Oser franchir le premier pas
Récit érotique écrit par ASPALDAC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Oser franchir le premier pas
Oser franchir le pas est toujours un instant magique... mais quelle montée d'adrénaline à cause des préliminaires.
Et pourtant, comme le dit la chanson : « C'est un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître ». Plutôt ceux de trente ans car, à l'époque la mixité dans les établissements scolaires n'existe pas. C'est aussi le temps des comparaisons et surtout, de l'insouciance.
C'est ainsi qu'en primaire, à la récréation, le moindre petit coin dans la cour est idéal pour jouer au docteur à travers les vêtements... sans parler des contacts très intimes lors des voyages en car.
Durant mes humanités, c'est dans l'amphithéâtre que les professeurs nous donnent cours pour mieux les agrémenter de films ou de conférences didactiques, évidemment, mais souvent monotones.
En tout cas, c'est l'endroit rêvé pour mater un de mes condisciples de classe, à peine plus jeune, et qui m'excite terriblement à force de toujours se gratter le bas ventre. Et je sais qu'il me provoque ayant remarqué depuis longtemps où se posaient mes yeux à cause de la déformation de mon jean !
Pourquoi, dès lors, ne pas joindre l' »utile au désagréable » ?
GO ! Aujourd'hui, je franchis le pas.
Assis à côté de lui, dans le noir, j'anticipe le moment où il pose la main sur son entrejambe.... Et il me laisse faire ! Mais ne poussons pas cette alléchante investigation en ouvrant la braguette car les lumières peuvent se rallumer à tout moment pour incidents techniques ou une fin en queue... de boudin !
Pendant que l'on regagne notre classe pour le cours suivant, il accepte que je le raccompagne au métro vers 16 h 30.
Sitôt dit, sitôt fait ! D'ailleurs, c'est génial, cette station possède un immense parking et je vais enfin pouvoir mettre un terme à cette excitation refoulée.
Connaissant les lieux, je l'emmène directement au cinquième sous-sol. Rapidement, nos frocs et slips descendent sur les chevilles et, en effet, cela confirme ma rapide palpation de ce matin. Quel magnifique bijou et quelle honte de cacher ce chef d’œuvre aux yeux des connaisseurs en art sexuel !
Mais, nous sommes dans un lieu public et, en plus, le vendredi ses parents revenant plus tôt du boulot n'apprécient pas que le fiston traîne en route... avec n'importe qui !!! Merci pour le « n'importe qui ! »
Je branle enfin l'objet tant convoité, lui masturbe le mien et seulement deux minutes plus tard, nos jus mélangés se répandent sur le sol. Quel gâchis mais que ça fait du bien de se vider les couilles devant l'élu de son cœur !
Le week-end se passe et Benjamin ne cesse de me hanter. Je culpabilise de l'avoir provoqué en duel... érotique.
C'est donc l'estomac noué que je reviens le lundi au lycée et, comme par hasard, en même temps que lui
« Salut, t'as bien récupéré ? me demande-t-il avec un petit air enjoué.
« Salut Ben... Oui et toi ? » sur un ton assez embarrassé.
« J'ai la pêche car tu m'as dépucelé et j'aimerais bien remettre cela »
Interloqué par cette révélation j'en bafouille : « Ah oui... Où et quand ? »
« Passe à la maison mercredi après-midi. Ma grand-mère est toujours de sortie. Mais si elle change d'avis, tu verras un morceau de chiffon pendre à la fenêtre ! »
« O.K. »
Enfin, mercredi !!! Super ! Aucun signal d'alarme ! Je fonce. La porte s'ouvre et, caché derrière, il est déjà en mini-slip.
« Entre vite. On monte dans ma chambre ».
Il nous enferme et me déshabille tout en me caressant : « Putain. Ça te fait bander à mort ! »
Benjamin se jette sur son lit, effectue un demi cumulet arrière et se met la bite en bouche, m'offrant ainsi une vue imprenable sur son « puits du cul ! »
Quel veinard. Il se pompe avec une telle avidité. Toujours debout au bord du plumard, je saisis le pot de vaseline pour lui en étaler une bonne couche sur la raie, les parois du volcan anal et ma houlette... car, dans ces années-là, le SIDA,... on ne connaît pas !
Alors, tel un explorateur, je pénètre « en terre inconnue ». Il gémit un peu mais continue à se sucer.
Nous sommes, en tout cas, plus décontractés qu'au rendez-vous souterrain, sans doute équipé de caméras! Et tant pis si le vigile du parking nous a matés. Peut-être y a-t-il aussi participé ? Après tout, on est majeurs. Mais rien que d'y penser ma queue gonfle... mais pas à vue d’œil. Elle fait sa timide.
Et la locomotive se met en branle. Il m'enserre avec ses sphincters tout en me poussant les fesses afin de plonger davantage à l'intérieur de son cratère. Puis, ses mains enduites de vaseline, il me badigeonne également la raie.
« Que c'est bon Ben. Fais tout de même gaffe. J'ai peur d'éjaculer trop vite »
Il me répond en haussant les épaules pendant que mes doigts lui malaxent les couilles.
De son côté, avec l'index et le majeur de la main gauche et ceux à droite, il écarte largement l'entrée de ma grotte, sans se soucier de la douleur. Que du contraire, il me déchire littéralement.
Il l'aura voulu. Je lui presse les burnes. Et vlan un coup de désapprobation dans les miennes.
Quel sauvage sexuel. Pas étonnant s'il n'a jamais déniché de partenaire. De toute façon, il n'en a pas besoin. Sa pine en bouche, ses doigts dans le trou de balle... On n'est jamais mieux servi que par soi-même. Et au même moment je réalise que mon fusil à pompe lui sert en fait de gode. Tiens, prends ça, troufion ! Il réagit à mon coup de reins par une magistrale fessée.
D'accord. Il a gagné. Je me soumets et Benjamin est ravi d'enfin pouvoir me dominer.
Il a trouvé un nouveau jeu : renvoyer mes boules dans les alcôves. Ce n'est pas évident avec la pression sur son fion et, constatant qu'il se referme, m'y introduit trois doigts pendant qu'avec l'autre main, la partie de billes continue de plus belle et mes va-et-vient aussi... avec de plus en plus de difficultés à ne pas « dérailler » dans cette escalade vers l'orgasme.
Tout à coup, peut-être à cause de mon abondante transpiration qui dégouline sur son torse, il me repousse violemment, se met à genoux et j’engloutis son chibre pour boire avec délectation ses nombreux jets de foutre.
Il me tire sur le lit en me faisant pivoter. Puis descendant mon prépuce au maximum, frotte mon gland entre ses paumes pareil au bout de bois encore utilisé chez les aborigènes pour allumer un feu ! Et, en effet, ça brûle ! Sentant monter la sève, je dois effectuer un demi cumulet arrière pour placer ma queue dans l'axe de la bouche. Il continue à me branler et, dans un ultime soubresaut, malgré la distance, mon jus atterrit juste dans le mille. Je reprends une position un peu plus confortable et il se précipite pour lécher les gouttes qui s'échappent encore de ma queue. Il faut effacer toutes les traces de nos puissantes éruptions volcaniques !
« 16 h 30. Grouille !, avale tout, rhabille-toi et faisons semblant de réviser ».
Et, en effet, le portail s'ouvre pendant qu'il aère la pièce.
« Ouf Benjo. On l'a échappé belle ! C'est ta grand-mère »
« Oui. Et je te l'avais bien dit, c'est trop risqué. Alors, restons-en là »
« Dommage. Mais d'accord. A présent, tu es sexuellement émancipé. A toi désormais de savoir si tu es hétéro ou homo. Et si t'es GAY... ris donc ! car il n'y a pas de « mâle » à se faire du BIEN... « jamin ! »
Et pourtant, comme le dit la chanson : « C'est un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître ». Plutôt ceux de trente ans car, à l'époque la mixité dans les établissements scolaires n'existe pas. C'est aussi le temps des comparaisons et surtout, de l'insouciance.
C'est ainsi qu'en primaire, à la récréation, le moindre petit coin dans la cour est idéal pour jouer au docteur à travers les vêtements... sans parler des contacts très intimes lors des voyages en car.
Durant mes humanités, c'est dans l'amphithéâtre que les professeurs nous donnent cours pour mieux les agrémenter de films ou de conférences didactiques, évidemment, mais souvent monotones.
En tout cas, c'est l'endroit rêvé pour mater un de mes condisciples de classe, à peine plus jeune, et qui m'excite terriblement à force de toujours se gratter le bas ventre. Et je sais qu'il me provoque ayant remarqué depuis longtemps où se posaient mes yeux à cause de la déformation de mon jean !
Pourquoi, dès lors, ne pas joindre l' »utile au désagréable » ?
GO ! Aujourd'hui, je franchis le pas.
Assis à côté de lui, dans le noir, j'anticipe le moment où il pose la main sur son entrejambe.... Et il me laisse faire ! Mais ne poussons pas cette alléchante investigation en ouvrant la braguette car les lumières peuvent se rallumer à tout moment pour incidents techniques ou une fin en queue... de boudin !
Pendant que l'on regagne notre classe pour le cours suivant, il accepte que je le raccompagne au métro vers 16 h 30.
Sitôt dit, sitôt fait ! D'ailleurs, c'est génial, cette station possède un immense parking et je vais enfin pouvoir mettre un terme à cette excitation refoulée.
Connaissant les lieux, je l'emmène directement au cinquième sous-sol. Rapidement, nos frocs et slips descendent sur les chevilles et, en effet, cela confirme ma rapide palpation de ce matin. Quel magnifique bijou et quelle honte de cacher ce chef d’œuvre aux yeux des connaisseurs en art sexuel !
Mais, nous sommes dans un lieu public et, en plus, le vendredi ses parents revenant plus tôt du boulot n'apprécient pas que le fiston traîne en route... avec n'importe qui !!! Merci pour le « n'importe qui ! »
Je branle enfin l'objet tant convoité, lui masturbe le mien et seulement deux minutes plus tard, nos jus mélangés se répandent sur le sol. Quel gâchis mais que ça fait du bien de se vider les couilles devant l'élu de son cœur !
Le week-end se passe et Benjamin ne cesse de me hanter. Je culpabilise de l'avoir provoqué en duel... érotique.
C'est donc l'estomac noué que je reviens le lundi au lycée et, comme par hasard, en même temps que lui
« Salut, t'as bien récupéré ? me demande-t-il avec un petit air enjoué.
« Salut Ben... Oui et toi ? » sur un ton assez embarrassé.
« J'ai la pêche car tu m'as dépucelé et j'aimerais bien remettre cela »
Interloqué par cette révélation j'en bafouille : « Ah oui... Où et quand ? »
« Passe à la maison mercredi après-midi. Ma grand-mère est toujours de sortie. Mais si elle change d'avis, tu verras un morceau de chiffon pendre à la fenêtre ! »
« O.K. »
Enfin, mercredi !!! Super ! Aucun signal d'alarme ! Je fonce. La porte s'ouvre et, caché derrière, il est déjà en mini-slip.
« Entre vite. On monte dans ma chambre ».
Il nous enferme et me déshabille tout en me caressant : « Putain. Ça te fait bander à mort ! »
Benjamin se jette sur son lit, effectue un demi cumulet arrière et se met la bite en bouche, m'offrant ainsi une vue imprenable sur son « puits du cul ! »
Quel veinard. Il se pompe avec une telle avidité. Toujours debout au bord du plumard, je saisis le pot de vaseline pour lui en étaler une bonne couche sur la raie, les parois du volcan anal et ma houlette... car, dans ces années-là, le SIDA,... on ne connaît pas !
Alors, tel un explorateur, je pénètre « en terre inconnue ». Il gémit un peu mais continue à se sucer.
Nous sommes, en tout cas, plus décontractés qu'au rendez-vous souterrain, sans doute équipé de caméras! Et tant pis si le vigile du parking nous a matés. Peut-être y a-t-il aussi participé ? Après tout, on est majeurs. Mais rien que d'y penser ma queue gonfle... mais pas à vue d’œil. Elle fait sa timide.
Et la locomotive se met en branle. Il m'enserre avec ses sphincters tout en me poussant les fesses afin de plonger davantage à l'intérieur de son cratère. Puis, ses mains enduites de vaseline, il me badigeonne également la raie.
« Que c'est bon Ben. Fais tout de même gaffe. J'ai peur d'éjaculer trop vite »
Il me répond en haussant les épaules pendant que mes doigts lui malaxent les couilles.
De son côté, avec l'index et le majeur de la main gauche et ceux à droite, il écarte largement l'entrée de ma grotte, sans se soucier de la douleur. Que du contraire, il me déchire littéralement.
Il l'aura voulu. Je lui presse les burnes. Et vlan un coup de désapprobation dans les miennes.
Quel sauvage sexuel. Pas étonnant s'il n'a jamais déniché de partenaire. De toute façon, il n'en a pas besoin. Sa pine en bouche, ses doigts dans le trou de balle... On n'est jamais mieux servi que par soi-même. Et au même moment je réalise que mon fusil à pompe lui sert en fait de gode. Tiens, prends ça, troufion ! Il réagit à mon coup de reins par une magistrale fessée.
D'accord. Il a gagné. Je me soumets et Benjamin est ravi d'enfin pouvoir me dominer.
Il a trouvé un nouveau jeu : renvoyer mes boules dans les alcôves. Ce n'est pas évident avec la pression sur son fion et, constatant qu'il se referme, m'y introduit trois doigts pendant qu'avec l'autre main, la partie de billes continue de plus belle et mes va-et-vient aussi... avec de plus en plus de difficultés à ne pas « dérailler » dans cette escalade vers l'orgasme.
Tout à coup, peut-être à cause de mon abondante transpiration qui dégouline sur son torse, il me repousse violemment, se met à genoux et j’engloutis son chibre pour boire avec délectation ses nombreux jets de foutre.
Il me tire sur le lit en me faisant pivoter. Puis descendant mon prépuce au maximum, frotte mon gland entre ses paumes pareil au bout de bois encore utilisé chez les aborigènes pour allumer un feu ! Et, en effet, ça brûle ! Sentant monter la sève, je dois effectuer un demi cumulet arrière pour placer ma queue dans l'axe de la bouche. Il continue à me branler et, dans un ultime soubresaut, malgré la distance, mon jus atterrit juste dans le mille. Je reprends une position un peu plus confortable et il se précipite pour lécher les gouttes qui s'échappent encore de ma queue. Il faut effacer toutes les traces de nos puissantes éruptions volcaniques !
« 16 h 30. Grouille !, avale tout, rhabille-toi et faisons semblant de réviser ».
Et, en effet, le portail s'ouvre pendant qu'il aère la pièce.
« Ouf Benjo. On l'a échappé belle ! C'est ta grand-mère »
« Oui. Et je te l'avais bien dit, c'est trop risqué. Alors, restons-en là »
« Dommage. Mais d'accord. A présent, tu es sexuellement émancipé. A toi désormais de savoir si tu es hétéro ou homo. Et si t'es GAY... ris donc ! car il n'y a pas de « mâle » à se faire du BIEN... « jamin ! »
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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tro belle ton hitoire j en bande comme un ouf