Pause dejeuner
Récit érotique écrit par Marcmarc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pause dejeuner
Cela fait quelques temps que j'échange des mails avec un type qui m'avait contacté sur un forum. Nos discussions étaient parties sur des bases légères, mais à chaque mail, nous échangeons maintenant sur nos vies sexuelles, nos phantasmes, nos désirs. Il a 45 ans, divorcé depuis peu. Ses enfants vivent la semaine chez sa femme et du coup il se retrouve seul dans un petit appartement parisien. Il travaille en horaire décalés et a pas mal de temps libre en journée. Bisexuel depuis longtemps, il en profite désormais pour rattraper le temps perdu et s'accorder des petits plaisirs qui lui étaient avant interdits. Nous nous sommes rapidement rendus compte que nous étions complémentaires. Lui actif et volontiers dominateur, moi plutôt passif et soumis. Il m'a envoyé quelques photos de lui, de son sexe et m'a proposé de venir lui rendre visite pour que nous prenions du bon temps. Je suis en couple et je lui ai par conséquent expliquer que je ne pouvais que rarement me libérer en soirée. Son appartement étant situé non loin de mon travail, nous nous sommes mis d'accord pour que je passe lors d'une de mes pauses déjeuner. Nous aurions 1/2 heure à nous consacrer pour nous faire du bien. Il me prévient qu'il me dirigera, que je devrais lui obéir mais de ne pas m'inquiéter, qu'il ne me fera aucun mal et respectera mes décisions et limites.
Arrivé à l'heure convenue, je sonne à l'interphone de son immeuble. Une voie grave me dit de monter vite au 4ème étage et qu'il m'attend. Je suis nerveux dans l'ascenseur et me regarde dans la glace pour me donner un peu de courage. Je sonne à son appartement et il m'ouvre vêtu d'un simple peignoir. Il est physiquement conforme aux photos qu'il m'avait envoyées. Environ 1.85m, autour des 90kg, brun avec une barbe de 3 jours. Il me dit de rentrer. Les volets de son appartement sont presque fermés et il n'a allumé aucune lampe. Son salon est baigné dans une pénombre compensée par la télévision allumée avec le son coupé. Il s'assoit dans le canapé, face à la télévision, et me demande de me déshabiller. Piètre danseur, je ne m'essaie pas à me lancer dans un strip tease sensuel que je sais d'avance catastrophique et vais à l'essentiel, sans fioritures. Une fois nu, je prends le temps de me caresser le sexe et me pincer es tétons, tout en le regardant. Il défait la ceinture de son peignoir et en écarte les pans. Son sexe, encore mou, pends entre ses cuisses. Il est presque rasé et n'a conservé qu'un léger duvet sur le pubis. Les boules pendent, glabres, entre ses cuisses velues. Il est assis dans toute sa splendeur d'homme, viril mais entretenu, qui sait qu'il va passer un bon moment. Il me dit de venir à quatre pattes entre ses cuisses pour lui donner de la vigueur. Je m'exécute et prends en bouche son sexe encore mou. Son corps est frais et sent bon le savon. Il vient vraisemblablement de sortir de la douche. Je tête doucement son membre, que je sens grossir dans ma bouche. Il me caresse les cheveux et s'allume une cigarette. Je pose les mains sur ses cuisses pour les caresser, et garde autant que possible son sexe entièrement dans sa bouche. Il est maintenant bien durci et affiche une belle taille. Je sens petit à petit son gland se décalotter dans ma bouche. Lui ne bouge pas. Il tire lentement sur sa cigarette, tout en se laissant faire. Son sexe a maintenant pris sa taille maximale et ne grossit plus. Je peine à le garder en bouche. Il s'était dit bien monté, je constate que sur ce point également, il n'a pas menti. J'éprouve des difficultés à respirer, et ma bouche est pleine de salive. Je relâche un instant son membre pour déglutir. Je l'observe à la lumière de l'écran. Il doit bien faire entre 18 et 20cm. Son gland est foncé, couleur framboise écrasée et brillant de salive. De larges veines descendent le long de sa colonne. Ses boules sont petites mais pendent bas sous sa hampe.
Il a fini sa cigarette. D'une main, il exerce une pression sur mon crâne pour que je reprenne mon œuvre. Je soupèse ses boules dans ma main et reprends son gland en bouche, pour le téter. De ma langue pointue, je titille son frein et je sens ses contractions. Je le caresse avec ma main de haut en bas, aidé par la grande quantité de salive que j'ai déposé sur son organe. Le rythme est soutenu, et il me repousse. Nous avions convenu que je pouvais rester 30 minutes. Il a bien l'intention d'en profiter et ne veut pas jouir au bout de seulement 10minutes. Il m'ordonne de mettre les mains dans le dos et de lui lécher les boules. Je les prends une par une en bouche en les faisant rouler avec ma langue. Il me tire la tête en arrière et frotte tout son sexe sur mon visage. Je suis trempé de ma salive. Il pointe son gland contre mes lèvres et je les ouvre pour qu'il rentre. Il appuie sur ma nuque pour s'enfoncer au maximum, mais je ne peut retenir un haut le coeur quand je le sens approcher de ma glotte. Il se lève et me fait changer de position. Je me place, les jambes contre le dossier et le dos contre la partie horizontale du canapé. Dans cette position, ma tête, à l'envers, tombe naturellement en arrière. Il retire son peignoir et reste un instant debout, à dominer de toute sa stature alors qu'allongé, je l'attend. Il se met à genou et appui sur mon menton pour que ma tête soit bien renversée. Dans cette position, ma bouche et le reste de ma gorge sont parfaitement alignés. Il enfonce ses doigts dans ma bouche pour que je l'ouvre en grand. Il place son sexe à l'entrée et pousse lentement mais fermement. Je sens d'abord tout son gland entrer. De par la position inversée, j'ai au niveau de ma langue non pas le frein mais toute la surface lisse à ma disposition et je la lèche généreusement, ce lui tire un gémissement de plaisir. Il me maintien la nuque, et d'un mouvement de bassin continue sa progression. Il me commande de retenir ma respiration et d'ouvrir en grand et s'enfonce entièrement. Mon nez se retrouve coincé entre ses deux boules qui ballottent de droite à gauche. Il me félicite et ressort pour que je puisse respirer. J'ai l'impression que des litres de salive s'échappent de ma bouche. Il me demande si je suis pret pour la suite. Je hoche la tête et ouvre la bouche en grand. Il s'enfonce cette fois directement et fait des allers retours rapides au fond de ma gorge. J'ai l'impression de n'être qu'un trou pour lui. Seule ma bouche l'intéresse, il ne touche aucune autre partie de mon corps. Ma respiration est difficile et je suis au bord de l'étouffement, je salive abondamment et j'ai les larmes aux yeux. Il prend pitié de moi et se recule enfin. Je prends une grande respiration et tousse. Il me propose de continuer ce petit jeu une autre fois et me dit que cela passera mieux quand j'aurai plus d'entrainement.
Le temps passe et notre petite pause déjeuner touche à sa fin. Nous restons dans cette position et il se rapproche de manière à n'enfoncer que son gland dans ma bouche. Je le lèche autant que je peux, alors qu'il entame une masturbation sur son sexe. Il me demande si il peux jouir dans ma bouche, ce qu'à mon grand regret je dois refuser. J'aurai beaucoup aimé le recevoir, mais je ne suis pas suicidaire pour autant. Déçu mais compréhensif, il me demande si il peut m'éjaculer dessus. J'accepte bien volontiers. Il me fait m'allonger sur le dos, dans la longueur du canapé. Il se place à genoux sur mon torse et me demande de continuer à le sucer tout en le branlant. J'accélère alors le rythme sur lui en coordonnant ma main et ma bouche. De ma langue je frotte son frein, comme précédemment lorsqu'il avait du m'arrêter pour ne pas jouir. Cette fois il ne m'arrête pas. Il remplace ma main par la sienne et fait lui même les va et viens comme je le lèche. Il me dit qu'il va bientôt jouir et sors son sexe de ma bouche. Je le vois s'agiter et ses boules bouger au même rythme. Son rythme respiratoire s'accélère et accompagne le bruit caractéristique d'un sexe mouillé que l'on astique. Il gémit plus fort, en dirigeant son sexe droit vers mon visage. J'ai le temps de fermer les yeux avant de recevoir 3 jets puissants sur les joues et le nez. Il ralentit son rythme et du sperme continue à sortir un peu en coulant de son gland, pour finir quelques centimètres plus bas sur mon front. Il se secoue pour faire tomber les dernières gouttes et me dit de me branler moi aussi. Je suis son ordre et me caresse à un rythme soutenu. Il ne me faudra pas plus de quelques secondes pour jouir également sur mon ventre.
Il me propose d'aller me doucher rapidement. Dans sa salle de bain, en me regardant devant la glace, je vois tout le sperme en train de sécher sur mon visage. Je passe rapidement sous la douche et revient m'asseoir à côté de lui sur le canapé. Il me propose une cigarette que nous fumons ensemble en discutant de tout et de rien et il m'invite à repasser chez lui quand j'en aurai envie. Il est bientôt 12h45, je me rhabille et le salue avant de retourner bosser, heureux mais avec une belle douleur à la mâchoire.
Arrivé à l'heure convenue, je sonne à l'interphone de son immeuble. Une voie grave me dit de monter vite au 4ème étage et qu'il m'attend. Je suis nerveux dans l'ascenseur et me regarde dans la glace pour me donner un peu de courage. Je sonne à son appartement et il m'ouvre vêtu d'un simple peignoir. Il est physiquement conforme aux photos qu'il m'avait envoyées. Environ 1.85m, autour des 90kg, brun avec une barbe de 3 jours. Il me dit de rentrer. Les volets de son appartement sont presque fermés et il n'a allumé aucune lampe. Son salon est baigné dans une pénombre compensée par la télévision allumée avec le son coupé. Il s'assoit dans le canapé, face à la télévision, et me demande de me déshabiller. Piètre danseur, je ne m'essaie pas à me lancer dans un strip tease sensuel que je sais d'avance catastrophique et vais à l'essentiel, sans fioritures. Une fois nu, je prends le temps de me caresser le sexe et me pincer es tétons, tout en le regardant. Il défait la ceinture de son peignoir et en écarte les pans. Son sexe, encore mou, pends entre ses cuisses. Il est presque rasé et n'a conservé qu'un léger duvet sur le pubis. Les boules pendent, glabres, entre ses cuisses velues. Il est assis dans toute sa splendeur d'homme, viril mais entretenu, qui sait qu'il va passer un bon moment. Il me dit de venir à quatre pattes entre ses cuisses pour lui donner de la vigueur. Je m'exécute et prends en bouche son sexe encore mou. Son corps est frais et sent bon le savon. Il vient vraisemblablement de sortir de la douche. Je tête doucement son membre, que je sens grossir dans ma bouche. Il me caresse les cheveux et s'allume une cigarette. Je pose les mains sur ses cuisses pour les caresser, et garde autant que possible son sexe entièrement dans sa bouche. Il est maintenant bien durci et affiche une belle taille. Je sens petit à petit son gland se décalotter dans ma bouche. Lui ne bouge pas. Il tire lentement sur sa cigarette, tout en se laissant faire. Son sexe a maintenant pris sa taille maximale et ne grossit plus. Je peine à le garder en bouche. Il s'était dit bien monté, je constate que sur ce point également, il n'a pas menti. J'éprouve des difficultés à respirer, et ma bouche est pleine de salive. Je relâche un instant son membre pour déglutir. Je l'observe à la lumière de l'écran. Il doit bien faire entre 18 et 20cm. Son gland est foncé, couleur framboise écrasée et brillant de salive. De larges veines descendent le long de sa colonne. Ses boules sont petites mais pendent bas sous sa hampe.
Il a fini sa cigarette. D'une main, il exerce une pression sur mon crâne pour que je reprenne mon œuvre. Je soupèse ses boules dans ma main et reprends son gland en bouche, pour le téter. De ma langue pointue, je titille son frein et je sens ses contractions. Je le caresse avec ma main de haut en bas, aidé par la grande quantité de salive que j'ai déposé sur son organe. Le rythme est soutenu, et il me repousse. Nous avions convenu que je pouvais rester 30 minutes. Il a bien l'intention d'en profiter et ne veut pas jouir au bout de seulement 10minutes. Il m'ordonne de mettre les mains dans le dos et de lui lécher les boules. Je les prends une par une en bouche en les faisant rouler avec ma langue. Il me tire la tête en arrière et frotte tout son sexe sur mon visage. Je suis trempé de ma salive. Il pointe son gland contre mes lèvres et je les ouvre pour qu'il rentre. Il appuie sur ma nuque pour s'enfoncer au maximum, mais je ne peut retenir un haut le coeur quand je le sens approcher de ma glotte. Il se lève et me fait changer de position. Je me place, les jambes contre le dossier et le dos contre la partie horizontale du canapé. Dans cette position, ma tête, à l'envers, tombe naturellement en arrière. Il retire son peignoir et reste un instant debout, à dominer de toute sa stature alors qu'allongé, je l'attend. Il se met à genou et appui sur mon menton pour que ma tête soit bien renversée. Dans cette position, ma bouche et le reste de ma gorge sont parfaitement alignés. Il enfonce ses doigts dans ma bouche pour que je l'ouvre en grand. Il place son sexe à l'entrée et pousse lentement mais fermement. Je sens d'abord tout son gland entrer. De par la position inversée, j'ai au niveau de ma langue non pas le frein mais toute la surface lisse à ma disposition et je la lèche généreusement, ce lui tire un gémissement de plaisir. Il me maintien la nuque, et d'un mouvement de bassin continue sa progression. Il me commande de retenir ma respiration et d'ouvrir en grand et s'enfonce entièrement. Mon nez se retrouve coincé entre ses deux boules qui ballottent de droite à gauche. Il me félicite et ressort pour que je puisse respirer. J'ai l'impression que des litres de salive s'échappent de ma bouche. Il me demande si je suis pret pour la suite. Je hoche la tête et ouvre la bouche en grand. Il s'enfonce cette fois directement et fait des allers retours rapides au fond de ma gorge. J'ai l'impression de n'être qu'un trou pour lui. Seule ma bouche l'intéresse, il ne touche aucune autre partie de mon corps. Ma respiration est difficile et je suis au bord de l'étouffement, je salive abondamment et j'ai les larmes aux yeux. Il prend pitié de moi et se recule enfin. Je prends une grande respiration et tousse. Il me propose de continuer ce petit jeu une autre fois et me dit que cela passera mieux quand j'aurai plus d'entrainement.
Le temps passe et notre petite pause déjeuner touche à sa fin. Nous restons dans cette position et il se rapproche de manière à n'enfoncer que son gland dans ma bouche. Je le lèche autant que je peux, alors qu'il entame une masturbation sur son sexe. Il me demande si il peux jouir dans ma bouche, ce qu'à mon grand regret je dois refuser. J'aurai beaucoup aimé le recevoir, mais je ne suis pas suicidaire pour autant. Déçu mais compréhensif, il me demande si il peut m'éjaculer dessus. J'accepte bien volontiers. Il me fait m'allonger sur le dos, dans la longueur du canapé. Il se place à genoux sur mon torse et me demande de continuer à le sucer tout en le branlant. J'accélère alors le rythme sur lui en coordonnant ma main et ma bouche. De ma langue je frotte son frein, comme précédemment lorsqu'il avait du m'arrêter pour ne pas jouir. Cette fois il ne m'arrête pas. Il remplace ma main par la sienne et fait lui même les va et viens comme je le lèche. Il me dit qu'il va bientôt jouir et sors son sexe de ma bouche. Je le vois s'agiter et ses boules bouger au même rythme. Son rythme respiratoire s'accélère et accompagne le bruit caractéristique d'un sexe mouillé que l'on astique. Il gémit plus fort, en dirigeant son sexe droit vers mon visage. J'ai le temps de fermer les yeux avant de recevoir 3 jets puissants sur les joues et le nez. Il ralentit son rythme et du sperme continue à sortir un peu en coulant de son gland, pour finir quelques centimètres plus bas sur mon front. Il se secoue pour faire tomber les dernières gouttes et me dit de me branler moi aussi. Je suis son ordre et me caresse à un rythme soutenu. Il ne me faudra pas plus de quelques secondes pour jouir également sur mon ventre.
Il me propose d'aller me doucher rapidement. Dans sa salle de bain, en me regardant devant la glace, je vois tout le sperme en train de sécher sur mon visage. Je passe rapidement sous la douche et revient m'asseoir à côté de lui sur le canapé. Il me propose une cigarette que nous fumons ensemble en discutant de tout et de rien et il m'invite à repasser chez lui quand j'en aurai envie. Il est bientôt 12h45, je me rhabille et le salue avant de retourner bosser, heureux mais avec une belle douleur à la mâchoire.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
moi aussi j'adore faire des gorge profonde je suis bi passif et j'ai jamais mal a la mâchoire lol
Cest en effet très difficile de sucer entièrement une queue de 20cms,et je n'y suis jamais arrivé. Par contre ,quand celle-ci est de taille modeste ( 12 à 13cms)et pas très épaisse c'est un très grand plaisir de l'avoir totalement dans la bouche!j'ai presqu'envie de la manger!je suis capable de la déguster pendant 2 heures entières et en plus je n'ai aucun mal à la machoire !
j'adore chui exité ^^
Hummm. Si tu sais pas quoi faire un de ces midis, envoie moi un mail...
Je t embrasse
Je t embrasse