Pendaison de crémaillère surprenante

- Par l'auteur HDS lapinzaza -
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Récit libertin : Pendaison de crémaillère surprenante Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Pendaison de crémaillère surprenante
J'avais 42 ans et elle 41. Nous étions mariés depuis 15 ans.
Ce que je vais vous raconter remonte à l'époque où avec ma précédente femme ça n'allait plus. Nous ne couchions plus ensemble depuis des mois mais avions toujours une vie sociale de façade, comme beaucoup de couple, un divorce se dessinait mais nous hésitions, à cause des enfants encore petits (6 et 10 ans).
Un soir nous étions invités à la pendaison de crémaillère d'une amie à elle. J'avais trop bu et était allé me coucher dans une chambre à l'étage de leur grande maison, complètement ivre. Ma femme quant à elle avait continué à s'amuser avec les autres convives. Nous étions bien une trentaine mais nous connaissions peu de monde. Je m'en fichais un peu de louper la soirée et j'avis bu comme un trou. Je lui avais juste dit que j'allais me coucher et qu'elle n'avait qu'à me faire signe quand elle voudrait rentrer (si elle pouvait conduire, sinon nous restions dormir comme nous l'avais proposer nos hôtes).
Quand j'ai entendu la porte de ma chambre s'ouvrir j'ai cru que c'était mon ex qui venait me chercher pour renter. J'étais tellement sou et n'avais tellement pas envie de me lever que j'ai fait le mort. Il faut dire que vu la configuration de la pièce, pleine de cartons et de meubles j'étais bien caché sur mon canapé qui faisait dos au centre de la pièce. J'ai vite compris qu'il s'agissait en fait d'un couple à la recherche d'un endroit isolé. Ils refermèrent la porte derrière eux et se jetaient l'un sur l'autre. A peine avaient-ils eu le temps d'allumer une lampe de chevet posée par terre pour donner un peu de lumière au lieu.
Je me disais que c'était encore plus l'occasion de me taire. Mon côté pervers prenait le dessus, j'avais envie d'assister à leurs ébats mais je ne voyais rien... ça me frustrait terriblement... qui ça pouvait bien être ? Les connaissais-je ? Peut être un couple illégitime ? L'idée me fit bander sur le champ.
Je ne bougeais donc pas, espérant de tout coeur qu'ils n'allaient pas me voir au milieu de se bazar et avec cette lumière tamisée. Par chance il y avait un grand miroir posé juste devant mon canapé. Amis par malchance il ne donnait pas sur la scène. J'étais frustré. Alors j'écoutais.. j'écoutais leurs baisers, leurs chuchotements dont je ne comprenait rien si ce n'est qu'ils avaient une grosse envie de sexe torride !
Ils s'embrassaient et se caressaient, j'entendaient leurs mains sur leurs vêtements. J'entendis le bruits des boutons d'un jean qui s'ouvre, je me suis dit que les choses allaient se préciser.
Et puis ma chance vint : ils se déplacèrent dans la salle de bain attenante, juste dans l'axe du reflet de mon miroir. Et là quel étonnement : il s'agissait de ma femme ! Surexitée comme je ne l'avais pas vue depuis bien longtemps ! Elle était accompagnée d'un mec que j'avais aperçu lors de la soirée mais que je ne connaissais pas : un beau black, la trentaine, le torse nu, musclé (bien plus que moi !), la ceinture et la braguette ouverte laissant dépasser une énorme queue, un membre comme on en voit dans les films pornos, longue et d'un diamètre...
Je fus d'abords pris de stupeur : MA femme ! Avec un inconnu ! Alors que j'étais là MOI ! Quel manque de respect ! On ne pouvait plus de sentir mais quand même... on était encore ensemble et on se devait à minima de s'épargner des aventures aux yeux et aux oreilles de l'autre, par respect, c'était une limite dont nous n'avions jamais parlé mais qui coulait de source. Si l'un ou l'autre avait une aventure, ce qui était tout à fait plausible, jamais l'autre ne devait savoir. On n'utiliserait pas cette arme là pour blesser l'autre... c'était trop lâche, ou alors on ne faisait plus semblant et on se quittait vraiment. Je me doutais que ça pouvait arriver mais je n'imaginais pas que ce soit le cas. Je pensais naïvement qu'elle ne voyait personne et était malgré tout encore attachée à moi, interdite à d'autres hommes en espérant qu'on se rabiboche... De mon côté je ne l'aimais plus et je savais que le divorce étais une question de temps. Je ne la supportais plus. J'avais bien envie de la tromper mais je m'interdisais toute relation avec une autre femme, surtout par peur qu'elle n'utilise cet argument le jour du divorce que je sentais venir. Elle en aurait joué en m'aurait enfoncé plus bas que terre. J'avais peur de ne pas obtenir la demande garde alternée que je convoitais. Je me contentais de baiser des prostituées de temps en temps. Elles au moins elles ne vous rappellent pas. On paie, on baise et ensuite c'est fini.
Me voilà donc devant une scène à laquelle je ne m'attendais pas, et encore moins ce soir là. J'éprouvais de la jalousie... J'avais envie de me lever d'un coup et de manifester ma présence en hurlant sur elle et sur ce mec. Mais à quoi bon, j'étais plus que sou, je n'aurais jamais pas pu me battre et le mec était bien plus costaud que moi au passage. Et puis surtout le mal était fait, je serais apparu comme le mari cocu. Je trouvais ça humiliant et pitoyable, elle se serait moquer de moi et je ne voulais pas lui donner cette chance.
J'ai donc laissé faire... J'ai même commencé à trouver la scène excitante...
Mon érection qui était partie instantanément en les voyant était revenue. Je bandais comme un âne désormais...
Après que l bel étalon se soit lavé le sexe sous le robinet, elle lui essuya la queue avec une serviette. Il bandait très fort désormais. Quel engin ! Elle se tenait devant lui, ses yeux brillaient, elle lui souriait. On aurait dit une gamine qui venait d'ouvrir son plus beau cadeau de Noël. Elle l'embrassa à pleine bouche tout en caressant son membre. Sa culotte était tombée sur ses chevilles mais elle avait encore sa petite jupe noire. Son chemiser était débraillé, les premiers boutons ouverts, certainement qu'il a dû les ouvrir pour mieux lui caresser la poitrine, peut être même pour lui lécher les tétons que je devinais pointer sous le tissu tendu.
A ma grande surprise elle s'agenouilla d'un coup et s'assis sur ses talons vêtus de ses chaussure à talons. La petite salope, elle avait envie de le sucer ! Je savais qu'elle aimait les grosses queues mais je n'imaginais pas qu'elle allait sucer un inconnu, surtout dès le premier soir ! Et pourtant après avoir branler avec énergie son membre turgescent, elle lécha son gros gland en le regardant dans les yeux. il soupirait, se contentant de poser ses mains sur les hanches, les yeux suppliants qu'elle s'exécute. Elle joua encore avec sa queue et avala son gland en ouvrant sa bouche de tout son possible. Elle s'appliquait, j'imaginais sa langue en train de s'enrouler autour de l'extrémité de son membre. Elle commença des mouvements de va et vient et lui soupirait et gémissait. J'assistais à ma femme en train de pomper le gros dard d'un black. La scène était surréaliste mais j'étais moi aussi excité comme un jeune puceau devant ses premières images pornos. Je parvins à glisser discrètement une main jusqu'à ma braguette, l'ouvrit et dégagea avec soulagement ma queue raide comme jamais. Je commença alors à me branler doucement pour ne surtout pas me faire entendre et compromettre la suite.
Il s'autorisa à l'attraper par la nuque et à pousser progressivement sa queue dans sa bouche. Je savais qu'elle était capable de gorge profonde, mais je n'imaginais pas qu'il réussisse à lui introduire un tel calibre au fond de la gorge. Je vis à chaque aller retour sa queue s'introduire un peu plus, jusqu'à disparaitre complètement. Elle s'était penchée en avant pour mieux qu'il la pénètre. Il pliait les genoux pour se mettre à la bonne hauteur.
Quelle salope, elle se faisait baiser la bouche sauvagement par un taureau qui ne la ménageait pas. Il lui disait de sucer et elle suçait. il lui disait de lui caresser les couilles et elle s'exécutait. Il lui disait qu'elle était "bonne cette petite salope" et elle ne bronchait pas. Elle gémissait et se caressait en même temps l'entre jambe. Je voyais ma femme se faire baiser la bouche comme une pute et ça me rendait dingue. Moi qui n'avait plus envie d'elle du tout je trouvais la scène terriblement existante, mieux que les putes que j'avais baisée ou que les vidéos pornos que je regardais d'habitude ! Plusieurs fois j'ai dû arrêter de me branler pour éviter de décharger, je voulais tellement voir la suite et éjaculer en même temps que lui...
Il sortait sa grosse queue et lui foutait les joues, elle souriait et riait, elle était en transe et se frottait le clito comme une folle. Il se ravisa à lui tenir la tête en enroulant la main autour de ses cheveux, la tenant à pleine poigne derrière la tête. Je vis son regard se transformer, il la regardait comme un prédateur regarde sa proie. Le front plissé de rides de détermination. Il se faisait plaisir à l'utiliser sans vergogne et elle de son côté aimait se faire traiter de la sorte. Elle devait avoir une telle envie depuis le temps qu'on ne baisait plus... j'imaginais qu'il allait la démonter comme une chienne et défoncer sa petite chatte, mais sans doute à cause de l'excitation qu'il devait ressentir à la dominer de la sorte, il lui ordonna à ma grande surprise : "prépare toi salope, je vais me vider les couilles au fond de ta gorge !" Elle sursauta un instant et s'appliqua à bien faire glisser sa bite jusque tout au fond, ses yeux en pleuraient. Il accéléra le mouvement et leva la tête au ciel, se crispa de tous ses muscles et appuya la tête de ma femme contre son ventre, poussant ainsi sa grosse queue tout au fond de sa gorge.
Il poussa un râle rauque. Je savais qu'à ce moment là il était en train de lui injecter une grosse saccade de sperme chaud tout au fond de sa gorge. Il recula sa tête en la tirant par la nuque et je vis sa queue se contracter par spasmes pour décharger de gros jets chauds et épais dans la petite bouche fermée de ma femme. Elle écarquillait les yeux, tentant de tout garder en elle. Mais les pulsations étaient trop nombreuses et certainement trop abondantes... un filet de sperme blanchâtre et épais déborda de ses lèvres. Il prenait son pied le salaud.
Mais elle aussi semblait-il. Elle ferma les yeux et ouvrit la bouche pour laisser échapper un gémissement puissant. Elle était en train de jouir à son tour, son bras avec lequel elle se caressait était tout crispé, le reste de son corps aussi. Elle devait avoir enfiler plusieurs doigts au fond de sa chatte et avait un orgasme puissant. Je réalisa qu'elle jouissait et aimait à se faire traiter de la sorte. Quelle salope ! Il réussi même à sortir sa grosse queue pour lui envoyer un dernier jet de sperme sur le visage, comme pour marquer son territoire et signer sa conquête. Elle se léchait les lèvres, elle lui léchait le gland comme elle aurait pu lécher une glace avec frénésie, elle ne voulait pas en perdre une goutte cette petite chienne en chaleur.
De mon côté j'explosa, envoyant de grosses décharges sur le canapé et sur mes vêtements, je me fichais de là où ça atterrirait, je pris mon pied à regarder ce mec dominer ma femme comme elle je pensais qu'elle le méritait.
Il la dominait comme un vrai mâle à l'état brut, sans ménagement, sans romantisme, du sexe à l'état pur.
Il resta un moment à se laisser nettoyer le gland par la langue appliquée de sa soumise. Elle le regardait dans mes yeux, fière d'elle, fière d'avoir fait jouir un mec avec autant d'intensité. Voulait-elle se prouver qu'elle en était encore capable ? Etait-ce vraiment la première fois qu'ils se voyaient ? Je me posais plein de questions mais maintenant il fallait que je fasse le mort au fond de mon canapé souillé. Quelle honte si elle apprenait que j'étais là en train de me branler. Quel aveu d'impuissance ! Je n'aurais pas supporter de me sentir si ridicule... Je les ai donc laissé se rhabiller en soufflant et en riant, plein de connivence. Comme si ils s'étaient tous les deux soulager mais que bien évidemment cela devait rester un secret..
J'entendis l'eau couler, et la vis se pencher pour se laver le visage. Je sentais qu'ils se dépêchaient, surement qu'ils se disaient que ça allait faire louche s'ils étaient absents tous les deux trop longtemps...
Ils sortirent de la pièces comme deux cambrioleurs sur leurs gardes.
Quelques heures plus tard, après que avoir bien cogité à tout cela et dormi dans un semi sommeil perturbé par les restes d'alcool que j'avais encore dans le sang, j'entendis quelqu'un entrer et venir me dire qu'il fallait que je me lève car ma femme voulait partir. Je me leva d'un trait et descendis. Je la vis en train de réunir ses affaires et reconnu son étalon pas très loin d'elle qui feignait de ne pas la connaitre.
Je décela dans le regard de ma femme un doute, celui du lieu où j'avais dormi tout ce temps. Je ne laissa rien transparaitre, pris ma veste et lui fit signe de sortir et lui disant juste : "tu conduis ?". "OK" dit-elle et nous partîmes après un au revoir vague à l'assemblée restante (quelques personnes affalées de ci et de là), aucune trace de nos hôtes qui devaient dormir. Nous fîmes la route sans un mot et allâmes nous coucher dans le même lit, dos tournés. Jamais nous ne parlâmes de cette soirée à l'avenir....

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Elle l’a bien pris pour 1 con son mari sans oublier la prise de risque.

Décidément au plus ça va au plus les mecs dans les histoires sont à l’image du président français des sans couilles.



Texte coquin : Pendaison de crémaillère surprenante
Histoire sexe : Une rose rouge
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