Passif dans les bois
Récit érotique écrit par Bidiscret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 10 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Passif dans les bois
Je vais vous raconter une histoire qui s'est passé l'été dernier. Comme d'habitude,
j'étais seul chez moi. Déjà que je ne vois jamais ma femme la semaine mais en plus,
étant infirmière, elle bosse tout le temps. Nous étions donc le 15 août et j'avais
environ 12 heures à tuer. Ce jour là, je me suis réveillé avec une gaule d'enfer et
une envie de bite comme rarement. Mon premier réflexe pour me calmer fut de me branler
devant un bon vieux porno avec un gode dans le cul. J'ai répété l'opération 3 ou 4
fois et mon envie était toujours là. Par cette belle journée ensoleillée, il me
fallait plus, il me fallait une vraie bite dans le cul, accessoirement dans la bouche
et pourquoi pas les deux en même temps. Je me mis alors à naviguer sur le net pour
trouver un beau mâle prêt à me démonter. Je suis tomber sur un site répertoriant les
lieux coquins de chaque département et ça tombait bien car je venais d'emménager dans
l'Aisne et il est toujours bien de faire un peu de tourisme, surtout quand celui-ci se
révèle être sexuel.
Je repérais donc une annonce décrivant un parking à côté d'un petit bois où se
retrouvent des mecs pour baiser. C'était l'endroit idéal: pas trop loin de chez moi, à
la frontière belge et, apparemment, très bien fréquenté. Comme je devais aller
chercher des clopes et que je passais devant, c'était que du bonheur. Je pris donc une
bonne douche (l'hygiène avant tout) et sélectionna mes fringues avec sérieux. Quand on
est gros et poilu comme moi, il est important de bien s'habiller pour plaire un
minimum, surtout quand on cherche à se faire baiser. Je me suis alors décidé pour une
petite culotte en satin noire (pas de string, ça me fait un gros cul), un jean et une
chemise manche courte quasiment transparente. Je pris ma voiture et fis le chemin en
bandant en permanence tant l'idée de me rendre sur ce lieu de débauche m'excitait.
Sur la route de la Belgique, je passais devant le parking et vis qu'il y avait
beaucoup de voiture. Je passais mon chemin dans un premier temps pour faire mes
emplettes. Ces dernières ne durèrent que peu de temps et je me suis mis à rouler comme
un dingue pour arriver à destination. Une fois sur place, il ne restait que 3 voitures
ce qui m'a déçu mais je décidais de rester positif, c'est toujours mieux que zéro. Je
me gare donc et m'enfonce dans les bois vu que les véhicules sont vides. Au bout de
cent mètres, je m'arrête pour vider ma vessie pensant être seul. J'ouvre donc mon
pantalon, sors ma petite bite et me soulage. D'un coup, je sens quelqu'un à côté de
moi en train de fixer mon sexe avec insistance. Il me salua rapidement et entra
rapidement dans le vif du sujet: actif ou passif? Je lui répondis que j'étais une
salope finie et que j'étais venu tout simplement pour me faire baiser. Alliant le
geste à la parole, je baissais mon pantalon pour exhiber ma culotte de petite
cochonne.
J'avais maintenant le pantalon sur les chevilles et il me carraissait le cul. Il
baissa son short pour libérer une bite d'environ 18 centimètres et bien épaisse. Je le
complimentais en passant ma langue sur mes lèvres pour lui montrer qu'elle me donnait
envie. Il me fit mettre à genou et m'ordonna d'ouvrir ma bouche de salope. Il était
comme j'aime: directif, masculin et il m'insultait. Sa bite avait un goût fort mais
agréable et elle était si douce sous ma langue. Je le suçais avec délectation
alternant entre mouvements lents et accélérations brusques pour maintenir son plaisir.
Dans le même temps, j'étais une grosse salope, une pute, une chienne et j'en passe et
des meilleures. Il me mit la main sur la tête et força le mouvement pour que je passe
en mode gorge profonde. D'habitude, je n'apprécie pas forcément cette pratique mais
mon « maître » du moment était tellement bon que je ne voulais pas le contrarier.
D'un coup, j'entendis des bruits de pas derrière moi. Je voulus me retourner pour voir
qui arrivait mais mon mâle me maintenais la tête pour que je continue de le sucer. Ils
discutaient un peu tous les deux pendant que je m'appliquais à astiquer le membre que
j'avais en bouche. Je n'entendis rien du dialogue à part un « vas-y, éclate toi mec »
venant d'au dessus de moi. On me saisit par les hanches que je me relève et je me suis
retrouvé d'un coup debout, penché en venant, n'arrêtant surtout pas de sucer. On me
caressa le cul un instant avant de m'arracher littéralement ma culotte. Mon cul
s'ouvrit et un manche se présenta à l'entrée de mon petit trou. J'appréhendais un peu
car je ne connaissais pas la taille de l'engin et j'eus peur d'avoir mal. Heureusement
pour moi, elle n'était pas trop grosse car elle me pénétra d'un coup et très fort dès
le départ. Je me fis prendre comme ça durant 10 bonnes minutes. Le mec dans ma bouche
me gicla sur le visage après m'avoir traité de pute alors que celui dans mon cul
déchargea sur mes fesses en me disant que j'étais un bon garage à bite.
Les mecs me saluèrent rapidement avant de partir ma laissant à moitié à poil, couvert
de sperme et la bite raide n'ayant pas encore joui. Le temps de reprendre mes esprits,
je vis qu'un troisième mec était encore de se branler en me regardant. Je rapprochais
donc de lui, la bite à la main espérant m'en prendre encore quand il tomba à genou
devant moi. Il me prit en bouche et je lui explosais en bouche rapidement tellement
j'étais à bout. Il juta rapidement lui aussi se releva et parti aussi vite qu'il était
venu: sans une parole et sans me dire son nom. Je repartis chez moi, noyé de foutre en
me disant que je reviendrais encore plus salope que ce jour pour me faire démonter
encore plus fort.
D'ailleurs, si vous êtes intéressé par une salope qui aime se faire défoncer sur le
secteur Laon – Hirson, envoyé moi un mail, je vous répondrais à coup sûr.
j'étais seul chez moi. Déjà que je ne vois jamais ma femme la semaine mais en plus,
étant infirmière, elle bosse tout le temps. Nous étions donc le 15 août et j'avais
environ 12 heures à tuer. Ce jour là, je me suis réveillé avec une gaule d'enfer et
une envie de bite comme rarement. Mon premier réflexe pour me calmer fut de me branler
devant un bon vieux porno avec un gode dans le cul. J'ai répété l'opération 3 ou 4
fois et mon envie était toujours là. Par cette belle journée ensoleillée, il me
fallait plus, il me fallait une vraie bite dans le cul, accessoirement dans la bouche
et pourquoi pas les deux en même temps. Je me mis alors à naviguer sur le net pour
trouver un beau mâle prêt à me démonter. Je suis tomber sur un site répertoriant les
lieux coquins de chaque département et ça tombait bien car je venais d'emménager dans
l'Aisne et il est toujours bien de faire un peu de tourisme, surtout quand celui-ci se
révèle être sexuel.
Je repérais donc une annonce décrivant un parking à côté d'un petit bois où se
retrouvent des mecs pour baiser. C'était l'endroit idéal: pas trop loin de chez moi, à
la frontière belge et, apparemment, très bien fréquenté. Comme je devais aller
chercher des clopes et que je passais devant, c'était que du bonheur. Je pris donc une
bonne douche (l'hygiène avant tout) et sélectionna mes fringues avec sérieux. Quand on
est gros et poilu comme moi, il est important de bien s'habiller pour plaire un
minimum, surtout quand on cherche à se faire baiser. Je me suis alors décidé pour une
petite culotte en satin noire (pas de string, ça me fait un gros cul), un jean et une
chemise manche courte quasiment transparente. Je pris ma voiture et fis le chemin en
bandant en permanence tant l'idée de me rendre sur ce lieu de débauche m'excitait.
Sur la route de la Belgique, je passais devant le parking et vis qu'il y avait
beaucoup de voiture. Je passais mon chemin dans un premier temps pour faire mes
emplettes. Ces dernières ne durèrent que peu de temps et je me suis mis à rouler comme
un dingue pour arriver à destination. Une fois sur place, il ne restait que 3 voitures
ce qui m'a déçu mais je décidais de rester positif, c'est toujours mieux que zéro. Je
me gare donc et m'enfonce dans les bois vu que les véhicules sont vides. Au bout de
cent mètres, je m'arrête pour vider ma vessie pensant être seul. J'ouvre donc mon
pantalon, sors ma petite bite et me soulage. D'un coup, je sens quelqu'un à côté de
moi en train de fixer mon sexe avec insistance. Il me salua rapidement et entra
rapidement dans le vif du sujet: actif ou passif? Je lui répondis que j'étais une
salope finie et que j'étais venu tout simplement pour me faire baiser. Alliant le
geste à la parole, je baissais mon pantalon pour exhiber ma culotte de petite
cochonne.
J'avais maintenant le pantalon sur les chevilles et il me carraissait le cul. Il
baissa son short pour libérer une bite d'environ 18 centimètres et bien épaisse. Je le
complimentais en passant ma langue sur mes lèvres pour lui montrer qu'elle me donnait
envie. Il me fit mettre à genou et m'ordonna d'ouvrir ma bouche de salope. Il était
comme j'aime: directif, masculin et il m'insultait. Sa bite avait un goût fort mais
agréable et elle était si douce sous ma langue. Je le suçais avec délectation
alternant entre mouvements lents et accélérations brusques pour maintenir son plaisir.
Dans le même temps, j'étais une grosse salope, une pute, une chienne et j'en passe et
des meilleures. Il me mit la main sur la tête et força le mouvement pour que je passe
en mode gorge profonde. D'habitude, je n'apprécie pas forcément cette pratique mais
mon « maître » du moment était tellement bon que je ne voulais pas le contrarier.
D'un coup, j'entendis des bruits de pas derrière moi. Je voulus me retourner pour voir
qui arrivait mais mon mâle me maintenais la tête pour que je continue de le sucer. Ils
discutaient un peu tous les deux pendant que je m'appliquais à astiquer le membre que
j'avais en bouche. Je n'entendis rien du dialogue à part un « vas-y, éclate toi mec »
venant d'au dessus de moi. On me saisit par les hanches que je me relève et je me suis
retrouvé d'un coup debout, penché en venant, n'arrêtant surtout pas de sucer. On me
caressa le cul un instant avant de m'arracher littéralement ma culotte. Mon cul
s'ouvrit et un manche se présenta à l'entrée de mon petit trou. J'appréhendais un peu
car je ne connaissais pas la taille de l'engin et j'eus peur d'avoir mal. Heureusement
pour moi, elle n'était pas trop grosse car elle me pénétra d'un coup et très fort dès
le départ. Je me fis prendre comme ça durant 10 bonnes minutes. Le mec dans ma bouche
me gicla sur le visage après m'avoir traité de pute alors que celui dans mon cul
déchargea sur mes fesses en me disant que j'étais un bon garage à bite.
Les mecs me saluèrent rapidement avant de partir ma laissant à moitié à poil, couvert
de sperme et la bite raide n'ayant pas encore joui. Le temps de reprendre mes esprits,
je vis qu'un troisième mec était encore de se branler en me regardant. Je rapprochais
donc de lui, la bite à la main espérant m'en prendre encore quand il tomba à genou
devant moi. Il me prit en bouche et je lui explosais en bouche rapidement tellement
j'étais à bout. Il juta rapidement lui aussi se releva et parti aussi vite qu'il était
venu: sans une parole et sans me dire son nom. Je repartis chez moi, noyé de foutre en
me disant que je reviendrais encore plus salope que ce jour pour me faire démonter
encore plus fort.
D'ailleurs, si vous êtes intéressé par une salope qui aime se faire défoncer sur le
secteur Laon – Hirson, envoyé moi un mail, je vous répondrais à coup sûr.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Heureusement qu'il y a eu un troisième comparse assez gentil parce que sans lui, j'aurai pu croire que les gars qui se soulagent au fond d'un parking sont des égocentriques de premier ordre.