on ne se connait pas soi même - Histoire de cocufiage

- Par l'auteur HDS Perduedanslesbois -
Auteur femme.
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Récit libertin : on ne se connait  pas soi même - Histoire de cocufiage Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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on ne se connait pas soi même - Histoire de cocufiage
Je me présente, Lucie 41 ans mariée depuis un peu plus de 17 ans (4 juillet 1994), avec un corps tout ce qu'il y a de plus banale, c'est à dire jamais en évidence, très discrète, ma poitrine n'est pas le centre d’intérêt des hommes que je croise dans la rue ou quand je fais mes courses que ce soit au marché ou supermarché. Bref, autant dire que je n'attire pas les regards des hommes...
mon mari, est tout ce qui plairait à toute femme, c a d attentionné, toujours à l'écoute en élargissant parfois la discutée, sans pour autant parler de lui, de son vécu ou voir du vécu de son entourage familiale, professionnel ou amicale.
La seule chose à lui reprocher est qu'il n'aime pas trop faire l'amour, je me suis souvent posée la question, sans pour autant en avoir la réponse, même dans certains forum où ils me disaient voir me certifiaient qu'il avait une maîtresse. Or dans son emplois du temps il lui était quasiment impossible de passer du bon temps avec une femme sans que je ne puisse douter de quelque chose.
Mais, hé oui il y a un MAIS, un jour, alors que je rentrais plus tard que d'habitude (19h00 au lieu de 18h00) sans que ça ne puisse gêner mon mari, car lui ne rentre jamais avant 20h00, soit disant par ce qu'il est cadre dans une petite entreprise et qu'il fallait faire des heures suppl. Vu son salaire que j'ai entre mes mains chaque mois, je n'ai aucun soupçon à son sujet. Et donc, ce soir là de fin Novembre il faisait déjà nuit, j'avais le cerveau un peu prit par suite d'un petit accrochage avec ma chef, qui n'arrivait pas à comprendre que je ne pouvais avancer plus vite que la musique dans les objectifs qui nous ont été imposés.
C'est alors qu'en roulant vers mon domicile sur une voie rapide, que j'ai loupé la sortie, « zut, je vais me faire une rallonge de 10 km », ça m'obligeait à passer par un sous bois dont la circulation est très difficile du fait des trous sur la chaussée et sans compter les gens, qui pour une raison x ou y, s’arrêtaient. Et c'est justement, au moment où une voiture a pilé sec devant moi que j'ai prêté attention à l'endroit, : la voiture qui était devant celle que j'ai injuriée, tournait à gauche en direction d'un parking où il y avait déjà plusieurs voitures, mais ce qui m'a le plus interpellée , c'est surtout une BMW de couleur vert, la même que celle de mon mari.
J'ai moi aussi tourné à gauche voir de plus près la plaque d'immatriculation, les mains tremblantes et le cœur à battre tous les records de battement de vitesse. De plus près je me suis aperçue que c'est bien notre plaque d'immatriculation. Je ne pouvais descendre et vérifier où il se trouvait. J'étais en jupe avec chaussures à talons. Voilà qu'un soucis s'est mis dans ma tête.
De retour à la maison, je n’arrêtais pas de cogiter, et ce n'est que vers 20 heures, qu'il arriva, comme d'habitude, il vient m'embrasser, me demande de lui raconter mes misères de la journée, chose que je fais à chaque fois tout en nous préparant le dîner.
La nuit je n'ai pas bien dormi, et ainsi que les autres nuits, car à chaque fois je repassais par cet endroit et chaque fois je voyais la voiture de mon mari dans le parking... dois-je lui en parler, je me sens mal, j'ai mal au ventre, anxieuse, mon souffle est coupé. C'est alors qu'une idée m'est apparu : j'ai décidé de faire un tour dans les bois habillée comme un garçon (survêtement, baskets et bonnet pour camoufler les cheveux)le plus difficile était de camoufler ma poitrine, dans l'urgence je n'ai trouvé que la bande crêpe, pas évident à mettre mais assez efficace.
Je me suis regardée dans la glace, et je me suis dit qu'il ne me manquait que la bite pour être un vrai mec.
Le moment venu, je suis passée à l'action, je me suis garée, un peu plus loin dans un autre parking, en espérant qu'il retourne dans le même. Bingo, le voilà qu'il arrive, j'attends qu'il sorte et de voir ce qu'il va faire ; il entre dans les bois il ne fait pas encore nuit mais ça ne saurait tarder, je l'ai suivi de loin j'ai traversée la route départementale, personne ne m'a vue, enfin c'est ce que je croyais, car moi aussi j'ai été suivie, par un jeune homme.
Je n'ai même pas parcouru cent mètres que je suis tombée sur un groupe d'hommes et qu'elle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai aperçue mon mari parmi eux, il était entrain de sucer un homme pendant qu'il tenait deux autres bites et se faire sucer en même temps par un autre tout en lui titillant la rondelle. Le spectacle était à couper le souffle. Au même moment, le jeune homme qui me suivait, s'était pointé tout près de moi, la bite à la main avec un sourire assez timide, il contemplait le spectacle tout en se rapprochant de moi. Mes yeux étaient rivés sur son engin, il me paraissait énorme, tout comme la bite des autres hommes. Je n'ai connue qu'une seule dans ma vie, celle de mon mari, et je n'ai jamais visionné de films porno.
Je commence par croire que mon petit mari, a une bite inférieur à la moyenne. Au creux de l'oreille, le jeune homme me dit : on l'appelle « p'tite bite », il vient quasiment tous les jours sauf les week-end, tu peux y aller si t'as envie de te faire sucer, il adore ça.

En me retournant, mon regard allait droit vers son engin, je le trouvais attirant, je commençais à avoir le feu au bas ventre. À voix basse, il me dit : te gêne pas, tu peux toucher si tu en as enviesans répondre, je l'ai prise en main, toute tremblante, je caressais sur toute sa longueur, je tâtais ce qui lui a donné beaucoup plus de volume, et c'est quand il m'a dit :  - sort ta bite, moi aussi j'ai envie de te branler, j'adore les jeunots, en en voit pas souvent dans les parages, ici il y a surtout des vieux.
J'étais soulagée, d'entendre le mot « jeunot », cela voulait dire que je faisais vraiment mec. Mais c'est lorsqu'il voulait mettre sa main au niveau de mon sexe, que tout a basculé, je me suis mise à genoux devant lui et entamais une fellation, j'en avais vraiment envie, je le suçais tout en regardant mon mari se faire pilonner par le mec qui le suçait auparavant. Le gars que je suce, vient de jouir dans ma bouche, j'ai tout avalé, une première pour moi, il ma un peu forcé en me retenant la tête, je dois dire que ça m’excitait en m^me temps. Je me suis levée et parti sans dire un mot en direction de ma voiture, alors que mon amant d'un soir voulait me retenir pour me sucer une bite que je n'ai pas.
Sur la route, j'ai repassé dans ma tête les images de mon mari et du jeune homme que je venais de soulager dans ma bouche, j'avais honte de moi, je venais de faire cocu mon mari pour la première fois de ma vie.
Arrivée à la maison, je me suis vite masturbée car j'étais trempée, je n'en pouvais plus, j'avais envie que cette grosse bite me pénètre. Hélas, ça ne restera qu'un fantasme. La nuit a été longue, j'avais du mal à dormir comme toutes les autres nuit qui suivirent et cela pendant une bonne quinzaine de jours. J'étais cocue mais je ne savais pas comment lui en parler, car il ne voyait que des hommes chose que je ne peux lui donner.
J'ai tout d'un coup repensé à ce qu'il m'a dit un jour : « tu devrais t'habiller un peu plus sexy, en présence de nos amis » je le voyais venir avec cette parole, ce qu'il voulait dire : « tu devrais mieux les allumer nos amis, vu comment ils te déshabillent du regard ». en effet je ne mets jamais de décolleté en leurs présence, ni même de mini jupes, alors que j'en ai toute une garde robe.
Un soir il me dit qu'un de ses amis, Paul, viendra passer le week-end à la maison, car il va l'aider à refaire la toiture du garage. C'était le moment choisi pour me prouver que mon mari avait vraiment une petite bite, car je sais que Paul est un coureur, et c'est pour moi l'occasion de m'habiller sexy, aussi j'ai décidé de ne pas mettre de sous vêtements juste une jupe mi-longue fendu à mi-cuisses et un chemisier non transparent mais avec un super décolleté laissant entrevoir mes petit seins quand je me baisse. Ce jour là mon mari me complimenta et était ravi de ma tenue, Paul arriva, m'embrassa en me frôlant un seins sans en faire exprès car mon mari ma légèrement bousculée vers lui. Il a du s'en apercevoir que je ne portais rien sous mon chemisier, l'effet boomerang, mes tétons pointaient ce qui montrait mon excitation à travers mon chemisier, Paul n'a rien loupé. Voilà qu'ils ont commencé à bricoler pendant que je faisais un peu de rangement dans la véranda et c'est lorsque Paul se trouvait seul face à moi que je baissais mon torse pour faire semblant de nettoyer une tache au sol uniquement pour qu'il puisse voir ma poitrine nue sous mon chemisier, mais le meilleur moment c'est quand je me suis mise à laver les vitres, car n'étant pas très grande, j'avais pris une chaise et en montant dessus, j'avais dévoilé mon entrecuisse, je voyais bien la bosse sur son pantalon, je lui ai fait de l'effet, je lui ai fait un petit sourire. Il en était perturbé. J'ai attendue un peu, le temps que mon mari disparaisse, et j'ai descendue un pied à terre l'autre étant resté sur la chaise dévoilant ainsi toute mon intimité à Paul qui a comprit que c'était intentionnel, mais qu'il ne pouvait rien faire en présence de mon mari, surtout qu'ils se connaissent depuis près de vingt ans et qu'il vient assez régulièrement à la maison même quand mon mari est absent sans pour autant me faire des avances. Un homme respectable.
Mais ce jour là, c'est moi qui lui ai donné la possibilité d'aller plus loin que ses regards vicieux qui en disent long sur ses pensées sadiques.
Après avoir mangé, mon mari part faire sa sieste de deux heures car il avait bu des bières pendant toute la matinée, sans compter le vin de table ni même l'apéritif.
Me voilà toute seule avec Paul, dès que nous entendîmes les ronflement de mon mari, , Paul se lança et me dit : j'ai vu que tu ne porte pas de sous vêtements, tu es tout le temps comme ça ou c'est juste aujourd’hui' hui ?
Non c'est la première foiston mari le sait que tu ne porte pas de culotte ?
Non, dit moi, ça ta plu ?
Bien sûr, et tu as une paire de seins magnifique, que l'on a envie de caresser, elle pourrait faire bander un morttu peux toucher si tu en as envieet ton mari ?
T'inquiète, tant qu'il ronfle, on a rien à craindre, la maison pourrait s’écrouler qu'il ne se réveillerait même pashummmm ! Ces tétons, il y a longtemps que je voulais les prendre en boucheouiiii, caresse moi, lèche moiil a retiré sa chemise, quel torse, velu, musclé, ventre plat, j'ai glissé ma main dans son pantalon pour voir la dimension de son engin. Mon dieu, encore plus grosse que celle du jeune homme, pendant ce temps là il me caressait la fente baveuse tout en m'aspirant les tétons par ses grosses lèvres. N'y tenant plus il m'a prise aussitôt, m'enfonçant son pieu au fond de mes entrailles, et se déchargeant complètement. Après une demi-heure, les ronflement de mon mari étaient toujours là, j'en ai profité pour prendre son sexe en bouche j'en avais envie, je l'ai sucé jusqu'à ce qu'il jouisse dans ma bouche, j'ai tout avalé. Avant le réveil de mon mari, je lui ai fait promettre d'en garder le secret, ainsi il pourra venir se soulager chaque fois qu'il le désire.
je pense venir le mercredi comme d'habitude boire l'apéro avec toi et ton mari, à la seule exception, je viendrai un peu plus tôtet c'est ainsi que Paul est devenu mon premier amant, sans que mon mari ne s'en aperçoive.
Un jour, mon mari m'a lui même dit de recevoir Paul à la maison pour qu'il puisse bricoler une plomberie alors que j'étais en RTT. Ce fût pour moi un bonheur...

Les avis des lecteurs

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tres belle histoire jespere que fera qu amplifier votre nouvaux depart dans votre vie intime en esperant vous relire

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la suite !!!!

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Super très bandant si tu en as d'autre n'hésite pas

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est-ce que votre histoire est tout a fait veridique ou un melange de realite et fantasme. est-ce Paul sait que votre mari est bi ou plutut Homo.



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