On continu a se faire plaisir - histoire érotique

Bonjour,
Nous sommes rentrés à la maison, mais Valérie n’a pas arrêté de me raconter tout ce qu’il s’est passé avec Laurence dans le magasin.
Valérie n’est plus la même, mais elle a découvert avec Laurence, qu’elle avait le droit de jouer avec son corps et que tout était bon pour notre couple.
Elle n’a pas tort. Nous avons l’âge de profiter maintenant que nos enfants ne sont plus à la maison.
Valérie me détail donc de la façon où Laurence, l’a entrainé dans le rayon lingerie sexy dans un premier temps.
Valérie « Laurence m’a présenté les sous-vêtements en vinyle. Je lui ai dit que je n’oserai pas porter ce genre de slip et soutien-gorge. »
Laurence lui a répondu « Parce que tu crois que je porte quoi moi ? »
Aussitôt elle a ouvert son imperméable pour lui faire voir qu’elle était seulement en sous-vêtements dessous.
Laurence « fais toi plaisir et aussi aux autres, comme ton mari par exemple, ou le mien ! »
Valérie me dit qu’elle a alors suivi les conseils de Laurence.
Elle est passé en cabine et elle a essayé plusieurs ensembles.
Valérie m’explique que Laurence, n’a pas arrêté de l’habiller et déshabiller dans la cabine d’essayage.
Valérie « A chaque fois que j’avais enfilé un ensemble, Laurence, m’embrassait et me caressait partout. Ses mains sont douces et ses doigts m’ont fouillé. Je n’en pouvais plus, je voulais arrêter car j’allais pousser un crier de bonheur. J’avais l’entre-cuisse complètement trempé et Laurence s’en ai rendu compte ».
Valérie m’a donné tous les détails.
Laurence a fait patienter Valérie dans la cabine et lui demandant de ne pas bouger.
Après 10mn, Laurence revient et tend à Valérie l’imper rouge.
Laurence a ordonné à Valérie de le porter aussitôt qu’elle sera passée en caisse.
Valérie m’explique qu’après avoir payé, elles sont allées dans les toilettes du magasin.
Au premier abords, Valérie ne voulait pas être nue sous l’imper.
Laurence a commencé à déshabiller Valérie et elle l’a aidé à mettre les sous-vêtements en vinyle.
Une fois les bas enfilés, Laurence s’est mise accroupie devant Valérie et lui a senti l’entrecuisse et elle s’est mise à la lécher comme pour la nettoyer.
Valérie lui a demander d’arrêter et elle voulait remettre ses vêtements.
Laurence « Non il en n’est pas question, en plus ils vont te servir immédiatement ».
Valérie m’a dit qu’elle avait été surprise par le ton autoritaire de Laurence.
Une fois habillée, Laurence lui a dit avant de sortir qu’elle avait remarqué qu’elles étaient suivies.
Valérie s’est mise en état de stress, et Laurence l’a rassuré en lui disant qu’il s’agissait de moi.
C’est pour cela qu’elles sont sorties en rigolant du magasin.
Nous arrivons à la maison, en rentrant je suis derrière elle, et elle se tortille en me regardant.
Elle me dit, qu’elle a passé une bonne matinée mais qu’elle est restée sur sa faim.
Moi « tu veux manger quelque chose ? ».
Valérie « Oui, je voudrai bien manger ton gland ! »
Elle m’excite aussitôt, je me mets à bander.
Une fois la porte d’entrée fermée, elle se penche pour retirer ses chaussures.
Je ne lui laisse pas le temps et je lui relève l’imper pour découvrir son arrière-train qui est magnifique.
Elle sursaute.
Je lui passe les mains sur le cul.
Elle ne bouge pas et reste penchée en avant.
Valérie « Vas-y caresse moi la vulve ! »
Je m’exécute, je lui passe les mains partout.
Le tissu du vinyle m’excite et surtout les deux couleurs, noir pour les sous-vêtements et rouge pour l’imper sont bien choisies.
Valérie me caresse les jambes dans le kway.
Elle grogne de plaisir.
Valérie « Viens on va dans le salon ! »
Directement sur le canapé, elle écarte l’imper et ses jambes pour me faire voir la qualité et la beauté de ses vêtements.
Je suis super excité, je retire l’ensemble kway pour être nu.
J’ai ma bitte qui pointe droit vers Valérie
Elle me demande d’approcher.
Je pointe directement mon sexe devant sa bouche.
Nous n’avions jamais été aussi érotique ou dépravé que ça.
Valérie me prend en bouche et me suce très vite.
Elle se masturbe d’une main avec le slip en vinyle.
Jamais elle ne faisait ça avant de connaitre Laurence et Christophe.
Je sens que l’excitation est trop grande alors je me retire de sa bouche pour l’embrasser.
Je lui retire doucement son slip noir.
Je lui propose de la lécher.
Elle accepte en me disant que depuis que Laurence lui avait fait, elle souhaite que j’introduise ma langue dans sa vulve.
Je colle directement mon visage sur l’entrée de son sexe.
Je lèche et tourne ma langue à l’entrée de son sexe.
Elle m’attrape la tête pour me plaquer complètement.
J’ai le nez dans ses poils et la langue qui fouille entre ses lèvres.
Je lui barbouille de salive.
Un goût un peu salé est très plaisant et vient m’envahir la bouche.
Jamais je n’avais eu cela auparavant.
J’introduis alors ma langue au plus loin. Pour vous dire que j’ai une grande langue, j’arrive à toucher mon nez avec.
Valérie se tortille et laisse partir un crie de jouissance.
Elle se mets à crier, mais je ne me lâche pas la tête, je continue à lui tourner la langue à l’entrée de sa vulve.
J’arrête et je la force à me laisser pour me relever et diriger mon sexe à la place de ma langue dans sa vulve.
Je n’ai aucun mal pour la pénétrer.
Elle tremble au premier coup de bitte que j’enfonce jusqu’au fond.
Je suis tellement excité que je ne tiens pas longtemps et je crache mon sperme dans le fond de son vagin.
Valérie pousse un cri ultime quand elle a compris que j’avais jouis.
Valérie « Je ne sais pas comment te dire que je suis heureuse aujourd’hui. Laurence a su m’ouvrir à découvrir mon corps et aussi mes préférences ».
Je lui rétorque que moi aussi, et que la relation avec ce couple m’avait ouvert les yeux sur le partage du plaisir.
Valérie « Tu sais que je t’aime beaucoup et je voulais te dire que mon amour est encore plus fort pour toi. Mais aussi, te dire que maintenant, j’aime Laurence et son mari ».
Avec ma femme nous avons découvert une expérience qui n’est que le début de grandes sensations.
Lorsque je me suis retiré, j’avais sous les yeux ma femme qui était resplendissante et avec un sourire de jouissance.
Elle avait le sexe dilaté avec mon sperme qui ressortait de la fente et son clitoris gonflé et je penses que c’est la première fois qu’il est comme ça.
Je lui attrape les mains et je la relève.
Elle m’attrape dans ses bras et m’embrasse longuement.
Jamais nous n’avions eu ce genre de rapprochement et relation amoureuse.
Valérie « tu as participé et accepter quelque chose que je voulais pour toi et finalement nous avons conclu tous les deux à notre développement ».
Elle me demande ce que je pense d’Christophe et si je suis ouvert à aller plus loin.
C’est Laurence qui lui a demandé ce matin, car lors de notre rencontre, Christophe n’avait pas voulu me dépuceler l’anus pour la première fois, mais il se demandait si j’allais accepter de le sodomiser.
Je lui ai répondu que cela se fera peut-être lors de la prochaine rencontre et suivant le contexte.
Elle m’a dit que Laurence aimerait aussi me sodomiser avec un gode.
Ma réponse est sans ambigüité, j’accepterai sous son accord et contrôle.
Valérie « Bien sûr mon chéri, et j’aimerai bien que Christophe me prenne face à toi pendant ce moment-là ! »
Valérie me dit qu’elle est pressée d’être au week-end prochain.