Nuit d'amour avec une amie
Récit érotique écrit par Aurélie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2005 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Nuit d'amour avec une amie
Je vais vous raconter une histoire vraie qui m’est arrivée quand j’avais 16 ans. J’étais partie ce soir-là pour dormir pour la première fois chez Johana, une amie que je m’étais faite il y a peu de temps. Elle était blonde, extrêmement jolie et très mûre physiquement, et je dois dire qu’elle ne me laissait pas indifférente malgré mon attirance plutôt pour les hommes. Nous passâmes une excellente soirée, et il était près de 1 heure du matin lorsque nous allâmes nous coucher. Quelle ne fut pas ma surprise quand je la vis se déshabiller entièrement devant moi avant de se mettre au lit. Voyant que je la regardais d’un air perturbé et probablement stupide, elle me demanda ce qui n’allait pas. Je lui expliquai que je n’avais pas pour habitude de dormir nue et que ça me gênait un peu, quelle s’offre ainsi à ma vue, d’autant plus que nous allions dormir dans le même lit et être en contact. Pourtant, d’un autre côté, cette perspective ne me déplaisait pas et c’est pourquoi quand elle me proposa de se rhabiller, je lui dit que non, ce n’était rien, et je me couchai rapidement près d’elle, effleurant au passage sa poitrine généreuse. La nuit se passa normalement, a part que quand je me réveillai, je me rendis compte que j’avais dormi une main sur son sein droit, vautrée auprès d’elle. Je m’éloignai rapidement et la regardai dormir, belle qu’elle était dans sa plus parfaite nudité, j’avais envie de la toucher mais je me retins, ne sachant pas quoi lui dire si elle se réveillait. Quelques minutes plus tard, ses yeux s’ouvrirent et elle sorti du lit, toujours nue, et sans aucune pudeur, se mit tranquillement à me parler, puis elle s’habilla. La journée se passa bien, et comme je n’avais pas vraiment envie de repartir et que ses parents étaient absents, nous décidâmes de passer une seconde nuit ensemble. Il était plus tôt ce soir là quand nous allâmes nous coucher, et comme nous n’étions pas fatigués, Johanna alluma la tv et commença à zapper. Elle s’arrêta sur un porno et me demanda d’un air amusé si je voulais regarder. Je lui dis que oui, je n’avais jamais vu que des films érotiques et je me dis que cela pourrait être instructif. Comme le soir précédant, elle se déshabilla entièrement et se glissa dans les draps près de moi, toujours habillée de ma petite culotte et de mon haut, assez court mais assez long pour couvrir entièrement mes modestes seins. D’abord amusée par le spectacle d’un homme assez bien membré offrant son sexe en friandise à une rousse pulpeuse, je commençai bientôt à ressentir des sensations dans la zone de mon vagin. Sans vraiment réfléchir à se que je faisais, je portai ma main à ma culotte et je remarquai qu’elle était devenue humide. Un peu gênée, je le dit à mon amie qui m’expliqua que c’était normal, et que je ferais mieux de l’enlever avant que cela n’empire pour la laisser sécher. Me disant qu’elle avait sans doute raison, mais un peu honteuse, je fit glisser ma culotte le long de mes jambes et l’enlevai pour la jeter au fond de la pièce. Exposé à l’air libre, mon petit clitoris était maintenant plus humide que jamais et je ressentais de plus en plus l’envie de le caresser, de le frotter, et je commençai à éprouver un irrésistible de toucher ma campagne. Je la regardai et vit qu’elle avait entré deux doigts dans son vagin, et j’entendis de bruit de succion de ses va et viens. Je lui demandais ce qu’elle faisait, elle me répondit qu’elle se masturbait et sembla surprise quand je lui avouai que je n’avais jamais essayé. Sans me demander mon avis, elle prit ma main et la fit glisser le long de mes jambes pour finalement atteindre mon clitoris que, guidé par mon amie, mon doigt se mit à caresser, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Une sensation irrésistible monta en moi, j’éprouvai un plaisir que je n’avais jamais éprouvé auparavant, et sans vraiment y réfléchir, j’embrassai fougueusement mon amie. Celle-ci parut d’abord surprise, et j’eut peur que ce geste irréfléchi ne déclenche une révulsion de sa part, mais celle-ci me rendit bientôt mon baisé. Le sien fut infiniment plus tendre, notre salive se mélangea et nos langues se caressèrent. Sans cesser de m’embrasser, Johana écarta ma main de mon vagin pour se mettre a me caresser elle-même, puis elle introduit deux doigts dans ma petite fente ruisselante et se mit à faire des va et viens comme elle l’avait fait pour elle. Sans réfléchir à ce que je faisais, ma main se porta à son petit clito et je me mis à mon tour à le caresser. Je su immédiatement que c’était ce qu’elle attendait car elle se mit à m’embrasser plus langoureusement. Nous restâmes ainsi de long minutes à nous embrasser et à nous caresser plus longuement, sa chatte devenait de plus en plus humide et je supposais qu’il devait en être de même de la mienne. Elle ne s’arrêta que le temps de m’enlever mon top qui commençait sérieusement à me gêner pour reprendre de plus belle, tout en me malaxant le sein gauche de sa main libre. Je lui étais totalement offerte, elle aurait pu me faire n’importe quoi, je l’aurais laissé faire, l’implorant même d’aller plus loin. Au bout d’un temps pourtant elle arrêta de m’embrasser et lâcha mes parties intimes. Je m’apprêtais à protester lorsque je la vis se pencher pour se retrouver en face de mon vagin. Le bonheur fut total quand elle se mit à me lécher le clitoris et à aspirer mon jus d’amour. C’était le plaisir à l’état pur, jamais l’on aurait pu me faire de plus beau cadeau. Je laissai échapper de petits cris de plaisir qui encouragèrent mon amie me pénétrer plus profondément avec sa langue, me faisant approcher de l’orgasme dont tant de mes amies dépucelées m’avaient parlées mais dont je n’avais aucune idée de la nature. Quelques secondes plus tard, je l’atteins enfin dans un dernier cris de jouissance et m’évanoui. Je ne me réveillai que le lendemain, dans les bras de Johana, mais cette fois, je ne fis rien pour m’en écarter. Lorsque mon amie se réveilla, elle me sourit et m’embrassa a nouveau tendrement. Ne voyant aucune raison de nous habiller, nous passâmes la journée entièrement nues, nous livrant à de multiples petits jeux sexuels. Aujourd’hui j’ai 35 ans. Johana et moi vivons ensemble, heureuses, et parfaitement satisfaites sexuellement. Cette nuit fut une révélation pour moi, révélation de mon corps et de mon homosexualité, et je ne regrette rien.
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