Passage de l’innocence à la luxure anale.

- Par l'auteur HDS Gil 17 -
Récit érotique écrit par Gil 17 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Passage de l’innocence à la luxure anale. Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Passage de l’innocence à la luxure anale.
Initiation progressive et consentie d'un tout majeur.
Ou passage de l’innocence à la luxure anale.
Avant de mettre cette histoire vraie en public, j’ai soumis celle-ci à 3 de mes relations.
L’un est un gay actif queutard de 52 ans célibataire
Il m’a répondu je te connais mais j’ignorais ton parcours, ton histoire m’a tellement existé et mis le feu au cul que le soir même je tapais dans mon répertoire pour faire venir un minet rencontrer voilà peu et je l’ai démonté
Le deuxième un actif aussi de 48 ans qui vit depuis 5 ans avec un mec de 15 ans de moins que lui ‘a juste dit bravo avec tes conneries quand Jean mon mec est rentré du boulot je lui ai sauté dessus et lui ai bourré la gueule et le cul direct ; il ,n’a pas bien compris , m’a demandé pourquoi , je lui ai répondu Parce que, il n’a pas insisté.
Le troisième un passif du genre docile de 58 ans, lui m’a dit pareil c’est malin tiens, du coup je suis parti dans un club Gay me trouver 2 mecs pour me faire déglinguer.
Rassuré, je passe à l’acte et vous raconte :
Installez-vous confortablement devant votre PC p prenez votre temps , ne lisez pas en diagonal
Il y a 23 pages, toutes intéressantes.
Vous pourrez commenter si vous le souhaitez après lecture.

Prologue
J’avais à l’époque tout jute passé mes 17 ans, je vivais dans les Charentes Maritimes.
J’étais un jeune homme de déjà 1m85 pour 80 kgs, les cheveux courts plutôt mignon, et peu poilu, mais assez masculin.
Complétement ignorant de tout ce qui été les choses du sexe, et franchement pas curieux de la chose.
Fils unique d’un couple dont le père de 45 ans d’origine du Nord de la France était boucher, coureur de jupons, alcoolique , instable et violent, et d’une mère d’origine Slave, belle femme traductrice de métier (elle parlait couramment 5 langues)qui était souvent absente pour des raisons professionnelles, c’est bien d’ailleurs grâce à elle que la marmite bouillait dans le foyer.
Le torchon brûlait entre eux 2 et le divorce était éminent, ma mère se refusant et lui (comme je la comprenais) !
La procédure n’a pas eu lieu mon père s’est tuer en voiture un soir en rentrant d’une énième beuverie avec ses potes (je serais tenté de dire bon débarras), c’était invivable à la maison.
Le soir des obsèques, ma mère m’annonça la visite de l’oncle Jo pour le lendemain , c’était l’aîné de mon père de 3 ans de plus, j’aimais bien l’oncle Jo,
il était tout le contraire de mon père, un gaillard de 48 ans 1 bon mètre 90 pour 90 kgs, il était célibataire endurci, intelligent, stable, juste et attentif, bosseur ne buvait que peu, sportif (rando tennis il y avait d’ailleurs un cour en terre battue à la maison, et pèche sportive en mer) c’était un bon vivant rieur, parfois farceur.
Il possédait une petite propriété à 20 minutes de chez nous, et tenait également une entreprise de matériaux de bâtiment, et de vente d’outillage, ainsi que d’une cafétéria qu’il avait mis en gérance à un couple d’amis d’enfance.
Il cultivait une fidélité en amitié et 90 % de ses amis hommes ou femmes étaient issus de sa jeunesse.
Donc lors de sa visite, ma mère et lui m’expliquèrent que si je voulais l’oncle Jo se proposait que j’aille vivre avec lui, en effet ma mère était souvent absente pour son travail, mais qu’elle viendrait souvent me voir.
Cela me chagrinait un peu quand même, mais quand on a que 17 ans comment vivre quasiment seul ?
Et puis j’avais déjà passé près de 2 moi chez Jo l’été passé, j’avais bossé 15 jours à la cafétéria , à l’évidence ce n’était pas mon truc, puis j’avais intégré l’entreprise dans laquelle je me plaisais.
Voilà les choses posées
Cela faisait près d’un an que je vivais chez Jo, tout allé pour le mieux une forte complicité c’était installée entre nous, avec pour mots d’ordres : la sincérité, et la confiance, on devait et pouvait tout se dire sans complexe ni crainte.
Je m’étais fait un pote, Alain, au cours de tennis ou m’avait inscrit JO, il avait 19 ans et ne pensait qu’aux filles et à l’écouter il baisait à couilles rabattues (sûrement enjolivé et abusé)
Un début d’après-midi il débarque à la maison alors que j’y étais seul, en me disant tu m’as dit que vous aviez un magnétoscope, j’ai amené un K7 on va se la mater.
En effet il y avait un combiné avec la télévision (les grosses télés de l’époque) sur lequel de temps en temps avec Jo on se regardait des films d’aventures, de guerre ou d’arts martiaux, Jo était friand de Bruce Lee et Chuck Norris.
Je mets la cassette, on s’installe dans le canapé et on j’envoi.
Surprise, C’était une k7 de cul, j’en avais entendu parler au lycée, mais n’en n’avais jamais vu.
J’avais bien feuilleté quelque revues cochonnes mais c’était tout, sur lesquelles je m’étais caressé et disons le branlé quelques fois.
Au bout de 5minutes Alain s’est déboutonné a sorti sa queue et a commencé à s’astiquer et m’a enjoint d’en faire autant.
Je n’étais pas pudique et j’ai trouvé ça drôle un poil existant , je l’ai donc accompagné, et on s’est branlé chacun de son côté.
Une fois notre affaire terminée on s’est bu un coca, on a papoté et Alain est parti.
Arrive le soir, JO rentre, on mange et on passe dans le salon, JO voit que le magnéto clignote et l’enclenche, cet imbécile d’Alain y avait oublié sa K7.
Il me regarde, je pique un phare et me demande si je peux expliquer ,
Je respecte les règles misent en place et lui raconte, tout dont notre branlette cote à cote.
Il me dit que lui aussi ça lui arrive de s’astiquer tout seul et que ça fait partie de besoin de la nature.
Il sourit me dit : normal c’est de ton âge, on va la mater ensemble si tu veux, moi OK.
Et c’est parti.
Au bout de 10 minutes JO me dit je crois que je vais me branler ça ne te gêne pas j’espère,
Moi non pas du tout.
Jo tu peux en faire autant si tu veux
Il enlève son pantalon et son slip et en sort un engin incroyable,
Alain m’avait dit que j’étais plutôt bien équipé ( 17x4) j’avais répondu ah bon, n’ayant pas jusqu’alors eu de moyens réels de comparaison, a part celle d’Alain foutu a peu de chose près comme moi.
Mais là j’étais battu à plate couture,
En 5 minutes il arborait une queue bien droite de 18 cms au moins avec une paire de couilles lourdes suspendues, mais surtout d’une épaisseur incroyable surmonté d’un gland magnifique prédominant d‘un rouge sombre une fois décalotté.
Devant mon étonnement, et ma bouche bée, il me dit oui ; madame nature a été très généreuse avec moi, ce n’est d’ailleurs pas toujours très facile dans mes rapports.
Je me doutais bien qu’il n’était pas moine, il disparaissait parfois des nuits entières, voir des week-ends, et je supposais qu’il devait bien avoir une coquine ou deux par là.
Toi c’est bien aussi me dit ‘il,
Moi : bien moins que toi,
Lui, t’inquiète c’est l’usage et la manière dont on s’en sert qui est importante, tu verras ça dans l’avenir, puis tu peux la toucher si tu veux, elle ne va pas te mordre.
Alors j’ai pris son sexe en main, il était brûlant, lourd et très dur.
Lui a pris la mienne sans me demander l’autorisation c’était une situation ambiguë mais terriblement existante, t il a commencé à me branler en me disant je te montre le chemin va s’y fais pareil.
Je me suis donc exécuté.
Il m’a alors dit enlève moi ce pantalon tu seras plus à l’aise, je me suis levé pour l’enlever, et là contre toute attente pendant que j’étais debout il s’est approché de moi et a pris ma queue raide dans sa bouche sans prévenir, j’en restais tétanisé (j’avais bien vu sur le porno des femmes pratiquer la chose et cela m’avait bien existé, mais de là à penser qu’un homme puisse le faire à un autre homme, il y avait un gouffre.
C’était délicieux, il était habile,
Je n’ai pas tenu très longtemps, j’ai senti ma semence arriver, je lui dis attention je vais jouit il a alors fermé hermétiquement sa bouche sur mon sexe en me tenant fermement par les fesses pour que je ne puisse pas reculer , la jouissance était sans nulle comparaison avec l’issue d’une branlette.
Je me suis répandu dans sa bouche et là, j’ai compris que ce n’était pas sa 1ère fois.
Il me repoussa et je le vis avaler purement ce que je lui avais craché dans la bouche.
Il me toisa, et dis va s’y essai de la sucer,
Moi, je ne sais pas je n’ai jamais fait ça.
Lui , ne s’est pas compliqué, fais comme t’as vu dans les films et comme je t’ai fait, tu vas voir c’est agréable ; alors je me suis penché sur lui, j’ai commencé par le gland doucement j’avais un peu de mal avec son calibre mais j’y ai mis de la volonté, et me suis appliqué à en prendre le plus possible dans la bouche, j’ai accéléré les va et viens, d’un coup j’ai senti queue gonfler, et à c’est moi qui s’est dégonflé j’ai retiré sa queue de ma bouche au moment où il a éjaculé, il m’a arrosé tout le visage et mis jusque dans les cheveux.
Je devais avoir Lair pitoyable , il ne s’est pas formalisé, il a passé 2 doigts sur ma joue, a récolté de son sperme, et a approché ses doigts de ma bouche, en disant goutte au moins, alors j’ai ouvert la bouche, et pour la 1ère fois j’ai goûté au sperme d’un homme c’était légèrement salé et pas désagréable.
Une fois ces doigts retirés, il m’a dit alors ?
Désolé de ne pas avoir pu faire comme toi, je craignais d’être écœuré, mais fin de compte ce n’est pas dégeu , cela dit je n’aurais jamais pu accepter de goûter le sperme d’un autre homme que toi.
JO : tu feras mieux une autre fois, uniquement si tu le décide.
Moi : tu as conscience qu’il va falloir que tu m’explique un peu quand même.
Oui : On va d’abord se rincer la bouche et on en parle après.
On se retrouve dans le salon,
Il commence :
Je t’explique, je suis un homme qui n’aime que les hommes depuis l’âge de 25 ans après quelques tentatives avec les femmes, qui il faut bien l’avouer ne m’intéressent pas du tout sexuellement, ce qui ne veut pas dire que je n’apprécie pas leur compagnie, ni travailler avec elles.
J’ai essayé le côté actif et passif avec les hommes, et je suis indubitablement qu’actif.
Cela dit je ne suis pas un cavaleur, mais plutôt un opportuniste.
Mon problème récent est arrivé avec toi.
Tu es arrivé comme un adolescent rebêle introverti (et il y avait de quoi) et au fil du temps je t’ai vu évoluer vite en bien, il fait dire que je ne me souciais pas ou peu de ton physique et pour tout avouer m’interdisais tous désirs à ton égard, d’abord parce que je suis ton oncle et puis tu sois mineur) je me le suit interdit.
Depuis tu as bien évolué physiquement, ta simplicité, ta gentillesse ta bonne humeur retrouvée, ton mètre 85, tes 80 kilos, ton torse fin mais musclé, ton petit cul bien bombé ferme et haut perché sur tes hautes jambes ont fait que j’ai peu à peu basculé dans ma tête, j’en rêvais, me masturbais la nuit en me faisant des plans cul de toutes sortes même des plus inavouables avec toi.
J’avoue t’avoir épié sous la douche, être allé te voir dormir nu l’été quand il fait chaud et que tu été poil sur le lit.
Mais je ne savais pas par quel bout m’en approcher, d’autant que rien n’aurait laissé penser la chose possible.
Jusqu’ à aujourd’hui, ou je me suis jeté à l’eau, en me disant tant pis on verra bien , une opportunité inespérée avec cette K7 se présentait, cela dit si cela n’avait pas collé, cela n’aurait rien changé pour le reste, je me serais fait une raison.
À toi maintenant.
Je vais te paraître compliqué, je suis troublé et mal à l’aise à plusieurs titres
1)Par l’intérêt (en dehors de ce qui vient de se passer), de ce que tu m’as apporté ces derniers mois, familialement parlant, socialement, humainement entre autres.
2) Tout ça m’a amené à penser à toi comme au père que j’aurai aimé avoir et je te considère désormais comme un père de substitution, ce qui me place dans une situation perturbante.
3) je dois bien avouer que pour ma 1ère réelle expérience sexuelle, je me suis laisser emballer sans trop rechigner, ce qui me laisse à penser et me trouble c’est que secrètement bien enfoui dans ma tête quelque part je devais y penser aussi, mais sans idées ou plans détaillés c’est sûrement dû à ma totale inexpérience en matière de sexe.
4) une barrière est sautée, un verrou c’est déclenché si je puis dire, à tel point que si cela reste confus, je dois avouer avoir aimé ça, tant dans la pratique de l’interdit, que dans le plaisir physique que j’en ai retiré, c’était génial et inattendu, et que je ne regrette rien.
Maintenant reste à savoir l’évolution que va avoir tout ça, avec toutefois une tendance forte qui se fait prédominante à être celui qui reçoit, ce que tu l’appelle le passif, j’ai depuis aujourd’hui un sentiment d’appartenance et de soumission comme vu dans les films.
J’y ai rêvé une ou deux fois, et me suis réveillé avec une éjaculation nocturne, mais en ne sachant pas comment j’en étais arrivé là, ni comment j’aurai pu physiquement me laisser prendre.
Ça c’est pour moi la grande inconnue, qui me fout une trouille terrible, mais paradoxalement m’attire nettement.
Voilà tu sais tout ou presque.
Jo : merci tout ça me touche vraiment, et le fais que tu me considère comme un père me ravi, sache que pour moi, tu es le fils que je n’ai jamais eu, et n’aurait jamais, c’est bien que tu sois là.
Pour le reste comme tu dis (on ne va pas se cacher on parle là de pénétration de sodomie un aboutissement en soit quoi) si ça doit venir ça viendra en son temps, quand toi tu l’auras décidé et quand tu seras prêt, il faudra bien que tu passes à la casserole un jour).
Ça ne nous empêche pas de jouer ou bidouiller ensemble en attendant à moins que tu ne veuille plus.
Moi : ok ça me va comme ça, on verra bien comment se dérouleront les choses.
Se passe une bonne semaine normale sans quoique ce soit, si ce n’est que j’ai un sommeil perturbé, j’ai aussi bien remarqué que JO me matait le cul de temps à autres, j’ai bien pris quelques mains au cul aussi au passage ce qui me plaisait assez et me faisait me sentir désirable.
Un samedi avant de partir au boulot il me dit : c’est mon anniversaire demain et toi tu fais tes 18 ans, lundi et ça, c’est un jour à marque d’une pierre blanche, ça te dirait un Week end chaud à 2 ?
Ce soir une soirée Pizza, et films cul ce soir mais attention films cul de mecs.
J’ai prévenu au bureau que je ne reviendrais que mardi, avec interdiction de me téléphoner sauf en cas d’extrême urgence.
Mon oui enthousiaste là un poil surpris, il faut dire que cela me démangeait un peu de remettre ça avec lui.
Lui : ok je passe à l’aller au sex-shop prendre des K7 et au retour les pizzas pour ce soir, dimanche on ira au marché faire 4 courses de bouche et on bouge plus de la maison jusqu’à mardi.
La journée a été longue, sur le coup de 19heures je prenais une douche, et enfilé un kimono en soie un peu court pour moi ; il me descendait juste au-dessous des fesses sans rien dessous.
Je me disais que quand même j’abusais un peu, mais j’avais envie de l’allumer, j’étais peut-être encore puceau du cul, mais plus dans la tête.
Enfin il arrive, et me découvre dans mon kimono, son sang n’a fait qu’un tour, sa main est passée direct sous le kimono, il s’est emparé de ma queue et surtout me caressa avec insistance les fesses en s’attardant sur mon petit trou tout neuf, ce qui me procura des frissons dans tout la corp, il a passé ses mains, dans l’échancrure du kimono et est venue titiller les tétons,
Çà aussi c’était nouveau pour moi, il les a sucés, pincé et a vite repérer que j’en avait un plus sensible que les autres et s’y est attardé, je me suis surpris à gémir et me tortiller, tellement c’était bon.
Alors ça me dit ‘il ça me fait grave plaisir, je ne m’attendais pas à un accueil comme ça, je pense que tu as une idée derrière la tête et sa tombe bien j’ai moi depuis 4 ou 5 jours j’ai des démangaïsons sous la ceinture, je pense qu’on va s’amuser………
Bon je vais à la douche dit ‘il on a 3 jours, t’inquiète on va jouer près et il me plante là comme un con debout contre le mur avec le feu au ventre.
L’arroseur arrosé je voulais l’allumer, apparemment c’est fait, mais lui m’a carrément mis le feu partout.
Bref je fini par me calmer.
Il revient à poil, et me débarrasse de mon kimono, il fait le tour en me regardant des pieds à la tête l’air penseur, j’ai l’impression d’être un objet de convoitise.
Moi : quelque chose ne va pas ?
Lu : ho que si, qu’est-ce que t’es bien fait et beau.
Moi : je rougis et dis arrête tu te moque.
Lui : que non, quand je pense et espère que je vais peut-être profiter et me servir de tout ça et qu’en plus personne à mis ses pattes dessus, je me sens le plus chanceux de la terre, j’ai déjà eu des plans avec des jeunes, pas si jeune que toi, et plus tout neuf.
Moi : peut ’être mais rappelle-toi, tout ça est nouveau pour moi pas sûr que tu obtiennes tout ça ce soir.
Lui : je ne suis pas pressé ça n’en sera que meilleurs, à moins que tu préfères aller ailleurs, ce que je comprendrais.
Moi : quoi ? t ‘es fou ou quoi, si quelqu’un me fait passer à la casserole comme tu dis cela sera toi , je te promets, et en plus j’ai décidé que je ferais tout ce que tu voudras sans regimber, tu pourras faire de moi tout ce que tu voudras comme tu voudras, je n’ai confiance qu’en toi dans la vie et encore plus pour le reste, il te suffira de te servir, sans demander.
Mais la 1èrtte fois va falloir y aller mollo ta bite est énorme et si j’aime la sucer pour le reste ça risque d’être plus compliqué , j’ai quand même la trouille et en même temps j’en ai envie.
Lui : on verra en temps voulu pour l’instant K, tu vas pouvoir appréhender des possibilités, sans que tu oublies que se sont pour les 2 tiers de acteurs.
Il enclenche le magnéto et par faire chauffer le four pour réchauffer les pizzas et s’occupe du couvert.
À son retour sur l’écran un minet tout mince a genou est en train de sucer une belle queue d’un mec d’une cinquantaine d’année pendant qu’un autre est derrière lui, et lui bouffe carrément le cul, et l’autre gémis comme un malade, j’en suis pantois.
Lui : alors ?
Moi : il fait bien ce que je pense ?
Lui : oui, c’est super agréable pour le passif.
Moi : ah bon ?
Lui : on va essayer, tu me diras.
Moi : heu ouai pourquoi pas.
Lui : de toute manière tu as donné ta parole, et dit que je ferais ce que je veux comme je veux quand je veux et ben là, je veux !
Bon on va manger on reprendra ça après , il met sur pause et on passe dans la cuisine toujours à poil, et moi le film m’a fait un sacré effet je bande comme un âne.
Il me dit je vois effectivement que de voir des mecs baiser te met dans un drôle d’état.
Moi : j’ y peux rein c’est mon imagination, je me verrai bien à la place du minet.
Lui : avec 2 mecs ?
Moi : oui mais enfin non ou pas tout de suite mais c’est super existant, mon côté docile peut-être.
Lui : un jour peut-être mais avant va falloir percer tout ça.
Moi : oui c’est toi qui vois.
On expédie les pizzas et on repart dans le salon, re magneto, très vite le minet sur l’écran toujours accroché à la queue du mec est sur le point de se faire prendre, par l’autre plutôt bien monté aussi, et le type prend pas de gants, il s ‘enfonce en lui d’’un coup, le minet à lâcher la queue qu’il suçait pour gueuler un bon coup, puis se calme et le mec le lime sans complaisance alors qu’il renfourne la queue de l’autre, au bout d’un moment celui qui le prenait se cambre et ça j’ai compris tout de suite, il lui jouit dans le cul, pendant que l’autre lui tient bien le tète et lui jouit au fond de la gorge.
Ils se retirent de lui, le minet est tombé sur le côté et couine en étant secoué de partout.
Je suis scié, je bande même plus tellement j’étais accaparé par le film,
Je pense que JO l’a choisi délibérément, hé bien c’est pensé.
J’en ai oublié JO, je le regarde lui me regarde aussi et me dis je t’observais, tu avais l’air hypnotisé.
Moi : ben oui, je découvre, tout ça c’est possible ?
Lui : oui à 2 comme à 3 et quelquefois a plus.
Moi : ah oui quand même !
Le film s’arrête, Jo : bon si on mettait en pratique au moins une partie des cours visuels ?
Moi un peu hébété, si tu veux, mais je n’en mène pas large.
Il ne me prend pas le poignet et m’entraîne dans sa chambre.
Il me dit j’ordonne, t’obéis .
Moi :OK
Mets-toi à 4 pattes sur le lit et écarte tes jambes comme le minet tout à l’heure,
J’obéis il passe derrière moi s’agenouille passe sa main entre mes cuisses se saisi de ma queue qui recommence à bander, content il la lâche puis ses mains viennent sur mes fesses les écartent et là je sens un truc chaud se poser sur mon petit trou, en faire le tour, pointer comme pour entrer dedans, la caresse m’affole je gémis tellement c’est bon, j’en tremble des cuisses, puis il arrête, moi je lui dis encore s’il te plait,
lui : après reste comme ça que j’admire ton joli trou du cul, puis me crache sur l’anus et là je sens un de ses doigts titiller mon trou, tourner au tour, puis à un moment une pression se fait dessus et je sens le doigt rentrer en moi, par réflexe je me tend, il me dit doucement ; du calme laisse-moi faire tu vas aimer, sa voix me rassure, alors je me détend il en profite pour pousser son doigt progressivement de plus en plus profond puis le retire, le remet, le fais tourner en moi, comme ça pendant 2 ou 3 minutes, moi je gémis je découvre un plaisir inattendu que je n’imaginais pas du côté de mon anatomie.
Il se relève, se met sur le dos et me dit allez hop tête à queue à tonton Jo comme dans le film je m’exécute, j’ai compris ce qu’il voulait lors ma bouche se saisi de son gland et du reste que je j’avale lentement, j’assai d’aller le plus loin possible, lui a aussi pris la mienne en bouche, en même temps de ces mains il m’écarte les fesse er y glisse un doigt.
Là c’est trop pour moi je sens mon jus se précipiter comme s’il sortait du fond de mes reins et lui jouit dans la bouche ans retenue.
On change position, il se met sur les dos moi je m’agenouille entre ses jambes et le reprend en bouche je m’applique, j’arrive enfin à avaler toute sa queue, il est en transe, parle, m’encourage me dit que c’est bon que je suce divinement, qu’il ne va tarder à jouir, je décide de lui rendre la pareille non sans appréhension, je le sens se tendre sa queue gonfler je retire ma bouche juste sur l moitié de son sexe je le serre fermement avec mes lèvres cet à ce moment il m’envoi 3 puissants jets de son jus au fond de l gorge j’arrive à en avaler une partie , puis je me renfonce sur sa queue et me retire jusqu’à ne garder que son gland bien serré dans ma bouche, il finit de se rependre par saccades brûlantes.
On se regarde dans les yeux, j’ouvre la bouche en la tenant en arrière pour bien lui montrer que j’ai encore sa semence dans la bouche, puis en fixant je referme la bouche et avale lentement sa semence.
Il se laisse retomber en arrière quelques gouttes de spermes sortent encore de sa queue je le prends sur mes doigts et lui présente devant la bouche, il me prend les doigts et suce sa propre semence.
On reste comme ça sans parler 3 ou 4 minutes moi assis ai pied du lit lui s’est relevé sur ses coudes .
Puis je lui dis : je ne m’en suis pas trop mal tiré non ?
Lui : je n’y croyais pas, je n’en reviens pas, tu parles d’une pipe, c’était phénoménal surtout le final qui a flatté mon ego.
Pourquoi si vite dès la deuxième fois ?
Parce que j’ avais envie de te faire plaisir, toi aussi tu as fait fort avec le bouffage de cul,
Je savais mêmes pas que c’était possible jusqu’à aujourd’hui et le plaisir que ça procurait, et aussi le plaisir de tes doigts.
Lui : bon n reste là pour ce soir, il fera jour demain.
Moi : oui c’est préférable
Lui en revanche demains on va essayer de passer au stade supérieur si tu veux.
Moi : OK on verra bien.
Et je pars me rincer la bouche, me laver les dents et me couche direct, je me suis endormi dans la minute qui a suivi.
Sur le matin j’entends gratter à la porte, Jo est là et me dit di donc la loutre il est presque 10 heures faudrait te lever si tu veux qu’on aille au marché.
Je le trouve dans la cuisine il a préparé le petit déj’ je l’expédie et nous voilà parti.
On fait les emplètes de fruit de mer, poisson (j’adore ça et il le sait) de fruits rouges, pain frais,
2 bonnes bouteilles de vin blanc, et de la cochonnaille.
Je suis tout guilleret, détendu heureux quoi, et lui aussi semble-t-il.
Je constate que le regard des gens autour n’a pas changé, ils nous prennent pour un père et son fils en train de faire des courses, et cela me rassure.
Ça ne lui a pas échappé, il me dit : ça a l’air de bien aller ce matin ?
Moi : oui très, on dirait que toi aussi, moi j’ai dormi comme un bébé sans rêver ni fantasmer
Lui : Moi j’ai un peu bataillé quand même, cette nuit, je tai retourné dans tous les sens dans mes rêves.
Moi : hé ben ça promet.
Lui : oui, j’ai établi 2 schémas me dit-il en me faisant un clin d’œil.
Moi : je peux avoir une idée ?
Lui : oui normal alors :
le 1er je te fais l’amour avec préliminaires et fini par te prendre quand tu le demande.
le 2ème je te prépare sommairement, et je t’enfile durement et te baise tout simplement sans chichi.
Moi : ah oui en effet, les 2 me tentent assez, mais la 2 me paraît peut-être un peu prématurée non ?
Lui : je pense aussi, et puis tu sais quoi, on verra sur le tas i je puis dire.
Moi :de toute manière comme je t’ai promis tu feras comme tu voudras.
On rentre il est 12h30 passé
Il se met en cuisine, il fait un temps magnifique je mets le couvert sur la terrasse on va manger dehors.
L’après-midi se passe à ne rien faire, se détendre parler de tout et de rien mais sans jamais aborder ce que nous avons fait la veille, ni ce qui se prépare pour ce soir.
Il est presque 22h00, me demande t’as faim ?
Moi : non.
Lui : moi non plus, on se fait un autre film si tu veux je t’avise quand même que celui-là est gratiné.
Ok allons ’y
Alors celui-là pour être gratiné il est gratiné
En fait e sont des mini films différents
D’ entrée
le 1er c’est un jeune mec qui se fait bourrer par 2 mecs avec des queues énormes dont un black je reste interdit devant les scènes.
Le 2ème c’est carrément un mec qui se fait violer la bouche et le cul par un couple Homme Femme et elle équipée d’une série de godes de tailles différentes dont la dernière est démesurée.
Je m’interroge sur le comment ça peut rentrer et surtout comment un cul peut prendre un tel machin, mais je n’étais pas au bout de mes surprises.
Le 3ème, JO m’a prévenu que c’était du lourd,
Un mec assez costaud se fait démonter le cul par 3 mecs à tour de rôle, se fait prendre par 2 queues en même temps et fini par se prendre une main complète dans le cul en se faisant pisser dessus et dans la bouche
J’ai cru que j’allai vomir.
J’ai du devenir blanc comme un linge, JO me dit c’est peut-être un peu trop là pour l’instant pour toi
J’ai fait oui de la tête, je pouvais même plus parler Jo à couper la K7 et il a bien fait, ça m’avait coupé toute velléité.
J’étais mal, JO me demande si ça va,
Moi : heu pas vraiment, rassure-moi, ce n’est pas dans tes intentions quand même, c’est pas un message que tu veux me faire passer ? je sais t’avoir dit que tu pourrais faire ce que tu veux mais là désolé ce sera NON.
Lui : mais non, c’était juste pour te montrer, c’est pas du tout mon truc .
Tant mieux parce que ça te passe l’envie de baiser ou te faire baiser des trucs pareils.
Ce n’est pas faire l’amour ça, ou même te faire baiser ça.
Le 1er j’ai bien aimé sauf peut-être la queue du black, pour la passer celle-là faut la santé.
Lui :décidément t’es attiré par les plans à 3 avec 2 actifs.
Moi : c’est excitant, mais ça ne veut pas dire que ce sera pour demain et surtout pas avec des mecs que je ne connais pas ,ça non.
Lui : et si un jour je t’en ramène un bien sélectionné,
Moi : si tu en es garant pourquoi pas, mais je pense qu’il vaut mieux que je ne sois pas averti, et qu’il me soit imposé dans le feu de l’action par toi, il ne faut pas que cela soit pour moi un plan calculé.
Lui : intéressant je prends note on ne sait jamais un de ces 4.
Lui : bon on détendre l’atmosphère, je sais que l’alcool ce n’est pas ton truc mais un petit cognac ou rhum te fera pas de mal.
Si tu veux mais pas trop j(ai bu que 2 fois dans vie et ça ne me réussit pas ), je fais n’importe quoi, je suis intenable.
Lui : justement, ça va te désinhiber
Moi :alors ok.
Le Rhum coca bien tassé qu’il m’a servi fit son effet j’ai chaud partout .
Et je commence à avoir envie de ses mains et sa queue, alors je lui dis carrément que j’ai envie.
Lui : OK je crois qu’on va s’évacuer dans la chambre.
Allonge-toi et laisse-moi faire ok ?
Moi : comme tu veux fais ce que tu veux mais ne me fait pas mal.
Lui : il y a pas de risque je suis pas le genre à casser mes jouets.
Je vais faire de toi à la fois un homme et ma femelle du moment.
A ces mots la douceur de sa voix sa détermination, j’ai capitulé et su que c’était le grand soir, je n’étais plus inquiet, et malgré ma situation de néophyte et conscient du défi qui m’attendait, teinté de hantise, d’envie, et du doute de ne pas être à la hauteur, mais je me savais en de bonnes mains,
Je lui ai juste dit : sers-toi.
Il m’a d’abord un peu sucé mais pas trop, il dosait mon excitation, puis m’a mis à 4 pattes, et s’est emparé de mes fesses, les a écarté et j’ai reçu ce que j’attendais ; sa langue furieuse inquisitrice, je couinais déjà comme une chatte, puis il s’est enduit un doigt de crème, et me la planté entier direct d’un coup dans le cul, j’ai sursauté, il a pratiqué des va et viens rapides, je me sentais de plus en plus accessible, lui aussi, le doigt est devenu 2 avec quelques va et viens que j’encaissais pareil, puis un 3ème, là j’ai un peu souffert, surtout qu’il avait de belle grosse mains, mais j’ai encaissé, d’autant plus que je me sentais submergé de plaisir physique et psychologique, j’étais en train de me faire préparer le cul à ma 1ère sodomie, et pas par n’importe qui, par un homme qui suscitait mon respect et admiration , un homme qui aurait pu être mon père mais qui ne l’était pas, mais qui m’élevais sans poser de question comme s’il l’était, bref, j’allais passer du statuts de neveu celui d’amant et je compris que je n’attendais que ça, il pouvait bien faire ce qu’il voulait je lui appartenais à ce moment M.
Pui il retira ses doigts délicatement me fit me mettre sur le dos, me glissa un traversin sous les reins, ainsi je me retrouvais le cul surélevé, j’étais à sa mercie, me fit écarter les jambes se pencha et pris ma queue dans sa bouche pour 2 ou 3 va et viens, puis est monté et avec sa bouche s’occupa de mes tétons, les mordillant, les suçant, moi je commençais à partir en vrille je lui disais c’est bon, ho oui encore , puis il cessa d’un coup et est venu s’installer entre mes jambes, me les fit mettre en hauteur sur ses épaules, j(ai ouvert les yeux il me fixait s’enduisit le gland de crème et m’en inséra avec un puis de doigts dans mon petit trou, il posa son gland brûlant sur ma virginité, en se faisant très présent, j’étais mort de touille et rempli d’envie, on y était, c’était le moment du grand saut consenti chez les adultes.
Nos regards se croisèrent, d’un signe de tète accompagné de la question et du bout des lèvres me dit t’es ok ?
J’ai juste répondu en baissant l tète et fermant les yeux en murmurant va s’ y prend moi fait de moi ta femelle, j’en crève d’envie.
Alors, il poussa, m’avait averti la 1ère fois risque d’être un peu difficile à passer à ce moment pousse comme quand tu vas aux toilettes, j’ai suivi conseil, il m’avait aussi dit ça risque d’être un peu douloureux, c’est un dépucelage ! mais que la douleur passera vite et se transformera en plaisir, et tu en redemanderas.
J’ai fait comme il a dit j’i poussé lui aussi de son côté et son gland a pulvérisé ma rondelle, une douleur ou plutôt brûlure m’arracha un petit cri, mais je m’y attendais et serrais les dents, je devais absolument être à la hauteur et ne pas le décevoir.
Il resta comme ça sans bouger se pencha sur moi, et fit un truc qu’on n’avait jamais fit jusqu’à présent,
Il est venu cherche ma bouche avec la sienne, j’étais décontenancé j’ai ouvert la mienne, par automatisme et là il m’ a mis sa langue dans la bouche presque de force, puis m’a embrassé fougueusement ,moi qui n’avais même pas rouler une pelle à une nana, je bouffais et me faisait bouffais la gueule par un mec, j’en ai chaviré il a profité de de ce détournement pour s’enfoncer en moi lentement mais inexorablement, j’avais l’impression d’être fendu en 2, son membre progressait en moi lentement mais sûrement son épaisseur épousait mes parois intérieures qui s’ouvraient sur cet envahisseur , la douleur avait quasiment disparu pour faire place à une sensation de remplissage et de plénitude qui me procurait des sensations de plaisirs incroyables, arrivait aux 2 tiers e sa queue je pense il fit une pose, puis poussa d’un coup puissant jusqu’à son maximum, j’en ai eu le souffle coupé, il se planta au fond je les regardé dans les yeux et là il me dit en chantonnant :
Bon anniversaire, 18 centimètres sincères dans ton cul pour tes 18 ans,
1 centimètre par an,
Quand je vous disais qu’il était farceur !

Puis bon allez fini la rigolade, là je vais te baisais fort et à fond jusqu’à te jouir dans les entrailles, je vais te déboîter.
Il y est allé modérément au début , puis s’est transformé en marteau piqueur, j’avais l’impression que mon anus allait exploser sous la pression et la cadence, je savais plu ou j’étais, j’étais en sueur je lui disait vas-y c’est bon plus fort, plus loin défonce moi, j’ai replié mes jambes et les ai croisées dans son dos pour pas qu’il s’échappe et comprenne bien que j’étais à lui, il n’était pas en reste il râlait , éructait et disait putain de cul, je te jure que tu t’en rappellera toute ta vie, puis la foudre est descendue dans mes reins mon anus s’est contracté sur sa queue pourtant épaisse j’ai été pris de violents spasmes abdominaux et annal, une jouissance m’a submergé et j’ai connu un plaisir insoupçonné.
Il m’avait déglingué.
J’en finissait de trembler quant à son tour sa queue est venue dans un puissant coup frapper au fond de moi elle a grossi d’un coup et il a lâché en beuglant sa sauce par saccades pissante au fond moi.
J’étais fier de moi, j’avais fait jouir mon oncle en lui offrant ma virginité sans restriction, et aussi moi le mec de 18 ans j’avais obtenu un plaisir inconnu mais puissant.
Il est ressorti de moi débandé, la queue pendante, il regarda sa queue et me dit :
Signe d’un travail bien fait, rare je peux te dire, tu peux être satisfait de toi.
Bref tout le monde était content, lui semblait s’être éclaté, et moi je n’étais plus vierge et mon perçage de cul n’avait pas été décevant bien au contraire, je me sentais un être homme certes différent des normes imposées mais un homme quand même avec cette différence d’une partie comme femelle au moins pour la baise.
Je tombe sur le dos les bras en croix et m’endors direct
Le lendemain en me levant je m’assoie et là, pas de doute une légère brûlure me rappelle que ce n’était pas un rêve, et que je me suis bien fait décapsuler la rondelle, je passe une sortie de bain et vais dans la cuisine, Jo et en short et chantonne et faisant le petit déj.
Au passage je lui attrape le paquet vite fait après tout il me met bien des mains au cul.
Lui sarcastique: hé bien jeune homme c’est quoi ces libertés ?
Moi : juste pour vérifier si l’objet de mon plaisir est toujours là.
Lui : Il est bien accroché t’inquiète, et toi comment ça va côté pile ?
Moi : Ca pique et brûle un peu quand même.
Lui : normal tu t’es quand même pris un bon calibre pour ta 1ère j’étais d’ailleurs surpris, tu devais avoir sacrément envie, bon bouge pas je reviens, au retour il est muni d’un petit pot de crème
Me dit penche toi j’obéis, il soulève le peignoir dénude mon cul, et met en douceur de la crème sur ma rondelle et sur les bords intérieurs de mon anus.
Il me dit tu vas voire c’est radical c’est antiseptique, anti-douleur et analgique, dans 15 minutes ça ira mieux, dès que tu sens que ça fait plus effet, tu me dis je t’en emmétrais,
Moi : je ne peux pas le faire tout seul ?
Lui : si bien sûr mais c’est plus drôle si c’est moi qui le fais, et puis j’aime bien mater ton cul et ta rosette, une chose est sûre Si quelqu’un la voie comme elle est là ce matin, il saura tout de suite ce qu’il lui est arrivé cette nuit, mais t’inquiète ça va rentrer dans l’ordre très vite.
La prochaine fois que tu ramasseras faudra quand même prendre des précautions,
C’est un muscle avant tout, il va reprendre sa forme, certes la prochaine pénétration sera moins difficile mais ne se fera comme ça.
Il me dit ce midi, je t’ emmène bouffer chez un ami qui a un petit resto sympa pas loin d’ici, tu verras on va se régaler.
12h00, on est installé dans un genre de bistrot à l’ancienne, un grand type blond s’approche salut JO, qui me présente : KARL, GIL mon neveu, il fait ses 18 ans aujourd’hui,
Il me dit, Karl un pote à moi depuis 15 ans et tenancier de cette gargote.
Karl : merci pour la gargote
JO : je déconne
Karl : comme d’hab, bon ils vont manger quoi les loulous là ?
On choisit, ris de veau en entrée suivi d’un pigeonneau rôti arrosé d’un bon sancerre bien frais offert par le patron pour mon anniversaire le tout est un régal.
Puis on rentre, je dis à JO dans la voiture qu‘il va me falloir de nouveau de la crème là on tu sais.
JO : avec plaisir
Et en rentrant je me déshabille me penche et paf le voilà de nouveau à m’enduire le trou.
Je remets mon kimono ras le cul.
Je vois le short de JO très gonflé, et lui dit putain, c’est pas vrai tu penses qu’à ça.
JO : c’est e ta faute aussi, la crème, ton cul, ta rondelle en plus tu déambule avec ton truc au ras du cul, ça me fout le feu au caleçon
Moi : ben là mon pote tu vas te la mettre sur l’oreille.
JO : ok ok, je sais mai peut-être une petite enfin petite… une bonne pipe ?
Moi : si tu veux avant de te coucher, comme ça tu dormiras bien.
Voilà maintenant 10 jours que comme dit JO je suis passé à la casserole pour ma 1ère fois
Coté bas morceaux tous est rentré dans l’ordre, mais plus rien depuis si ce n’est quelques mains au cul et un 69, et sucé Jo dans la voiture un après midi, et ça commence à me démanger un peu, dans l’après-midi je m’en inquiète auprès de JO,
Moi : tu n’as plus envie de moi , ou as-tu trouvé un autre récepteur?
Lui : T’es fou ou quoi, bien sûr que si, et non je n’ai pas été chercher ailleurs alors que j’ai une perle à la maison, pourquoi demandes tu ça ?
Moi : ben je trouve curieux ton manque d’empressement à mon intention.
Lui : J’attendais que tu te manifeste un peu, que tu fasses passer un message, et puis je ne sais pas dans quel état se trouve ton petit cul.
Moi : de ce côté-là, tout va pour le mieux, on peut remercier ta Cremer, mais mon petit cul comme tu dis, voudrait bien se faire remplir de nouveau. J’ai maté quelques vidéos, du coup ça me travaille.
Lui : ah t’es sur ?
Moi : ho que oui, tu n’imagines pas je fantasme rien qu’à l’idée, et je m’échafaude des plans
Lui : Ha tant que ça, apparemment je t’ai laissé un bon souvenir .
Moi : d’après toi..
Lui : ok on est vendredi je vais n=finir un peu tard mais si tu veux on remet ça ce soir
Moi : super
Lu : Des envies ou idées spéciales ?
Moi : tu sais ce que j’aime, ce qui me fait fantasmer, alors tu feras ce que tu veux après tout on va avoir le Week end .
Lui : sans t=restriction ?
Moi : je te le répète, je serais ta femelle et à ta dispo
Lui : je m’organise, là je vais au boulot à ce soir.
L’après midi passe, tranquille, j me suis mis un nouveau film loué aux sexe shop du coin, et me voilà dans tous mes états, il me tarde.
Sur le coup de 19 heures le téléphone sonne c’est lui.
Il me dit je vais rentrer un peu tard, je te prépare une surprise, tu vas bien ramasser ce Week end.
Moi : chiche
Lui : atout à l’heure
20h15 il arrive, range les ourses dans la cuisine débarque dans le salon et me dit : surprise et il se fout à poil direct, et là, je vois qu’il n’a plus un poil côté, épilé complet, ça donne une impression surprenante, et j’ai l’impression Que sa queue est plus grosse que dans mes souvenirs, même ses couilles sont lises.
Moi : la vache !
Lui : hé oui je le fais de temps en temps d’abords pour l(‘hygiène, surtout l’été avec la transpiration, et ça m’excite aussi.
Moi : moi aussi ça m’excite
Lui : tu vas-y passé aussi, tu es quand même plutôt bien fourni des deux côtés pour ton âge et j’aimerai avoir ton petit cul imberbe, pour l bouffer déjà (c’est mieux) et surtout avoir l’impression de me taper un mec pas pubère, je vais m’en occuper, j’ai amené ce qu’il faut pour.
Moi : ok, tu fais ce que tu veux c’est le deal
Lui : alors d’abord va te doucher, je prépare le chantier.
Je m’évacue sous la douche, j’entends du remue-ménage et quand je sors de la douche il a installé une table de jardin dans le couloir, avec une serviette de plage dessus un tas de trucs sur l table et mis dis allonge toi d’abord sur le dos, et tu reretournera quand je te le dirais ça va prendre une bonne demi-heure quand même.
J’obtempère,
Il se muni d’bord d’une tondeuse et évacue partiellement le surplus, puis attrape un genre de bande de cire tiède ( l’époque la crème dépilatoire n’existait pas comme maintenant) et l’applique partout, même sur mes boules, quelques minutes plus tard il me dit ça va piquer un peu mais tu auras un cul et un pubis de bébé et s’emploie à enlever.
C’est loin d’être drôle, une fois le côté face terminé, il s’occupe du côté pile, là pas de tondeuse, c’est moins fourni, apparemment moins facile d’accès mais moins douloureux aussi, ce cochon en a profité pour y enfoncer son pouce, vite fait, ma réaction ne s’est pst tendre, j me suis cambré en gémissant.
Lui : ah effectivement, il semblerait que notre jeune ai faim.
Demi-heure plus tard je suis complétement lisse de partout, alors il me badigeonne d’une sorte de lait en me disant c’est un apaisant, on va laisser ça comme ça une partie de la soirée, et tu verras après ça glissera tout seul, enfin peut-être pas dans la tuyauterie, mais en même temps c’est ça qu’est bon, et j’ai cru comprendre que tu aimais ou en tout cas qui taisait fantasmer.
Je dois avouer qu’il n’a pas tort.
On mange à poil , je dois avouer que c’est agréable d’être lisse comme ça, en plus le moindre déambulage est super existant, n tout cas à lui ç lui fait de l’effet. A tel point que nous ne sommes pas arrivés au dessert, enfin si j’ai servi de dessert.
A un moment il s’est jeté sur moi , ma pris par la main, m’a traîné brutalement jusqu’au canapé du salon mis a 4 pattes, ouvert les fesses sans ménagement il est venu me bouffer la raie sans manière, m’a enfoncé sa langue dans le cul, puis direct 1 doigts puis 2 sans précaution, au 3ème j’ai quand même couiné sévère, il m’a mis 4 bonnes claques sur le cul en me disant de fermer ma gueule, et qu’il allait me démonter
Là j’ai compris que j’allais ramasser grave, je n’en menais pas large et en même temps je n’en attendais pas moins.
Il a décidé très vite que çà suffisait, s’est enduit de crème a poser son gland brûlants et énorme sur ma rondelle, et à carrément poussé d’un coup, son gland ma carrément ouvert le trou et sa queue est rentrée sur près de 5 centimètres en moi.
J’ai gueulé comme une truie qu’on égorge
Lui : tu veux de la baise dure hé bien je vais t’en donner, et de s’enfoncer en moi en 2 cops jusqu’à la garde et là il s’est calé au fond de moi en me tenant bien par les hanches, histoire de monter qui était le patron.
Le mélange de la douleur et du plaisir d’être sa chose de me sentir rempli ont vite pris le dessus et mes gémissements se sont fait révélateur
Lui : alors on fait sa salope. On aime l bite à toton ?
Moi j’ai étouffé oui beaucoup
Lui : hé bien on va passer au ramonage de ce petit cul afin de voir comment il va s’en sortir.
Il a commencé fort très fort, j’avais mal , en gros il était en train de me violer le cul, je ne le reconnaissais pas c’était docteur Jekyll et M.Hyde .
Quand j’avais le malheur de me plaindre je me prenais une borduré d’insulte avilissantes accompagnes de claques sur le cul, le pire c’est que j’aimais ça.
A un moment mon anatomie s’est adaptée je me suis ouvert, et c’est moi qui allais avec mon cul au-devant de sa bite, et j’ai fini par dire c’est bon vas-y défonce moi.
Lui : t’inquiète je vais te casser les pattes arrière, t’en veux ben tu vas en avoir
Alors il m’en a mis pour mon compte ça n’a pas duré très longtemps j’ai vite explosé de plaisir, et lui n’a pas tardé à suivre il s’est vidé en moi à grands coups de rein et m’a dosé le cul.
Il s’est retiré d’un coup me laissant là l cul ouvert qui dégouliné de son jus.
J’ai mis quelques minutes à me remettre, lui c’était assis sur une chaise en face de moi et me regardai, t amusé et content de lui.
Lui : alors ?
Moi : PFFOU ! Je ne m’attendais pas à ça c’était comme dans les vidéos, sauf que là c’était moi le jouet.
Lui : tu as aimé ?
Moi : au début pas facile, mais après c’était juste énorme, je n’aurais jamais pensé en arriver là, en si peu de temps, mais oui j’ai aimé, c’était totalement différent de la 1ère fois, là tu ne me faisais plus l’amour, tu m’as carrément baisé comme une pute.
Et toi ?
Lui : ça faisait un moment que je n’avais pas cassé un jeune cul comme le tien de cette manière, même peut’ être jamais, j’en ai un peu honte.
Moi : ne faut pas, j’ai adoré, mais je ne ferais pas ça tous les jours,
Une fois de temps en temps je ne dis pas , histoire de te faire plaisir et te vider les souilles rapidos en me remplissant le cul, mais faut pas que ça devienne une habitude, j’ai beaucoup aimé notre 1ère ou j’ai eu le sentiment que tu me faisais l’amour.
Lui : mais je t’avais fait l’amour pour mon plus grand plaisir, et le tien apparemment, là c’était un plan cul bestiale
Moi : on, est raccord.
Lui : bon viens sous la douche de ma chambre j’ai un truc à te montrer, pour te laver le cul,
Je découvre une installation un tuyau de jet d’environ 1 mètre sur 2 cms de diamètre raccordé au robinet de la douche, et à l’autre extrémité un embout rond d’environ 3 cms (on dirait une tête de champignon) percée d’un trou en son centre et de plusieurs petits trous autour , j’ai vite compris l’usage
JO règle la température de l’eau me dit penches toi les jambes écartées en t’appuyant sur le mur je m’exécute, il pose l’embout dur mon anus pousse d’un coup, ça rentre facile, puis l’enfonce sur bien 10 cms, allume l’eau, et continu à pousser encore plus loin , jusqu’à ce qu’une légère douleur ma fasse me cabrer
JO : ah on a touché le fond, cambre-toi, je me cambre et hop encore quelques centimètres de plus qui rentrent.
JO : on va faire le ménage, et de faire aller et venir le tuyau dans mon fondement er me remplir d’eau, à un moment il le retire en laissant que la boule à l’intérieur de mon anus et donne des petit à-coups, une sensation étrange s’empare de moi, avec des montés de chaleur dans la colonne vertébrale jusqu’au cerveau me procurant de légers étourdissement, mon anus se contracte et décontracte, sur le tuyau, je suis pris de spasmes dans le bas du ventre, c’est presque dérangeant mais jouissif, d’une manière différente que lors d’une sodomie
Je geints.
JO : je vois que le jeune homme est sensible de la prostate,
Moi je ne savais pas ce qu’était une prostate je l’ai appris quand on a terminé quand JO me l’a expliqué.

Il m’a dit serre l’anus puis il a retiré le jet d’un coup et m’a dit lâches tout, ce que j’ai fait l’eau s’est vidée de moi, là encore une nouvelle sensation, décidément je ne savais vraiment rien de la baise entre hommes, mais bon sang qu’est-ce que j’aimais ça !
Lui : tu sais combien je t’ai mis de centimètres de tuyau dans le cul ?
Moi : je dirais 20
Lui : plus je t’en ai enfilé 26
Moi : non…
Lui : si, j’ai gradué le tuyau, mais bon c’est un petit diamètre, ceci dit ça ouvre des perspectives pour plus tard, on en reparlera en temps voulu.
On a traîné dans le salon à parler de tout et de rien,
il m’a expliqué ce qu’était une prostate
Je lui ai demandé ce qui lui avait donné l’idée de faire ce truc, il m’a dit qu’il avait vu un engin similaire dans un film, et comme il le trouvais nulle part, l’avais fait fabriquer à Bruno le chef d’atelier qui est un garçon taiseux et qui ne pose pas de question.
Je t’en installerai un dans ta douche si tu veux.
Moi : volontiers
Lui : tu verras c’est pratique pour nettoyer l’intérieur avant d’en prendre un coup, mais surtout pour après pour peu que le baiseur se soit rependu en toi.
Moi : en plus c’est une sensation bizarre pas désagréable de se sentir rempli comme ça, encore un truc nouveau pour moi.
Lui : c’est normal que tout soit nouveau pour toi, tu découvres, et je suis assez content que cela soit-moi l’initiateur.
Moi : je suis heureux que cela toi, même si je ne savais pas ou n’avais jamais pensé que 2 mecs puissent se faire plaisir autant, c’est une sacrée découverte.
Puis on était se coucher chacun dans sa chambre.
Il nous restait tout le samedi et le dimanche.
Le samedi fut une journée, normale sans rien de particulier,
je lui demandais si ça allé, il m’a dit oui je garde des forces pour demain, et tu devrais en faire autant, je crois que je vais encore te surprendre un peu.
Moi : ah oui on peut savoir ?
Lui : NON, tu verras bien, pas la peine d’insister, on va faire un petit jeu c’est tout ce que je peux te dire.
Du coup on est allé au cinéma après un petit resto sympa et on est rentré et on s’est couché, je me suis creusé la tête pour essayer d’imaginer, mais rien n’y fit, je me suis endormi en pensant que quand même j’avais fait un drôle de chemin en si peu de temps.
Réveil, on est dimanche, JO est déjà debout sur la terrasse et il déjeune, il est 10h30,
A ma vue : ah enfin t’es réveillé, j’ai eu le temps d’aller chercher les croissants et le pain pour midi.
Moi en : souriant, ben y a un mec qui ‘a démonté dans la nuit de vendredi, et j’avais besoin de récupérer, d’autant que le même mec m’a prévenu que ça aller peut-être chaud pour moi aujourd’hui et qu’il valait mieux que je sois en forme, tu vois de qui je parle non ?
Lui : Oui je ne suis pas sénile, on déjeune on va sur le port acheter du poisson pour midi ça te dit ?
Moi :OK.
3/4 d’heure après on a fait le plein de poisson et on a pris des huîtres, nous aimons ça tous les 2, rentré à la maison, il me dit :
J’ouvre les huîtres je prépare le poisson , toi va te changer et fais-moi plaisir ne mets qu’une liquette sans rien dessous.
J’obéis d’autant que j’aime bien traîner comme ça sous son nez je sais que ça le met dans tous ses états.
A mon retour je le nargue un peu, tortille du croupion exagérément, plus pour l’muser qu’autre chose.
Lui : fais le malin on va voir si tu le fais cet après-midi,
et au passage vérifie avec instance et doigts baladeurs si effectivement j’ai rien dessous, il déclare ‘est bien
Bon j’ai une info qui ne m’apprend rien, mais je sis au moins que c’est pour cet après-midi tu parles d’un scoop !
Sur le coup de 16 heures il s’approche de moi, m’embrasse dans le cou, commence à envoyer ses mains partout ma liquette tombe son short aussi, et je constate qu’il est, très mais alors très en forme.
A un moment, il décrète ça suffit la marmite est assez chaude, viens par ici et il me traîne dans le garage, sur un grand établi il a installé un plaid,
Mets-toi à 4 pattes et bouge plus
Il revient avec un bandeau, devant me regard interrogateur il ne dit pas de question et me couvre les yeux
Je commence à me poser des questions, puis il monte sur l’établi s’installe à genou devant moi guide ma bouche vers sa queue me dit ouvre,
J’ouvre, là il enfonce bien 10 centimètres dans ma bouche et me dit :
Pompe tonton ,
Alors je m’applique, je sais ce qu’il aime et en use au bout d’un moment j’entends un bruit je tressaille il me maintient la tête et me dit t’occupe, suce, un peu inquiet quand même je le suce, là d’un coup je sens 2 mais m’écarter les fesses, ça ne peut pas être lui il est devant moi à imprimer la cadence en me tenant la tête, je panique un peu, il me dit ferment pas bouger !
Et toi tu peux y aller sers toi.
Je sens un doigt assez long et fin se poser sur mon trou et s’y enfoncer, 5 ou 6 va et vient après c’est un deuxième j’ai la tête pleine de question,
j’entends c’est ok ?
JO : si t’estime qu’il est prêt tu peux y aller fais le passage, comme ça je vais le démâter après toi.
Et l’autre derrière qui n’a toujours pas prononcé un mot.
Chez moi c’est panique à bord, je sens un truc dur et chaud se poser sur ma rondelle et je sais ce que c’est puis le truc dur et chaud pousse sur ma rondelle qui s’écarte sans difficulté et laisse passer bien 6 ou 7 centimètres d’un coup, c’est loin d’être désagréables bien au contraire,
Puis JO dit tu peux aller il va encaisser
Alors la queue inconnue s’enfonce en moi , elle n’en finit pas, elle bien moins épaisse que celle de JO mais bien plus longue et également très dure, la sensation est totalement différente qu’avec JO, cette queue commence à me limer d’abord lentement sur toute la longueur puis ressort plusieurs fois pour mieux se replanter en moi et aller jusqu’au fond, il accélère et commence à mugir, O intime ; pas dedans OK ?
L’autre s’ exécute et décule d’un coup juste à temps , je sens son jus m’arroser les fesses.
JO se retire de ma bouche lui dit laisse-moi la place s’installe entre mes jambes pose sa queue sur mon trou et pousse d’un coup putain même ouvert ça surprend et chauffe les bords, d’enfonce encore et encore, mon cul exulte s’ouvre l’accueil comme jamais, je couine, je gueule lui crie plus fort plus fort au fond, casse-moi le cul putain c’est bon,
JO se penche sur mon dos m’enlève le bandeau, je n’ai même pas le réflexe de regarder, une bite bien droite et raide de nouveau se présente devant ma bouche elle est fine c’est celle de celui d’avant alors je lève le nez et retrouve face à face avec le KARL le patron du resto ou Jo m’avait emmené pour mon anniversaire, la surprise passée je m’applique à bien le sucer.
JO a accéléré et moi j’ai le ventre en feu je jouis de sentir se gros manche me torturer les reins et dilater mon anus je pars en vrille je hurle mon plaisir anal
J’entends quand même JO dire: pas dans la bouche non plus , c’est comme, le cul, c’est propriété de JO pour l’arrosage.
Karl puisque maintenant je sais que c’est lui, sort sa queue de ma bouche et me renvoi une giclée qui m’arrive sur les joues et dans les cheveux.
Moi je tombe à plat ventre épuisé rassasié honteux d’avoir servi sans mon consentement à un autre que JO.
Je mets bien 10 minutes à redescendre puis constate que je suis seul dans le garage, et repars à la maison ou je trouve JO seul, et je passe dans sa salle de bains pour évacuer le restant ce qu’il y a mis
Moi : il est parti ?
Lui : oui il était venu te baiser à ma demande , pas pour faire des civilités en plus il a service ce soir.
Et je dois t’avouer que ça m’a coûté un peu quand même de le faire venir, même si je sais que ce n’est pas le genre à draguer les mecs d’un autre.
Moi : va falloir qu’on cause.
Lui : oui de quoi ? c’était un fantasme pour toi ,on ?
Moi : heu oui, mais je ne l’envisageais pas Si tôt.
Lui : si je t’avais demandé l’autorisation et te disant qui s’était tu aurais dit quoi ?
Moi : je ne sais pas.
Lui hé ben ; comme ça tu te poseras plus la question , et ne dis pas que tu as pas aimé parce que là, je t’ai vu à l’œuvre, et je t’ai aussi entendu couiner comme une femelle.
Moi : honteux ; oui j’ai aimé, et surtout la manière rude dont tu m’as fini c’était un peu comme si tu me punissais,
Lui : il y a un peu de ça.
Moi : tu crois que je suis une salope ?
Lui : QUE NON , tu as juste découvert un monde, nouveau qui semble te correspondre, et si tu te considères comme une salope, tant que c’est ma salope à moi, ça me va, mais ce n’est pas l’image que j’ai de toi.

Bref : en l’espace de quelques jours, je suis passé de l’innocence totale à une situation de luxure anale consentie, et j’avais aimé ça.

Épilogue temporaire
JO : a fait mon éducation pas seulement sociale, mais aussi sexuelle, pour mon plus grand bonheur, et d’autres plans pour certains un peu démâtés ont suivis, je vous raconterais quelques’ un de cela par la suite, mais c’était de façons, assez rares, toujours bien encadrés par JO ,
Surtout par la suite il a continué à me faire l’amour, mais aussi me baiser rudement de temps en temps, il a compris mon cheminement, et moi ses envies et besoins physiques en fonction de ses humeurs et de son état d’esprit du moment.
J’espère que cette tranche de vie vous a fait passer un bon moment,
En tout cas moi cela m’a soulagé de m’être confié 40 ans après.
Comme dit en entête vous pouvez laisser des messages si, bon vous semble.

Les avis des lecteurs

Merci pour ce récit. C'était très excitant !

Histoire Erotique
Vivement la suite!!!

C'est compliqué à lire pour des raisons de mise en forme. Intéressant, mais j'ai quand même assez vite survolé. Personnellement, la scène que je préfère c'est celle de l'initiation au lavement, pratique oh combien indispensable et délicate mais nécessaire pour le confort des partenaires.



Texte coquin : Passage de l’innocence à la luxure anale.
Histoire sexe : Une rose rouge
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Passage de l’innocence à la luxure anale. - Récit érotique publié le 26-06-2023