Nouvelle rencontre fétishiste
Récit érotique écrit par fvkway [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouvelle rencontre fétishiste
Le week-end arrive enfin.
Nous devons aller chez Laurence et Christophe.
Laurence a eu Valérie cette semaine et elle lui a donné les directives pour nous préparer tous les deux d’un point de vue hygiène intime et au niveau vestimentaire.
Valérie est allée acheter chez le pharmacien, le matériel pour se faire un lavement.
Le samedi après-midi, nous avons pris une douche.
J’ai vu qu’elle s’était rasée les poils du sexe.
Valérie s’est occupée après de mon colon et j’en ai fait autant pour elle.
Je n’avais jamais eu cette injection avec une poire et une petite canule mais cela n’a pas été trop désagréable.
Je savais pour quel objectif nous devions faire se lavement.
Valérie m’a rasé aussi tous les poils autour du sexe. Il faut dire que je suis châtain et que je ne suis pas très poilu. C’est la première fois que je me rase.
Après, je dirai que c’était agréable et cela m’a rappelé des souvenirs d’enfance.
Valérie a fini par se faire un lavement vaginal avec la même poire mais avec une canule beaucoup plus grosse et un liquide spécial. Elle m’a demandé de lui faire directement sous la douche.
Après avoir introduit la tige de la poire dans le vagin, il fallait que je l’enfonce jusqu’au bout et que je presse pour injecter le liquide.
Elle a gémi lorsque j’ai injecté le liquide tiède dans le vagin.
Nous étions propres de la tête aux pieds et dans tous les trous.
Valérie m’apporte une tunique blanche ouverte des deux côtés, façon Romaine, avec une cordelette et une boucle dorée que nous enfilons.
Aux pieds nous devions mettre des espadrilles blanches.
Nous sommes prêts, j’arrive dans l’entrée pour mettre un blouson mais Valérie m’arrête et me dit de passer le kway bleu marine et le pantalon.
Surpris, j’exécute et lorsque je mets le pantalon kway, le tissu vient se coller à ma peau qui est encore un peu humide de la douche mais aussi de la chaleur que je dégage.
Valérie enfile son long imper en vinyle rouge mais je nous préfère habillé en romain.
Nous sortons discrètement de la maison pour que nos voisins ne nous voient pas.
Pendant le trajet, Valérie se caressait l’entrejambe déjà avec le tissu de l’imperméable.
Je voyais sa main tourner le tissu sur l’entrejambe.
Arrivé à un feu, je la regardais dans les yeux et elle éprouvait déjà du plaisir.
Nous n’avions pas vu que le camionneur à notre droite, était en train de mater l’action de ma femme et lorsque le feu est passé au vert, le camionneur nous a klaxonné.
Cela n’a pas empêché Valérie de continuer à se masturber.
Valérie a coupé la radio pour que je l’entende gémir.
Le spectacle m’excitait.
Elle a retroussé son imper puis la tunique, pour laisser son bas ventre à la vue de tout le monde.
Elle a attrapé l’extrémité de l’imper et elle a introduit le vinyle dans son vagin.
Cela me déconcentra complètement.
Je lui ai demandé d’arrêter car nous allions bientôt arriver.
Mon sexe commençait à bander dans le pantalon kway et il était libre de pouvoir gonfler.
Nous sommes devant un portail en fer forgé. On peut voir derrière une belle allée en gravillon bordée de thuyas.
Le portail s’ouvre et nous entrons jusque devant la maison.
Je suis rassuré, la maison est isolée et sans aucun vis-à-vis.
On va pouvoir descendre tranquillement.
L’excitation monte et Valérie ronronne en me disant « allé vient dépêche-toi ! »
Je sors aussitôt de la voiture. J’ai le pantalon kway qui est tendu par l’excitation de mon sexe.
Nous arrivons devant la porte d’entrée d’une superbe maison en colombage et toit de chaume.
Laurence nous ouvre, et comme la dernière fois elle est habillée de son imper en vinyle noir, qui est entrouvert et la même tunique que nous avons mise.
Valérie passe un pied dans la maison et Laurence l’embrasse à pleine bouche.
J’attends derrière. Dès que Valérie se dirige vers Christophe, il l’embrasse aussi sur la bouche en l’attrapant par les épaules.
J’avance et lorsque je suis venu pour embrasser Laurence sur les joues, elle m’a pris la bouche.
Cela a été très agréable, elle m’a passé en même temps une main sur le pantalon kway à l’emplacement de mon sexe.
Laurence « Alors tu aimes ? tu es déjà excité, humm…»
Moi « Oui c’est très agréable ».
Après j’arrive face à Christophe et là je ne savais pas comment le saluer ou l’embrasser.
Sans rien dire, il m’a attrapé par les épaules, puis la nuque et m’a embrassé sur la bouche.
Je ne bougeais pas. Les bras étaient le long de mon corps comme un mannequin.
Christophe s’est mis à me caresser sur le kway.
Le bruit des mains sur le tissu était agréable.
Valérie est venue au contact de nous deux pendant que nous nous embrassions.
Laurence nous a rejoint pour compléter les caresses et passer ses mains sous les vêtements.
Christophe se recule et me dit « tu aimes aussi porter un ensemble kway ? ».
Moi « hep bien oui, c’est Valérie et Laurence qui m’ont fait ce cadeau et je l’ai adopté ».
Christophe me passe une main au cul et me fait retirer la veste et le pantalon.
Laurence nous invite à visiter la maison.
Toutes les pièces sont belles. Ils ont beaucoup de goût pour la décoration.
Nous revenons dans le salon. Il y a deux grands canapés en skaï noir super brillant.
Il y a une table de salon avec une bouteille de champagne dans un seau.
Valérie s’assoit sur un des canapés et directement elle appel Christophe.
Je suis surpris je m’attendais à voir Laurence la rejoindre.
Alors Laurence m’entraine sur l’autre canapé.
Elle m’ordonne de m’allonger puis elle me chevauche pour me présenter son sexe devant la bouche.
Elle me recouvre avec son imperméable ce qui m’empêche de voir Valérie.
Alors je sors ma langue et je commence à la lécher.
Aussitôt, elle avance et recule son bassin doucement pour me donner le rythme.
Elle s’est cambrée pour me mettre son cul sur le nez.
J’entends la voie de ma femme qui dit à Christophe « oh oui vas-y, vas-y, vas-y … ».
Sans que je puisse voir quoi que ce soit, Laurence rétorque : « Pas trop vite chéri, elle se chauffe rapidement et après elle crie. Il faut qu’elle tienne toute la soirée ».
Mais comment Laurence peut savoir que ma femme allait avoir cette réaction ? mais je vais le découvrir plus tard.
Laurence se penche en avant, j’ai le visage décollé de son sexe. Avec une main je relève l’imper pour voir Valérie.
Elle est allongée sur l’autre canapé, les jambes écartées et Christophe est en train de lui masturber le sexe.
Je ne vois pas exactement ce qu’il fait, mais Valérie souffle fort.
Pendant ce temps Laurence a pris de chaque main, un lobe de ses fesses pour les écarter et elle m’a repositionné du premier coup, son anus sur mes lèvres.
Il y avait l’odeur du produit du lavement que nous avions fait avec Valérie l’après-midi.
En pleine confiance, j’ai sorti ma langue pour lui mettre à l’entrée du petit trou.
Laurence a lâché un « humm » de satisfaction.
J’ai porté un doigt à l’entrée de sa chatte.
Dès que j’ai écarté une des lèvres, j’ai senti le liquide séminal qui m’a coulé sur le menton et dans le coup.
J’ai rentré un, puis deux et trois doigts dans la fente.
Je me suis mis à tourner les doigts dans la vulve.
Ma langue continuée à lui donner du plaisir à sa rondelle.
J’entends ma belle dire à Christophe « mais vas-y ! fouille-moi bien, encore, encore !».
Mais qu’est-ce qu’il lui arrive ? Et qu’est-ce que Christophe lui fait ?
Je ne me lasse pas de lécher Laurence qui me fait savoir par ses gémissements qu’elle apprécie.
D’un seul coup, Laurence dit « êtes-vous d’accord pour qu’on échange de partenaire ? »
Visiblement Valérie et Christophe on dit « oui » car Laurence se relève et je reste la bouche entre-ouvert.
Laurence se dirige directement sur Valérie.
Christophe me rejoint, il ne bande pas encore, mais son sexe pend déjà sur le côté de la tunique.
Il me demande de me relever et de m’assoir et il vient s’assoit près de moi.
Avec sa main droite, il passe sous le tissu de la tunique et il prend ma bite qui est déjà raide.
Alors par mimétisme, j’en fait autant avec ma main gauche.
On se regarde et nous partons sur une embrassade avec la langue.
Sur le côté, je regarde les filles qui se sont mises en « 69 ».
Et c’est parti, nous sommes dans un plan génial.
Christophe me décalotte complètement le gland et pousse à fond pour me tendre la peau.
Je sursaute au premier coup. Il me dit de me laisser faire et de ne pas regarder.
Mais je ne peux pas m’en empêcher.
Il recommence plusieurs fois. Maintenant je pousse un gémissement avant qu’il arrive au bout.
Christophe « tu es stressé, laisse-toi aller à tes sensations, fais-moi confiance !».
Il arrête de me branler, retire sa main, il attrape l’imper kway qui est sur le dossier du canapé et il me le positionne à l’envers sur moi et me dit de l’enfiler par les manches. Il remonte la capuche sur le visage.
Je me retrouve avec la capuche et je ne vois plus rien.
J’entends bien et je suis obligé de m’imaginer ce qu’il se passe dans la pièce.
Laurence dit à Valérie « tu es prête maintenant pour essayer ? »
Valérie « Oui vas-y ».
Laurence « mets-toi par terre »
Christophe soulève le k-way et la tunique qui sont sur moi.
Je devine par le bruit qu’il trempe ses mains dans le seau à champagne.
Il reprend ma bite dans une main très froide.
Il me rappel de me décontracter. Mais le froid me saisit.
Il passe ses doigts autour de mon gland et il me dit « vas-y force à gonfler ton gland ! »
J’exécute sa demande. Une fois gonflé je sens qu’il me l’emprisonne avec ses doigts et serre fort.
J’ai mal, mais d’un coup je sens du froid intense sur mon gland.
J’ai deviné qu’il m’avait appliqué des glaçons sur le gland pour soulager la douleur.
J’ai crié « Waouh » …
Laurence dit à Valérie « tu entends comme mon mari est en train de faire du bien à ton homme ! Vas-y lâche toi, tu peux crier, il n’y a que nous quatre pour entendre ton plaisir »
Christophe me dit « je te prépare le gland pour que tu me ressemble et pour que tu fasses des heureuses et un heureux ! »
J’entends les grognements de Valérie et Laurence.
Ma Valérie grogne de plus en plus fort et je ne comprends pas ce qu’il lui arrive mais ses gémissements sont de plus en plus rapides.
D’un seul coup, j’entends un souffle de satisfaction et Laurence qui lui dit « Maintenant que j’ai réussi à passer ma main, la bitte de mon mari passera plus facilement ».
Christophe me retire la capuche du visage et je vois Valérie par terre à quatre pattes et Laurence qui est derrière elle avec une de ses mains, engloutie dans son vagin jusqu’à la montre.
Laurence attrape et tire sur les cheveux de Valérie pour la faire mettre en arrière.
Elle lui dit en nous regardant : « Je viens de t’ouvrir la chatte petite salope, regarde ton mari, mon mari le tien par la queue. Lorsqu’il va retirer les glaçons ton mari va te prendre par derrière »
Christophe me libère la bite. Mes yeux se pose directement sur mon gland.
Il est rouge vif et il est plus gros que d’habitude.
Christophe « vas-y, présente-toi derrière ta femme ».
Arrivé derrière elle, elle a son imper rouge relevé, Laurence a encore sa main dans le vagin.
Laurence retire sa main, je vois le sexe de Valérie dilaté et je m’accroupis pour rentrer mon sexe dans la chapelle de l’amour de ma femme.
Je pénètre doucement et sans aucune résistance, Valérie a tressailli et tremblé brusquement.
Elle me dit « c’est génial ta bite froide dans ma chatte ! »
Elle se lâche complètement et je ne l’ai jamais entendue dire des mots comme ça.
Je suis au top de l’excitation, je sens la chaleur du vagin.
J’ai l’impression d’avoir envie de gicler mais que le froid bloque.
Valérie me dit « Vas-y c’est trop bon, défonce-moi pendant que ta bite est froide, c’est génial ! ».
Christophe vient coller sa bite devant moi, en chevauchant ma femme.
Il a la bite bien raide. Je prends encore son sexe énorme en bouche.
Il m’attrape la tête à deux mains et me l’enfonce jusqu’au maximum.
Laurence est derrière moi et je la sens introduire des doigts dans le vagin en même temps que je baise Valérie.
Valérie me dit « alors, tu vas passer la deuxième vitesse ou tu attends de débander ? »
Alors je cramponne les hanches de ma femme pour donner des coups de reins plus violents et brutaux.
Christophe s’en donne à cœur joie, de me baisser la bouche dans le même rythme que je baise Valérie.
Laurence crie « Elle est entrain de gicler la chienne »
Il n’en fallait pas plus pour que Christophe me bloque la tête et me gicle dans le fond de la gorge.
J’en ai fait autant dans le fond du vagin de Valérie.
Laurence « Ne bougez pas tous les deux. Je passe sous l’entrecuisse de Valérie pour voir l’état de son minou ».
Une fois allongée entre les cuisses de Valérie, Laurence lui lèche le sexe à la limite de ma bite.
Je sens les coups de langue et Valérie gémie à nouveau.
Christophe est toujours en forme et sa bite me bloque la possibilité de parler.
Il se retire et il va se placer devant l’entre cuisse de Laurence qui est allongée sur le dos.
Il lui écarte les jambes, les relèves et présente son sexe à l’entrée de sa chatte.
Laurence était tellement excitée que Christophe l’a pénétré directement.
Elle a crié et insulté son mari d’enfoiré pour l’avoir prise directement sans lui avoir écarté les lèvres.
Christophe était donc derrière moi. J’étais toujours planté dans Valérie et je ne débandais pas. En même temps qu’il limait sa femme, il me caressait le cul.
J’ai eu comme réaction de reprendre les coups de bite dans Valérie.
Laurence en dessous, recevait les sorties de sperme.
Je nageais dans le bonheur, jusqu’au moment où Christophe m’a inséré son majeur dans le cul.
Très surpris je n’étais pas encore prêt ou plutôt assez excité.
Je recule pour me retirer du sexe de ma femme.
Laurence m’a attrapé par les couilles pour ne pas que je recul plus.
Laurence « François, viens lécher la chatte de ta femme avec moi »
Elle me fait une pipe pour prendre la dernière goute dans la bouche.
Je me penche et je me retrouve devant l’entrée encore dégoulinante.
Laurence m’aide à lécher le minou de Valérie pour récupérer le mélange de sperme et de cyprine.
Valérie pousse des cris de jouissances tout en ayant des frissonnements liés au plaisirs.
Christophe m’insulte (c’est un jeu) en me disant que je ne dois pas en perdre une seule goutte.
Il donne des coups de bites de plus en plus rapide dans Laurence.
Il se retire, s’avance et position son sexe sur le cul de ma femme pour décharger son sperme.
Aussitôt Laurence se retire de l’entre jambe de Valérie.
En se relevant elle nous dit que nous allons faire une pause mais qu’elle doit être assouvie elle aussi.
La suite au prochain au prochain chapitre.
Nous devons aller chez Laurence et Christophe.
Laurence a eu Valérie cette semaine et elle lui a donné les directives pour nous préparer tous les deux d’un point de vue hygiène intime et au niveau vestimentaire.
Valérie est allée acheter chez le pharmacien, le matériel pour se faire un lavement.
Le samedi après-midi, nous avons pris une douche.
J’ai vu qu’elle s’était rasée les poils du sexe.
Valérie s’est occupée après de mon colon et j’en ai fait autant pour elle.
Je n’avais jamais eu cette injection avec une poire et une petite canule mais cela n’a pas été trop désagréable.
Je savais pour quel objectif nous devions faire se lavement.
Valérie m’a rasé aussi tous les poils autour du sexe. Il faut dire que je suis châtain et que je ne suis pas très poilu. C’est la première fois que je me rase.
Après, je dirai que c’était agréable et cela m’a rappelé des souvenirs d’enfance.
Valérie a fini par se faire un lavement vaginal avec la même poire mais avec une canule beaucoup plus grosse et un liquide spécial. Elle m’a demandé de lui faire directement sous la douche.
Après avoir introduit la tige de la poire dans le vagin, il fallait que je l’enfonce jusqu’au bout et que je presse pour injecter le liquide.
Elle a gémi lorsque j’ai injecté le liquide tiède dans le vagin.
Nous étions propres de la tête aux pieds et dans tous les trous.
Valérie m’apporte une tunique blanche ouverte des deux côtés, façon Romaine, avec une cordelette et une boucle dorée que nous enfilons.
Aux pieds nous devions mettre des espadrilles blanches.
Nous sommes prêts, j’arrive dans l’entrée pour mettre un blouson mais Valérie m’arrête et me dit de passer le kway bleu marine et le pantalon.
Surpris, j’exécute et lorsque je mets le pantalon kway, le tissu vient se coller à ma peau qui est encore un peu humide de la douche mais aussi de la chaleur que je dégage.
Valérie enfile son long imper en vinyle rouge mais je nous préfère habillé en romain.
Nous sortons discrètement de la maison pour que nos voisins ne nous voient pas.
Pendant le trajet, Valérie se caressait l’entrejambe déjà avec le tissu de l’imperméable.
Je voyais sa main tourner le tissu sur l’entrejambe.
Arrivé à un feu, je la regardais dans les yeux et elle éprouvait déjà du plaisir.
Nous n’avions pas vu que le camionneur à notre droite, était en train de mater l’action de ma femme et lorsque le feu est passé au vert, le camionneur nous a klaxonné.
Cela n’a pas empêché Valérie de continuer à se masturber.
Valérie a coupé la radio pour que je l’entende gémir.
Le spectacle m’excitait.
Elle a retroussé son imper puis la tunique, pour laisser son bas ventre à la vue de tout le monde.
Elle a attrapé l’extrémité de l’imper et elle a introduit le vinyle dans son vagin.
Cela me déconcentra complètement.
Je lui ai demandé d’arrêter car nous allions bientôt arriver.
Mon sexe commençait à bander dans le pantalon kway et il était libre de pouvoir gonfler.
Nous sommes devant un portail en fer forgé. On peut voir derrière une belle allée en gravillon bordée de thuyas.
Le portail s’ouvre et nous entrons jusque devant la maison.
Je suis rassuré, la maison est isolée et sans aucun vis-à-vis.
On va pouvoir descendre tranquillement.
L’excitation monte et Valérie ronronne en me disant « allé vient dépêche-toi ! »
Je sors aussitôt de la voiture. J’ai le pantalon kway qui est tendu par l’excitation de mon sexe.
Nous arrivons devant la porte d’entrée d’une superbe maison en colombage et toit de chaume.
Laurence nous ouvre, et comme la dernière fois elle est habillée de son imper en vinyle noir, qui est entrouvert et la même tunique que nous avons mise.
Valérie passe un pied dans la maison et Laurence l’embrasse à pleine bouche.
J’attends derrière. Dès que Valérie se dirige vers Christophe, il l’embrasse aussi sur la bouche en l’attrapant par les épaules.
J’avance et lorsque je suis venu pour embrasser Laurence sur les joues, elle m’a pris la bouche.
Cela a été très agréable, elle m’a passé en même temps une main sur le pantalon kway à l’emplacement de mon sexe.
Laurence « Alors tu aimes ? tu es déjà excité, humm…»
Moi « Oui c’est très agréable ».
Après j’arrive face à Christophe et là je ne savais pas comment le saluer ou l’embrasser.
Sans rien dire, il m’a attrapé par les épaules, puis la nuque et m’a embrassé sur la bouche.
Je ne bougeais pas. Les bras étaient le long de mon corps comme un mannequin.
Christophe s’est mis à me caresser sur le kway.
Le bruit des mains sur le tissu était agréable.
Valérie est venue au contact de nous deux pendant que nous nous embrassions.
Laurence nous a rejoint pour compléter les caresses et passer ses mains sous les vêtements.
Christophe se recule et me dit « tu aimes aussi porter un ensemble kway ? ».
Moi « hep bien oui, c’est Valérie et Laurence qui m’ont fait ce cadeau et je l’ai adopté ».
Christophe me passe une main au cul et me fait retirer la veste et le pantalon.
Laurence nous invite à visiter la maison.
Toutes les pièces sont belles. Ils ont beaucoup de goût pour la décoration.
Nous revenons dans le salon. Il y a deux grands canapés en skaï noir super brillant.
Il y a une table de salon avec une bouteille de champagne dans un seau.
Valérie s’assoit sur un des canapés et directement elle appel Christophe.
Je suis surpris je m’attendais à voir Laurence la rejoindre.
Alors Laurence m’entraine sur l’autre canapé.
Elle m’ordonne de m’allonger puis elle me chevauche pour me présenter son sexe devant la bouche.
Elle me recouvre avec son imperméable ce qui m’empêche de voir Valérie.
Alors je sors ma langue et je commence à la lécher.
Aussitôt, elle avance et recule son bassin doucement pour me donner le rythme.
Elle s’est cambrée pour me mettre son cul sur le nez.
J’entends la voie de ma femme qui dit à Christophe « oh oui vas-y, vas-y, vas-y … ».
Sans que je puisse voir quoi que ce soit, Laurence rétorque : « Pas trop vite chéri, elle se chauffe rapidement et après elle crie. Il faut qu’elle tienne toute la soirée ».
Mais comment Laurence peut savoir que ma femme allait avoir cette réaction ? mais je vais le découvrir plus tard.
Laurence se penche en avant, j’ai le visage décollé de son sexe. Avec une main je relève l’imper pour voir Valérie.
Elle est allongée sur l’autre canapé, les jambes écartées et Christophe est en train de lui masturber le sexe.
Je ne vois pas exactement ce qu’il fait, mais Valérie souffle fort.
Pendant ce temps Laurence a pris de chaque main, un lobe de ses fesses pour les écarter et elle m’a repositionné du premier coup, son anus sur mes lèvres.
Il y avait l’odeur du produit du lavement que nous avions fait avec Valérie l’après-midi.
En pleine confiance, j’ai sorti ma langue pour lui mettre à l’entrée du petit trou.
Laurence a lâché un « humm » de satisfaction.
J’ai porté un doigt à l’entrée de sa chatte.
Dès que j’ai écarté une des lèvres, j’ai senti le liquide séminal qui m’a coulé sur le menton et dans le coup.
J’ai rentré un, puis deux et trois doigts dans la fente.
Je me suis mis à tourner les doigts dans la vulve.
Ma langue continuée à lui donner du plaisir à sa rondelle.
J’entends ma belle dire à Christophe « mais vas-y ! fouille-moi bien, encore, encore !».
Mais qu’est-ce qu’il lui arrive ? Et qu’est-ce que Christophe lui fait ?
Je ne me lasse pas de lécher Laurence qui me fait savoir par ses gémissements qu’elle apprécie.
D’un seul coup, Laurence dit « êtes-vous d’accord pour qu’on échange de partenaire ? »
Visiblement Valérie et Christophe on dit « oui » car Laurence se relève et je reste la bouche entre-ouvert.
Laurence se dirige directement sur Valérie.
Christophe me rejoint, il ne bande pas encore, mais son sexe pend déjà sur le côté de la tunique.
Il me demande de me relever et de m’assoir et il vient s’assoit près de moi.
Avec sa main droite, il passe sous le tissu de la tunique et il prend ma bite qui est déjà raide.
Alors par mimétisme, j’en fait autant avec ma main gauche.
On se regarde et nous partons sur une embrassade avec la langue.
Sur le côté, je regarde les filles qui se sont mises en « 69 ».
Et c’est parti, nous sommes dans un plan génial.
Christophe me décalotte complètement le gland et pousse à fond pour me tendre la peau.
Je sursaute au premier coup. Il me dit de me laisser faire et de ne pas regarder.
Mais je ne peux pas m’en empêcher.
Il recommence plusieurs fois. Maintenant je pousse un gémissement avant qu’il arrive au bout.
Christophe « tu es stressé, laisse-toi aller à tes sensations, fais-moi confiance !».
Il arrête de me branler, retire sa main, il attrape l’imper kway qui est sur le dossier du canapé et il me le positionne à l’envers sur moi et me dit de l’enfiler par les manches. Il remonte la capuche sur le visage.
Je me retrouve avec la capuche et je ne vois plus rien.
J’entends bien et je suis obligé de m’imaginer ce qu’il se passe dans la pièce.
Laurence dit à Valérie « tu es prête maintenant pour essayer ? »
Valérie « Oui vas-y ».
Laurence « mets-toi par terre »
Christophe soulève le k-way et la tunique qui sont sur moi.
Je devine par le bruit qu’il trempe ses mains dans le seau à champagne.
Il reprend ma bite dans une main très froide.
Il me rappel de me décontracter. Mais le froid me saisit.
Il passe ses doigts autour de mon gland et il me dit « vas-y force à gonfler ton gland ! »
J’exécute sa demande. Une fois gonflé je sens qu’il me l’emprisonne avec ses doigts et serre fort.
J’ai mal, mais d’un coup je sens du froid intense sur mon gland.
J’ai deviné qu’il m’avait appliqué des glaçons sur le gland pour soulager la douleur.
J’ai crié « Waouh » …
Laurence dit à Valérie « tu entends comme mon mari est en train de faire du bien à ton homme ! Vas-y lâche toi, tu peux crier, il n’y a que nous quatre pour entendre ton plaisir »
Christophe me dit « je te prépare le gland pour que tu me ressemble et pour que tu fasses des heureuses et un heureux ! »
J’entends les grognements de Valérie et Laurence.
Ma Valérie grogne de plus en plus fort et je ne comprends pas ce qu’il lui arrive mais ses gémissements sont de plus en plus rapides.
D’un seul coup, j’entends un souffle de satisfaction et Laurence qui lui dit « Maintenant que j’ai réussi à passer ma main, la bitte de mon mari passera plus facilement ».
Christophe me retire la capuche du visage et je vois Valérie par terre à quatre pattes et Laurence qui est derrière elle avec une de ses mains, engloutie dans son vagin jusqu’à la montre.
Laurence attrape et tire sur les cheveux de Valérie pour la faire mettre en arrière.
Elle lui dit en nous regardant : « Je viens de t’ouvrir la chatte petite salope, regarde ton mari, mon mari le tien par la queue. Lorsqu’il va retirer les glaçons ton mari va te prendre par derrière »
Christophe me libère la bite. Mes yeux se pose directement sur mon gland.
Il est rouge vif et il est plus gros que d’habitude.
Christophe « vas-y, présente-toi derrière ta femme ».
Arrivé derrière elle, elle a son imper rouge relevé, Laurence a encore sa main dans le vagin.
Laurence retire sa main, je vois le sexe de Valérie dilaté et je m’accroupis pour rentrer mon sexe dans la chapelle de l’amour de ma femme.
Je pénètre doucement et sans aucune résistance, Valérie a tressailli et tremblé brusquement.
Elle me dit « c’est génial ta bite froide dans ma chatte ! »
Elle se lâche complètement et je ne l’ai jamais entendue dire des mots comme ça.
Je suis au top de l’excitation, je sens la chaleur du vagin.
J’ai l’impression d’avoir envie de gicler mais que le froid bloque.
Valérie me dit « Vas-y c’est trop bon, défonce-moi pendant que ta bite est froide, c’est génial ! ».
Christophe vient coller sa bite devant moi, en chevauchant ma femme.
Il a la bite bien raide. Je prends encore son sexe énorme en bouche.
Il m’attrape la tête à deux mains et me l’enfonce jusqu’au maximum.
Laurence est derrière moi et je la sens introduire des doigts dans le vagin en même temps que je baise Valérie.
Valérie me dit « alors, tu vas passer la deuxième vitesse ou tu attends de débander ? »
Alors je cramponne les hanches de ma femme pour donner des coups de reins plus violents et brutaux.
Christophe s’en donne à cœur joie, de me baisser la bouche dans le même rythme que je baise Valérie.
Laurence crie « Elle est entrain de gicler la chienne »
Il n’en fallait pas plus pour que Christophe me bloque la tête et me gicle dans le fond de la gorge.
J’en ai fait autant dans le fond du vagin de Valérie.
Laurence « Ne bougez pas tous les deux. Je passe sous l’entrecuisse de Valérie pour voir l’état de son minou ».
Une fois allongée entre les cuisses de Valérie, Laurence lui lèche le sexe à la limite de ma bite.
Je sens les coups de langue et Valérie gémie à nouveau.
Christophe est toujours en forme et sa bite me bloque la possibilité de parler.
Il se retire et il va se placer devant l’entre cuisse de Laurence qui est allongée sur le dos.
Il lui écarte les jambes, les relèves et présente son sexe à l’entrée de sa chatte.
Laurence était tellement excitée que Christophe l’a pénétré directement.
Elle a crié et insulté son mari d’enfoiré pour l’avoir prise directement sans lui avoir écarté les lèvres.
Christophe était donc derrière moi. J’étais toujours planté dans Valérie et je ne débandais pas. En même temps qu’il limait sa femme, il me caressait le cul.
J’ai eu comme réaction de reprendre les coups de bite dans Valérie.
Laurence en dessous, recevait les sorties de sperme.
Je nageais dans le bonheur, jusqu’au moment où Christophe m’a inséré son majeur dans le cul.
Très surpris je n’étais pas encore prêt ou plutôt assez excité.
Je recule pour me retirer du sexe de ma femme.
Laurence m’a attrapé par les couilles pour ne pas que je recul plus.
Laurence « François, viens lécher la chatte de ta femme avec moi »
Elle me fait une pipe pour prendre la dernière goute dans la bouche.
Je me penche et je me retrouve devant l’entrée encore dégoulinante.
Laurence m’aide à lécher le minou de Valérie pour récupérer le mélange de sperme et de cyprine.
Valérie pousse des cris de jouissances tout en ayant des frissonnements liés au plaisirs.
Christophe m’insulte (c’est un jeu) en me disant que je ne dois pas en perdre une seule goutte.
Il donne des coups de bites de plus en plus rapide dans Laurence.
Il se retire, s’avance et position son sexe sur le cul de ma femme pour décharger son sperme.
Aussitôt Laurence se retire de l’entre jambe de Valérie.
En se relevant elle nous dit que nous allons faire une pause mais qu’elle doit être assouvie elle aussi.
La suite au prochain au prochain chapitre.
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