Parcours croisés – Samedi
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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Parcours croisés – Samedi
Parcours croisés – Samedi
Chapitre 38
Jonathan
Nelly est venue me retrouver ce matin dans ma chambre vers 9 heures. Je dormais encore et quand j’ai entendu frapper à ma porte, j’ai cru que c’était mon patron qui avait besoin de quelque chose. Et puis c’était elle, toute mignonne avec sa jupe plissée et son chemisier blanc, et moi, avec le caleçon informe que j’avais gardé pour dormir … Elle est entrée sans rien dire, jetant un œil autour d’elle.
- Tu devais pas être chez ta tante ? Je croyais te retrouver là-bas …
- Je suis venue te chercher pour aller voir Kévin …
- Pour quoi faire ? Tu veux que je vienne avec toi ?
- Oui … il faut que je lui parle …
Heureusement ma chambre était propre ; depuis qu’elle était passée me chercher la dernière fois, je faisais plus attention à ranger et à pas laisser traîner mes habits partout ; même ma vaisselle était rangée.
- … et je veux que tu m’accompagnes …
- Il m’aime pas beaucoup, Kévin ! ça va pas lui plaire de me voir !
- … s’il te plaît …
- D’accord …
J’ai pris mon jeans qui était sur le dos de la chaise pour l’enfiler :
- Tu vas quand même pas rester avec ce caleçon ? T’as dormi avec ! Change-toi !
Quand elle est comme ça, elle ressemble à sa tante ! le ton sec, et toujours à donner des ordres … bon, ça me déplaît pas … mais quand même, elle pourrait être plus gentille avec moi. J’ai fouillé dans le tiroir de ma commode pour trouver un autre caleçon ; elle s’était assise sur la chaise devant mon ordinateur et elle me surveillait, les bras croisés. Chez sa tante, on se déshabillait ensemble, mais là, dans ma chambre, c’était différent et je lui ai tourné le dos pour me changer :
- Viens ici …
Debout devant mon évier elle avait pris le gant que je suspends à un crochet collé sur le carrelage et elle versait du savon à main dessus :
- Allez, viens … c’est pas comme si c’était la première fois ! Tu dois changer Jonathan ! J’ai vu que t’avais rangé, c’est plus propre que la dernière fois … mais il faut aussi être propre sur toi, changer de sous-vêtement et te laver …
- J’aurais pris une douche, tu sais …
- Approche !
Tout en parlant, elle m’a passé le gant sur la figure et dans le cou en se tenant à mon bras :
- Je vais dire à Kévin que je veux plus sortir avec lui … je veux que tu sois là quand je lui dirai …
Elle s’est accroupie devant moi :
- Baisse ton caleçon !
Elle passe le gant de toilette sur mes fesses et entre mes jambes …
- T’as encore mal ?
- Oui, ça me brûle encore, et ça saigne un peu …
- J’ai fait exprès, tu sais, je savais que tu aurais mal …
- Ça va passer, c’est pas grave … et puis je t’en veux pas …
- Tu ne m’en veux pas ! tu es sûr de toi ?
- Oh, oui bien sûr ! t’es bête …
- Donc si je te faisais encore mal, tu ne m’en voudrais pas ?
- … tu veux me faire mal ? …
- Te faire du bien … et peut-être mal aussi … tu aimerais, Jonathan ?
- … je sais pas …
- Mauvaise réponse ! Dis-moi que tu le veux !
- … je le veux, alors …
Elle m’a fait tourner vers elle et a commencé à me laver le sexe ; je me suis mis à bander. C’est bête, mais cette fois, j’aurais préféré rester … normal. J’ai essayé de penser à autre chose qu’à sa main ; comme si je la sentais pas. Et puis j’ai baissé les yeux et elle me regardait, avec ses yeux tristes, mais avec un tout petit sourire, et elle me lavait plus, elle me caressait avec sa main dans le gant …
- Arrête, Nelly …
… et elle a continué, tout doucement, sa main me serrait presque pas, montant et descendant sur mon sexe avec le gant plein de savon … elle s’est relevée et a passé le gant sous l’eau chaude, elle m’a rincé, m’a essuyé avec la serviette de toilette accrochée au clou à côté de l’évier, et elle a repris mon sexe dans sa main nue, en se tenant à ma cuisse de l’autre. J’ai senti que j’allais jouir et je me suis détourné un peu … elle a continué à me caresser, longtemps, sans jamais changer de rythme, toujours tout doucement en glissant de haut en bas du sexe, jusqu’à ce que je redevienne tout mou.
Elle a grimacé en se relevant et a dû s’appuyer sur mon bras :
- T’as mal ? c’est depuis hier ? c’est tes anneaux ?
Elle a fait signe que oui et s’est assise sur la chaise :
- J’ai trop marché, hier, je crois …
- T’es pas restée chez ta tante ?
- On est allées à Paris … pour toi …
- Comment ça ?
- … tu sais … les photos qu’elle t’a montrées … elle voulait acheter ce qu’il lui fallait. Elle a voulu que je l’accompagne, et j’ai trop marché … en bougeant, ils frottent et ça me fait mal …
- Mais … elle veut m’en mettre aussi ? c’était vrai, alors …
- Oui … cet après-midi … et à moi aussi, le dernier …
- Ça me fait peur, Nelly … je suis pas aussi courageux que toi … elle le sait que t’as encore mal ?
- Non, je lui ai pas dit … c’est un peu gonflé, c’est normal … passe le gant sous l’eau froide et donne-le moi !
Elle a soulevé sa jupe et l’a coincée sous sa taille.
- Pourquoi t’as pas mis une culotte ? ils bougeraient moins …
- Elle ne veut pas !
- Mais elle saura pas … tu peux l’enlever avant d’aller chez elle !
- Mais non, Jonathan, tu ne comprends pas … elle m’a dit de rester comme ça, je le fais !
- Mais t’as même plus de compresses, ça pourrait s’infecter, et puis avec le gant c’est pas bon non plus …
- Donne, je te dis, le froid me fait du bien …
Les deux plus petits des anneaux fermés par une boule sur ses petites lèvres sont reliés par une petite chaînette fermée sur un pendentif brillant en forme de goutte, étirant les deux voiles minces de chair qui dépassent de plus d’un centimètre en bas de la fente du sexe. Au passage des anneaux, les chairs sont un peu gonflées. La grande lèvre percée, plus haut, est rouge, un peu enflammée, et un peu de sang en a coulé en laissant une petite traînée plus sombre.
- … on dirait que ça saigne un peu, c’est normal ?
- C’est rien !
- Dis, Nelly … elle veut me faire quoi … à moi ?
- Tu verras bien !
- Allez … dis-moi …
- Non ! Je ne te dirais rien!
- Mais elle saura pas …
- Moi je saurais. J’ai dit non, arrête !
- T’obéis toujours, toi ?
- Bien sûr, toujours ! et je veux que tu en fasses autant ! tu m’entends ? tu dois lui obéir et m’obéir à moi ! Toujours !
Elle avait un petit sourire figé sur son visage fermé ; elle ressemblait vraiment à sa tante. Elle s’est relevée, a rincé le gant dans l’évier et l’a remis sur son crochet. Elle s’est essuyée avec la serviette suspendue à côté et me l’a lancée :
- Tiens ! prends ça ! Enlève ton caleçon et allonges-toi par terre, là, à la lumière !
J’ai étendu la serviette sous la fenêtre et je me suis assis dessus. Elle a pris la mousse à raser et mon rasoir jetable sur le bord de l’évier et m’a fait allonger. Elle a étalé de la mousse sur mon ventre au-dessus du sexe et de chaque côté en débordant sur les cuisses. En tenant la peau du prépuce entre ses doigts de la main gauche, elle a commencé à raser en descendant le long de la queue, tout le tour, et ensuite elle m’a rasé le ventre, en haut jusqu’au nombril, et sur les côtés jusque sur les cuisses. Ensuite elle a rasé mes couilles en tirant la peau fort entre ses doigts, puis en-dessous et autour du cul, dans la raie des fesses. Elle m’a essuyé avec le caleçon que j’avais enlevé et sur lequel elle essuyait le rasoir de temps en temps, et a recommencé avec un rasoir neuf : elle m’a un peu coupé à deux ou trois endroits.
- Te voilà plus propre ! A partir d’aujourd’hui, tu devras t’entretenir régulièrement, compris ? … mets-toi à quatre-pattes, écarte bien tes genoux …
Je l’ai vue se baisser et enlever ses chaussures ; elle a retiré un lacet d’une chaussure et s’est mise derrière moi. Elle a noué le lacet autour de mes couilles en le serrant fort :
- Tu sais qu’on peut couper les couilles d’un homme ? ça l’empêche pas de bander …
Debout derrière moi, elle faisait bouger mes couilles avec ses orteils et donnait des petits coups dessus, de plus en plus fort, et elle a arrêté :
- Tu aimerais être mon eunuque, Jonathan ?
… et elle m’a donné un vrai coup de pied sur les couilles. Ça m’a coupé la respiration. On au-rait dit qu’on m’arrachait quelque chose dans le ventre et je me suis recroquevillé par terre, couché sur le côté, en remontant les genoux …
- Tu n’aurais plus jamais mal comme ça …
Accroupie derrière moi elle m’a soulevé une jambe et a tiré mes couilles en arrière pour qu’elles dépassent entre mes cuisses fermées, et elle les a serrées dans sa main …
- … mais je te les laisserai, sans doute, elles sont douces et chaudes … remets-toi à genoux … allez, Jonathan … un peu de courage … écarte plus … et enlève ta main !
- Non, Nelly … s’il te plaît … recommence pas …
Elle m’a caressé la joue et m’a fait lever la tête ; elle souriait en passant le pouce sur mes lèvres :
- Fait le pour moi, Jonathan … pour moi …
… et j’ai écarté les jambes, à genoux devant elle … elle a dénoué le lacet et a caressé mes couilles doucement …
- Tu sais, après cet après-midi, tu vas être privé pendant quelques jours … tu devrais en profiter … caresse-toi … allez, fais-toi du bien …
Elle m’a remis de la mousse à raser dans la raie des fesses ; elle a rentré un doigt dans mon cul et a commencé à le rentrer et le sortir :
- Ton cul devient plus souple, c’est bien ! Bientôt je pourrais mettre la main entière, tu ai-meras … Branle-toi, Jonathan !
J’avais encore mal après le coup de pied qu’elle m’avait donné, et si elle m’avait pas touché le cul, je crois pas que j’aurais bandé. Et puis elle a rajouté un autre doigt, et un autre, et elle a mis les quatre doigts sauf le pouce, comme sa tante avait fait aussi ; heureusement pour moi, elle avait les mains plus fines. Elle a retiré les doigts quand j’ai commencé à jouir et elle s’est relevée. J’étais en train de gicler quand elle m’a donné un autre coup de pied dans les couilles, aussi fort que le premier … et comme je me recroquevillais par terre elle m’a retourné sur le dos et elle m’a embrassé, sur les lèvres, et puis avec sa langue dans ma bouche et elle avait le goût du sel de mes larmes qui coulaient sur mes joues … c’était le premier baiser qu’elle me donnait …
- Nelly … tu déconnais … je veux pas que tu les coupes … je veux pas …
- Tu préfères avoir mal, je sais … demande-moi …
- … quoi ?
- Demande-moi, Jonathan …
Je savais. Je savais ce qu’elle voulait. Et je savais qu’elle ne me dirait plus rien … pour un baiser … pour un autre baiser d’elle … Je me suis allongé sur le dos, jambes écartées, un bras sur mes yeux, et j’ai attendu … d’abord une main, sur mon sexe, tout mou d’avoir joui et de la douleur, l’autre main, sur mes couilles, qui les soupèse et les presse doucement, entre son pouce et sa main en-dessous, qui les écrase, doucement, l’une après l’autre, et qui descend plus bas, doigts sur l’anus. J’ai relevé les jambes, genoux vers la poitrine ; elle forçait ses doigts en moi, durs, tendus, les yeux rivés aux miens, ses yeux d’habitude tristes et maintenant lumineux ; elle poussait fort de son bras dont les muscles se raidissaient et mes yeux se mouillaient ; de son autre main elle avait pris mes couilles et les tiraient vers elle et mes yeux coulaient pendant que je serrais les dents très fort … pour sa voix si douce, aussi douce que ses mains étaient dures … mais non, elle a renoncé, et m’a laissé haletant. Elle s’est avancée vers moi, une main de chaque côté de ma tête, un genou entre mes jambes ; elle me regardait toujours dans les yeux :
- Demande-moi !
Elle était penchée sur moi et avait relevé son genou. Elle attendait.
- … s’il te plaît … vas-y … fais-le …
Elle me souriait, et cette lueur dans ses yeux … et le temps durait … et rien … et comme je me détendais, son genou m’a frappé, me coupant le souffle … envie de vomir … et quand j’ai repris contact du dos avec le sol après la brusque contraction … une seconde fois son genou m’a arraché un long gémissement qu’elle a étouffé de sa bouche.
Elle s’est allongée sur moi, longtemps, sa main dans mes cheveux, jusqu’à ce que j’arrête de trem-bler.
Kévin était en colère. En colère qu’elle veuille plus sortir avec lui, et aussi parce que j’étais là et que j’entendais tout ce qu’ils disaient. Il l’a insultée, l’a traitée de salope ; il lui a dit qu’il en avait rien à faire d’elle, et qu’elle pouvait garder son pucelage toute sa vie si elle voulait … s’il savait …
Il nous a suivi jusqu’à la librairie. Annie et Martina étaient là, et il ne leur a même pas dit bonjour. Nelly a pris Christophe à part pour lui expliquer, et j’ai cru qu’il me regardait de travers, comme si j’y étais pour quelque chose. On est partis chez sa tante à la fin du repas, en même temps que les autres. Martina et Annie ont fait une drôle de tête en voyant que Nelly m’avait pris par la main.
Sa tante m’a dit d’aller me déshabiller dans la chambre du fond, et elle est restée discuter dans le salon avec Nelly un moment avant de me rejoindre.
- Viens voir par ici Jonathan … Nelly t’as dit que nous avions fait des courses pour toi ?
- Elle me l’a dit …
- Bien ! regarde …
Sur le grand plateau en acier, j’ai reconnu les instruments qu’elle avait utilisée la veille pour les piercings de Nelly : pinces, compresses, aiguilles ; il y avait aussi une pochette transparente contenant un petit anneau et une autre contenant un anneau beaucoup plus gros fermé sur un bille :
- Regarde, Jonathan, je n’avais pas imprimé cette photo hier … voilà le résultat un fois installé pour le plus petit, pour le second, tu verras plus tard. Nelly a choisi avec moi !
En me parlant, elle a vidé un petit sac sur la table, à côté du plateau :
- … et je t’ai aussi acheté quelques sous-vêtements qui te conviendront mieux que ceux que tu portes d’habitude !
J’ai pris les sous-vêtements les uns après les autres … un string rouge et deux noirs, et quatre autres qui au lieu d’avoir un fil de tissu entre les fesses, en avaient deux, qui remontaient de chaque côté des fesses …
- Tu ne porteras plus que ceux-là, maintenant ! tous les jours ! Et tu jetteras tes caleçons ! Et nous avons aussi acheté ce harnais pour toi, tu devras le porter régulièrement, tous les soirs une demi-heure avec un des ces élargisseurs.
Elle me montrait les trois plugs noirs posés sur la table ; le troisième était vraiment très gros. D’une boîte, elle a sorti un ensemble composé de lanières de cuir et d’anneaux. Elle m’a attaché une ceinture en cuir autour de la taille avec deux anneaux de fer brillant, un devant sous le nombril et l’autre dans le dos, au-dessus de la raie des fesses. Elle a ensuite sorti un anneau en métal avec deux liens de cuir attachés dessus. Elle a enfilé l’anneau sur ma queue, et quand il a été en bas, elle a tiré la peau des couilles à travers l’anneau, coinçant mes couilles en dessous, et en poussant depuis dessous avec ses doigts elle a fait passer mes boules à travers l’anneau, une après l’autre. Elle m’a fait mal. L’anneau était petit et elle a poussé fort en les écrasant un peu pour les faire passer à travers.
- Tourne-toi et appuie tes mains sur tes genoux … allez penche-toi bien ! Nelly donne-moi le gel et le petit plug, celui de 35 … !
Nelly a versé du gel sur la main de sa tante et en a fait coulé sur le plug aussi.
- Pose-le sur le tabouret, il va se le mettre tout seul … n’est-ce pas Jonathan ?
Elle m’a mis du gel dans la raie des fesses :
- Allez, montre-nous !
Le plug noir que Nelly a posé sur le tabouret est un cylindre, assez court, entièrement lisse, juste arrondi en haut, avec une fente à la base, dans laquelle Nelly a enfilé l’une des deux lanières quand je me suis mis au-dessus.
- Allez ! assieds-toi dessus !
J’ai fait ce que j’ai pu … j’ai essayé ; j’ai même écarté mes fesses à deux mains, mais je ne suis pas arrivé à le rentrer dans mon cul …
- Aide-le Nelly !
Elle s’est placée en face de moi :
- Mets tes bras autour de mon cou et penche toi vers moi, allez, dépêche-toi !
Elle a glissé les deux bras entre mes jambes, et de ses doigts elle massait mon cul autour du plug :
- Descends!
Pour elle. Je l’ai fait pour elle. Je me suis cramponné à son cou et je me suis assis dessus plus fort; ses doigts continuaient à masser et étirer ... et l’envahissement, comme un coup de poignard entre mes fesses … Dans mon dos, sa tante a attaché la lanière à l’anneau sur la ceinture, le tendant fort, et Nelly a attaché la deuxième lanière à l’anneau sous mon nombril … et elles ont resserré encore les lanières qui maintenaient le gode bien enfoncé quand je me suis redressé.
Et puis elle s’est occupée de Nelly, installée comme hier sur la table du salon, les pieds sur les accoudoirs du fauteuil et la tête sur mes genoux. Elle a percé l’autre lèvre, en face de la première, et c’est le même anneau qui traversait les deux trous, reliant les deux lèvres ensembles. Nelly a serré les dents sur la tige de bois quand elle a percé, et je ne sais pas si à travers ses larmes, elle a bien vu le résultat quand sa tante a présenté le miroir entre ses jambes.
Sa tante m’a envoyé dans la salle de bains pour que j’enlève seul le harnais.
En revenant dans le salon, débarrassé du plug, j’avais l’impression d’être encore dilaté, ouvert. Nelly était allongée dans le canapé, un bras sur le visage ; l’anneau passé dans les deux trous à mi hauteur de la fente fermait son sexe, les deux boules reposant au bas de la fente, presque au contact des cuisse. Elle était belle …
Sa tante s’est assise à côté d’elle et m’a fait signe de m’approcher. Toujours avec ses gants elle a caressé Nelly de ses deux mains ; d’un doigt glissé dans la fente au-dessus des piercings elle caressait le clito de Nelly, et en soulevant l’anneau, elle a glissé deux doigts entre ses lèvres. L’écartement forcé des lèvres a fait grimacer et geindre Nelly :
- Tout va bien Nelly … j’arrête. Viens donc tenir la main de Jonathan pendant que je m’occupe de lui !
Sa tante m’a fait asseoir au bord de la petite table, face à elle, assise dans le fauteuil ; elle a enfilé des gants neufs. Avec un sparadrap, elle a fixé mon sexe sur mon ventre, et m’a nettoyé avec une compresse. Quand elle a percé la peau sur un côté, en haut des couilles ; j’ai presque rien senti ; même quand elle a glissé le petit anneau je n’ai pas eu mal non plus. J’ai eu plus mal pour le second, mais moins que j’aurais cru. Elle a enlevé la boule clipsée et a enfilé l’anneau autour de mon sexe, comme une bague, avant de percer le frein avec une grosse aiguille. C’est quand elle passé l’anneau à travers le trou et l’a fait tourner pour clipser la boule à l’opposé du frein que ça a été le plus douloureux. L’anneau était glissé sous le bourrelet du gland ; il ne me serrait pas trop …
- C’est maintenant qu’on va voir si on a bien choisi le diamètre …
… et elle a commencé à me masturber doucement, tenant ma queue du bout des ongles d’une main et me griffant les couilles de l’autre … et l’anneau a commencé à me serrer quand j’ai commencé à bander, encore plus quand, en serrant plus fort ma queue entre ses doigts en remontant, elle a fait gonfler mon gland. En tout cas le piercing ne saignait pas. Elle a eu l’air satisfaite du résultat et elle a arrêté de me caresser :
- Tu vois Nelly, 25 c’était bien, on a bien choisi. Tu iras le nettoyer, n’est-ce pas, tous les jours ! et pas de tripotage pendant quelques jours Jonathan ! Allez, ça suffit …
… elle m’a pincé une couille entre deux doigts et la douleur m’a fait débander …
- … tu vérifieras qu’il porte bien le harnais régulièrement ! on se reverra samedi prochain ; pas de livraison lundi, Jonathan !
Chapitre 38
Jonathan
Nelly est venue me retrouver ce matin dans ma chambre vers 9 heures. Je dormais encore et quand j’ai entendu frapper à ma porte, j’ai cru que c’était mon patron qui avait besoin de quelque chose. Et puis c’était elle, toute mignonne avec sa jupe plissée et son chemisier blanc, et moi, avec le caleçon informe que j’avais gardé pour dormir … Elle est entrée sans rien dire, jetant un œil autour d’elle.
- Tu devais pas être chez ta tante ? Je croyais te retrouver là-bas …
- Je suis venue te chercher pour aller voir Kévin …
- Pour quoi faire ? Tu veux que je vienne avec toi ?
- Oui … il faut que je lui parle …
Heureusement ma chambre était propre ; depuis qu’elle était passée me chercher la dernière fois, je faisais plus attention à ranger et à pas laisser traîner mes habits partout ; même ma vaisselle était rangée.
- … et je veux que tu m’accompagnes …
- Il m’aime pas beaucoup, Kévin ! ça va pas lui plaire de me voir !
- … s’il te plaît …
- D’accord …
J’ai pris mon jeans qui était sur le dos de la chaise pour l’enfiler :
- Tu vas quand même pas rester avec ce caleçon ? T’as dormi avec ! Change-toi !
Quand elle est comme ça, elle ressemble à sa tante ! le ton sec, et toujours à donner des ordres … bon, ça me déplaît pas … mais quand même, elle pourrait être plus gentille avec moi. J’ai fouillé dans le tiroir de ma commode pour trouver un autre caleçon ; elle s’était assise sur la chaise devant mon ordinateur et elle me surveillait, les bras croisés. Chez sa tante, on se déshabillait ensemble, mais là, dans ma chambre, c’était différent et je lui ai tourné le dos pour me changer :
- Viens ici …
Debout devant mon évier elle avait pris le gant que je suspends à un crochet collé sur le carrelage et elle versait du savon à main dessus :
- Allez, viens … c’est pas comme si c’était la première fois ! Tu dois changer Jonathan ! J’ai vu que t’avais rangé, c’est plus propre que la dernière fois … mais il faut aussi être propre sur toi, changer de sous-vêtement et te laver …
- J’aurais pris une douche, tu sais …
- Approche !
Tout en parlant, elle m’a passé le gant sur la figure et dans le cou en se tenant à mon bras :
- Je vais dire à Kévin que je veux plus sortir avec lui … je veux que tu sois là quand je lui dirai …
Elle s’est accroupie devant moi :
- Baisse ton caleçon !
Elle passe le gant de toilette sur mes fesses et entre mes jambes …
- T’as encore mal ?
- Oui, ça me brûle encore, et ça saigne un peu …
- J’ai fait exprès, tu sais, je savais que tu aurais mal …
- Ça va passer, c’est pas grave … et puis je t’en veux pas …
- Tu ne m’en veux pas ! tu es sûr de toi ?
- Oh, oui bien sûr ! t’es bête …
- Donc si je te faisais encore mal, tu ne m’en voudrais pas ?
- … tu veux me faire mal ? …
- Te faire du bien … et peut-être mal aussi … tu aimerais, Jonathan ?
- … je sais pas …
- Mauvaise réponse ! Dis-moi que tu le veux !
- … je le veux, alors …
Elle m’a fait tourner vers elle et a commencé à me laver le sexe ; je me suis mis à bander. C’est bête, mais cette fois, j’aurais préféré rester … normal. J’ai essayé de penser à autre chose qu’à sa main ; comme si je la sentais pas. Et puis j’ai baissé les yeux et elle me regardait, avec ses yeux tristes, mais avec un tout petit sourire, et elle me lavait plus, elle me caressait avec sa main dans le gant …
- Arrête, Nelly …
… et elle a continué, tout doucement, sa main me serrait presque pas, montant et descendant sur mon sexe avec le gant plein de savon … elle s’est relevée et a passé le gant sous l’eau chaude, elle m’a rincé, m’a essuyé avec la serviette de toilette accrochée au clou à côté de l’évier, et elle a repris mon sexe dans sa main nue, en se tenant à ma cuisse de l’autre. J’ai senti que j’allais jouir et je me suis détourné un peu … elle a continué à me caresser, longtemps, sans jamais changer de rythme, toujours tout doucement en glissant de haut en bas du sexe, jusqu’à ce que je redevienne tout mou.
Elle a grimacé en se relevant et a dû s’appuyer sur mon bras :
- T’as mal ? c’est depuis hier ? c’est tes anneaux ?
Elle a fait signe que oui et s’est assise sur la chaise :
- J’ai trop marché, hier, je crois …
- T’es pas restée chez ta tante ?
- On est allées à Paris … pour toi …
- Comment ça ?
- … tu sais … les photos qu’elle t’a montrées … elle voulait acheter ce qu’il lui fallait. Elle a voulu que je l’accompagne, et j’ai trop marché … en bougeant, ils frottent et ça me fait mal …
- Mais … elle veut m’en mettre aussi ? c’était vrai, alors …
- Oui … cet après-midi … et à moi aussi, le dernier …
- Ça me fait peur, Nelly … je suis pas aussi courageux que toi … elle le sait que t’as encore mal ?
- Non, je lui ai pas dit … c’est un peu gonflé, c’est normal … passe le gant sous l’eau froide et donne-le moi !
Elle a soulevé sa jupe et l’a coincée sous sa taille.
- Pourquoi t’as pas mis une culotte ? ils bougeraient moins …
- Elle ne veut pas !
- Mais elle saura pas … tu peux l’enlever avant d’aller chez elle !
- Mais non, Jonathan, tu ne comprends pas … elle m’a dit de rester comme ça, je le fais !
- Mais t’as même plus de compresses, ça pourrait s’infecter, et puis avec le gant c’est pas bon non plus …
- Donne, je te dis, le froid me fait du bien …
Les deux plus petits des anneaux fermés par une boule sur ses petites lèvres sont reliés par une petite chaînette fermée sur un pendentif brillant en forme de goutte, étirant les deux voiles minces de chair qui dépassent de plus d’un centimètre en bas de la fente du sexe. Au passage des anneaux, les chairs sont un peu gonflées. La grande lèvre percée, plus haut, est rouge, un peu enflammée, et un peu de sang en a coulé en laissant une petite traînée plus sombre.
- … on dirait que ça saigne un peu, c’est normal ?
- C’est rien !
- Dis, Nelly … elle veut me faire quoi … à moi ?
- Tu verras bien !
- Allez … dis-moi …
- Non ! Je ne te dirais rien!
- Mais elle saura pas …
- Moi je saurais. J’ai dit non, arrête !
- T’obéis toujours, toi ?
- Bien sûr, toujours ! et je veux que tu en fasses autant ! tu m’entends ? tu dois lui obéir et m’obéir à moi ! Toujours !
Elle avait un petit sourire figé sur son visage fermé ; elle ressemblait vraiment à sa tante. Elle s’est relevée, a rincé le gant dans l’évier et l’a remis sur son crochet. Elle s’est essuyée avec la serviette suspendue à côté et me l’a lancée :
- Tiens ! prends ça ! Enlève ton caleçon et allonges-toi par terre, là, à la lumière !
J’ai étendu la serviette sous la fenêtre et je me suis assis dessus. Elle a pris la mousse à raser et mon rasoir jetable sur le bord de l’évier et m’a fait allonger. Elle a étalé de la mousse sur mon ventre au-dessus du sexe et de chaque côté en débordant sur les cuisses. En tenant la peau du prépuce entre ses doigts de la main gauche, elle a commencé à raser en descendant le long de la queue, tout le tour, et ensuite elle m’a rasé le ventre, en haut jusqu’au nombril, et sur les côtés jusque sur les cuisses. Ensuite elle a rasé mes couilles en tirant la peau fort entre ses doigts, puis en-dessous et autour du cul, dans la raie des fesses. Elle m’a essuyé avec le caleçon que j’avais enlevé et sur lequel elle essuyait le rasoir de temps en temps, et a recommencé avec un rasoir neuf : elle m’a un peu coupé à deux ou trois endroits.
- Te voilà plus propre ! A partir d’aujourd’hui, tu devras t’entretenir régulièrement, compris ? … mets-toi à quatre-pattes, écarte bien tes genoux …
Je l’ai vue se baisser et enlever ses chaussures ; elle a retiré un lacet d’une chaussure et s’est mise derrière moi. Elle a noué le lacet autour de mes couilles en le serrant fort :
- Tu sais qu’on peut couper les couilles d’un homme ? ça l’empêche pas de bander …
Debout derrière moi, elle faisait bouger mes couilles avec ses orteils et donnait des petits coups dessus, de plus en plus fort, et elle a arrêté :
- Tu aimerais être mon eunuque, Jonathan ?
… et elle m’a donné un vrai coup de pied sur les couilles. Ça m’a coupé la respiration. On au-rait dit qu’on m’arrachait quelque chose dans le ventre et je me suis recroquevillé par terre, couché sur le côté, en remontant les genoux …
- Tu n’aurais plus jamais mal comme ça …
Accroupie derrière moi elle m’a soulevé une jambe et a tiré mes couilles en arrière pour qu’elles dépassent entre mes cuisses fermées, et elle les a serrées dans sa main …
- … mais je te les laisserai, sans doute, elles sont douces et chaudes … remets-toi à genoux … allez, Jonathan … un peu de courage … écarte plus … et enlève ta main !
- Non, Nelly … s’il te plaît … recommence pas …
Elle m’a caressé la joue et m’a fait lever la tête ; elle souriait en passant le pouce sur mes lèvres :
- Fait le pour moi, Jonathan … pour moi …
… et j’ai écarté les jambes, à genoux devant elle … elle a dénoué le lacet et a caressé mes couilles doucement …
- Tu sais, après cet après-midi, tu vas être privé pendant quelques jours … tu devrais en profiter … caresse-toi … allez, fais-toi du bien …
Elle m’a remis de la mousse à raser dans la raie des fesses ; elle a rentré un doigt dans mon cul et a commencé à le rentrer et le sortir :
- Ton cul devient plus souple, c’est bien ! Bientôt je pourrais mettre la main entière, tu ai-meras … Branle-toi, Jonathan !
J’avais encore mal après le coup de pied qu’elle m’avait donné, et si elle m’avait pas touché le cul, je crois pas que j’aurais bandé. Et puis elle a rajouté un autre doigt, et un autre, et elle a mis les quatre doigts sauf le pouce, comme sa tante avait fait aussi ; heureusement pour moi, elle avait les mains plus fines. Elle a retiré les doigts quand j’ai commencé à jouir et elle s’est relevée. J’étais en train de gicler quand elle m’a donné un autre coup de pied dans les couilles, aussi fort que le premier … et comme je me recroquevillais par terre elle m’a retourné sur le dos et elle m’a embrassé, sur les lèvres, et puis avec sa langue dans ma bouche et elle avait le goût du sel de mes larmes qui coulaient sur mes joues … c’était le premier baiser qu’elle me donnait …
- Nelly … tu déconnais … je veux pas que tu les coupes … je veux pas …
- Tu préfères avoir mal, je sais … demande-moi …
- … quoi ?
- Demande-moi, Jonathan …
Je savais. Je savais ce qu’elle voulait. Et je savais qu’elle ne me dirait plus rien … pour un baiser … pour un autre baiser d’elle … Je me suis allongé sur le dos, jambes écartées, un bras sur mes yeux, et j’ai attendu … d’abord une main, sur mon sexe, tout mou d’avoir joui et de la douleur, l’autre main, sur mes couilles, qui les soupèse et les presse doucement, entre son pouce et sa main en-dessous, qui les écrase, doucement, l’une après l’autre, et qui descend plus bas, doigts sur l’anus. J’ai relevé les jambes, genoux vers la poitrine ; elle forçait ses doigts en moi, durs, tendus, les yeux rivés aux miens, ses yeux d’habitude tristes et maintenant lumineux ; elle poussait fort de son bras dont les muscles se raidissaient et mes yeux se mouillaient ; de son autre main elle avait pris mes couilles et les tiraient vers elle et mes yeux coulaient pendant que je serrais les dents très fort … pour sa voix si douce, aussi douce que ses mains étaient dures … mais non, elle a renoncé, et m’a laissé haletant. Elle s’est avancée vers moi, une main de chaque côté de ma tête, un genou entre mes jambes ; elle me regardait toujours dans les yeux :
- Demande-moi !
Elle était penchée sur moi et avait relevé son genou. Elle attendait.
- … s’il te plaît … vas-y … fais-le …
Elle me souriait, et cette lueur dans ses yeux … et le temps durait … et rien … et comme je me détendais, son genou m’a frappé, me coupant le souffle … envie de vomir … et quand j’ai repris contact du dos avec le sol après la brusque contraction … une seconde fois son genou m’a arraché un long gémissement qu’elle a étouffé de sa bouche.
Elle s’est allongée sur moi, longtemps, sa main dans mes cheveux, jusqu’à ce que j’arrête de trem-bler.
Kévin était en colère. En colère qu’elle veuille plus sortir avec lui, et aussi parce que j’étais là et que j’entendais tout ce qu’ils disaient. Il l’a insultée, l’a traitée de salope ; il lui a dit qu’il en avait rien à faire d’elle, et qu’elle pouvait garder son pucelage toute sa vie si elle voulait … s’il savait …
Il nous a suivi jusqu’à la librairie. Annie et Martina étaient là, et il ne leur a même pas dit bonjour. Nelly a pris Christophe à part pour lui expliquer, et j’ai cru qu’il me regardait de travers, comme si j’y étais pour quelque chose. On est partis chez sa tante à la fin du repas, en même temps que les autres. Martina et Annie ont fait une drôle de tête en voyant que Nelly m’avait pris par la main.
Sa tante m’a dit d’aller me déshabiller dans la chambre du fond, et elle est restée discuter dans le salon avec Nelly un moment avant de me rejoindre.
- Viens voir par ici Jonathan … Nelly t’as dit que nous avions fait des courses pour toi ?
- Elle me l’a dit …
- Bien ! regarde …
Sur le grand plateau en acier, j’ai reconnu les instruments qu’elle avait utilisée la veille pour les piercings de Nelly : pinces, compresses, aiguilles ; il y avait aussi une pochette transparente contenant un petit anneau et une autre contenant un anneau beaucoup plus gros fermé sur un bille :
- Regarde, Jonathan, je n’avais pas imprimé cette photo hier … voilà le résultat un fois installé pour le plus petit, pour le second, tu verras plus tard. Nelly a choisi avec moi !
En me parlant, elle a vidé un petit sac sur la table, à côté du plateau :
- … et je t’ai aussi acheté quelques sous-vêtements qui te conviendront mieux que ceux que tu portes d’habitude !
J’ai pris les sous-vêtements les uns après les autres … un string rouge et deux noirs, et quatre autres qui au lieu d’avoir un fil de tissu entre les fesses, en avaient deux, qui remontaient de chaque côté des fesses …
- Tu ne porteras plus que ceux-là, maintenant ! tous les jours ! Et tu jetteras tes caleçons ! Et nous avons aussi acheté ce harnais pour toi, tu devras le porter régulièrement, tous les soirs une demi-heure avec un des ces élargisseurs.
Elle me montrait les trois plugs noirs posés sur la table ; le troisième était vraiment très gros. D’une boîte, elle a sorti un ensemble composé de lanières de cuir et d’anneaux. Elle m’a attaché une ceinture en cuir autour de la taille avec deux anneaux de fer brillant, un devant sous le nombril et l’autre dans le dos, au-dessus de la raie des fesses. Elle a ensuite sorti un anneau en métal avec deux liens de cuir attachés dessus. Elle a enfilé l’anneau sur ma queue, et quand il a été en bas, elle a tiré la peau des couilles à travers l’anneau, coinçant mes couilles en dessous, et en poussant depuis dessous avec ses doigts elle a fait passer mes boules à travers l’anneau, une après l’autre. Elle m’a fait mal. L’anneau était petit et elle a poussé fort en les écrasant un peu pour les faire passer à travers.
- Tourne-toi et appuie tes mains sur tes genoux … allez penche-toi bien ! Nelly donne-moi le gel et le petit plug, celui de 35 … !
Nelly a versé du gel sur la main de sa tante et en a fait coulé sur le plug aussi.
- Pose-le sur le tabouret, il va se le mettre tout seul … n’est-ce pas Jonathan ?
Elle m’a mis du gel dans la raie des fesses :
- Allez, montre-nous !
Le plug noir que Nelly a posé sur le tabouret est un cylindre, assez court, entièrement lisse, juste arrondi en haut, avec une fente à la base, dans laquelle Nelly a enfilé l’une des deux lanières quand je me suis mis au-dessus.
- Allez ! assieds-toi dessus !
J’ai fait ce que j’ai pu … j’ai essayé ; j’ai même écarté mes fesses à deux mains, mais je ne suis pas arrivé à le rentrer dans mon cul …
- Aide-le Nelly !
Elle s’est placée en face de moi :
- Mets tes bras autour de mon cou et penche toi vers moi, allez, dépêche-toi !
Elle a glissé les deux bras entre mes jambes, et de ses doigts elle massait mon cul autour du plug :
- Descends!
Pour elle. Je l’ai fait pour elle. Je me suis cramponné à son cou et je me suis assis dessus plus fort; ses doigts continuaient à masser et étirer ... et l’envahissement, comme un coup de poignard entre mes fesses … Dans mon dos, sa tante a attaché la lanière à l’anneau sur la ceinture, le tendant fort, et Nelly a attaché la deuxième lanière à l’anneau sous mon nombril … et elles ont resserré encore les lanières qui maintenaient le gode bien enfoncé quand je me suis redressé.
Et puis elle s’est occupée de Nelly, installée comme hier sur la table du salon, les pieds sur les accoudoirs du fauteuil et la tête sur mes genoux. Elle a percé l’autre lèvre, en face de la première, et c’est le même anneau qui traversait les deux trous, reliant les deux lèvres ensembles. Nelly a serré les dents sur la tige de bois quand elle a percé, et je ne sais pas si à travers ses larmes, elle a bien vu le résultat quand sa tante a présenté le miroir entre ses jambes.
Sa tante m’a envoyé dans la salle de bains pour que j’enlève seul le harnais.
En revenant dans le salon, débarrassé du plug, j’avais l’impression d’être encore dilaté, ouvert. Nelly était allongée dans le canapé, un bras sur le visage ; l’anneau passé dans les deux trous à mi hauteur de la fente fermait son sexe, les deux boules reposant au bas de la fente, presque au contact des cuisse. Elle était belle …
Sa tante s’est assise à côté d’elle et m’a fait signe de m’approcher. Toujours avec ses gants elle a caressé Nelly de ses deux mains ; d’un doigt glissé dans la fente au-dessus des piercings elle caressait le clito de Nelly, et en soulevant l’anneau, elle a glissé deux doigts entre ses lèvres. L’écartement forcé des lèvres a fait grimacer et geindre Nelly :
- Tout va bien Nelly … j’arrête. Viens donc tenir la main de Jonathan pendant que je m’occupe de lui !
Sa tante m’a fait asseoir au bord de la petite table, face à elle, assise dans le fauteuil ; elle a enfilé des gants neufs. Avec un sparadrap, elle a fixé mon sexe sur mon ventre, et m’a nettoyé avec une compresse. Quand elle a percé la peau sur un côté, en haut des couilles ; j’ai presque rien senti ; même quand elle a glissé le petit anneau je n’ai pas eu mal non plus. J’ai eu plus mal pour le second, mais moins que j’aurais cru. Elle a enlevé la boule clipsée et a enfilé l’anneau autour de mon sexe, comme une bague, avant de percer le frein avec une grosse aiguille. C’est quand elle passé l’anneau à travers le trou et l’a fait tourner pour clipser la boule à l’opposé du frein que ça a été le plus douloureux. L’anneau était glissé sous le bourrelet du gland ; il ne me serrait pas trop …
- C’est maintenant qu’on va voir si on a bien choisi le diamètre …
… et elle a commencé à me masturber doucement, tenant ma queue du bout des ongles d’une main et me griffant les couilles de l’autre … et l’anneau a commencé à me serrer quand j’ai commencé à bander, encore plus quand, en serrant plus fort ma queue entre ses doigts en remontant, elle a fait gonfler mon gland. En tout cas le piercing ne saignait pas. Elle a eu l’air satisfaite du résultat et elle a arrêté de me caresser :
- Tu vois Nelly, 25 c’était bien, on a bien choisi. Tu iras le nettoyer, n’est-ce pas, tous les jours ! et pas de tripotage pendant quelques jours Jonathan ! Allez, ça suffit …
… elle m’a pincé une couille entre deux doigts et la douleur m’a fait débander …
- … tu vérifieras qu’il porte bien le harnais régulièrement ! on se reverra samedi prochain ; pas de livraison lundi, Jonathan !
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