partouze fin.
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
partouze fin.
Pierre a déballé les deux paquets le plus gros contenait les jockstraps de 4 couleurs j’ai dû passer le rouge. Je trouvais bizarre d’avoir les fesses à l’ai. Mais c’est le deuxième qui m’a surpris. Un truc bizarre noir qui une fois démonté, comme il y avait plusieurs tailles pour faire passer la queue et les couilles il a fait des essais et une fois bien adapté il a passé mon sexe mou après la séance de traite dans l’espace prévu et bloqué par un système de fermeture à clé. C’est la suite qui m’a le plus surpris. Il a fixé une sorte de batterie avec deux plots qui touchaient mes couilles de façon que je ne puisse le décrocher.
-Va vers la grange, Aller ! Bouge-toi !
J’ai obéi, gêné par le poids et c’est arrivé là que j’ai eu une décharge aux couilles qui m’a fait couiner. Les trois frangins ont rigolé.
-Plus besoin de tablier. Un coup sur la télécommande suffira à le mettre dans le bon chemin. Viens sucer Dominique !
Je suis venu au plus vite pour sucer sa queue.
-Bon voilà une journée qui commence bien. Toi Rémi lave la vaisselle et prépare le repas, toi Domi niqué (il a ri) va démarrer le tracteur il est poussif ces jours-ci, règle-le. Il faut traiter le maïs et abattre du bois.
-On n’a pas du monde qui passe ces jours-ci ?
-Il devrait y avoir les voisins pour la veillée, le père et le fils a dit Éric.
Le père va rire. Et qui d’autres ?
-Deux mecs de Thiers. Des beurs je crois.
-Bon, aller, au travail.
Juste avec le slip je suis monté démarrer le tracteur. Il fumait blanc. J’ai vérifié la jauge d’huile, ces cons n’en mettaient pas souvent. Il était temps de faire une vidange et de mettre de la neuve. Pas d’emplacement pour la vidange j’ai mis une vieille gamelle dessous et défait le bouchon. En fouinant j’ai trouvé un joint neuf et une fois la vieille huile coulée j’ai rebouché, serré et fait le plein. Cette fois il fumai un peu mais après fini. Je suis rentré à la cuisine ou bossait Rémi.
Il n’y a pas une douche que je me lave de la graisse ?
-Elle est en haut chez eux. Mais si tu veux je te lave dans le lavoir en béton dehors.
-Tu as le temps de le faire ? Tu m’as vu comme je t’ai vu nu alors ça ne me gêne pas. Faut que je fasse gaffe avec leur truc électrique.
Il a viré mon « slip » pour pas que je le tâche et je suis monté dans le lavoir.
-T’inquiètes j’ai lu la notice et tant que le bouton n’est pas appuyé ça ne craint rien.
-A force de leur servir de femme à eux et d’autres tu dois avoir le cul qui reste à moitié ouvert.
-Non juste un peu mais je peux le resserrer. Tu verras tu y arriveras. Le black ne t’as pas fait trop mal ?
Non ça va les autres m’avaient déjà ouvert. Dis-moi, il y a souvent des mecs qui passent le soir ?
-A peu près toutes les quinzaines. Si t’as du pot tu peux te faire acheter par un mec à qui tu plais. Moi faudrait que ce soit un black je suis trop ouvert. Tu aimes ce qu’ils ont fait à mes tétons ?
Oh ! je n’avais pas fait attention. Ce n’est pas naturel ? Mais comment ils achètent un mec ?
-Ils se le repassent contre du bois ou un terrain si le mec vaut le coup. Pour mes tétons, ils me mettent des pinces et ajoutent des poids pour les étirer. J’ai fini de te savonner je rince mais l’eau va être froide
Elle n’était pas froide mais glaciale.
-Penche toi que je nettoie aussi ton anus. Il est mignon et fripé mais c’est normal après la queue du black. Sors et sèche toi moi faut que je retourne à la cuisine. Je suis allé voir Éric qui me paressait le plus sympa pour savoir ce que je devais faire.
-Suce et tourne-toi pour donner ton cul.
Pendant que je le faisais il m’a dit d’accrocher la tonne d’eau et de remplir les cuves pour que les vaches boivent et d’aller changer et atteler la grenouille, la remplir avec l’engrais et l’eau pour aller la passer dans les maïs.
La semaine s’est passée à travailler et me faire sauter par les uns et les autres, suçant ou donnant mes fesses. Le samedi matin on a dû faire un grand nettoyage Rémi et moi pendant qu’ils se reposaient.
Vers dix-neuf heures une voiture est venue jusqu’à la cour Un seul mec à l’intérieur, la quarantaine. Il est sorti saluer Éric, Pierre et Jean.
-Salut tu es tout seul ?
-Le gamin arrive mais pieds nus sur les graviers il râle.
-Ils sont tous pareils au début. Alors il s’est décidé à servir ?
-Ouais pas encore assez pour moi mais il s’améliorera. Il a le choix entre ici avec nous ou le tapin à Lyon.
-Ah il arrive ! Il a compris que marcher au milieu il y avait moins de cailloux. La dernière fois que je l’ai vu il n’était pas trop décidé. Il a quel âge maintenant ?
-A peine dix neuf ans et encore serré du cul. Il aime sucer mais moi j’en demande plus.
-Approche Patrice.
Nu tête basse, petite bite dans ses poils frisés comme ses cheveux, il n’avait pas l’air rassuré. A tout casser il faisait 60kgs pour son mètre quatre-vingts. Pas maigre non, mais sec. Il s’est arrêté devant Éric.
-Bjour !
Hé fait pas cette tête là c’est toi qui vas manger, pas nous ! Soit plus aimable.
-Bonjour Éric.
-C’est mieux. Sortez-vous autres dire bonjour. Rémi est passé devant, nu comme toujours et moi derrière avec le truc sur la queue et les fesses à l’air. On a jeté un œil sur lui puis dit bonjour à son père.
-Ha il y a un nouveau ?
-Un vrai volontaire celui-là. Encore à apprendre mais de la bonne volonté.
-Il me fout la trique !
-T’en fait pas il assouvira tes désirs. Voilà les frangins beurs.
Un gros 4X4 s’est garé et deux mecs baraqués, la trentaine sans ventre, chemise ouverte sur leurs torses velus et les chaînes brillantes au cou.
-Salut tout le monde.
L’un est passé près de Patrice et lui a claqué les fesses. L’autre à fait de même sur les miennes.
-De la viande fraîche, pas nombreux dans le coin on va apprécier.
Vu les paquets qui se dessinaient dans leurs jeans on allait en prendre dur !
-J’ai ramené une bouteille de Boukha mais ce n’est pas pour les gamins. On rentre au frais ? C’est quoi son truc entre les cuisses ?
Éric a montré la télécommande et a appuyé un coup. J’ai sursauté et poussé un petit cri.
Pourquoi maître ?
-Pas besoin de motif, juste te voir sursauter et couiner. Voilà à quoi ça sert Kader. Quand il ne veut pas faire quelque chose ça le rappelle à l’ordre.
-Cool ton truc et en plus il ne peut pas bander ?
-Un peu si. Mais la cage n’est pas longue.
Rémi était passé devant et tirait les chaises devant la table. On est passé en dernier. J’ai vu Patrice avoir sa bite se raidir mais d’un maximum de dix centimètres.
-Tu as eu mal ?
Pas qu’un peu oui, ça surprend.
-Moi j’aimerais bien !
-Attends déjà de subir leurs sexes.
-Bah, sucer ça me plait.
-Et ton cul, ça lui plaît aussi ?
-Là, non.
Ben mon gars va falloir y passer.
-Eh toi, arrête de parler et viens entre mes cuisses, sort ma queue !
Docile je suis allé ouvrir la braguette à genoux entre ses cuisses. C’était le père de Patrice et bon la queue n’était pas mal, j’ai commencé à sucer en tirant sur la peau du gland sans attendre. Pas contre ses couilles pendaient bien et j’ai joué avec en le fixant. Il m’a caressé les cheveux.
-Bon petit pd ça ! On voit que tu aimes.
De coté je voyais Patrice se faire doigter le cul par Éric. Et les deux frères avaient attaché Rémi sur la table, les cuisses grandes ouvertes, un lien le tenant un pied et un poignet d’un coté et de même de l’autre. Les beurs se sont mis à l’aise, exhibant fier d’eux des morceaux épais et assez long sans prépuces.
-On commence par la crevette. Attachée comme ça c’est un appel à la queue. S ans tenir compte de ses gémissements le premier s’est enfoncé dans son cul poussant jusqu’à avoir les couilles contre ses fesses. Le deuxième a profité de sa bouche ouverte pour le faire sucer.
Quand j’ai pu jeter un coup d’œil Patrice était à genoux et pompait Éric. J’ai entendu son père couiner quand Pierre l’a pris en levrette. Le père comme le fils aimaient la queue imposée.
Je vais m’arrêter là , rien n’est publié.
-Va vers la grange, Aller ! Bouge-toi !
J’ai obéi, gêné par le poids et c’est arrivé là que j’ai eu une décharge aux couilles qui m’a fait couiner. Les trois frangins ont rigolé.
-Plus besoin de tablier. Un coup sur la télécommande suffira à le mettre dans le bon chemin. Viens sucer Dominique !
Je suis venu au plus vite pour sucer sa queue.
-Bon voilà une journée qui commence bien. Toi Rémi lave la vaisselle et prépare le repas, toi Domi niqué (il a ri) va démarrer le tracteur il est poussif ces jours-ci, règle-le. Il faut traiter le maïs et abattre du bois.
-On n’a pas du monde qui passe ces jours-ci ?
-Il devrait y avoir les voisins pour la veillée, le père et le fils a dit Éric.
Le père va rire. Et qui d’autres ?
-Deux mecs de Thiers. Des beurs je crois.
-Bon, aller, au travail.
Juste avec le slip je suis monté démarrer le tracteur. Il fumait blanc. J’ai vérifié la jauge d’huile, ces cons n’en mettaient pas souvent. Il était temps de faire une vidange et de mettre de la neuve. Pas d’emplacement pour la vidange j’ai mis une vieille gamelle dessous et défait le bouchon. En fouinant j’ai trouvé un joint neuf et une fois la vieille huile coulée j’ai rebouché, serré et fait le plein. Cette fois il fumai un peu mais après fini. Je suis rentré à la cuisine ou bossait Rémi.
Il n’y a pas une douche que je me lave de la graisse ?
-Elle est en haut chez eux. Mais si tu veux je te lave dans le lavoir en béton dehors.
-Tu as le temps de le faire ? Tu m’as vu comme je t’ai vu nu alors ça ne me gêne pas. Faut que je fasse gaffe avec leur truc électrique.
Il a viré mon « slip » pour pas que je le tâche et je suis monté dans le lavoir.
-T’inquiètes j’ai lu la notice et tant que le bouton n’est pas appuyé ça ne craint rien.
-A force de leur servir de femme à eux et d’autres tu dois avoir le cul qui reste à moitié ouvert.
-Non juste un peu mais je peux le resserrer. Tu verras tu y arriveras. Le black ne t’as pas fait trop mal ?
Non ça va les autres m’avaient déjà ouvert. Dis-moi, il y a souvent des mecs qui passent le soir ?
-A peu près toutes les quinzaines. Si t’as du pot tu peux te faire acheter par un mec à qui tu plais. Moi faudrait que ce soit un black je suis trop ouvert. Tu aimes ce qu’ils ont fait à mes tétons ?
Oh ! je n’avais pas fait attention. Ce n’est pas naturel ? Mais comment ils achètent un mec ?
-Ils se le repassent contre du bois ou un terrain si le mec vaut le coup. Pour mes tétons, ils me mettent des pinces et ajoutent des poids pour les étirer. J’ai fini de te savonner je rince mais l’eau va être froide
Elle n’était pas froide mais glaciale.
-Penche toi que je nettoie aussi ton anus. Il est mignon et fripé mais c’est normal après la queue du black. Sors et sèche toi moi faut que je retourne à la cuisine. Je suis allé voir Éric qui me paressait le plus sympa pour savoir ce que je devais faire.
-Suce et tourne-toi pour donner ton cul.
Pendant que je le faisais il m’a dit d’accrocher la tonne d’eau et de remplir les cuves pour que les vaches boivent et d’aller changer et atteler la grenouille, la remplir avec l’engrais et l’eau pour aller la passer dans les maïs.
La semaine s’est passée à travailler et me faire sauter par les uns et les autres, suçant ou donnant mes fesses. Le samedi matin on a dû faire un grand nettoyage Rémi et moi pendant qu’ils se reposaient.
Vers dix-neuf heures une voiture est venue jusqu’à la cour Un seul mec à l’intérieur, la quarantaine. Il est sorti saluer Éric, Pierre et Jean.
-Salut tu es tout seul ?
-Le gamin arrive mais pieds nus sur les graviers il râle.
-Ils sont tous pareils au début. Alors il s’est décidé à servir ?
-Ouais pas encore assez pour moi mais il s’améliorera. Il a le choix entre ici avec nous ou le tapin à Lyon.
-Ah il arrive ! Il a compris que marcher au milieu il y avait moins de cailloux. La dernière fois que je l’ai vu il n’était pas trop décidé. Il a quel âge maintenant ?
-A peine dix neuf ans et encore serré du cul. Il aime sucer mais moi j’en demande plus.
-Approche Patrice.
Nu tête basse, petite bite dans ses poils frisés comme ses cheveux, il n’avait pas l’air rassuré. A tout casser il faisait 60kgs pour son mètre quatre-vingts. Pas maigre non, mais sec. Il s’est arrêté devant Éric.
-Bjour !
Hé fait pas cette tête là c’est toi qui vas manger, pas nous ! Soit plus aimable.
-Bonjour Éric.
-C’est mieux. Sortez-vous autres dire bonjour. Rémi est passé devant, nu comme toujours et moi derrière avec le truc sur la queue et les fesses à l’air. On a jeté un œil sur lui puis dit bonjour à son père.
-Ha il y a un nouveau ?
-Un vrai volontaire celui-là. Encore à apprendre mais de la bonne volonté.
-Il me fout la trique !
-T’en fait pas il assouvira tes désirs. Voilà les frangins beurs.
Un gros 4X4 s’est garé et deux mecs baraqués, la trentaine sans ventre, chemise ouverte sur leurs torses velus et les chaînes brillantes au cou.
-Salut tout le monde.
L’un est passé près de Patrice et lui a claqué les fesses. L’autre à fait de même sur les miennes.
-De la viande fraîche, pas nombreux dans le coin on va apprécier.
Vu les paquets qui se dessinaient dans leurs jeans on allait en prendre dur !
-J’ai ramené une bouteille de Boukha mais ce n’est pas pour les gamins. On rentre au frais ? C’est quoi son truc entre les cuisses ?
Éric a montré la télécommande et a appuyé un coup. J’ai sursauté et poussé un petit cri.
Pourquoi maître ?
-Pas besoin de motif, juste te voir sursauter et couiner. Voilà à quoi ça sert Kader. Quand il ne veut pas faire quelque chose ça le rappelle à l’ordre.
-Cool ton truc et en plus il ne peut pas bander ?
-Un peu si. Mais la cage n’est pas longue.
Rémi était passé devant et tirait les chaises devant la table. On est passé en dernier. J’ai vu Patrice avoir sa bite se raidir mais d’un maximum de dix centimètres.
-Tu as eu mal ?
Pas qu’un peu oui, ça surprend.
-Moi j’aimerais bien !
-Attends déjà de subir leurs sexes.
-Bah, sucer ça me plait.
-Et ton cul, ça lui plaît aussi ?
-Là, non.
Ben mon gars va falloir y passer.
-Eh toi, arrête de parler et viens entre mes cuisses, sort ma queue !
Docile je suis allé ouvrir la braguette à genoux entre ses cuisses. C’était le père de Patrice et bon la queue n’était pas mal, j’ai commencé à sucer en tirant sur la peau du gland sans attendre. Pas contre ses couilles pendaient bien et j’ai joué avec en le fixant. Il m’a caressé les cheveux.
-Bon petit pd ça ! On voit que tu aimes.
De coté je voyais Patrice se faire doigter le cul par Éric. Et les deux frères avaient attaché Rémi sur la table, les cuisses grandes ouvertes, un lien le tenant un pied et un poignet d’un coté et de même de l’autre. Les beurs se sont mis à l’aise, exhibant fier d’eux des morceaux épais et assez long sans prépuces.
-On commence par la crevette. Attachée comme ça c’est un appel à la queue. S ans tenir compte de ses gémissements le premier s’est enfoncé dans son cul poussant jusqu’à avoir les couilles contre ses fesses. Le deuxième a profité de sa bouche ouverte pour le faire sucer.
Quand j’ai pu jeter un coup d’œil Patrice était à genoux et pompait Éric. J’ai entendu son père couiner quand Pierre l’a pris en levrette. Le père comme le fils aimaient la queue imposée.
Je vais m’arrêter là , rien n’est publié.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’espère que tu feras la suite un de ces jours car trop excitant.
Bonjour, Après l'interruption du site, j'ai réussi a récupérer mes codes un peu après la réouverture en envoyant une demande comme si c'était un texte... Je te dis ça car ton récit mérite VRAIMENT d'avoir une suite. Tu écris bien et ton récit nous a laissé sur notre faim car il s'arrête alors que le décor est bien planté avec un nouvel arrivage de tant de mecs bien montés et tant de lopes disponibles...
Super excitant dommage qu'il n'y ai pas de suite
Il n'y aura pas de suite HDS ayant "perdu" mes codes et moi j'ai tout mis à la corbeille.
Super histoire j’espère qu’elle sera longue car trop existant
Sacrée belle histoire...
Me réjouis de la suite
Me réjouis de la suite