Once upon a night - 1
Récit érotique écrit par Apocalypse Please [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Apocalypse Please ont reçu un total de 6 433 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 433 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Once upon a night - 1
Le dernier de mes SMS du soir te sera adressé, mon amour. Je me glisse, uniquement vêtue d'une petite culotte encore parfaitement blanche, sous les draps : il faut dire qu'en cette fin de mois d'août, il fait encore particulièrement chaud. Voilà le message que tu recevras dans quelques instants : « Passe une bonne nuit mon cœur, merci encore pour cet après-midi absolument parfait. Je t'aime. » Cet après-midi ? J'y repense avec un large sourire aux lèvres. Mais... C'est une autre histoire. Il ne me faut finalement que très peu de temps pour succomber et me laisser glisser dans les Bras de Morphée.
Puisqu'il faudra sans doute me décrire, du haut de mes dix-huit ans, je ne me considère pas comme un pur canon de beauté. Un mètre soixante à peine pour cinquante kilos, de longs cheveux bruns naturellement lisses. S'il y a une partie de mon corps que je devrais citer, il s'agirait certainement de mes yeux : j'aime leur couleur verte et leur éclat plus clair, quasiment jaune. Tu dis qu'ils te traversent, te transpercent, t'hypnotisent et t'envoûtent. Je sais que tu aimes également mon 95 C et mes fesses rebondies, qui t'attendent souvent avec impatience.
Quand j'ouvre à nouveau les yeux, je me retrouve totalement dénudée, livrée dans mon plus simple appareil. Je suis sur une plage déserte : mis à part le sable fin qui me brûle les pieds, l'eau translucide et le soleil qui brille tout en haut du ciel turquoise, il n'y a rien. Absolument rien. Où suis-je ? Cette question ne me traverse même pas l'esprit ; il faut dire que le Monde des Rêves n'est qu'un immense mystère que personne n'élucidera certainement jamais. La mer m'attire tel un aimant gigantesque. Je m'y glisse avec délicatesse. Je frissonne. L'eau, même si elle doit quasiment atteindre les trente degrés, paraît fraîche face à la température caniculaire environnante. Je m'immerge totalement, bascule la tête en arrière, mes cheveux viennent chatouiller le bas de mes reins. Je fais quelques brasses, le courant vient jouer avec mes lèvres. Je me mord très légèrement la langue : Dieu que c'est bon. L'eau est tellement claire que, si quelqu'un arrive, il aura droit à un beau spectacle. Étrangement, la perspective qu'un voyeur soit présent ne m'effraie pas : les rêves sont révélateurs de tous les désirs, n'est-ce pas ?
Je m'arrête quelques instants, le niveau de la mer m'arrive en haut de la poitrine. Je ne tiens plus. Je ferme les yeux, glisse une main le long de mon ventre, atteint mes premiers poils pubiens, descend encore un peu, juste un peu, atteint des endroits interdits. D'une main, j'écarte mes lèvres. L'autre glisse entre, effectue un délicieux mouvement de va et vient...
Mais, malheureusement, le plaisir est de courte durée. Je sens une main de fer attraper mes deux poignets, les glisser en arrière, telle une paire de menottes. Je reconnais immédiatement ton odeur, celle qui me rend littéralement dingue. Je souffle :
« Tu en as mis du temps. »« Navré princesse, laisse-moi me faire pardonner comme il se doit. »
Tes lèvres agrippent mon cou, tu me noies sous tes baisers. J'aurais certainement quelques marques, quand tu t'arrêtes et commence à me faire quelques suçons. Tant mieux. J'aime t'avoir dans la peau. Mes mains se rejoignent derrière ta tête, je caresse tes cheveux bruns bouclés. Sur mes fesses je sens déjà ton pénis gonfler, qui laissera bientôt apparaître dix-huit centimètres de puissance bestiale. Tes mains sont plus baladeuses qu'à l'ordinaire, elles rejoignent mes seins gonflés et mes petits tétons déjà durcis par l'eau fraîche. Tu agrippes ma poitrine, la malaxe, titille les petits bouts de chair plusieurs minutes jusqu'à ce qu'ils prennent un éclat un peu plus rouge, je souffle longuement. Je tourne la tête, ta langue vient se mêler à la mienne avec passion alors que tes doigts continuent leur longue exploration. J'écarte les jambes dans un automatisme. Tu m'arraches un premier gémissement quand tu glisses deux doigts dans mon antre sans t'attarder ailleurs au préalable. Tu vas loin, toujours plus loin : t'ais-je seulement déjà dit ô combien j'aime tes longues mains ? Tu retires des doigts, t'amuse à nouveau avec mes seins, l'un après l'autre, me pénètre à nouveau. Ta voix est douce, ton parfum est fruité, j'aime cette nouvelle attitude, presque féroce. Tu écartes mes lèvres, vient jouer avec mon clitoris, le titille, le tire, le frotte : tu as trouvé mon point faible. Je ferme les yeux, gémis comme un animal blessé. Je ne tiens plus, je te supplie presque, dans un murmure :
« Prends-moi. »« Tes désirs sont des ordres. »
Tu me susurres les mots suivants à l'oreille, je me retourne. Tu attrapes mes jambes, me hisse dans tes bras, je m'agrippe autour de ta taille et de ton cou. Dans l'eau, je ne suis plus qu'une poupée, un pantin ; j'aime cette idée de t'appartenir corps et âme.
Tu me sors de l'eau, tu me laisses reposer sur le sable, juste au bord de l'eau, alors que mes pieds sont encore à l'intérieur. J'écarte les cuisses. C'est à peine si j'ai le temps de voir ton sexe durci au plus haut point que tu l'enfonces au plus profond de moi, sans aucune autre forme de jugement. Tu viens m'embrasser dans le cou, à nouveau. Tu sors de moi, je sens parfaitement la forme de ton pénis en moi, je deviens folle. Je ferme les yeux. Tes pénétrations sont de plus en plus brutales, le bruit de tes couilles contre mes fesses accompagne celui de mes hurlements aigus. Je sens bientôt mon sexe dégouliner de mouille. Je glisse une main, m'acharne sur mon clitoris. Alors que tu commences à ralentir, je sens un premier orgasme monter en moi.
« Par pitié, ne... T'arrête pas ! »
Tu repars de plus belle. De tout mon être, je me retrouve agitée d'un long électrochoc, brutal, violent, mais tellement, tellement bon ! Ton sourire satisfait m'envoie plus loin encore. Tu peux être fier de toi, beau prince. Tu te retires, m'ordonne de retourner. Me voilà à quatre pattes, tête baissée, les cheveux trempés et recouverts de sable. Je t'attends, les yeux fermés. Tes mains viennent écarter mes fesses rebondies, je sens ta langue se glisser entre mes lèvres gonflées, me pénétrer de quelques centimètres. Tu aimes mon parfum le plus intime, pas vrai ? Tu joues avec mon sexe qui t'appartient totalement depuis le début, tu le sais, tu m'aimes encore plus pour ça. Je gémis, je te parle, je hurle, je ne me contrôle plus. Tu te redresses, à genoux derrière-moi, me pénètre à nouveau violemment. Je me tiens plus droite, tu m'attrapes les seins, m'embrasse les épaules. Nos deux cœurs s'accordent dans une danse parfaitement harmonieuse et cette scène est somptueuse. Tes soupirs se font de plus en plus puissants, de plus en plus rauques. Tu vas venir. Je te connais.
« Reste... Reste, je veux... Te sentir ! »
Je te supplie encore quelques instants, je suis trempée.
Je me réveille brutalement, trempée de sueur et de mouille. J'arrache ma petite culotte, mais... Je doute que la fin de ma nuit intéresse qui que ce soit, pas vrai ?
Puisqu'il faudra sans doute me décrire, du haut de mes dix-huit ans, je ne me considère pas comme un pur canon de beauté. Un mètre soixante à peine pour cinquante kilos, de longs cheveux bruns naturellement lisses. S'il y a une partie de mon corps que je devrais citer, il s'agirait certainement de mes yeux : j'aime leur couleur verte et leur éclat plus clair, quasiment jaune. Tu dis qu'ils te traversent, te transpercent, t'hypnotisent et t'envoûtent. Je sais que tu aimes également mon 95 C et mes fesses rebondies, qui t'attendent souvent avec impatience.
Quand j'ouvre à nouveau les yeux, je me retrouve totalement dénudée, livrée dans mon plus simple appareil. Je suis sur une plage déserte : mis à part le sable fin qui me brûle les pieds, l'eau translucide et le soleil qui brille tout en haut du ciel turquoise, il n'y a rien. Absolument rien. Où suis-je ? Cette question ne me traverse même pas l'esprit ; il faut dire que le Monde des Rêves n'est qu'un immense mystère que personne n'élucidera certainement jamais. La mer m'attire tel un aimant gigantesque. Je m'y glisse avec délicatesse. Je frissonne. L'eau, même si elle doit quasiment atteindre les trente degrés, paraît fraîche face à la température caniculaire environnante. Je m'immerge totalement, bascule la tête en arrière, mes cheveux viennent chatouiller le bas de mes reins. Je fais quelques brasses, le courant vient jouer avec mes lèvres. Je me mord très légèrement la langue : Dieu que c'est bon. L'eau est tellement claire que, si quelqu'un arrive, il aura droit à un beau spectacle. Étrangement, la perspective qu'un voyeur soit présent ne m'effraie pas : les rêves sont révélateurs de tous les désirs, n'est-ce pas ?
Je m'arrête quelques instants, le niveau de la mer m'arrive en haut de la poitrine. Je ne tiens plus. Je ferme les yeux, glisse une main le long de mon ventre, atteint mes premiers poils pubiens, descend encore un peu, juste un peu, atteint des endroits interdits. D'une main, j'écarte mes lèvres. L'autre glisse entre, effectue un délicieux mouvement de va et vient...
Mais, malheureusement, le plaisir est de courte durée. Je sens une main de fer attraper mes deux poignets, les glisser en arrière, telle une paire de menottes. Je reconnais immédiatement ton odeur, celle qui me rend littéralement dingue. Je souffle :
« Tu en as mis du temps. »« Navré princesse, laisse-moi me faire pardonner comme il se doit. »
Tes lèvres agrippent mon cou, tu me noies sous tes baisers. J'aurais certainement quelques marques, quand tu t'arrêtes et commence à me faire quelques suçons. Tant mieux. J'aime t'avoir dans la peau. Mes mains se rejoignent derrière ta tête, je caresse tes cheveux bruns bouclés. Sur mes fesses je sens déjà ton pénis gonfler, qui laissera bientôt apparaître dix-huit centimètres de puissance bestiale. Tes mains sont plus baladeuses qu'à l'ordinaire, elles rejoignent mes seins gonflés et mes petits tétons déjà durcis par l'eau fraîche. Tu agrippes ma poitrine, la malaxe, titille les petits bouts de chair plusieurs minutes jusqu'à ce qu'ils prennent un éclat un peu plus rouge, je souffle longuement. Je tourne la tête, ta langue vient se mêler à la mienne avec passion alors que tes doigts continuent leur longue exploration. J'écarte les jambes dans un automatisme. Tu m'arraches un premier gémissement quand tu glisses deux doigts dans mon antre sans t'attarder ailleurs au préalable. Tu vas loin, toujours plus loin : t'ais-je seulement déjà dit ô combien j'aime tes longues mains ? Tu retires des doigts, t'amuse à nouveau avec mes seins, l'un après l'autre, me pénètre à nouveau. Ta voix est douce, ton parfum est fruité, j'aime cette nouvelle attitude, presque féroce. Tu écartes mes lèvres, vient jouer avec mon clitoris, le titille, le tire, le frotte : tu as trouvé mon point faible. Je ferme les yeux, gémis comme un animal blessé. Je ne tiens plus, je te supplie presque, dans un murmure :
« Prends-moi. »« Tes désirs sont des ordres. »
Tu me susurres les mots suivants à l'oreille, je me retourne. Tu attrapes mes jambes, me hisse dans tes bras, je m'agrippe autour de ta taille et de ton cou. Dans l'eau, je ne suis plus qu'une poupée, un pantin ; j'aime cette idée de t'appartenir corps et âme.
Tu me sors de l'eau, tu me laisses reposer sur le sable, juste au bord de l'eau, alors que mes pieds sont encore à l'intérieur. J'écarte les cuisses. C'est à peine si j'ai le temps de voir ton sexe durci au plus haut point que tu l'enfonces au plus profond de moi, sans aucune autre forme de jugement. Tu viens m'embrasser dans le cou, à nouveau. Tu sors de moi, je sens parfaitement la forme de ton pénis en moi, je deviens folle. Je ferme les yeux. Tes pénétrations sont de plus en plus brutales, le bruit de tes couilles contre mes fesses accompagne celui de mes hurlements aigus. Je sens bientôt mon sexe dégouliner de mouille. Je glisse une main, m'acharne sur mon clitoris. Alors que tu commences à ralentir, je sens un premier orgasme monter en moi.
« Par pitié, ne... T'arrête pas ! »
Tu repars de plus belle. De tout mon être, je me retrouve agitée d'un long électrochoc, brutal, violent, mais tellement, tellement bon ! Ton sourire satisfait m'envoie plus loin encore. Tu peux être fier de toi, beau prince. Tu te retires, m'ordonne de retourner. Me voilà à quatre pattes, tête baissée, les cheveux trempés et recouverts de sable. Je t'attends, les yeux fermés. Tes mains viennent écarter mes fesses rebondies, je sens ta langue se glisser entre mes lèvres gonflées, me pénétrer de quelques centimètres. Tu aimes mon parfum le plus intime, pas vrai ? Tu joues avec mon sexe qui t'appartient totalement depuis le début, tu le sais, tu m'aimes encore plus pour ça. Je gémis, je te parle, je hurle, je ne me contrôle plus. Tu te redresses, à genoux derrière-moi, me pénètre à nouveau violemment. Je me tiens plus droite, tu m'attrapes les seins, m'embrasse les épaules. Nos deux cœurs s'accordent dans une danse parfaitement harmonieuse et cette scène est somptueuse. Tes soupirs se font de plus en plus puissants, de plus en plus rauques. Tu vas venir. Je te connais.
« Reste... Reste, je veux... Te sentir ! »
Je te supplie encore quelques instants, je suis trempée.
Je me réveille brutalement, trempée de sueur et de mouille. J'arrache ma petite culotte, mais... Je doute que la fin de ma nuit intéresse qui que ce soit, pas vrai ?
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Apocalypse Please
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour
C'est votre premier récit. Il est excellent, bien rédigé, très sensuel et délicieusement
excitant.
Merci et bravo
C'est votre premier récit. Il est excellent, bien rédigé, très sensuel et délicieusement
excitant.
Merci et bravo