Pendaison de crémaillère

- Par l'auteur HDS Dylann -
Récit érotique écrit par Dylann [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Pendaison de crémaillère Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Pendaison de crémaillère
Moi qui lis vos histoires depuis pas mal de temps, j'ai eu envie d'écrire la mienne. C'est pas évident de se lancer, de trouver les mots justes mais bon, allons-y !

J'ai 21 ans, châtain clair, yeux verts, traits plutôt fins, 1m81 pour 70kg, un vrai "fil de fer" comme le disent mes potes. C'est pas vraiment de ma faute, la génétique y est pour beaucoup, la natation et le footing en rajoutent une couche !
La nature m'a doté d'un engin de 20 cm qui a commencé à servir auprès de la gente féminine mais voilà qu'au détour d'un vestiaire à la piscine, j'ai pris conscience que mon petit cul rebondi pouvait aussi attirer les regards et me donne pas mal de plaisir ! De ce jour, je suis devenu bi et, avec les mecs, plutôt passif.

L'histoire qui m'amène s'est passée il y a un an environ. J'ai décroché un CDI à 80 km de chez mes parents, il m'a donc fallu trouver un appartement en catastrophe. Le plus acceptable en rapport qualité/prix était situé en face d'un foyer des jeunes travailleurs. Perso, ça m'a pas gêné, l'appart me plaisait, le loyer me convenait et j'étais à 10 minutes de mon taf, franchement, que demande le peuple !

Pour le déménagement, j'avais loué un petit fourgon pris le soir et à rapporter le lendemain en fin d'après-midi, ma famille m'a aidé à charger le soir, le matin, je suis parti tôt, des potes devaient me rejoindre pour m'aider à décharger. Je suis arrivé plus tôt que prévu et, en les attendant, j'ai vu que le ciel se couvrait dangereusement. Vu que j'avais la literie, des fringues, du linge et quelques meubles, j'ai commencé à m'inquiéter un peu. Là, j'ai vu 5 mecs sur le trottoir d'en face qui fumaient leur clope tout en discutant. J'ai un peu hésité puis je me suis lancé, après tout, au pire, ils me diraient "non" et voilà !
Ils ont été super ! Trois sont venus m'aider vu que les deux autres partaient au taf. Ils ont jeté leur mégot en disant : "T'inquiète, un p'tit mec comme toi, on va s'en occuper !", j'ai trouvé la formule un peu chelou mais bon, en 20 minutes, tout était déchargé. Quand mes potes sont arrivés, on a juste eu à remonter les meubles et à déballer, trop d'la balle !

Quand les 3 mecs sont partis, je les ai bien remerciés et je leur ai promis un apéro prochainement. "Pas d'souci mon joli, tu fais signe, on arrive !!!"
Deux ou trois semaines sont passées, j'ai eu mille trucs à faire, franchement, la vie loin de chez papa et maman, au début, c'est la galère ! Je revoyais souvent Paul, Karim et Wilfried, à chaque fois, ils me remettaient la promesse de l'apéro sur le tapis en disant : "C'est qu'on a envie nous !!!". Bon, j'ai commencé à émerger, du coup, j'ai organisé une sorte d'apéro dinatoire pour un vendredi soir. Ils arrivent tous les trois, déjà, je les ai trouvés super à l'aise, ils se sont installés dans le canapé, ils ont virés leurs shoes, ils discutaient entre eux sans me calculer ! Bon, j'ai apporté les plats, là, j'ai eu deux remarques bien humiliantes, la première de Wilfried : "Hummm, mais c'est qu'elle cuisine en plus !", ils ont éclaté de rire en me dévisageant. La deuxième de Karim concernant la propreté de l'appart et la déco :"C'est propre et classe, une bonne femelle d'intérieur, c'est bon ça !", ils ont encore ri.
Moi, j'étais à la fois un peu choqué mais franchement, je commençais à les trouver sexy ! 3 beaux mâles, virils, barbe de trois jours, en survêt pour Karim et Paul, en jean bleu délavé pour Wilfried, tous les trois musclés, mince, les jambes écartées, une main posée sur le paquet, un verre dans l'autre, parfois ils se penchaient pour prendre un truc à manger. Je me suis dit que j'avais trois purs beaux gosses devant moi. J'ai chassé ces idées de ma tête parce que, quand même, ils abusaient un peu !

Au bout d'un moment, j'ai pensé qu'ils allaient partir parce qu'ils se sont fait une sorte de signe, ils ont posé leur verre sur la table basse et là, c'est Wilfried qui a pris la parole en me fixant droit dans les yeux :- "Bon écoute, on va passer aux choses sérieuses ! Ta bibine et tes amuse-gueules, on n'en a rien à foutre ! Nous, depuis que t'as débarqué dans le quartier, c'est ton boule de pute qui nous intéresse ! Alors ouais, on va faire connaissance, tu vas commencer par venir nous sucer la bite !".
J'étais scotché, sans voix, il a mis sa main derrière ma nuque et m'a fait mettre à genoux entre ses jambes. Il a déboutonné la braguette de son jean, en a sorti une bite mi-molle plutôt large et déjà assez longue, il a dit :- "Allez, fais-moi durcir salope !"Ses mots crus et la situation m'ont excité, du coup, j'ai sucé cette queue avec application :- "Oh putain les mecs, je le savais, je vous l'ai dit dès le début, une bonne fiotte qui aime la queue ! Vas-y suce, tu sais faire ça se voit, t'es faite pour ça !"Je l'ai sucé pendant un moment puis il m'a dit :- "Occupe-toi de mes potes !"Je me suis relevé un peu et j'ai vu les deux autres bites bandées, les mecs se branlaient, j'ai approché de celle de Karim, circoncise, 20 cm, peau très mate, je l'ai enfournée d'un coup en saisissant ses couilles pour les masser, il a poussé un long souffle libérateur avant de dire :- "Putain la suceuse de ouf ! Je savais que tu la voulais la bite du rebeu, une bonne grosse salope, hummm, je kiffe !"Je suis passé à celle de Paul, bien monté aussi, il m'a appuyé sur la tête pour que je lui fasse une gorge profonde :- "Ah ouais, c'est bon ça ! Putain ton nez dans mes poils, respire, shoote-toi avec l'odeur du mâle !"
Je les ai sucés en passant de l'un à l'autre pendant un bon moment. Au bout d'un moment, Karim m'a dit :- "Allez, c'est bon, tu nous finis l'un après l'autre, on va doser ta gueule de pute !"J'ai pris trois doses bien copieuses, 5 ou 6 jets chacun, du foutre bien épais et bouillant que j'ai avalé sans en perdre une seule goutte.
Ils ont rangé leur matos et m'ont dit :- "Tu nous ressert un coup à boire !"Une fois les verres remplis, ils ont trinqué tous les trois et ont dit :- "A notre nouveau vide couilles !"Ils ont bu tranquillement leur verre en discutant entre eux et en riant, toujours sans me calculer. Ils se sont mis à me poser des questions crues et directes :- "Comme ça, t'aime la bite salope ?"Que vouliez-vous que je réponde, j'ai dit "oui"- "T'as un mec, un régulier, un mac qui se fait du fric sur ton boule ?"- "Euh non !"- "Tant mieux, maintenant, t'as trois queues à satisfaire, compris salope ?"- "Euh Oui !"C'est Paul qui a pris la parole :- "J'crois qu'on a pas visité ta chambre. J'ai envie de ta chatte là, allez, rapplique, fous-toi à poil, je vais te baiser !"
On est allé dans la chambre, je me suis déshabillé, il m'a palpé les fesses et a sifflé et a dit aux autres :- "Putain Wil, t'avais raison, un cul à bites, on va s'éclater !"J'ai entendu des éclats de rire, Paul m'a plaqué sur le lit, m'a écarté les fesses, a mollardé trois fois, m'a doigté pour faire entrer sa salive dans mon trou, je l'ai entendu baisser son survêt, il s'est branlé deux trois fois, son gland s'est posé sur mon trou, il a poussé et est entré d'un coup. J'ai mordu l'oreiller pour ne pas hurler, quand j'ai senti ses couilles sur mon cul, j'ai su que j'allais morfler, il m'a pas laissé le temps de m'habituer, juste il s'est mis à me défoncer à grands coups de reins. Très vite, j'ai commencé à kiffer et à gémir, ça l'a fait réagir :- "Oh putain, ton cul est trop bon, en plus tu gémis comme une femelle Je vais faire jouir ta chatte de salope !"Il m'a baisé comme ça, moi sur le ventre et lui sur moi à me pilonner à fond. A un moment, je l'ai senti se raidir et s'enfoncer à fond pour me féconder.
Il s'est retiré, m 'a filé sa queue à nettoyer et m'a dit :- "Bouge pas, mes potes arrivent !"Les deux autres me sont passés dessus et m'ont rempli, Wilfried en levrette et Karim en "femelle" comme il a dit, c'est à dire en légionnaire.

J'ai pris trois doses dans le cul et j'ai joui sans me toucherJe les ai rejoints dans le salon, ils m'ont maté et ont ri avant que Karim me dise :- "Ben voilà, t'es marqué, ton cul et ta bouche sont à nous, t'es notre nouveau vide-couilles ! On a envie, tu nous soulages, t'es notre femelle, notre salope, notre pute, c'est comme tu préfères !"
Ils se sont levés et sont partis en me laissant nu, souillé, groggy mais heureux.

C'était il y a un an et depuis, je peux vous dire que, sexuellement, j'ai eu du taf ^^

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