Offerte épisode 3
Récit érotique écrit par Louis P [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Offerte épisode 3
A genoux et nue devant moi, Sophie se jeta sur mon sexe, le lécha ainsi que mes boules, avec une grande vigueur.
Avec sa main elle me branlait d’une façon énergique, tentant de m’exciter au plus vite, ce qui ne fut pas long.
A peine mon sexe dressé, elle l’avala aussitôt au plus profond de sa gorge, faisant des va et vient d’une grande amplitude
Sa fellation devenait complètement hystérique, guidée par la volonté d’éviter l’humiliation, mais aussi, elle me l’avoua plus tard, par une excitation totalement incontrôlable.
Afin d’ajouter encore un peu de piment à la scène j’indiquais le temps toute les 30 secondes, forçant Sophie à redoubler d’efforts.
Passé la barre des 2 minutes, Sophie tentât le tout pour le tout.
Elle se mit à ponctuer sa fellation en m’excitant par la parole, à intervalles courts et réguliers : « je suis à toi », « je t’appartiens », « prend ma bouche tant que tu veux »…
Une arme à double tranchant car la vidéo n’en devenait que plus coriace pour elle.
Mais ce dernier effort eu pour but de m’exciter terriblement, je cédai et me vida 15 secondes avant la fin des 3 minutes, évitant à Sophie l’envoi du MMS.
Sophie avala entièrement mon sperme et s’écroula à terre comme un sportif qui franchit une ligne d’arrivée.
Elle mit quelques instants à revenir à la réalité.
Puis elle me regarda assez inquiète.
_ Alors combien de temps ?
_ Lèves toi
Sophie se dressa devant moi, attendu le résultat comme un prévenu attend son verdict.
Je pris mon temps.
_ Sil te plait, dis moi combien de temps j’ai mis
_ A-t-on avis ?
_ Je n’avais plus la notion du temps, mais je ne dois pas être très loin.
_ Effectivement tu as réussi à 15 secondes près, une sacrée performance pour une fille qui n’aimait pas sucer.
Le visage de Sophie se décrispa immédiatement.
_ Je te félicite, je vais envoyer le MMS à pierre, il se fera une petite idée de ce qu’on peut obtenir de toi…
Je vis Sophie un peu contrariée, mais elle n’osa rien dire.
Nue, devant moi, elle poussa un timide : « que dois-je faire maintenant ? »
« Suis, moi » Je l’emmenai jusqu'à ma chambre.
En arrivant dans la pièce Sophie se mit directement sur le lit.
_ Je ne t’ai pas dis de t’asseoir, lève toi.
Sophie se leva immédiatement.
_ Tu vas mettre tes 2 mains contre le mur, penche toi et écarte un peu tes jambes.
Voila très bien !
De ma main droite, je commençai à la caresser et fouiller son intimité.
Sa chatte était trempée.
_ Décidemment tu es une vraie salope.
_ Oui, prend moi !
_ T’inquiète tu vas y passer, mais avant, tu vas m’attendre bien sagement dans cette position, je vais installer la caméra, j’ai promis un beau spectacle à Pierre.
En me regardant installer la caméra, Sophie fit un léger mouvement avec sa jambe droite.
_ Qu’est que je t’ai dis ? Dis-je d’une voix assez forte.
_ Euh… d’attendre sans bouger.
_ Je vais être clair si tu décolles à peine un de tes jolis pieds du sol ou tes mains du mur sans que je te l’ai demandé : c’est une punition, compris.
_oui, fit elle d’une voie timide.
Je pris largement mon temps pour installer la caméra, laissant mijoter Sophie immobile les jambes écartées
Au bout d’un long ¼ d’heure je m’allongeai sur le lit, admirant Sophie de dos dans cette position indécente.
Je pris alors une télécommande et fit automatiquement lever tous les stores de ma chambre.
Le mur sur lequel Sophie était en position était une grande verrière.
Sophie voyant le store monter jusqu’au plafond, recula immédiatement, voulant protéger sa nudité des vis-à-vis potentielles.
_que fais tu Sophie ?
_ Les voisins peuvent nous voir, dit elle un peu paniquée…
_ Et alors ?! Je t’avais dis de ne pas bouger, remet toi immédiatement en positon, dépêche toi, tu seras sévèrement punie pour avoir désobéit.
_ Sophie, résignée, s’exécuta.
_cambre toi plus petite salope ! Sophie, soumise, creusa son dos à l’extrême
Je vins me placer derrière elle et la pénétra violement. Je la limai un long moment sans lui dire le moindre mot. Lui pinçant par moment légèrement la pointe de ses seins.
Elle entra dans une excitation très forte.
A ce moment là je me retirai.
Je pris ses cheveux de la main gauche et lui tira d’un coup sec en arrière.
_ Qu’est ce que je t’avais dit ? Pourquoi as-tu désobéis ?
_ J’ai eu peur qu’on me voit nue.
_ Tu me déçois
_ Par pitié cela a été un réflexe, je ne voulais pas désobéir
_ peu importe tu vas recevoir ta punition… et tout de suite
_ Comme vous voudrez maître
_ Tu vas regretter ton geste, met toi à quatre pattes, lui dis je en montrant le lit.
Sophie alla se placer immédiatement dans la position demandée au centre du lit.
Je sortis 2 paires de menottes d’un tiroir et lui attacha pieds et mains.
Sophie ne devenait guère libre de ses mouvements.
_ Bien, je vais te dresser, lui dis je en faisant parcourir ma main de la nuque jusqu’à ses fesses.
Sophie attendais silencieuse et immobile sa sentence.
Je sorti une cravache d’un tiroir.
Voyant l’objet elle se dressa aussitôt et se mis assise sur le lit malgré les menottes.
_ Elle m’implora ; « non s’il te plait je ne supporterai pas ».
_ Tu as le choix : soit je te ramène à Pierre immédiatement, soit tu acceptes et je ne veux plus t’entendre.
Je sentis Sophie perdue et très hésitante. Sans un mot elle se plaça à nouveau à 4 pattes sur le lit, les fesses offertes.
_ Je suis à toi, dit-elle d’une voix tremblante.
_ Donc…
_ J’accepte la punition, je la mérite
_ Très bien
A ce moment là, très excité, je commençai à jouer encore davantage avec elle.
Je m’amusai à faire glisser la pointe en cuir de la cravache sur tout son corps, allant des pieds à la tête, provoquant des frissons sur le moindre centimètre de sa peau, sentant l’excitation s’emparer grandement de ma soumise.
Sophie, pour cette première, je te laisse fixer toi-même le nombre de coup de cravaches que tu mérites, choisi entre 1 et 10.
_ …
_ Alors…
_ 10… je mérite 10 coups, fis-elle déterminée
Je lui administrais le nombre de coup demandé, vers le 8 ème coup ses yeux furent au bord des larmes, mais elle ne céda pas.
La sanction terminée, je la pénétrai avec vigueur.
Je ne lui épargnais aucuns trous, la forçant à me sucer après chaque sodomie.
Nous avons jouit quasi simultanément.
Je lui détachais alors ses menottes.
Sophie s’endormit dans mes bras, m’avouant qu’elle n’avait jamais pris un tel plaisir.
Le lendemain matin je me leva avant elle, faisant attention de ne pas la réveiller.
A son réveil, je lui apportai son petit déjeuner au lit, ce qui ne manqua pas de la surprendre étant donné son statut.
Fais comme chez toi, si tu veux prendre ta douche je t’ai sorti des linges, mais ne traine pas trop j’aimerais aller au marché.
Je t’autorise à porter des sous vêtements.
Sophie ne s’attendait pas à un tel programme à son réveil.
Après avoir arpenté longuement les allées étroites de ce marché parisien, nous nous sommes posé dans une brasserie.
Durant ce long moment je ne témoignai d’aucune forme de domination envers elle.
Nous avons consommé plusieurs verres, profitant des rayons de soleil qui irriguaient la terrasse.
Au moment de régler la note, je pris la main de Sophie.
Je commençai à lui caresser délicatement l’avant bras.
Elle comprit immédiatement que notre jeu allait reprendre.
_ Sophie nous allons rentrer à l’appartement, j’ai bien l’intention de largement abuser de toi cet après midi. Avant je souhaite que tu ailles dans les toilettes et que tu retires ta culotte, il est hors de question que tu rentres chez moi en étant si peu accessible.
_ Sophie s’exécuta et revint assez rapidement me tendant discrètement l’étoffe de tissu.
Nous avons marché une dizaine de minutes jusqu'à chez moi, je ne lui ai pas adressé la parole.
A peine arrivée à l’appartement j’ai embrassé Sophie fougueusement, parcourant tout son corps avec mes mains.
Mais très rapidement l’interphone se mit à sonner.
_ Sophie se figea : tu attends quelqu’un ?
_ Non ce n’est pas du tout prévu, je peux te l’assurer.
J’allai répondre, c’était Alex, un copain du golf.
Il connaissait un peu Sophie, mais fréquentait davantage Pierre avec qui nous faisions quelques parcours ensemble.
.En arrivant dans l’appartement, Alex fut assez surpris de nous voir les 2, j’improvisai : « tu connais Sophie, la femme de Pierre, je les ai invité à manger, Pierre n’est pas encore arrivée il aide son frère à déménager »
Alex ne posa pas de questions, et me dit qu’il ne savait pas que j’avais des invités, qu’il ne voulait pas déranger, il était sur le point de repartir.
_ Non tu vas bien rester au moins boire un verre, comme ça peut être que tu verras Pierre il ne devrait pas tarder.
Sophie m’envoya un regard désapprobateur, visiblement très dérangée par la présence d’Alex.
Je savais que Sophie n’appréciait guère Alex, ayant même tendance à le mépriser.
Nous sommes passé au salon, Alex racontait sa partie de golf, Sophie, elle semblait très héritée par sa présence, ne lui adressant pas la parole.
De mon coté, la situation me donnait de plus en plus d’idées.
A bout d’un long moment, Alex interrompit le fil de son monologue : « mais, au fait Pierre, tarde à arriver ? »
_ Effectivement, Alex, en fait Pierre ne viendra pas avant ce soir. Sophie n’est pas ici pour un dîner, mais pour bien d’autres choses… Sophie tu peux lui expliquer s’il te plait ?
Sophie se décomposa au son de ma question.
Je la relançai : « Sophie nous t’écoutons… »
Sophie était pétrifiée, d’un geste lent et tremblant elle posa son verre sur la table du salon.
Alex nous regardait interloqué
Après un silence, elle se lança la voie tremblante :
_ Euh euh.. En fait, en fait, je suis là car… car… car…
_ Car… quoi ? fis je d’un ton autoritaire
_ Je… je… je suis ici depuis hier soir, et depuis hier je suis soumise à Louis.
Sophie se prit la tête dans les mains rouge de honte, ses yeux au bord des larmes.
_ C’est à dire Sophie, je suis sur qu’Alex veut un peu plus d’explications, et regardes nous quand tu parles.
_ Donc, donc…, je…, je suis soumise à Louis, je suis son esclave sexuelle, je dois faire tout ce qu’il me demande, je je ..
Sophie ne pu continuer sa phrase.
Un long silence pesa dans la pièce.
_ Alex pris la parole : et elle fait tout ce que tu lui demandes ?
_ Bien sur, jusqu’ici elle est très obéissante
_ Tu as vraiment de la chance, en plus cette salope est vraiment bien gaulée.
Assise dans son fauteuil, Sophie regardait le sol, essayant d’échapper aux regards vicieux d’Alex.
_ Alex reprit : tu peux lui demander de se lever, qu’on voit ses grandes jambes.
_ Évidemment, Sophie tu as entendu ? Lève-toi
_ résignée Sophie se leva, ses genoux tremblaient encore.
_ Bien, approches toi, dit Alex.
Sophie resta immobile refusant d’obéir à Alex.
_ Tu as compris Sophie ? Fais ce qu’on te demande.
Elle s’approcha alors d’un pas lent, venant se positionner juste devant lui.
Alex était assis assez bas dans le canapé, sa tête se situant environ à hauteur des cuisses de la jeune femme.
D’un geste lent il se saisit du genou gauche de Sophie, commençant à le caresser.
_ écarte un peu tes jambes.
Sophie s’exécuta rapidement
Alex continua de parcourir les jambes, rapidement son bras disparut sous la jupe, montant lentement vers son intimité
Sophie ne pu retenir une larme.
Je la vis faire un léger mouvement de bassin au moment ou Alex atteignit sa croupe.
_ Mais cette salope n’a pas de culotte ?
_ Non cela lui est interdit, tu conviendras que c’est plus pratique.
_ effectivement me répondit Alex, visiblement en la doigtant, …cette petite pute est trempée !
_ Oui, c’est une fille facile !
Sophie semblait à la fois au bord de la rupture, obligé de se soumettre à cet homme pour lequel elle n’avait aucune attirance, mais en même temps très excitée par la situation.
_ J’aimerais jouer un peu avec ses seins maintenant, tu m’autorises
_ Bien sur tu peux disposer d’elle comme bon te semble, tu as compris Sophie ?
_ Oui, fis t’elle d’une voix inaudible
_ JE N’AI PAS ENTENDU SOPHIE !?
_ Oui, il peut disposer de mon corps à sa guise.
_ Très bien !
Alex se leva, la regardant d’un regard gourmand.
_ Enlève ta chemise
Sophie s’exécuta, dévoilant ses superbes seins.
_ Quelle paire !
Alex, se mit à caresser les 2 mamelons de façon frénétique, puis lécha chaque sein avec sa langue, s’amusant parfois à mordiller les tétons dressées de sa victime, lui arrachant quelques petits cris.
_ Tes seins sont délicieux ! bien, maintenant je veux te voir à poil, enlève cette jupe.
Sophie recula de plusieurs pas, semblant refuser cet ordre trop humiliant.
_ déshabille toi salope ! Répéta Alex en la regardant sévèrement.
Rouge de honte Sophie baissa sa jupe
_ ouaouh, elle est vraiment bien gaulée cette pute, fais un tour sur toi-même que je t’admire.
Quel cul !
_ Tu sais que je me suis déjà branlé en pensant à toi ?
Sophie très gênée n’osa répondre.
_ Et ben aujourd’hui c’est toi qui va me branler.
Alex sortit de son pantalon son énorme sexe dressé.
La situation devenait terriblement excitante, de mon coté j’avais du mal à me contenir, mais très heureux de filmer cette scène si intense.
La soumise pris la queue d’Alex en main, s’appliquant à branler de son mieux son nouveau maître.
_oh putain que c’est boooonn, aaaaaaahhhh… je veux ta bouche maintenant !
A genoux, Sophie pris en bouche ce gros membre, soumise à satisfaire Alex.
_ Ah quelle suceuse…, quelle pute…, à ce moment il appuya sur la tête de Sophie, lui baisant littéralement la bouche, lui infligeant plusieurs gorges profondes.
_ Bien je pense que Louis à envie de se faire sucer aussi, dépêche toi d’aller le pomper.
Sophie, à quatre pattes vint immédiatement me sucer, sans doute soulagé de se débarrasser d’Alex
De courte durée… car rapidement il se positionna derrière elle, la pénétrant vigoureusement.
Nous l’avons baisé ainsi pendant une quinzaine de minutes avant de jouir en elle pratiquement en même temps.
J’ai ensuite invité Alex a mangé, nous avons exigé de Sophie qu’elle fasse le service nue.
Nous avons fais traîner le repas, exigeant par 2 fois que Sophie passe sous la table.
Avant de partir, Alex m’a demandé une dernière faveur :
_ J’aimerais disposer seul de Sophie, lui faire l’amour comme à si elle était à ma femme, dans la chambre.
_ Ok, tu peux disposer d’elle pendant une heure, mais je veux que tout soit filmé.
Une heure plus tard, Alex est ressorti la cassette en main
_ Je l’ai épuisée, elle s’est endormie, merci pour tout.
En fin d’après midi je suis allé dans la chambre, Sophie était à moitié réveillée, sans dire un mot je l’ai fais mettre à quatre pattes, lui ai bandée les yeux, je l’ai caressé avec un gant en cuir pendant un long moment.
Très excitée Sophie m’a implorée plusieurs fois de la baiser, je n’ai réagi que lorsqu’elle a demandé la sodomie.
Lorsque je lui ai retirée son bandeau, Pierre était à coté d’elle, comprenant que c’était lui venait de jouir en elle.
Ils sont ensuite partit, Sophie m’a avoué discrètement qu’elle avait passé le plus beau week-end de sa vie.
Avec sa main elle me branlait d’une façon énergique, tentant de m’exciter au plus vite, ce qui ne fut pas long.
A peine mon sexe dressé, elle l’avala aussitôt au plus profond de sa gorge, faisant des va et vient d’une grande amplitude
Sa fellation devenait complètement hystérique, guidée par la volonté d’éviter l’humiliation, mais aussi, elle me l’avoua plus tard, par une excitation totalement incontrôlable.
Afin d’ajouter encore un peu de piment à la scène j’indiquais le temps toute les 30 secondes, forçant Sophie à redoubler d’efforts.
Passé la barre des 2 minutes, Sophie tentât le tout pour le tout.
Elle se mit à ponctuer sa fellation en m’excitant par la parole, à intervalles courts et réguliers : « je suis à toi », « je t’appartiens », « prend ma bouche tant que tu veux »…
Une arme à double tranchant car la vidéo n’en devenait que plus coriace pour elle.
Mais ce dernier effort eu pour but de m’exciter terriblement, je cédai et me vida 15 secondes avant la fin des 3 minutes, évitant à Sophie l’envoi du MMS.
Sophie avala entièrement mon sperme et s’écroula à terre comme un sportif qui franchit une ligne d’arrivée.
Elle mit quelques instants à revenir à la réalité.
Puis elle me regarda assez inquiète.
_ Alors combien de temps ?
_ Lèves toi
Sophie se dressa devant moi, attendu le résultat comme un prévenu attend son verdict.
Je pris mon temps.
_ Sil te plait, dis moi combien de temps j’ai mis
_ A-t-on avis ?
_ Je n’avais plus la notion du temps, mais je ne dois pas être très loin.
_ Effectivement tu as réussi à 15 secondes près, une sacrée performance pour une fille qui n’aimait pas sucer.
Le visage de Sophie se décrispa immédiatement.
_ Je te félicite, je vais envoyer le MMS à pierre, il se fera une petite idée de ce qu’on peut obtenir de toi…
Je vis Sophie un peu contrariée, mais elle n’osa rien dire.
Nue, devant moi, elle poussa un timide : « que dois-je faire maintenant ? »
« Suis, moi » Je l’emmenai jusqu'à ma chambre.
En arrivant dans la pièce Sophie se mit directement sur le lit.
_ Je ne t’ai pas dis de t’asseoir, lève toi.
Sophie se leva immédiatement.
_ Tu vas mettre tes 2 mains contre le mur, penche toi et écarte un peu tes jambes.
Voila très bien !
De ma main droite, je commençai à la caresser et fouiller son intimité.
Sa chatte était trempée.
_ Décidemment tu es une vraie salope.
_ Oui, prend moi !
_ T’inquiète tu vas y passer, mais avant, tu vas m’attendre bien sagement dans cette position, je vais installer la caméra, j’ai promis un beau spectacle à Pierre.
En me regardant installer la caméra, Sophie fit un léger mouvement avec sa jambe droite.
_ Qu’est que je t’ai dis ? Dis-je d’une voix assez forte.
_ Euh… d’attendre sans bouger.
_ Je vais être clair si tu décolles à peine un de tes jolis pieds du sol ou tes mains du mur sans que je te l’ai demandé : c’est une punition, compris.
_oui, fit elle d’une voie timide.
Je pris largement mon temps pour installer la caméra, laissant mijoter Sophie immobile les jambes écartées
Au bout d’un long ¼ d’heure je m’allongeai sur le lit, admirant Sophie de dos dans cette position indécente.
Je pris alors une télécommande et fit automatiquement lever tous les stores de ma chambre.
Le mur sur lequel Sophie était en position était une grande verrière.
Sophie voyant le store monter jusqu’au plafond, recula immédiatement, voulant protéger sa nudité des vis-à-vis potentielles.
_que fais tu Sophie ?
_ Les voisins peuvent nous voir, dit elle un peu paniquée…
_ Et alors ?! Je t’avais dis de ne pas bouger, remet toi immédiatement en positon, dépêche toi, tu seras sévèrement punie pour avoir désobéit.
_ Sophie, résignée, s’exécuta.
_cambre toi plus petite salope ! Sophie, soumise, creusa son dos à l’extrême
Je vins me placer derrière elle et la pénétra violement. Je la limai un long moment sans lui dire le moindre mot. Lui pinçant par moment légèrement la pointe de ses seins.
Elle entra dans une excitation très forte.
A ce moment là je me retirai.
Je pris ses cheveux de la main gauche et lui tira d’un coup sec en arrière.
_ Qu’est ce que je t’avais dit ? Pourquoi as-tu désobéis ?
_ J’ai eu peur qu’on me voit nue.
_ Tu me déçois
_ Par pitié cela a été un réflexe, je ne voulais pas désobéir
_ peu importe tu vas recevoir ta punition… et tout de suite
_ Comme vous voudrez maître
_ Tu vas regretter ton geste, met toi à quatre pattes, lui dis je en montrant le lit.
Sophie alla se placer immédiatement dans la position demandée au centre du lit.
Je sortis 2 paires de menottes d’un tiroir et lui attacha pieds et mains.
Sophie ne devenait guère libre de ses mouvements.
_ Bien, je vais te dresser, lui dis je en faisant parcourir ma main de la nuque jusqu’à ses fesses.
Sophie attendais silencieuse et immobile sa sentence.
Je sorti une cravache d’un tiroir.
Voyant l’objet elle se dressa aussitôt et se mis assise sur le lit malgré les menottes.
_ Elle m’implora ; « non s’il te plait je ne supporterai pas ».
_ Tu as le choix : soit je te ramène à Pierre immédiatement, soit tu acceptes et je ne veux plus t’entendre.
Je sentis Sophie perdue et très hésitante. Sans un mot elle se plaça à nouveau à 4 pattes sur le lit, les fesses offertes.
_ Je suis à toi, dit-elle d’une voix tremblante.
_ Donc…
_ J’accepte la punition, je la mérite
_ Très bien
A ce moment là, très excité, je commençai à jouer encore davantage avec elle.
Je m’amusai à faire glisser la pointe en cuir de la cravache sur tout son corps, allant des pieds à la tête, provoquant des frissons sur le moindre centimètre de sa peau, sentant l’excitation s’emparer grandement de ma soumise.
Sophie, pour cette première, je te laisse fixer toi-même le nombre de coup de cravaches que tu mérites, choisi entre 1 et 10.
_ …
_ Alors…
_ 10… je mérite 10 coups, fis-elle déterminée
Je lui administrais le nombre de coup demandé, vers le 8 ème coup ses yeux furent au bord des larmes, mais elle ne céda pas.
La sanction terminée, je la pénétrai avec vigueur.
Je ne lui épargnais aucuns trous, la forçant à me sucer après chaque sodomie.
Nous avons jouit quasi simultanément.
Je lui détachais alors ses menottes.
Sophie s’endormit dans mes bras, m’avouant qu’elle n’avait jamais pris un tel plaisir.
Le lendemain matin je me leva avant elle, faisant attention de ne pas la réveiller.
A son réveil, je lui apportai son petit déjeuner au lit, ce qui ne manqua pas de la surprendre étant donné son statut.
Fais comme chez toi, si tu veux prendre ta douche je t’ai sorti des linges, mais ne traine pas trop j’aimerais aller au marché.
Je t’autorise à porter des sous vêtements.
Sophie ne s’attendait pas à un tel programme à son réveil.
Après avoir arpenté longuement les allées étroites de ce marché parisien, nous nous sommes posé dans une brasserie.
Durant ce long moment je ne témoignai d’aucune forme de domination envers elle.
Nous avons consommé plusieurs verres, profitant des rayons de soleil qui irriguaient la terrasse.
Au moment de régler la note, je pris la main de Sophie.
Je commençai à lui caresser délicatement l’avant bras.
Elle comprit immédiatement que notre jeu allait reprendre.
_ Sophie nous allons rentrer à l’appartement, j’ai bien l’intention de largement abuser de toi cet après midi. Avant je souhaite que tu ailles dans les toilettes et que tu retires ta culotte, il est hors de question que tu rentres chez moi en étant si peu accessible.
_ Sophie s’exécuta et revint assez rapidement me tendant discrètement l’étoffe de tissu.
Nous avons marché une dizaine de minutes jusqu'à chez moi, je ne lui ai pas adressé la parole.
A peine arrivée à l’appartement j’ai embrassé Sophie fougueusement, parcourant tout son corps avec mes mains.
Mais très rapidement l’interphone se mit à sonner.
_ Sophie se figea : tu attends quelqu’un ?
_ Non ce n’est pas du tout prévu, je peux te l’assurer.
J’allai répondre, c’était Alex, un copain du golf.
Il connaissait un peu Sophie, mais fréquentait davantage Pierre avec qui nous faisions quelques parcours ensemble.
.En arrivant dans l’appartement, Alex fut assez surpris de nous voir les 2, j’improvisai : « tu connais Sophie, la femme de Pierre, je les ai invité à manger, Pierre n’est pas encore arrivée il aide son frère à déménager »
Alex ne posa pas de questions, et me dit qu’il ne savait pas que j’avais des invités, qu’il ne voulait pas déranger, il était sur le point de repartir.
_ Non tu vas bien rester au moins boire un verre, comme ça peut être que tu verras Pierre il ne devrait pas tarder.
Sophie m’envoya un regard désapprobateur, visiblement très dérangée par la présence d’Alex.
Je savais que Sophie n’appréciait guère Alex, ayant même tendance à le mépriser.
Nous sommes passé au salon, Alex racontait sa partie de golf, Sophie, elle semblait très héritée par sa présence, ne lui adressant pas la parole.
De mon coté, la situation me donnait de plus en plus d’idées.
A bout d’un long moment, Alex interrompit le fil de son monologue : « mais, au fait Pierre, tarde à arriver ? »
_ Effectivement, Alex, en fait Pierre ne viendra pas avant ce soir. Sophie n’est pas ici pour un dîner, mais pour bien d’autres choses… Sophie tu peux lui expliquer s’il te plait ?
Sophie se décomposa au son de ma question.
Je la relançai : « Sophie nous t’écoutons… »
Sophie était pétrifiée, d’un geste lent et tremblant elle posa son verre sur la table du salon.
Alex nous regardait interloqué
Après un silence, elle se lança la voie tremblante :
_ Euh euh.. En fait, en fait, je suis là car… car… car…
_ Car… quoi ? fis je d’un ton autoritaire
_ Je… je… je suis ici depuis hier soir, et depuis hier je suis soumise à Louis.
Sophie se prit la tête dans les mains rouge de honte, ses yeux au bord des larmes.
_ C’est à dire Sophie, je suis sur qu’Alex veut un peu plus d’explications, et regardes nous quand tu parles.
_ Donc, donc…, je…, je suis soumise à Louis, je suis son esclave sexuelle, je dois faire tout ce qu’il me demande, je je ..
Sophie ne pu continuer sa phrase.
Un long silence pesa dans la pièce.
_ Alex pris la parole : et elle fait tout ce que tu lui demandes ?
_ Bien sur, jusqu’ici elle est très obéissante
_ Tu as vraiment de la chance, en plus cette salope est vraiment bien gaulée.
Assise dans son fauteuil, Sophie regardait le sol, essayant d’échapper aux regards vicieux d’Alex.
_ Alex reprit : tu peux lui demander de se lever, qu’on voit ses grandes jambes.
_ Évidemment, Sophie tu as entendu ? Lève-toi
_ résignée Sophie se leva, ses genoux tremblaient encore.
_ Bien, approches toi, dit Alex.
Sophie resta immobile refusant d’obéir à Alex.
_ Tu as compris Sophie ? Fais ce qu’on te demande.
Elle s’approcha alors d’un pas lent, venant se positionner juste devant lui.
Alex était assis assez bas dans le canapé, sa tête se situant environ à hauteur des cuisses de la jeune femme.
D’un geste lent il se saisit du genou gauche de Sophie, commençant à le caresser.
_ écarte un peu tes jambes.
Sophie s’exécuta rapidement
Alex continua de parcourir les jambes, rapidement son bras disparut sous la jupe, montant lentement vers son intimité
Sophie ne pu retenir une larme.
Je la vis faire un léger mouvement de bassin au moment ou Alex atteignit sa croupe.
_ Mais cette salope n’a pas de culotte ?
_ Non cela lui est interdit, tu conviendras que c’est plus pratique.
_ effectivement me répondit Alex, visiblement en la doigtant, …cette petite pute est trempée !
_ Oui, c’est une fille facile !
Sophie semblait à la fois au bord de la rupture, obligé de se soumettre à cet homme pour lequel elle n’avait aucune attirance, mais en même temps très excitée par la situation.
_ J’aimerais jouer un peu avec ses seins maintenant, tu m’autorises
_ Bien sur tu peux disposer d’elle comme bon te semble, tu as compris Sophie ?
_ Oui, fis t’elle d’une voix inaudible
_ JE N’AI PAS ENTENDU SOPHIE !?
_ Oui, il peut disposer de mon corps à sa guise.
_ Très bien !
Alex se leva, la regardant d’un regard gourmand.
_ Enlève ta chemise
Sophie s’exécuta, dévoilant ses superbes seins.
_ Quelle paire !
Alex, se mit à caresser les 2 mamelons de façon frénétique, puis lécha chaque sein avec sa langue, s’amusant parfois à mordiller les tétons dressées de sa victime, lui arrachant quelques petits cris.
_ Tes seins sont délicieux ! bien, maintenant je veux te voir à poil, enlève cette jupe.
Sophie recula de plusieurs pas, semblant refuser cet ordre trop humiliant.
_ déshabille toi salope ! Répéta Alex en la regardant sévèrement.
Rouge de honte Sophie baissa sa jupe
_ ouaouh, elle est vraiment bien gaulée cette pute, fais un tour sur toi-même que je t’admire.
Quel cul !
_ Tu sais que je me suis déjà branlé en pensant à toi ?
Sophie très gênée n’osa répondre.
_ Et ben aujourd’hui c’est toi qui va me branler.
Alex sortit de son pantalon son énorme sexe dressé.
La situation devenait terriblement excitante, de mon coté j’avais du mal à me contenir, mais très heureux de filmer cette scène si intense.
La soumise pris la queue d’Alex en main, s’appliquant à branler de son mieux son nouveau maître.
_oh putain que c’est boooonn, aaaaaaahhhh… je veux ta bouche maintenant !
A genoux, Sophie pris en bouche ce gros membre, soumise à satisfaire Alex.
_ Ah quelle suceuse…, quelle pute…, à ce moment il appuya sur la tête de Sophie, lui baisant littéralement la bouche, lui infligeant plusieurs gorges profondes.
_ Bien je pense que Louis à envie de se faire sucer aussi, dépêche toi d’aller le pomper.
Sophie, à quatre pattes vint immédiatement me sucer, sans doute soulagé de se débarrasser d’Alex
De courte durée… car rapidement il se positionna derrière elle, la pénétrant vigoureusement.
Nous l’avons baisé ainsi pendant une quinzaine de minutes avant de jouir en elle pratiquement en même temps.
J’ai ensuite invité Alex a mangé, nous avons exigé de Sophie qu’elle fasse le service nue.
Nous avons fais traîner le repas, exigeant par 2 fois que Sophie passe sous la table.
Avant de partir, Alex m’a demandé une dernière faveur :
_ J’aimerais disposer seul de Sophie, lui faire l’amour comme à si elle était à ma femme, dans la chambre.
_ Ok, tu peux disposer d’elle pendant une heure, mais je veux que tout soit filmé.
Une heure plus tard, Alex est ressorti la cassette en main
_ Je l’ai épuisée, elle s’est endormie, merci pour tout.
En fin d’après midi je suis allé dans la chambre, Sophie était à moitié réveillée, sans dire un mot je l’ai fais mettre à quatre pattes, lui ai bandée les yeux, je l’ai caressé avec un gant en cuir pendant un long moment.
Très excitée Sophie m’a implorée plusieurs fois de la baiser, je n’ai réagi que lorsqu’elle a demandé la sodomie.
Lorsque je lui ai retirée son bandeau, Pierre était à coté d’elle, comprenant que c’était lui venait de jouir en elle.
Ils sont ensuite partit, Sophie m’a avoué discrètement qu’elle avait passé le plus beau week-end de sa vie.
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