Paméla et le train - histoire érotique

Cette histoire est celle que l'on pourrait qualifier de plus "normale" qui m'est arrivée ces derniers mois, et qui me tient particulièrement à cœur, elle s'est passée avec une collègue à qui je tiens beaucoup, Paméla. Nous sommes barman (et barmaid) dans les tgv. Je me prénomme Michel, 1m65 pour 56 kg, châtain et assez mignon, quand à Pam, elle est aussi fine que moi, les cheveux courts et blonds. Elle a un sourire à craquer et de petits yeux rieurs, une voix douce, accentuée d'un léger (et rigolo) accent alsacien.
Nous revenions de Paris, en tant que passagers, car le matin nous y étions allés depuis 6h15. Nous nous sommes installés tout au bout du train, dans le compartiment de seconde classe situé après la première. Comme nous étions très fatigués on appréciait de se trouver seuls dedans. Après que le contrôleur soit passé, nous avons pris nos aises. C'est à dire enlevé nos chaussures et s'allongé sur les sièges, face à face. Au lieu de nous reposer, nous avons discuté, de tout de rien, de ses chagrins d'amour surtout. Il restait pour plus d'une heure de voyage, mais la soif se faisait sentir. Je propose à Pam de lui payer un verre, histoire de fêter ce sympathique voyage. Elle accepte volontiers et je me dirige vers le bar, où j'achète 2 petites bouteilles de vin blanc.
Je retourne la retrouver et me demande si je suis sérieux avec mes deux petites bouteilles. Je lui répond tout simplement que je me sens bien avec elle et que je voulais mettre le petits plats dans les grands, mais si ça la dérange, je vais les échanger chez le collègue contre du coca !
Elle me dit d'un ton amusé, que je ne me dérange pas, elle adore le vin blanc. Nous trinquons donc tous les deux et les bouteilles se vident très vite, ce qui à pour effet de nous faire un peu tourner la tête.
Pam, s'approche de moi et m'embrasse langoureusement, puis elle me dit merci. Je lui retourne son baiser, mais sans rien dire, et passe ma main gauche sur sa hanche. Comme je sens qu'elle se laisse faire, je place également ma main droite, et subtilement je place mes mains sous son polo pour sentir sa peau que je caresse.
Je la sens qui s’emporte, mais ne se rebelle pas ! A son tour elle passe ses mains sous mon polo, sur mes abdos, et devient subitement entreprenante, en passant sa main sur mon sexe, qui était pris d'une violente érection. Alors que je m’apprêtais à lui dire, Pam me dit clairement " j'ai envie de toi "....j'ai retiré ma main droite de sa hanche pour la passer sous sa jupe. Elle avait un string, que j'écarte délicatement, et je commence à jouer de mes doigts. Je lui caresse gentiment le clito et lui met deux doigts dans la chatte puis je m'active à faire des va-et-vient de plus en plus rapide. Je retire mes doigts et caresse l'extérieur de sa chatte en allant bien à son petit trou pour l'humidifier et dès que j'ai senti qu'elle était totalement en extase, j'y ai glissé mon majeur puis mis mon pouce dans son vagin. Je lui ai doigté son petit cul et sa petite chatte comme ca pendant de délicieuses minutes, et s'approchant de mon oreille, elle me supplie de la baiser. Comme elle est très légère, je la serre contre mon moi, la soulève, et la pose assise sur la tablette centrale. Heureusement que c'est un jour sans pratiquement aucun passager, je bandais tellement fort que j'aurais pu faire une attaque. Je me contente d'ouvrir ma braguette, je lui écarte les jambes, m'agrippe à nouveau bien fort à elle qui s’enfonce mon dard bien profondément. Elle s'accroche à mes épaules et m'enfonce ses ongles dans mon dos. Je la pistonne avec force, en transe en la serrant toujours très fort. Je commence à l'entendre gémir, et, pour plus de discrétion, dans un éclair de lucidité, je colle ma bouche à la sienne pour la faire taire. Nos langues s'entremêlent aux rythmes frénétiques de mes coups de hanches. Ca petite chatte est très serrée, humide mais serrée et je sens que je vais jouir. Je descends mes mains sur son petit cul, que j'empoigne très fort, et la plaque violement contre ma queue jusqu'à la garde. Là j'éjacule à grandes saccades et chaque jet que je lui envoie la fait trembler. Je suis resté quelques instants en elle, en l’enlaçant et je me suis retiré doucement. Nous arrivions en gare de toute façon, nous sommes descendu, silencieux, et nous sommes chacun rentré chez soi. Depuis quand on se croise, devinez .......
Si cette histoire vous a plu, donnez moi vos commentaires car elle n'est qu'une parmi tant d'autres dans ma jeune carrière sexuelle à travers les rails de France ....
michel.burkhard@live.fr