Nouvelle vie d'une salope très chaude... - 1 - histoire érotique

En ce mois de janvier, la température était plus que chaude. Tous les matins avant d'aller travailler, le même rituel.
String noir, bas, jupe à mi cuisses, soutien-gorge noir, chemisier, talons aiguilles.
Malgré mon bon 90C, je trouve mes mamelles bien trop petites. Mon patron aussi d'ailleurs.
J'utilise toujours des soutiens-gorge rembourrés et souvent, j'y ajoute de quoi réhausser mes outres et les faire presque déborder de mon décolleter...
C'est dans cette tenue que je suis allée au travail, le premier jour, celui de ma rencontre avec mon patron...
J'entre dans son bureau, m'assieds. Ma jupe remonte le long de mes cuisses, laissant largement voir le haut de mes jambes, non recouvert par les bas.
Je l'entends arriver, il entre, ferme la porte et la verrouille.
"Alors Mademoiselle... Apparemment, vous êtes ma nouvelle secrétaire."
"Oui Monsieur"
"Debout !"
J'obéis, les mains dans le dos, bien cambrée, mon chemisier à la limite d'éclater.
Il tourne autour de moi et se plante devant, à quelques centimètres.
Je baisse les yeux, intimidée.
"90E ?"
"non Monsieur"
"COMMENT CA NON ?? TES OUTRES FONT DU 90E ET JE LE SAIS, TRAINEE !"
"C'est du faux, Monsieur..."
Il retourne s'asseoir.
"Explique moi ça"
"He bien... Je les trouve trop petits... Alors en attendant de pouvoir les grossir définitivement..."
"Retire ce chemisier"
"mais... Monsieur... Si quelqu'un entrait... et il y a un immeuble en face..."
"Tu oserais me dire non, petite pute ?"
Je m'exécute. Je défais un à un les boutons de mon chemisier. Je sens mes tétons durcir et dans ma tête, la même phrase revient :
*il va me baiser il va me baiser il va me baiser*
Le chemisier tombe enfin par terre. Je relève la tête. Il a ouvert son pantalon, sa queue en dépasse, déjà dure et droite sans qu'il ne la touche.
"Continue..."
Je m'apprête à défaire ma jupe mais il m'arrête d'un claquement de langue agacé.
Je dégraffe alors mon soutien-gorge. Je prends mes mamelles à pleines mains et me baisse pour tout laisser tomber sur la moquette du bureau de mon patron.
"C'est bien... Approche... Viens me montrer ses tétines... Hum... Tu pointes déjà ?"
"Je suis très sensible, Monsieur"
"Penche toi en avant que mes lèvres effleurent tes mamelles... Bien... Maintenant regarde ma queue. Qu'en penses-tu ?"
"Elle est belle, Monsieur"
"Tu la vois donc ?"
"Oui Monsieur"
"Il va falloir changer ça. Si tu me donnes satisfaction aujourd'hui, je te donnerai rendez-vous chez un de mes amis qui grossira ça"
"Ho... Merci Monsieur..."
"Tu lui demanderas un bon 90E. Tu peux demander plus mais pas moins. Je veux que tu aies des outres dignes de ce nom, compris ?"
"Oui Monsieur"
"Maintenant mets-toi à quatre pattes. Non non garde ces talons... Fais ressortir ton cul... Hum, rien à redire de ce côté-là..."
Il claque mon cul plusieurs fois.
"Remonte ta jupe sale chienne... Tends ton cul un peu... Parfait... Es-tu épilée ?"
"Non Monsieur..."
"Magnifique ! Débarasse le bureau, retire tes talons et monte dessus... Voilà... Ecarte les cuisses et montre moi cette belle chatte..."
Je vois sa queue... Elle a encore grossi... Hum...
"Tu mouilles, dis-moi ?"
"Oui Monsieur"
"Désormais tu ne porteras plus de string, ni rien. Je veux avoir tes orifices à disposition."
"Bien Monsieur"
"Viens me sucer, petite chienne..."
Il attrape ma queue de cheval et me tire les cheveux au rythme des vas et viens. Il m'enfonce sa queue dégoulinante de bave dans la gorge.
Je manque étouffer, des larmes coulent... Mais en même temps, sentir sa queue si dure dans ma gorge, me fait mouiller de plus belle.
TOC TOC TOC
"QU'EST-CE QU'IL Y A??"
"C'est Monsieur X, il vous attend Monsieur"
"J'ARRIVE ! Nettoies donc. Aller vite ! Tu vas te rhabiller et te dépêcher de remettre ta tenue en ordre, tu vas rencontrer ton chirurgien plus tôt que prévu..."
J'obéis. Je remets mon soutien-gorge, remets mes mamelles en place. Elles ont gonflé, les tétons sortent, on les distingue à travers le chemisier.
"Non, ne ferme pas ce chemisier. Je ne veux pas te voir dans ce bureau avec ne serait-ce qu'un bouton attaché !"
J'ai à peine le temps de remettre mes cheveux en place qu'un homme entre.
Le patron referme la porte derrière lui.
Le nouveau venu me reluque.
"Pas trop mal ta nouvelle chienne dis moi"
"Tu vas avoir du travail, mon ami."
"Combien ?"
"Au moins 90E"
"Oula... grand luxe"
"Monsieur... ?"
"Qu'est-ce que tu veux, toi ?"
"Je me demandais, comme vous avez dit 'au moins' 90E... Si on pouvait faire plus ?"
"Tu voudrais combien ?"
"90F voire plus"
"Qu'en dis-tu ?"
"Alors tu ne porteras ni string ni soutien-gorge. Je veux pouvoir contempler ces merveilles. Tu me fais quelque chose de bien, hein ?"
"Comme si j'avais l'habitude de bâcler mon travail !"
"Je reviendrai après-demain pour prendre ses mesures. A bientôt, mon cher"
"Au revoir, au plaisir ! Bien maintenant, toi, dégage. Je ne veux pas te voir d'ici après-demain !"
"Bien Monsieur, à bientôt"









Dites-moi si vous voulez la suite ;) je serai ravie de lire vos impressions ;)