Nuit de Janvier - Chienne

- Par l'auteur HDS Vésuvia99 -
Récit érotique écrit par Vésuvia99 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Nuit de Janvier - Chienne Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Nuit de Janvier - Chienne
Il est tard, le couvre feu est effectif depuis déjà deux heures, mais je t’ai demandé de m’attendre à ce numéro, dans cette rue près de chez moi, pour des préliminaires sous un froid hivernal.
Nous ne nous sommes pas vus depuis deux mois. J’ai voulu te faire une belle surprise, j’ai pris un malin plaisir à l’imaginer. Imaginer se dresser ta belle queue, qui n’appartient qu’à moi, une fois que je peux la saisir bien en bouche.
Je t’ai donné rendez-vous et demandé de m’attendre à ce numéro devant la porte, et de ne te retourner sous aucun prétexte, même à mon arrivée. Je ne t’ai précisé qu’une chose : ce qui se passera ce soir n’impliquera que nous deux.

Tu viens de m’envoyer le texto disant que tu es arrivé. Je t’attendais dans une rue perpendiculaire. Je te vois de dos, la rue est déserte. Je viens vers toi à pas lent, me glisse dans le noir, tu restes immobile suivant mes consignes.
Arrivée derrière toi, je me place prêt de ton oreille, mon visage collé à tes cheveux, pour prendre ton emprunte, ton odeur, te demander avec ironie si tu vas bien. Ta réponse est laconique, tu attends, c’est très bien. Je déroule de mon cou une écharpe et viens la placer sur tes yeux. Une fois bien attachée, je prends ton visage entre mes mains et te demande si tu me vois. Tu me réponds que non, mais pour m’en assurer je recule d’un pas et adopte une positon obscène en pleine rue pour juger de ta réaction. Zéro. Tu es simplement là, le visage légèrement relevé, attentif pour capter d’éventuels sons et moi … j’ai une attitude de vraie salope.

Je prends ta main, et nous commençons à avancer, je sens tes pas hésitants, d’autant que tu n’as pas l’habitude de perdre le contrôle, de te livrer à ce genre de jeux. Au fond, je t’en suis reconnaissante, je veux t’apaiser. Je prends les choses avec légèreté, main dans la main nous avançons, et je fais balancer nos bras comme si nous étions enfants. Tu frôles un rétroviseur de voiture que tu manques de te prendre dans la hanche, tu as eu peur, pour si peu, mais nous rigolons tous deux.
Nous continuons, marchons au hasard des petites rues de ce quartier ancien. Je sens tes pas moins hésitants et ta confiance grandir.

- « Tu sais il y a une petite ruelle devant laquelle je passe presque tous les jours, je ne sais pas combien de fois j’ai imaginé que tu me prenais là ?… Elle s’y prêterait si bien ! Une ruelle pour les petites chienne comme moi qui rêvent de se faire prendre dans la rue…  T’aimerais me prendre dans la rue ? »
Je parle normalement, j’aimerais que tu imagines qu’un passant puisse m’entendre dire cela.
-  « Oh oui j’aimerais  » réponds tu à voix basse.
Nous continuons de marcher, main dans la main.
- « Viens on va s’asseoir sur ce banc pour une petite pause. La rue n’est pas très passante, mais j’espère qu’on ne va pas de se faire contrôler par les flics.
Franchement je ne pense pas être contaminée, même si j’ai la sensation d’être beaucoup plus chaude depuis le début de l’après midi… Je sais que je vais te voir alors... »
Je miaule comme une chatte en chaleur, je me frotte à lui et pose ma main sur son jean.

« Tu pourrais prendre ma température entre mes cuisses comme je ne porte rien sous ma robe. Tu pourrais caresser ma chatte et me dire ce que t’en penses ? »
J’attends, et laisse sa main venir à moi, se poser sur ma cuisse pour soulever ma robe jusqu’à mes mes bas.
- «intéressant … t’as pas peur d’avoir froid ? » dit-il
Il écarte mes cuisses, il me sait ouverte sur ce banc, il remonte sa main, à peine arriver à l’entre-jambe, je la retire.
- « Attend ! plus tard. Je ne suis pas sûre d’être vraiment prête et y’a un mec qui vient de passer dans la rue d’en face ! »
Il n’a pas l’air très inquiété par ce que je lui dis et tente de reprendre son exploration.
« NON !! T’as pas l’air de savoir suivre les consignes qu’on te donne ! Je ne vais rien pouvoir faire de toi si tu ne sais pas obéir !»
J’insère deux doigts dans sa bouche.
«  Tu vois ces doigts ? Tu vas bien les lécher et c’est MOI qui vais les introduire dans ma chatte. Si tu es sage je te les ferai goûter... Je veux voir de la mouille ton visage. »
Je le caresse, puis ma main descend rapidement jusqu’à ma chatte, j’insère mes doigts bien au fond, les fais bouger tout en laissant échapper quelques gémissements, pour qu’ils parviennent à ses oreilles, lui a toujours les yeux bandés.
Il est si beau dans la nuit froide.
Je sors et me caresse pour que ma main soit bien humide et chaude, imprégnée, et doucement je m’approche de son visage, deux doigts vers sa bouche. Il ne voit pas, mais sent ce qu’il faut faire, et attrape mes doigts et les lèche docilement. Ma main se perd sur visage, et le fait de le souiller avec ma mouille m’excite beaucoup.
Je l’embrasse à nouveau. Il en profite alors pour descendre et saisir mes fesses. Ses doigts s’introduisent rapidement dans mes deux orifices, ce qui me surprend. Moi même je le touche à travers son jean et je sens sa bite bien dure, bien droite.
- « T’aimes ça ? », « Tu la veux ? » dit-il
-  « oui ...» je soupire. il me connaît. Il sait comment je suis habituellement, comme je sais bien me soumettre, il essaie de retourner la situation. J’en profite encore un instant, c’est si bon, il me sent chienne, et ses doigts en moi … pourraient me faire fléchir… mais Il ne faut pas !
Soudainement je retire sa main, me recule, et prends une demi seconde pour réfléchir et retrouver mes esprits. Ce qui me vient en premier, c’est le saisir par l’écharpe qui pend derrière sa nuque, et serrer fort autour de son cou pour le maintenir, et qu’il comprenne !

-  « T’es content ! Tu fais n’importe quoi ! T’es comme un animal, tu sais pas te tenir !Tu voudrais me baiser en pleine rue  sur un banc c’est ça! Et si tu donnes envie à un passant ! à quelqu’un qui nous regarde à sa fenêtre ! Tu crois que t’es le seul à vouloir de mon cul ?
- « Non, je ne pense pas »
Silence.
-« Tu vas venir avec moi et me baiser dans cette ruelle .»
Je le prends énergiquement par la main et nous avançons jusqu’à cette fameuse ruelle, qui est en fait un passage voûté. Je le colle au mur, et je l’embrasse vigoureusement.
- « Voilà, nous y sommes, maintenant, fais de moi ta petite chienne, ta petite pute des rues, tu sais comme j’aime ta queue de toute façon ! ».
Après avoir fourré sa langue dans ma bouche, il trouve le chemin jusqu’à ma chatte et enfonce ses doigts en moi, il me soulève presque, comme pour me punir de les avoir si soudainement retirés tout à l’heure. Je m’accroche à lui comme une moule à son rocher, et il me plaque contre le mur d’en face.
-  «  j’en peux plus de tes manières, tu m’as prise pour ton jouet ! t’es contente de toi ! Je vais pas te fesser là, mais quand on sera chez toi, tu vas sentir mes mains sur tes fesses, tu vas bien couiner… tu couines déjà en fait, comme une petite sss… putain, qui veut ma bite »
Je suis à la fois livide et excitée, l’écharpe à glisser de ses yeux, nos fronts sont collés l’un à l’autre. Il lit dans mes yeux la peur de crier trop fort à cause de ses doigts qu’ils s’agitent toujours en moi. Je sens toute sa tension, sa colère presque, tout ce que ce jeu à fait monter en lui et qui doit redescendre.
Il s’arrête, lèche mon visage, mes lèvres, il place ses mains autour de mon cou mais ne serre pas. Ce n’est pas la peine, mon regard lui appartient à cet instant, il y lit ce dont il a besoin, c’est tout ce qui importe. Nous sommes toujours collés l’un à l’autre, dans une lutte entre désir et violence.

Il me retourne, baisse un peu son pantalon, me prend rapidement, enfonce son sexe, il fait froid, nous savons que ce n’est pas l’idéal pour une bonne baise comme on les aime. Raison de plus pour me punir de l’avoir traîner là, de l’avoir poussé dans ses retranchements, obligé de me baiser, obliger de me la mettre bien profond. Ca ne dure que quelques minutes, on en profite à fond !

Nous redescendons tous les deux, et nous serrons l’un contre l’autre, il se rhabille vaguement et allons jusqu’à chez moi. Mon appartement n’est qu’à une minute ou deux, dans ces maisons de plusieurs siècles.
On passe une première porte, elle se referme, il fait encore noir dans le couloir et nous n’allumons pas la lumière. Sécurité retrouvée, chaleur, nous sommes saisit, et une effusion de tendresse s’empare de nous. On a en besoin. L’ambiance se réchauffe et je sens sa main jouer de plus en plus avec mes cheveux. Elle finit par s’y enrouler complètement, il me tient, je le suis dans le couloir.
Nous savons qu’à notre arrivée dans mon appartement, je n’aurai qu’à me mettre à genoux.

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