Où les courses se terminent en va et vient avec la caissière.
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 43 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Norbert ont reçu un total de 89 962 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 5 321 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Où les courses se terminent en va et vient avec la caissière.
J'étais seul à ce moment, et je faisais mes courses dans le supermarché près de chez moi, à plusieurs reprises j'avais remarqué une caissière blonde, mince mais bien foutue, avec un regard salace.
A chaque fois donc, je m'arrangeais pour passer à sa caisse.
A cette époque ils donnaient encore des sacs plastique pour mettre les achats et j'ai toujours eu des difficultés pour ouvrir ces sacrés sacs.
Cette fois encore, je n'arrivais pas a ouvrir mon sac, c'est alors que la caissière me dit en me regardant droit dans les yeux, "mouillez vos doigts, cela glisse mieux".
Je lui rétorquais qu'il n'y avait pas que pour les sacs plastique que cela glissait mieux.
Je réglais mes courses et avant que je ne quitte la caisse, elle me dit, "si l'on asseyait
votre affirmation ?". Je lui dit que ce serait avec plaisir, mais ou et quand ?
Elle me répondit, c'est la fermeture dans dix minutes, et c'est moi qui quitte la dernière, attendez, et vous verrez..
Un quart d'heure plus tard, le magasin étant vide, Anna c'était son prénom, me demanda de la suivre dans la réserve ou se trouvait son vestiaire et les toilettes.
Nous entrâmes et elle me dit, il faut que je pisse sinon je vais t'inonder en jouissant.
Elle entra dans les wc et laissant la porte ouverte m'offrit le spectacle bandant de sa miction, je voyais le jet doré fuser d'entre ses petites lèvres et je commençais à bander comme un âne.
Elle me fit signe d'approcher et sans quitter la cuvette elle ouvrit mon pantalon, caressa mon sexe à travers mon boxer, avant de le sortir et de l'engouffrer dans sa bouche comme une affamé, faisant aller et venir sa langue sur toute la longueur et descendant jusque sur mes bourses qu'elle goba et roula sur sa langue.
C'était certainement l'une des meilleurs pipes que l'on m'ait fait. Elle mettait beaucoup de salive et des filets de bave pendaient de mon gland lorsqu'elle le sortait de sa bouche.
De mon coté j'avais pris en main ses petits seins fermes à travers son corsage et son sous-tif, puis ayant fait sauter ces obstacles je lui torturais les bouts qui étaient proéminents pointant au centre d'une petite aréole brune.
Je l'invitais ensuite à se relever, je la retournais, la fit cambrer sur la lunette des Wc retroussais sa jupe, baissait un peu plus son string et découvrait un joli petit cul qui frémissait d'envie.
Je promenais ma queue trempée de salive de sa chatte à son anus et insistais légèrement sur ce dernier, elle me dit "non, non pas là, baise moi comme un e chienne, mais ne m'encule pas, je suis vierge de ce coté"
Je lui répondit que ma bitte ayant été bien mouillée de sa salive, violer cette voie royale ne serait qu'une formalité.
J'appuyais donc sur son anus et doucement mais fermement j'investissais ce lieu de délice qui m'accueillit sans trop de difficulté.
Sa rondelle apprivoisée à mon gland laissa ensuite passé le reste de ma hampe et je pu lui limer le cul de plus en plus vite et de plus en plus fort, lui arrachant d'abord des petites plaintes de douleur, puis de cris de plaisir.
Après un bon moment à l'enculer sans retenue, je senti le plaisir monter dans mes reins et lui demandais si elle voulait boire mon foutre.
Vas y salaud, maintenant que tu m'a éclaté la rondelle tu peux me décharger dans la gueule, je vais te faire reluire la bitte et te la nettoyer.
Ce qu'elle fit de la plus belle manière me refaisant rebander, je lui proposais alors de la baiser, mais elle refusa car son patron devait passer.
Je ne la revit jamais, car elle déménagea et quitta son travail.
A chaque fois donc, je m'arrangeais pour passer à sa caisse.
A cette époque ils donnaient encore des sacs plastique pour mettre les achats et j'ai toujours eu des difficultés pour ouvrir ces sacrés sacs.
Cette fois encore, je n'arrivais pas a ouvrir mon sac, c'est alors que la caissière me dit en me regardant droit dans les yeux, "mouillez vos doigts, cela glisse mieux".
Je lui rétorquais qu'il n'y avait pas que pour les sacs plastique que cela glissait mieux.
Je réglais mes courses et avant que je ne quitte la caisse, elle me dit, "si l'on asseyait
votre affirmation ?". Je lui dit que ce serait avec plaisir, mais ou et quand ?
Elle me répondit, c'est la fermeture dans dix minutes, et c'est moi qui quitte la dernière, attendez, et vous verrez..
Un quart d'heure plus tard, le magasin étant vide, Anna c'était son prénom, me demanda de la suivre dans la réserve ou se trouvait son vestiaire et les toilettes.
Nous entrâmes et elle me dit, il faut que je pisse sinon je vais t'inonder en jouissant.
Elle entra dans les wc et laissant la porte ouverte m'offrit le spectacle bandant de sa miction, je voyais le jet doré fuser d'entre ses petites lèvres et je commençais à bander comme un âne.
Elle me fit signe d'approcher et sans quitter la cuvette elle ouvrit mon pantalon, caressa mon sexe à travers mon boxer, avant de le sortir et de l'engouffrer dans sa bouche comme une affamé, faisant aller et venir sa langue sur toute la longueur et descendant jusque sur mes bourses qu'elle goba et roula sur sa langue.
C'était certainement l'une des meilleurs pipes que l'on m'ait fait. Elle mettait beaucoup de salive et des filets de bave pendaient de mon gland lorsqu'elle le sortait de sa bouche.
De mon coté j'avais pris en main ses petits seins fermes à travers son corsage et son sous-tif, puis ayant fait sauter ces obstacles je lui torturais les bouts qui étaient proéminents pointant au centre d'une petite aréole brune.
Je l'invitais ensuite à se relever, je la retournais, la fit cambrer sur la lunette des Wc retroussais sa jupe, baissait un peu plus son string et découvrait un joli petit cul qui frémissait d'envie.
Je promenais ma queue trempée de salive de sa chatte à son anus et insistais légèrement sur ce dernier, elle me dit "non, non pas là, baise moi comme un e chienne, mais ne m'encule pas, je suis vierge de ce coté"
Je lui répondit que ma bitte ayant été bien mouillée de sa salive, violer cette voie royale ne serait qu'une formalité.
J'appuyais donc sur son anus et doucement mais fermement j'investissais ce lieu de délice qui m'accueillit sans trop de difficulté.
Sa rondelle apprivoisée à mon gland laissa ensuite passé le reste de ma hampe et je pu lui limer le cul de plus en plus vite et de plus en plus fort, lui arrachant d'abord des petites plaintes de douleur, puis de cris de plaisir.
Après un bon moment à l'enculer sans retenue, je senti le plaisir monter dans mes reins et lui demandais si elle voulait boire mon foutre.
Vas y salaud, maintenant que tu m'a éclaté la rondelle tu peux me décharger dans la gueule, je vais te faire reluire la bitte et te la nettoyer.
Ce qu'elle fit de la plus belle manière me refaisant rebander, je lui proposais alors de la baiser, mais elle refusa car son patron devait passer.
Je ne la revit jamais, car elle déménagea et quitta son travail.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Norbert
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...
