est
bon pour son teint et autre.
Enfin nous pouvons parler
- Comment tu as trouvé cette nouvelle façon de te branler ?
- C’est une copine qui se le fait qui m’a dit bien jouir ainsi, alors j’ai voulu essayer.
- Tu as drôlement bien jouit ?
- Sensationnel. Je crois que je me branlerai toujours ainsi.
- Même quand nous sommes avec nos amis ?
- Pourquoi pas je le montrerai à Martine à table.
- Ils viennent quand ?
- Demain soir.
- Il me tarde de la baiser, Martine, j’aime son cul étroit.
- Moi j’aime sucer son mari. Pierre a un gout qui me plait.
- Tu ne lui déplait pas non plus.
- Je sais. En plus il baise bien. J’aime aussi quand vous vous mettez à deux sur moi.
- Tu es une salope.
- Tu découvre ça maintenant, mon salaud.
En attendant son salaud a sommeil. Je suis réveillé en pleine nuit: elle se masturbe encore cette
fois elle enlève le plug qui la gêne.
Enfin le soir nos amis, des voisins viennent passer avec nous un spécial baise. Tant Pierre que
Martine aimnt baiser avec nous qui sommes sans pudeur, toujours à la recherche de plaisir à
plusieurs.
Pierre a ma taille, bel homme bien monté, j’ai pu le voir souvent quand il bande. Elle de porte pas
ses 35 ans, elle est une baiseuse de première, elle n’a pas d’exclusive, homme ou femme, toutes
relations humaine lui plaisent.
Ils viennent chez nous peu habillés: lui un t-shirt et un pantalon sans dessous, elle avec une robe
vague, sans dessous non plus. Pour se mettre nus à peine entrer, ça ne vaut pas la peine de se
mettre en frais de vêtement.
Une poignée de main entre homme, un baiser sur la bouche entre les femmes et avec nous les hommes.
Paule a fait les choses en grand: elle a préparé un repas léger mais délicieux. Nous ne sommes pas
au dessert qu’elle montre à Martine sa nouvelle façon de se branler. Bien sur nous regardons tous.
Elles se lèvent pour aller s’assoir en face: Paule sur un fauteuil, Martine sur le divan, juste en
face. Elles sont toutes les deux les chattes bien ouvertes, elles suivent le même mode d’emploi que
Paule hier au soir. Martine part la première. Paule la suit de près.
Avec Pierre nous bandons comme de ânes en rut. Il nous faut rapidement un trou à boucher. J’ai envie
de Martine, je demande la permission à son époux, par politesse. Il se demande si je ne moque pas de
lui; habituellement je vais baiser sa femme quand j’en ai envie.
Martine sais et veut que je la baise, ou que je l’encule, elle n’a pas de préférence alors que
Paule, ma femme veut la bite de Pierre dans son val.
Je laisse Pierre s’arranger avec Paule: elle est prête à le recevoir: d’abord elle ouvre la bouche
pour le sucer un peu avant qu’il la pelote dans tous les endroit sensibles de son corps. Il prend sa
place sur le fauteuil. Paule vient s’assoir sur lui, elle prend la bite pour la placer où elle veut.
Elle me demande ce que je fais faire à Martine:
- Je vais l’enculer, et toi ?
- Dans la chatte, je me branlerai en même temps, c’est bon comme ça.
Elle s’installe la bite de Pierre bien dirigée vers son étui à plaisir.
Martine m’attend en se caressant les clitoris, juste pour passer le temps. Elle sait fort bien que
je vais m’en prendre à son petit trou. J’aime y aller: il est plus étroit que celui de ma femme.
Elle se met à genoux, les seins sur le divan, ses fesses bien ouvertes vers moi qui me met derrière
elle, la bite sur l’anus. Son trou est bien humide.
Je force un peu pour entrer: elle adore cet instant où la douleur et le plaisir se mélangent. Je
vais tout au fond de son anus: son cul est toujours agréable à pénétrer. Je ne fais jamais les
premiers mouvements: elle fait les aller et venues selon le degré de son plaisir. Je sens ma couille
contre ses fesses: elle miaule comme une chatte ronronnerait. Je la sens jouir autour de ma bite
plusieurs fois: au moins elle ne peut pas se plaindre de ne pas avoir d’orgasme avec moi.
J’entends ma femme gémir de bonheur avec la bite de Pierre qui reste un des meilleurs amants qu’elle
ait eu.
Nous jouissons presque ensemble.
Il nous faut varier les plaisirs. Les femmes sont ensemble pour s’aimer comme chaque fois: l’un et
l’autre ne crache pas sur un peu de lesbianisme. Elles aiment un bon 69. Elles se font jouir sans
entrave, devant nous, recommencent plusieurs fois. Leurs langues sont de la partie, elles lèchent
tout ce qu‘elles trouvent. Elles vont du clito au cul où elles n‘hésitent pas à entrer.
Quand nous rebandons nous allons vers elles qui comprennent que nous voulons les enculer: elle se
mettent de coté pour nous donner les petits trous. Nous ne savons que rarement à qui est l’anus que
nous pénétrons, sauf que celui de Martine étant le lus étroit nous savons si nous sodomisons la
copine ou sa femme.
Nous nous disons au revoir, à la semaine prochaine. Ce sera à nous de aller chez eux. Rien n’empêche
les femmes de se voir et baiser entre temps.
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