nu au soleil, histoire inattendue & sans paroles (trop occupé!)
Récit érotique écrit par Nusurlaplage [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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nu au soleil, histoire inattendue & sans paroles (trop occupé!)
Ce jour là, il faisait très beau & chaud, elle m'a proposé de passer la journée au bord de la mer. Parasol, glacière, et tout le matériel dans le coffre. Je trouvais l'idée un peu banale, mais elle était clairement et totalement amoureuse, et le projet venait d'elle. J'ai cédé, bien que glacière & parasol, clairement m'emmerdaient. Sans compter les kilomètres.
En outre, j'aurais préféré notre sieste coquine, au lit ou au jardin, suivant la présence des voisins (pour ma part, j'aimais que la voisine jette un coup œil à sa fenêtre, ou que - risque ou chance - cela puisse arriver.).
Nous voilà donc partis.
Arrivés sur place, plage déserte. Début de saison.
Cela faisait longtemps que j'avais envie d'être nu sur une plage, sentir le vent et le soleil sur tout mon corps. Me baigner nu.
Mais je n'osais pas.
Une fois les sandwichs avalés, je lui ai proposé de rejoindre l'abri de la dune, pour me mettre à l'aise, sans choquer le voisinage, peu nombreux, mais néanmoins présent.
Elle ne souhaitait pas se mettre nue, mais comprenait mon désir, qui ne la gênait pas, et correspondait à nos pratiques intimes.
Trois pages de mots croisés plus tard, je m'endormais. J'étais dans cette sorte de léthargie, mi-endormi, mi-conscient, qui caractérise les siestes d'été.
Soudain, j'ai senti une main qui s'emparait de ma bite, accompagnées (les mains, pas la bite, j'en ai qu'une) par des lèvres gourmandes.
Je connaissais son appétit pour cet acte sensuel. Mais je n'avais pas imaginé une seule seconde que cela pourrait se produire en ces circonstances, où nous aurions pu être surpris.
Son unique question a été : "Que vas-tu faire de ton foutre ?" (Elle n'avalait pas).
Mais nous avions des serviettes de bain, et la question était incongrue.
Je pensais plus au risque que nous puissions être surpris.
Elle m'a royalement sucé, et j'ai abondamment éjaculé, autant que j'ai joui. Peut-être, précisément, parce que le risque d'être vus était réel.
Elle était elle-même dans cet état d'extase qui fait suite à l'amour accompli.
La jouissance d'une femme qui prend la décision de se faire plaisir en prenant l'initiative. Qui fait pour elle, parce qu'elle en a envie, et qui va au bout de son désir. Et qui sait donner et avoir donné du plaisir.
Puis, nous avons fait un tendre câlin et repris nos mots croisés.
Puis, nous relevant pour rejoindre la mer, nous avons aperçu nos voisins.
Un vieux couple. Elle tricotait, sagement vêtue, et lui, l'air indifférent, promenait ses yeux partout où il espérait voir tout ce que sa femme lui interdisait.
Putain ! Quel pied ! Je n'ai regretté ni la glacière, ni le parasol, et encore moins les kilomètres.
En outre, j'aurais préféré notre sieste coquine, au lit ou au jardin, suivant la présence des voisins (pour ma part, j'aimais que la voisine jette un coup œil à sa fenêtre, ou que - risque ou chance - cela puisse arriver.).
Nous voilà donc partis.
Arrivés sur place, plage déserte. Début de saison.
Cela faisait longtemps que j'avais envie d'être nu sur une plage, sentir le vent et le soleil sur tout mon corps. Me baigner nu.
Mais je n'osais pas.
Une fois les sandwichs avalés, je lui ai proposé de rejoindre l'abri de la dune, pour me mettre à l'aise, sans choquer le voisinage, peu nombreux, mais néanmoins présent.
Elle ne souhaitait pas se mettre nue, mais comprenait mon désir, qui ne la gênait pas, et correspondait à nos pratiques intimes.
Trois pages de mots croisés plus tard, je m'endormais. J'étais dans cette sorte de léthargie, mi-endormi, mi-conscient, qui caractérise les siestes d'été.
Soudain, j'ai senti une main qui s'emparait de ma bite, accompagnées (les mains, pas la bite, j'en ai qu'une) par des lèvres gourmandes.
Je connaissais son appétit pour cet acte sensuel. Mais je n'avais pas imaginé une seule seconde que cela pourrait se produire en ces circonstances, où nous aurions pu être surpris.
Son unique question a été : "Que vas-tu faire de ton foutre ?" (Elle n'avalait pas).
Mais nous avions des serviettes de bain, et la question était incongrue.
Je pensais plus au risque que nous puissions être surpris.
Elle m'a royalement sucé, et j'ai abondamment éjaculé, autant que j'ai joui. Peut-être, précisément, parce que le risque d'être vus était réel.
Elle était elle-même dans cet état d'extase qui fait suite à l'amour accompli.
La jouissance d'une femme qui prend la décision de se faire plaisir en prenant l'initiative. Qui fait pour elle, parce qu'elle en a envie, et qui va au bout de son désir. Et qui sait donner et avoir donné du plaisir.
Puis, nous avons fait un tendre câlin et repris nos mots croisés.
Puis, nous relevant pour rejoindre la mer, nous avons aperçu nos voisins.
Un vieux couple. Elle tricotait, sagement vêtue, et lui, l'air indifférent, promenait ses yeux partout où il espérait voir tout ce que sa femme lui interdisait.
Putain ! Quel pied ! Je n'ai regretté ni la glacière, ni le parasol, et encore moins les kilomètres.
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