Pauvre belle-mère

- Par l'auteur HDS Sonigiorg -
Récit érotique écrit par Sonigiorg [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Pauvre belle-mère Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Pauvre belle-mère
Ma pauvre belle-mèreArrivé à l'âge de 25 ans je fis la connaissance de Martine ma cadette de 5 ans.
Elle était très belle, un mètre soixante-cinq pour cinquante-cinq kilos. Elle a des cheveux blonds tirant sur le roux et des mensurations qui me faisaient rêver, surtout sa poitrine en forme de poire taille 95D.
Je sortais avec elle de puis quelques semaines et nous passions des soirées chaudes bien qu'elle n'aimait pas trop la fellation et encore moins la sodomie, mais je m'arrangeais avec quelques copines à côté.
Un après-midi que je conduisais après avoir fini un rendez-vous professionnel j'avais un urgent besoin d'aller aux toilettes mais dans le quartier dans lequel je me trouvais je ne voyais aucun café pour pouvoir me soulager et du coup me vint une idée puisque je me trouvais proche de la maison de ma future belle-mère.
Marie (c'est son nom) était presque le sosie de sa fille en plus âgé, bien qu'elle n'avait que 36 ans, ayant donné naissance à sa fille à 16 ans à la suite d'une soirée de classe très arrosée et elle n'a jamais voulu savoir qui était le père de sa fille, cela ne l'intéressait pas et cela ne l'a pas empêchée de trouver vers ses 20 ans un bon parti (un homme de 10 ans plus vieux qu'elle) qui l'a épousée et qui a accepté avec joie sa fille.
Arrivé devant sa maison je vis sa voiture garée dans le jardin et du coup je m'arrêtai et sonna à sa porte et après quelques instants elle ouvrit sa porte et avec surprise elle me demanda quel bon vent m'amena chez elle.
Je lui dis :- Je passais dans le coin et j'ai vu votre voiture alors j'ai eu envie de vous faire un petit coucou.
Elle me répondit :- Cela me fait vraiment plaisir, entre et je te propose de boire un café avec moi.
Ce que j'acceptais très volontiers en lui disant qu'auparavant je devais aller aux toilettes, je vins m'asseoir au salon en face d'elle et nous discutâmes durant quelques minutes de banalités diverses.
Puis elle commença à écarter ses jambes et n'ayant pas de culotte je vis que sa chatte était rasée de près et elle continua par déboutonner un peu plus son chemisier en me disant qu'avec son mari elle n'était pas satisfaite car ses rapports intimes étaient assez espacés et qu'il lui aurait fallu faire l'amour beaucoup plus souvent.
Elle se mit à se caresse las chatte en voulant me faire comprendre ses désirs, quant à moi je faisais semblant de ne pas m'intéresser à elle bien que je commençais à être vraiment à l'étroit dans mon pantalon.
Finalement elle se leva, vint vers moi et me déboutonna mon pantalon et prit ma queue dans sa main pour me branler en disant :- Quelle queue, je n'en ai jamais eu de si grosse et de si longue dans ma vie. Ça va me défoncer tous mes trous comme j'aime car mon futur gendre il faut que tu saches que je peux être une sacrée salope si on s'y prend bien avec moi.
Je commençais à me laisser faire et il est vrai que je n'ai jamais eu de problèmes avec les femmes avec mon engin de 19 cm de long et de 5 cm de diamètre, de plus je pouvais facilement remettre le couvert plusieurs fois de suite lorsque ma partenaire étant très vicieuse et salope.
Je me mis à m'occuper de sa chatte avec ma bouche sur ses petites lèvres et avec une main je lui roulais le clitoris qui devenait de plus en plus sensible et gros et elle eut tout de suite un orgasme fulgurant et après que la tension était un peu retombée je recommençais la même chose en lui ajoutant un doigt dans l'anus ce qui lui provoqua un cri mélangeant douleur et plaisir et j'ai constaté au vu de l'étroitesse de son anus que celui-ci devait être encore vierge.
Après quelques minutes de ce traitement durant lequel elle s'occupait de me lécher ma queue qui était toute tendue et dure, elle me dit :- Baise moi, fait moi jouir, j'ai trop envie mais entre doucement car je n'ai jamais pris un tel engin dans ma chatte.
Je commençais ma pénétration lorsque surgit sa fille qui me voyais en train de baiser sa mère.
En voyant cela elle se mit à hurler, à vociférer, à traiter sa mère de vieille pute et elle essayait de me frapper, mais j'ai réussi à prendre mes affaires et à partir, sachant qu'entre nous c'était fini car au-delà de cette aventure quand j'ai vu son hystérie je ne voulais pas en faire les frais plus tard car elle aurait pu renouveler ces crises dans n'importe quelle occasion.
En entrant elle a dû penser à quelque chose car je pense qu'elle avait vu ma voiture garée devant la maison.

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Trois mois plus tard, pour mon travail je me suis arrêté dans un petit restaurant au bord de la route et je vois que la serveuse est Marie ma presque ex-belle-mère avec qui je me suis fait surprendre par sa fille.
Elle me regarde et me salue, prend ma commande, puis me sert et je remarque qu'elle n'arrête pas de me regarder, alors je luis propose de boire un verre après son service.
Elle me dit :- Je finis à 17 heures, on peut se retrouver dans le pub qui est au bout de la rue.
J'accepte l'invitation et je l'attends la belle qui arrive juste après 17 heures et on commande un peu de champagne et elle commence à m'expliquer ce qui s'est passé après mon départ.
Le soir à table, sa fille en pleurs annonce à son beau-père ce qu'elle à vu en traitant sa mère et moi de salauds, de bons à rien et aussi d'autres paroles crues envers tous les deux.
Son beau-père met à la porte sa femme qui sans argent et ne sachant pas où dormir se réfugie chez sa sœur quelques temps et elle trouve ce travail de serveuse mal payé, mais qui lui permet de survivre tant bien que mal en ayant un petit studio pour se loger. Quant à ses habits elle n'a eu que le temps de faire une valise et ses plus beaux vêtements sont restés dans l'appartement et son mari les a tous donnés à des œuvres de charité.
Et le divorce à été prononcé car son mari n'a pas voulu lui donner une deuxième chance, non pas parce qu'elle l'a trompé mais surtout pour le chagrin qu'elle a fait subir à sa fille.
Comme elle me plait encore je propose de diner ensemble ce qu'elle accepte très volontiers et nous nous rendons dans un bon restaurant que je connais, pas loin de chez moi. Et franchement je la drague ouvertement et elle accepte volontiers mes avances et accepte de venir chez moi après cet excellent repas.

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Arrivés chez moi, elle s'accroche à moi en me disant qu'elle est en manque de sexe depuis cette fameuse journée durant lequel sa fille nous a trouvé en train de baiser.
Je la déshabille et je commence à lui caresser et à lui pincer les ses gros seins ce qui l'excite au plus point et je lui mes un puis deux et finalement 3 doigts dans sa chatte pendant qu'elle gobe entièrement sa bite dans sa bouche.
Je me couche sur le dos afin de faire un petit 69 me permettant de lui mettre aussi 2 doigts dans son petit trou et presque aussi tôt elle a un premier orgasme et se crispe de jouissance.
Après je la fait mettre à 4 pattes et je glisse lentement ma bite très dure dans sa chatte et je sens qu'elle se dilate et qu'elle coule comme une rivière et une fois au fond je me retire entièrement, puis je rentre d'un coup sec et profond et je reproduis le schéma plusieurs fois de suite tout en lui mettant 2 doigts dans son anus et jusqu'à ce qu'elle crie sa jouissance.
Finalement je décide de m'occuper de son anus que je mouille abondamment avec ma salive puis au moment de la pénétrer elle me prie d'y aller lentement et doucement car elle est encore vierge de ce côté, ce que je n'aurais jamais pensé.
Je rentre centimètre par centimètre jusqu'à ce que mon gland qui est assez gros passe le sphincter et je m'arrête un moment afin qu'elle s'habitue puis la sentant totalement détendue et ouverte je m'enfonce en elle jusqu'à la garde et je commence à la travailler avec violence ce qu'elle adore et elle hurle sa jouissance avant de s'effondrer vaincue par les orgasmes alors que de mon côté j'éjacule dans son cul de longue giclée qui semble la remplir entièrement.
Et on finit par s'endormir dans les bras l'un de l'autre.

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Après cette fantastique journée on se met à discuter au petit déjeuner et on décide de faire un bout de chemin ensemble sans se promettre quoi que ce soit et comme je lui ai dit "Tant que tu me feras bander, je resterais avec toi".
Maintenant cela fait 25 ans que l'on vit ensemble sans aucune monotonie car on adore faire des jeux de rôles à deux mais cela est une autre histoire.

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Texte coquin : Pauvre belle-mère
Histoire sexe : Une rose rouge
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