Ou je prends la température de l'infirmière
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2007 dans la catégorie A dormir debout
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Ou je prends la température de l'infirmière
<p>Je venais d'être opéré de l'appendicite et me trouvais donc à la clinique juste à la veille de ma sortie, c'était un dimanche soir et je dois dire que les infirmières dévouées et gentilles n'étaient pas des canons, mais on est pas à l'hosto pour baiser mais pour être soigné.
Je regardais le journal télé de 20h00, lorsque le porte de la chambre s'ouvrit sur une jeune infirmière en blouse sous laquelle je devinais qu'elle ne devait porter qu'une culotte. Elle me salua et me dit qu'elle remplaçait sa collègue de nuit celle-ci étant malade. Je lui rétorquais que je ne pouvais m'en plaindre et alors qu'elle se penchait pour prendre mon pouls je pus constater qu'elle avait des petits seins en poire fermes et prêt à fondre dans la bouche. Elle prit ensuite ma tension, et tout allait bien, je lui dit avant qu'elle ne sorte que j'étais étonné que ma tension soit bonne car avec ce que j'avais vu dans son décolleté il y avait de quoi la faire monter.
Elle me dit, normalement il n'y a pas que la tension qui monte, pas chez vous,?
Et elle quitta la chambre en me disant qu'elle passerait à la fin de sa tournée pour voir si je n'avais besoin de rien.
Je continuais donc à regarder la télé, mais mes pensées allaient vers l'infirmière.
Vers 22h00, la porte s'ouvrit, et elle me demanda si je n'avais besoin de rien avant de dormir, je lui dit alors que ma cicatrice me faisait un peu mal, si elle voulait regarder.
Elle s'approcha du lit, ouvrit les draps et comme je portait un pyjama elle me demanda de le baisser pour vérifier la cicatrice.
Je baissais mon pantalon plus que besoin et de ce fait je dévoilais mon sexe qui était en semi érection.
Elle souleva mon pansement et me rassura, disant que c'était normal la cicatrisation est un peu douloureuse les premiers jours. Qu'en revanche le problème semblait plus bas et qu'elle pouvait s'en occuper. Disant cela elle saisit ma queue et commença à me branler doucement ce qui eut pour effet de me faire bander comme un âne, en même temps j'avais ouvert les premiers boutons de sa blouse et lui caressais les seins dont les bouts dardaient comme de petites bites.
Sa bouche remplaça bientôt sa main et elle me suça divinement avalant mes 19cm jusqu'au fond de sa gorge, ma queue était trempée de salive, je lui fis remarquer que bandé et mouillé comme il était mon sexe était à même de prendre sa température.
Elle me dit que vu mon opération, cela ne serait pas prudent, la cicatrice risquait de craquer dans l'exercice.
Je lui dit qu'en se mettant sur le ventre allongée sur le lit dont on pouvait régler la hauteur je pourrais aisément lui prendre sa température.
Une fois installée, elle s'écarta les fesses me présentant sa petite chatte épilée et son anus que j'apprivoisais d'un puis de deux doigts avant de l'enculer profondément mais lentement, elle mordait l'oreiller pour ne pas alerter les autres malades.
Je dois dire que l'antre de mon infirmière était bouillant et elle devait avoir le feu au cul si elle avait une température corporelle normale.
Après plusieurs va et viens dans ce divin réceptacle je ne pus me retenir (j'étais sevré depuis dix jours) je déchargeais dans son boyau de longs jets de foutre, juste à ce moment son bip l'avertissait qu'un malade avait besoin d'elle.
Elle me quittât donc en me roulant une pelle sur la bouche et une sur la queue, je savais que je ne la reverrais jamais.
Je veux ici rendre hommage au personnel hospitalier et dire que si j'ai été opéré d'une appendicite, l'infirmière si dévouée n'était qu'un doux phantasme.
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Je regardais le journal télé de 20h00, lorsque le porte de la chambre s'ouvrit sur une jeune infirmière en blouse sous laquelle je devinais qu'elle ne devait porter qu'une culotte. Elle me salua et me dit qu'elle remplaçait sa collègue de nuit celle-ci étant malade. Je lui rétorquais que je ne pouvais m'en plaindre et alors qu'elle se penchait pour prendre mon pouls je pus constater qu'elle avait des petits seins en poire fermes et prêt à fondre dans la bouche. Elle prit ensuite ma tension, et tout allait bien, je lui dit avant qu'elle ne sorte que j'étais étonné que ma tension soit bonne car avec ce que j'avais vu dans son décolleté il y avait de quoi la faire monter.
Elle me dit, normalement il n'y a pas que la tension qui monte, pas chez vous,?
Et elle quitta la chambre en me disant qu'elle passerait à la fin de sa tournée pour voir si je n'avais besoin de rien.
Je continuais donc à regarder la télé, mais mes pensées allaient vers l'infirmière.
Vers 22h00, la porte s'ouvrit, et elle me demanda si je n'avais besoin de rien avant de dormir, je lui dit alors que ma cicatrice me faisait un peu mal, si elle voulait regarder.
Elle s'approcha du lit, ouvrit les draps et comme je portait un pyjama elle me demanda de le baisser pour vérifier la cicatrice.
Je baissais mon pantalon plus que besoin et de ce fait je dévoilais mon sexe qui était en semi érection.
Elle souleva mon pansement et me rassura, disant que c'était normal la cicatrisation est un peu douloureuse les premiers jours. Qu'en revanche le problème semblait plus bas et qu'elle pouvait s'en occuper. Disant cela elle saisit ma queue et commença à me branler doucement ce qui eut pour effet de me faire bander comme un âne, en même temps j'avais ouvert les premiers boutons de sa blouse et lui caressais les seins dont les bouts dardaient comme de petites bites.
Sa bouche remplaça bientôt sa main et elle me suça divinement avalant mes 19cm jusqu'au fond de sa gorge, ma queue était trempée de salive, je lui fis remarquer que bandé et mouillé comme il était mon sexe était à même de prendre sa température.
Elle me dit que vu mon opération, cela ne serait pas prudent, la cicatrice risquait de craquer dans l'exercice.
Je lui dit qu'en se mettant sur le ventre allongée sur le lit dont on pouvait régler la hauteur je pourrais aisément lui prendre sa température.
Une fois installée, elle s'écarta les fesses me présentant sa petite chatte épilée et son anus que j'apprivoisais d'un puis de deux doigts avant de l'enculer profondément mais lentement, elle mordait l'oreiller pour ne pas alerter les autres malades.
Je dois dire que l'antre de mon infirmière était bouillant et elle devait avoir le feu au cul si elle avait une température corporelle normale.
Après plusieurs va et viens dans ce divin réceptacle je ne pus me retenir (j'étais sevré depuis dix jours) je déchargeais dans son boyau de longs jets de foutre, juste à ce moment son bip l'avertissait qu'un malade avait besoin d'elle.
Elle me quittât donc en me roulant une pelle sur la bouche et une sur la queue, je savais que je ne la reverrais jamais.
Je veux ici rendre hommage au personnel hospitalier et dire que si j'ai été opéré d'une appendicite, l'infirmière si dévouée n'était qu'un doux phantasme.
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