Partie de fléchettes chez Katia
Récit érotique écrit par Franck Tizob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Partie de fléchettes chez Katia
L'histoire remonte à l'époque où j'étais étudiant, en première année à la faculté de psychologie. Ma compagne venait de me quitter, après sept années de vie amoureuse. J'étais mélancolique, mais aussi désireux d'avoir de nouvelles aventures, pour chasser ma tristesse. La fac de lettres était pleine de tentations, deux tiers des étudiants étaient des étudiantes...
Je passais la plupart de mon temps avec deux très bonnes amies, que je connaissais depuis le lycée, et qui étaient aussi en première année de psycho, Katia et Céline. Elles étaient très attentionnées avec moi, et me motivaient sans cesse pour que je fasse de nouvelles rencontres féminines. J'en avais bien besoin, après toute ces années de vie de couple, je n'osais plus aborder de femmes avec un but de séduction, je ne savais plus faire, mais surtout j'avais peur, je n'avais pas encore fait le deuil de ma rupture avec mon ex.
J'avais remarqué une très belle jeune femme, avec qui mes amies allaient dans un cours où je n’étais pas inscrit. Elles avaient sympathisé avec Ildiko, une étudiante hongroise, qui cherchait à se faire des amis. On s'était dit bonjour quelques fois, mais elle m'intimidait. Elle était plus grande que moi, avait des formes généreuses, et parlait français d'une manière parfaite, avec un petit accent slave terriblement sexy. Mes amies avaient tout de suite remarqué que cette fille me troublait.
Elles tentèrent plusieurs fois de me pousser à la brancher, mais je restais inhibé. Jusqu'au jour où Katia proposa de faire une petite soirée chez elle, avec Ildiko, Céline et moi. Le copain de Katia, Arthur étant absent à ce moment-là, c'était l'occasion idéale de faire connaissance avec Ildiko, soutenu et aidé, par mes amies, je n'en doutais pas.
Ce soir-là, il faisait très chaud, nous étions tous en tenue légère, vautrés dans les canapés de Katia, et buvions l'apéritif. Nous avions tous amené de l'alcool, la soirée s'annonçait enivrante. Katia étant plutôt maniaque vis-à-vis de la propreté domestique, nous étions pieds nus pour ne pas ramener de poussière dans son appartement. J'étais fasciné par les jolis pieds d'Ildiko, ses ongles impeccablement vernis de blanc. J'ai toujours été très sensible aux pieds des femmes.
Nous parlions principalement de nos études, jusqu'à ce que l'alcool commence à faire son effet, ce qui débrida un peu l'ambiance. Je me sentais de plus en plus à l'aise, de plus en plus drôle, provocant plusieurs fous rires chez les trois femmes. Comme on dit : femme qui rit... Puis nous sommes passés à tables, ce qui fut l'occasion de boire deux bouteilles de vin. L'atmosphère était à l'ivresse.
Après que nous ayons débarrassé la table, Ildiko pointa du doigt la cible fixée au mur du salon :- J'adore les fléchettes ! Je suis nulle, mais j'aimerai bien faire une partie, ça vous tente ?
- Oh oui, s'écria Katia, avec Arthur on joue au killer, mais on ne compte pas les points, on se fait des gages, ça pourrait être marrant, non ?
- Euh, quels genres de gages, demandais-je ?
- Ah ah, ça c'est privé... Mais, ce soir, entre nous, on peut choisir ce qu'on veut, boire un verre cul-sec, par exemple.
- Génial, ça me plaît, s'exclama Céline ! Explique-nous les règles.
- Tout d'abord, on lance chacun une fléchette de la main gauche. Le quartier où se plante notre fléchette devient notre secteur, chacun le sien. Ensuite, on doit marquer trois points dans notre secteur, pour devenir killer. Le killer peut ensuite viser le secteur des adversaires. Quand il marque chez un adversaire, il peut lui infliger un gage ! C'est une version simplifiée, mais je vous jure que c'est marrant.
- Je vois, dit Ildiko d'un air songeur... Finalement, on choisit ses victimes... A condition de bien viser, bien sûr ! J'espère que vous serez gentils avec moi, ajouta-t-elle en riant.
- Ok, c'est parti !
Le jeu a commencé. J'obtins le quartier 13, Katia le 9, Ildiko le 10 et Céline le 7. Katia jouait très bien, elle avait de l’entraînement. Je ne me trouvais quant à moi pas trop nul, malgré les verres de vin qu'on ingurgitait régulièrement. Mes amies tenaient bien l'alcool, et aimaient bien ça, je constatais qu'Ildiko aussi... C'est vrai qu'elle ne jouait pas très bien aux fléchettes, comme Céline qui souvent ratait la cible, dans de grands éclats de rires.
Katia est devenue killeuse assez rapidement. Elle s'empressa de marquer dans le quartier de Céline, qui dut boire un verre de vin cul-sec, ce qui n'arrangea pas son efficacité, mais nous fit beaucoup rire. Je devins killer à mon tour. Je n'osais pas viser le secteur d'Ildiko, de peur d'avoir à lui choisir un gage, je voulais attaquer celui de Katia, mais sans succès. Cette dernière, par contre, marqua dans mon camp, à la grande joie de mes adversaires.
- Yes !!! Alors, mon petit, qu'est-ce-que je vais bien pouvoir te demander, dis sournoisement Katia ? Mmmmh, un verre de vin, ça te ferait trop plaisir... Voyons-voir... Ton tee-shirt !
- Euh quoi ?!
- Donne-moi ton tee-shirt, dit-elle d'un air autoritaire et provoquant. Fais-nous donc voir tes beaux tatouages.
Les deux autres étaient hilares, et semblaient bien apprécier la tournure des événements. Moi qui suis très pudique, je me sentais plutôt mal à l'aise de devoir ôter un de mes vêtements devant Ildiko, ce qui me fit aussitôt rougir. Mais Katia n'en tenait pas compte, elle me tendait la main, avec un petit sourire éméché et vicieux. Je la connaissais depuis longtemps, et savais que son audace et son penchant pour les hommes étaient bien trempés. Je m'exécutai gauchement. Ildiko, me fit un petit compliment sur mes tatouages, ce qui me fit encore rougir, et me valut un petit clin d'oeil malicieux de la part de Katia. En fin de compte, peut-être qu'elle savait ce qu'elle faisait, qu'elle ne cherchait qu'à me mettre en valeur.
Céline et Ildiko finirent elles aussi par devenir killeuses, mais ne semblaient pas représenter un grand danger pour nous... On fêta ça par une nouvelle tournée. Puis j'ai réussi à marquer dans le secteur de Katia !
- Ah ah ! Qu'est-ce-que je vais bien pouvoir te demander, dis-je ironiquement, l'imitant quand c'était elle qui venait de marquer ? Mmmmh, un verre cul-sec, ça te ferait trop plaisir... Voyons-voir... Ton tee-shirt, m'écriai-je, enjoué par l'idée de contempler son opulente poitrine sous un soutien-gorge en dentelle !
- Ah, je vois... C'est la guerre, dit-elle en rigolant ? De toute façon, il fait tellement chaud, que je serais plus à l'aise pour viser. Dans ton camp bien sûr...
Cette dernière remarque me fit regretter ce que je venais de lui demander, où cela allait-il me mener ? Elle me donna son tee-shirt, gonflant sa poitrine d'un air victorieux. Elle avait vraiment de quoi être fière de sa belle poitrine...
- Houlala ! Mais ça devient chaud cette histoire, s'exclama Ildiko en riant ! Je vous préviens, moi je ne compte pas finir à poil !
- Ne t'inquiète-pas Ildi, c'est entre lui et moi...
- Et quand Katia prend cet air, rajouta Céline, tu peux être sûre qu'il va y avoir du spectacle !
Puis Ildiko marqua chez moi.
- Oups ! Désolée, je ne l'ai pas fait exprès, dit-elle en éclatant de rire !
- Non, ne soit pas désolée, c'est le jeu, dit Katia ! Alors c'est quoi le gage, demanda-t-elle en lorgnant ostensiblement sur mon short ?
- Euh, non, répondit Ildiko d'un air un peu gêné... J’aperçois une bouteille de whisky, je crois plutôt qu’un bon verre ferait de toi un adversaire moins dangereux, me lança-t-elle…
Sa réponse me soulagea, et en plus elle y avait glissé un petit compliment...
- Oh non, ne crois-pas ça, le whisky il adore ça, s'écria Katia d'un air faussement déçu !
J'avalai donc un verre de whisky, je commençai à être vraiment ivre, ce qui comme l'avait prédit Ildi, me rendit beaucoup moins dangereux, mais aussi beaucoup plus décontracté. Céline réussit à marquer chez Ildiko, qui dut boire une bière cul-sec, à son plus grand bonheur. Katia marqua chez Céline, qui dut faire de même. L'ivresse et le rire gagnaient du terrain. Quant à moi, j'évitai le secteur de Katia, pour ne pas la provoquer, mais je n'arrivais pas à marquer chez les deux autres.
Puis Katia planta une nouvelle fois une fléchette dans mon secteur, ce qui déclencha rires et d'applaudissements chez les trois jeunes femmes, qui me regardaient d'une façon de plus en plus débridée.
- Un whisky, lança Ildiko !
- Le short ! Le short, scandait Céline qui habituellement n'était pas si hardie concernant ce genre de choses !
- Non, dit Katia songeuse... J'ai mieux que ça !
Elle avait une petite étincelle dans l'œil, qui me fit frémir, quand elle alla dans sa chambre. Elle revint avec une chose ridicule dans sa main, qu'elle nous exhiba fièrement. C'était une espèce de string rouge, composé de deux élastiques minuscules, et d'une tête d'éléphant en tissu... Deux grandes oreilles de chaque côté, une trompe étroite censée recevoir un pénis, un bout de tissu ridicule censé abriter des testicules, composaient cet affreux gadget. Céline et Ildi en étaient mortes de rire !
- C'est un truc qu'a eu Arthur pour son anniversaire, expliqua Katia, mais il n'a jamais voulu le mettre ! Je ne sais pas pourquoi ?!...
- Oh moi je sais pourquoi, répliquai-je !
- Ah bon ? Pourtant toi, tu vas bien être obligé le mettre, c'est ton gage !
- Oh non pitié ! Je ne vais jamais rentrer là-dedans, au secours...
- Mais si, c'est le jeu, c'est la règle, sinon fallait pas jouer !
J'étais écarlate, le ventre tenaillé par une peur panique. Les filles se tordaient de rire et me regardaient avec un tel air de défit, que je serais passé pour un minable si je ne me soumettais pas au gage de Katia. Je ne voulais pas monter ma lâcheté à Ildiko, mais en même temps je ne voulais pas non plus me montrer devant elle dans une situation aussi humiliante et ridicule. Moi qui suis si pudique... Mais je sentais bien que si je ne jouais pas le jeu, la soirée tomberait à plat, je ne le voulais pas non plus.
- Un whisky d'abord, s'écria Ildi l'air de prendre faussement ma défense !
Je ne pouvais plus reculer, celle avec qui je voulais avoir une aventure adhérait à l'autorité de Katia, et semblait se réjouir de me voir presque à poil. Céline me servit un verre de whisky, que je bu d'un air solennel, et me dirigeai vers la salle de bain avec ce putain de string. Heureusement que j'étais ivre... Je me déshabillai et enfilai cette chose. Ma bite était moulée dans la petite trompe d'éléphant, ce qui me faisait presque mal, mes couilles ratatinées menaçaient de sortir de chaque côté du minuscule bout de tissu prévu pour les cacher. Je me regardai dans la grande glace, je me trouvais pitoyable et éprouvais une grande honte à l'idée de retourner dans le salon. Je les entendais rire et m'appeler. Après avoir respiré un grand coup, je sortis de la salle de bain, le visage écarlate, cachant mon entrejambe avec mes deux mains bien serrées.
Elles m'accueillirent avec des salves d'éclats de rire, d'exclamations de genre «Oh mais quel beau petit cul !», «Vas-y tourne-toi, fais voir !», «Mais enlève tes mains!»... J'ai eu aussi droit à quelques douloureux claquements d'élastique sur mes fesses. Elles étaient folles de joie. Mes amies se marraient mais pour Ildiko, c'était différent. Tout en riant, elle me détaillait de la tête aux pieds, son regard me léchait de partout. Je me sentais si vulnérable et impressionné, dans cette tenue, devant elle... On a encore bu un coup pour fêter ça. Je gardais toujours une main libre pour cacher mon sexe, ce qui me donnait une allure tellement maladroite.
- Bon, les filles, dit Katia, c'est à vous de jouer ! Vous savez ce qui vous reste à faire... Entre nanas, on doit être solidaire, n'est-ce-pas ?
Je vis, avec une panique grandissante Ildiko, se concentrer sur mon secteur de la cible. Et elle marqua, sous les applaudissements et les cris de joie des deux autres.
- Oh je suis désolée, mais j’aimerais bien voir ce que tu caches là-dessous, dit-elle mielleusement avec son petit accent !
Ildi manifestait ouvertement son désir de me foutre à poil. Elle accompagnait ses paroles d’un geste de la main me signifiant d’y déposer mon string de pacotille... J'hallucinais. Comment allait donc se finir cette soirée ?
Finalement, je quittai maladroitement cette saloperie de string, me retrouvant tout nu, mon sexe ratatiné seulement protégé de leur vue par mes mains. En fin de compte, je me sentis un petit peu mieux, sans cet horrible chose ridicule et inconfortable. L'alcool aidant, je me dis que je pourrai tirer avantage de cette situation aux yeux d'Ildiko, en me montrant courageux...
- Bon, ben ça se fête, m'écriais-je en levant les bras au ciel !
Fou-rires hystériques. J'étais devant Ildi, elle me dominait d'une demi-tête, riait et applaudissait, ses yeux verts passant de mon visage à mon sexe tout petit et mes couilles qui essayaient de se rétracter dans mon bas-ventre. Quelques heures avant, on se connaissait à peine, puis désormais j'étais ainsi, à la merci de son regard inquisiteur. Dans celui-ci, je vis un mélange de gourmandise, de pitié, tout cela à la fois. Mes amies n'arrivaient plus à s'arrêter de rire. Je commençai à vraiment leur en vouloir.
Ildilko me servit encore un verre de whisky, sans doute pour m'achever, et me le tendit. Elle s'en servit un pour elle, puis enlaça son bras avec le mien, pour boire. Ce contact réveilla immédiatement mon bas ventre. Nous n'avions pas fini notre verre que je bandais fièrement. Pour la plus grande joie de mes trois amies.
Mais la soirée avait été bien trop arrosée pour tout le monde. Ildilko finit par nous dire au revoir, me faisant la bise alors que mon gland pointait sauvagement vers son entrejambe. Je me retrouvai donc, avec mes amies, dépité, la bite en l'air. Elles allèrent se coucher en baillant, me laissant seul. Je me suis masturbé piteusement dans le canapé.
Chaque fois que j'ai revu Ildiko, elle manifestait beaucoup de joie et d'intérêt pour moi. Chaque fois, j'avais l'impression d'être tout nu devant elle. Je pense qu'elle aussi me voyait tout nu, quelque chose dans son regard me le disait. En tout cas les choses ne sont malheureusement pas allées plus loin…
Le lendemain, à mes amies Katia et Céline, j'ai fait part de mes doutes quant au fait que ce soit une bonne stratégie qu'elles me déshabillent devant les inconnues que je suis censé séduire. Elles m'ont répondu que la prochaine fois, je ferais mieux d'être tout nu dès le départ... Ça promet !
Je passais la plupart de mon temps avec deux très bonnes amies, que je connaissais depuis le lycée, et qui étaient aussi en première année de psycho, Katia et Céline. Elles étaient très attentionnées avec moi, et me motivaient sans cesse pour que je fasse de nouvelles rencontres féminines. J'en avais bien besoin, après toute ces années de vie de couple, je n'osais plus aborder de femmes avec un but de séduction, je ne savais plus faire, mais surtout j'avais peur, je n'avais pas encore fait le deuil de ma rupture avec mon ex.
J'avais remarqué une très belle jeune femme, avec qui mes amies allaient dans un cours où je n’étais pas inscrit. Elles avaient sympathisé avec Ildiko, une étudiante hongroise, qui cherchait à se faire des amis. On s'était dit bonjour quelques fois, mais elle m'intimidait. Elle était plus grande que moi, avait des formes généreuses, et parlait français d'une manière parfaite, avec un petit accent slave terriblement sexy. Mes amies avaient tout de suite remarqué que cette fille me troublait.
Elles tentèrent plusieurs fois de me pousser à la brancher, mais je restais inhibé. Jusqu'au jour où Katia proposa de faire une petite soirée chez elle, avec Ildiko, Céline et moi. Le copain de Katia, Arthur étant absent à ce moment-là, c'était l'occasion idéale de faire connaissance avec Ildiko, soutenu et aidé, par mes amies, je n'en doutais pas.
Ce soir-là, il faisait très chaud, nous étions tous en tenue légère, vautrés dans les canapés de Katia, et buvions l'apéritif. Nous avions tous amené de l'alcool, la soirée s'annonçait enivrante. Katia étant plutôt maniaque vis-à-vis de la propreté domestique, nous étions pieds nus pour ne pas ramener de poussière dans son appartement. J'étais fasciné par les jolis pieds d'Ildiko, ses ongles impeccablement vernis de blanc. J'ai toujours été très sensible aux pieds des femmes.
Nous parlions principalement de nos études, jusqu'à ce que l'alcool commence à faire son effet, ce qui débrida un peu l'ambiance. Je me sentais de plus en plus à l'aise, de plus en plus drôle, provocant plusieurs fous rires chez les trois femmes. Comme on dit : femme qui rit... Puis nous sommes passés à tables, ce qui fut l'occasion de boire deux bouteilles de vin. L'atmosphère était à l'ivresse.
Après que nous ayons débarrassé la table, Ildiko pointa du doigt la cible fixée au mur du salon :- J'adore les fléchettes ! Je suis nulle, mais j'aimerai bien faire une partie, ça vous tente ?
- Oh oui, s'écria Katia, avec Arthur on joue au killer, mais on ne compte pas les points, on se fait des gages, ça pourrait être marrant, non ?
- Euh, quels genres de gages, demandais-je ?
- Ah ah, ça c'est privé... Mais, ce soir, entre nous, on peut choisir ce qu'on veut, boire un verre cul-sec, par exemple.
- Génial, ça me plaît, s'exclama Céline ! Explique-nous les règles.
- Tout d'abord, on lance chacun une fléchette de la main gauche. Le quartier où se plante notre fléchette devient notre secteur, chacun le sien. Ensuite, on doit marquer trois points dans notre secteur, pour devenir killer. Le killer peut ensuite viser le secteur des adversaires. Quand il marque chez un adversaire, il peut lui infliger un gage ! C'est une version simplifiée, mais je vous jure que c'est marrant.
- Je vois, dit Ildiko d'un air songeur... Finalement, on choisit ses victimes... A condition de bien viser, bien sûr ! J'espère que vous serez gentils avec moi, ajouta-t-elle en riant.
- Ok, c'est parti !
Le jeu a commencé. J'obtins le quartier 13, Katia le 9, Ildiko le 10 et Céline le 7. Katia jouait très bien, elle avait de l’entraînement. Je ne me trouvais quant à moi pas trop nul, malgré les verres de vin qu'on ingurgitait régulièrement. Mes amies tenaient bien l'alcool, et aimaient bien ça, je constatais qu'Ildiko aussi... C'est vrai qu'elle ne jouait pas très bien aux fléchettes, comme Céline qui souvent ratait la cible, dans de grands éclats de rires.
Katia est devenue killeuse assez rapidement. Elle s'empressa de marquer dans le quartier de Céline, qui dut boire un verre de vin cul-sec, ce qui n'arrangea pas son efficacité, mais nous fit beaucoup rire. Je devins killer à mon tour. Je n'osais pas viser le secteur d'Ildiko, de peur d'avoir à lui choisir un gage, je voulais attaquer celui de Katia, mais sans succès. Cette dernière, par contre, marqua dans mon camp, à la grande joie de mes adversaires.
- Yes !!! Alors, mon petit, qu'est-ce-que je vais bien pouvoir te demander, dis sournoisement Katia ? Mmmmh, un verre de vin, ça te ferait trop plaisir... Voyons-voir... Ton tee-shirt !
- Euh quoi ?!
- Donne-moi ton tee-shirt, dit-elle d'un air autoritaire et provoquant. Fais-nous donc voir tes beaux tatouages.
Les deux autres étaient hilares, et semblaient bien apprécier la tournure des événements. Moi qui suis très pudique, je me sentais plutôt mal à l'aise de devoir ôter un de mes vêtements devant Ildiko, ce qui me fit aussitôt rougir. Mais Katia n'en tenait pas compte, elle me tendait la main, avec un petit sourire éméché et vicieux. Je la connaissais depuis longtemps, et savais que son audace et son penchant pour les hommes étaient bien trempés. Je m'exécutai gauchement. Ildiko, me fit un petit compliment sur mes tatouages, ce qui me fit encore rougir, et me valut un petit clin d'oeil malicieux de la part de Katia. En fin de compte, peut-être qu'elle savait ce qu'elle faisait, qu'elle ne cherchait qu'à me mettre en valeur.
Céline et Ildiko finirent elles aussi par devenir killeuses, mais ne semblaient pas représenter un grand danger pour nous... On fêta ça par une nouvelle tournée. Puis j'ai réussi à marquer dans le secteur de Katia !
- Ah ah ! Qu'est-ce-que je vais bien pouvoir te demander, dis-je ironiquement, l'imitant quand c'était elle qui venait de marquer ? Mmmmh, un verre cul-sec, ça te ferait trop plaisir... Voyons-voir... Ton tee-shirt, m'écriai-je, enjoué par l'idée de contempler son opulente poitrine sous un soutien-gorge en dentelle !
- Ah, je vois... C'est la guerre, dit-elle en rigolant ? De toute façon, il fait tellement chaud, que je serais plus à l'aise pour viser. Dans ton camp bien sûr...
Cette dernière remarque me fit regretter ce que je venais de lui demander, où cela allait-il me mener ? Elle me donna son tee-shirt, gonflant sa poitrine d'un air victorieux. Elle avait vraiment de quoi être fière de sa belle poitrine...
- Houlala ! Mais ça devient chaud cette histoire, s'exclama Ildiko en riant ! Je vous préviens, moi je ne compte pas finir à poil !
- Ne t'inquiète-pas Ildi, c'est entre lui et moi...
- Et quand Katia prend cet air, rajouta Céline, tu peux être sûre qu'il va y avoir du spectacle !
Puis Ildiko marqua chez moi.
- Oups ! Désolée, je ne l'ai pas fait exprès, dit-elle en éclatant de rire !
- Non, ne soit pas désolée, c'est le jeu, dit Katia ! Alors c'est quoi le gage, demanda-t-elle en lorgnant ostensiblement sur mon short ?
- Euh, non, répondit Ildiko d'un air un peu gêné... J’aperçois une bouteille de whisky, je crois plutôt qu’un bon verre ferait de toi un adversaire moins dangereux, me lança-t-elle…
Sa réponse me soulagea, et en plus elle y avait glissé un petit compliment...
- Oh non, ne crois-pas ça, le whisky il adore ça, s'écria Katia d'un air faussement déçu !
J'avalai donc un verre de whisky, je commençai à être vraiment ivre, ce qui comme l'avait prédit Ildi, me rendit beaucoup moins dangereux, mais aussi beaucoup plus décontracté. Céline réussit à marquer chez Ildiko, qui dut boire une bière cul-sec, à son plus grand bonheur. Katia marqua chez Céline, qui dut faire de même. L'ivresse et le rire gagnaient du terrain. Quant à moi, j'évitai le secteur de Katia, pour ne pas la provoquer, mais je n'arrivais pas à marquer chez les deux autres.
Puis Katia planta une nouvelle fois une fléchette dans mon secteur, ce qui déclencha rires et d'applaudissements chez les trois jeunes femmes, qui me regardaient d'une façon de plus en plus débridée.
- Un whisky, lança Ildiko !
- Le short ! Le short, scandait Céline qui habituellement n'était pas si hardie concernant ce genre de choses !
- Non, dit Katia songeuse... J'ai mieux que ça !
Elle avait une petite étincelle dans l'œil, qui me fit frémir, quand elle alla dans sa chambre. Elle revint avec une chose ridicule dans sa main, qu'elle nous exhiba fièrement. C'était une espèce de string rouge, composé de deux élastiques minuscules, et d'une tête d'éléphant en tissu... Deux grandes oreilles de chaque côté, une trompe étroite censée recevoir un pénis, un bout de tissu ridicule censé abriter des testicules, composaient cet affreux gadget. Céline et Ildi en étaient mortes de rire !
- C'est un truc qu'a eu Arthur pour son anniversaire, expliqua Katia, mais il n'a jamais voulu le mettre ! Je ne sais pas pourquoi ?!...
- Oh moi je sais pourquoi, répliquai-je !
- Ah bon ? Pourtant toi, tu vas bien être obligé le mettre, c'est ton gage !
- Oh non pitié ! Je ne vais jamais rentrer là-dedans, au secours...
- Mais si, c'est le jeu, c'est la règle, sinon fallait pas jouer !
J'étais écarlate, le ventre tenaillé par une peur panique. Les filles se tordaient de rire et me regardaient avec un tel air de défit, que je serais passé pour un minable si je ne me soumettais pas au gage de Katia. Je ne voulais pas monter ma lâcheté à Ildiko, mais en même temps je ne voulais pas non plus me montrer devant elle dans une situation aussi humiliante et ridicule. Moi qui suis si pudique... Mais je sentais bien que si je ne jouais pas le jeu, la soirée tomberait à plat, je ne le voulais pas non plus.
- Un whisky d'abord, s'écria Ildi l'air de prendre faussement ma défense !
Je ne pouvais plus reculer, celle avec qui je voulais avoir une aventure adhérait à l'autorité de Katia, et semblait se réjouir de me voir presque à poil. Céline me servit un verre de whisky, que je bu d'un air solennel, et me dirigeai vers la salle de bain avec ce putain de string. Heureusement que j'étais ivre... Je me déshabillai et enfilai cette chose. Ma bite était moulée dans la petite trompe d'éléphant, ce qui me faisait presque mal, mes couilles ratatinées menaçaient de sortir de chaque côté du minuscule bout de tissu prévu pour les cacher. Je me regardai dans la grande glace, je me trouvais pitoyable et éprouvais une grande honte à l'idée de retourner dans le salon. Je les entendais rire et m'appeler. Après avoir respiré un grand coup, je sortis de la salle de bain, le visage écarlate, cachant mon entrejambe avec mes deux mains bien serrées.
Elles m'accueillirent avec des salves d'éclats de rire, d'exclamations de genre «Oh mais quel beau petit cul !», «Vas-y tourne-toi, fais voir !», «Mais enlève tes mains!»... J'ai eu aussi droit à quelques douloureux claquements d'élastique sur mes fesses. Elles étaient folles de joie. Mes amies se marraient mais pour Ildiko, c'était différent. Tout en riant, elle me détaillait de la tête aux pieds, son regard me léchait de partout. Je me sentais si vulnérable et impressionné, dans cette tenue, devant elle... On a encore bu un coup pour fêter ça. Je gardais toujours une main libre pour cacher mon sexe, ce qui me donnait une allure tellement maladroite.
- Bon, les filles, dit Katia, c'est à vous de jouer ! Vous savez ce qui vous reste à faire... Entre nanas, on doit être solidaire, n'est-ce-pas ?
Je vis, avec une panique grandissante Ildiko, se concentrer sur mon secteur de la cible. Et elle marqua, sous les applaudissements et les cris de joie des deux autres.
- Oh je suis désolée, mais j’aimerais bien voir ce que tu caches là-dessous, dit-elle mielleusement avec son petit accent !
Ildi manifestait ouvertement son désir de me foutre à poil. Elle accompagnait ses paroles d’un geste de la main me signifiant d’y déposer mon string de pacotille... J'hallucinais. Comment allait donc se finir cette soirée ?
Finalement, je quittai maladroitement cette saloperie de string, me retrouvant tout nu, mon sexe ratatiné seulement protégé de leur vue par mes mains. En fin de compte, je me sentis un petit peu mieux, sans cet horrible chose ridicule et inconfortable. L'alcool aidant, je me dis que je pourrai tirer avantage de cette situation aux yeux d'Ildiko, en me montrant courageux...
- Bon, ben ça se fête, m'écriais-je en levant les bras au ciel !
Fou-rires hystériques. J'étais devant Ildi, elle me dominait d'une demi-tête, riait et applaudissait, ses yeux verts passant de mon visage à mon sexe tout petit et mes couilles qui essayaient de se rétracter dans mon bas-ventre. Quelques heures avant, on se connaissait à peine, puis désormais j'étais ainsi, à la merci de son regard inquisiteur. Dans celui-ci, je vis un mélange de gourmandise, de pitié, tout cela à la fois. Mes amies n'arrivaient plus à s'arrêter de rire. Je commençai à vraiment leur en vouloir.
Ildilko me servit encore un verre de whisky, sans doute pour m'achever, et me le tendit. Elle s'en servit un pour elle, puis enlaça son bras avec le mien, pour boire. Ce contact réveilla immédiatement mon bas ventre. Nous n'avions pas fini notre verre que je bandais fièrement. Pour la plus grande joie de mes trois amies.
Mais la soirée avait été bien trop arrosée pour tout le monde. Ildilko finit par nous dire au revoir, me faisant la bise alors que mon gland pointait sauvagement vers son entrejambe. Je me retrouvai donc, avec mes amies, dépité, la bite en l'air. Elles allèrent se coucher en baillant, me laissant seul. Je me suis masturbé piteusement dans le canapé.
Chaque fois que j'ai revu Ildiko, elle manifestait beaucoup de joie et d'intérêt pour moi. Chaque fois, j'avais l'impression d'être tout nu devant elle. Je pense qu'elle aussi me voyait tout nu, quelque chose dans son regard me le disait. En tout cas les choses ne sont malheureusement pas allées plus loin…
Le lendemain, à mes amies Katia et Céline, j'ai fait part de mes doutes quant au fait que ce soit une bonne stratégie qu'elles me déshabillent devant les inconnues que je suis censé séduire. Elles m'ont répondu que la prochaine fois, je ferais mieux d'être tout nu dès le départ... Ça promet !
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