Perdus dans le désert.
Récit érotique écrit par Jp [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Perdus dans le désert.
<p>Le Sahara s’étendait devant nous. Manu et moi avions entrepris une aventure qui allait bientôt nous plonger dans une autre dimension…
Nous ne connaissions rien de ce nouvel environnement. Manu mon jeune compagnon, à la peau maintenant bronzée par cet immense soleil d’Afrique, me précédait torse nu et je pouvais admirer ses muscles que la sueur faisait briller.
Nous étions sur des dromadaires plutôt revêches - loués à Tamanrasset - et qui avaient du mal à nous obéir. Tant et si bien que soudain, celui de mon compagnon se cabra, Manu en tomba, et l’animal s’enfuit au-delà de l’horizon. Alors qu’on essayait de le rattraper, le mien - profitant de l’occasion - fit de même.
Leur perte était très grave car toute notre eau était partie avec eux ainsi que nos espoirs de survie.
Manu me dit : « Qu’allons-nous devenir ici sans eau, il n’y a pas d’ombre, je ne porte qu’un short comme toi, on va brûler au soleil, de plus je commence déjà à avoir très soif… »
-, « Surtout ne pas s’affoler, j’ai ma boussole, nous allons aller droit au Nord, on n’est pas si loin de l’oasis de Foumwalah Awkouhl… »
Nous entreprîmes donc de marcher vers cet espoir de survie que - je le pensais sans le dire - nous n’atteindrions sûrement jamais.
Le temps passait et Manu n’en pouvant plus s’allongea sur le sable les yeux perdus dans le ciel. Désespéré, il pleura.
- Je dis : « Je sais tu as soif, mais il faut tenir le coup, moi aussi, et… (une idée me vint soudain à l’esprit) …attends je crois que j’ai une solution… »
- « Tu sais où y a de l’eau, où ?, où ? »
- « C’est pas tout à fait de l’eau, mais faute de grive…C’est tout simplement là. » Je désignais de mes mains mon entrejambe et celui de mon compagnon.
- « Quoi, nos couilles… ? J’ai compris… ! Notre sperme ! ! »
Aussitôt, assoiffés que nous étions, nous jetâmes nos shorts dans le sable, découvrant nos paquets et nous nous livrâmes à un 69 salvateur. Manu dont la soif était extrême m’astiquait de ses lèvres restées douces malgré le manque d’eau. Je voulais qu’il se désaltère au plus vite et me forçais à jouir dans ce but. Je lorgnais pour cela son corps superbe, avec son dos en V, qui se tordait dans l’effort et était encore une fois l’instrument du plaisir…
- « Serre mes couilles pour en faire sortir le maximum de jus quand ça viendra, comme je le ferai pour toi aussi !»
Le plaisir montait, le soleil au zénith était le seul témoin de la scène, du moins le croyais-je.
Soudain, je n’en pus plus, je criai « ça y est, vas-y bois, n’en perds pas la moindre goutte !»
Je sentis alors que Manu m’aspirait de toutes ses forces, ses doigts entourant fortement mes couilles, cela afin d’absorber ce liquide qui, bientôt, le désaltèrerait.
J’éjaculai abondamment à mon tour.
Il me but jusqu’à la lie et poussa un gémissement de satisfaction tout en léchant avidemment le peu qui s’était étalé sur les poils de sa main velue.
Manu avait un visage juvénil. Mais la pilosité de son corps, notamment son torse, ses avant-bras et ses mains avaient été les éléments déclancheurs qui m’avait poussé à le draguer quelques années plus tôt sur une plage du Sud. Il était le genre de mec que j’avais toujours recherché, de plus sa musculature avait été la cerise sur le gâteau, alors je n’avais pas hésité…
Et maintenant nous étions là, et le plus bel organe de son corps, lui allait et venait dans ma bouche reconnaissante…
«J’espère que tu en cracheras autant que moi, j’en peux plus de la soif moi aussi !»
La réponse ne se fit pas attendre. Sa bite au plus profond de ma gorge, libéra son liquide qui bien que chaud, n’en était pas moins la chose la plus merveilleuse que je n’en pouvais recevoir…
Un râle de plaisir commun termina cet échange spermatique…
Rassasiés, nous restâmes, les jambes écartées, nos sexes dardés.
Un moment plus tard nous léchâmes les derniers vestiges de plaisir qui suintaient du bout de nos bites un peu moins dures maintenant.
Au-delà des dunes, un garçon du cru avait lorgné la scène avec appétit, il descendit vers nous et se présenta un sourire sur les lèvres.
- « Vous êtes français, j’ai entendu et… vu. Je m’appelle Ahmed Mélahla de la tribu Touareg des Fokia, si vous voulez je vais vous accompagner à Foumwalah Awkouhl … mais à une condition… vous me buvez moi aussi… »
Notre soif fut complètement oubliée quelques minutes plus tard, le jeune homme ayant un débit plus qu’abondant en l’occurrence…
Il tint sa promesse.
Voilà, je me souviendrai toujours de cet épisode de ma vie où je fus sauvé par ces deux sexes vigoureux et généreux que je pourlèche et bois maintenant avec toujours autant de reconnaissance et encore plus de plaisir que par le passé, Ahmed
partant désormais tous les ans en vacances avec nous…
j:p)
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Nous ne connaissions rien de ce nouvel environnement. Manu mon jeune compagnon, à la peau maintenant bronzée par cet immense soleil d’Afrique, me précédait torse nu et je pouvais admirer ses muscles que la sueur faisait briller.
Nous étions sur des dromadaires plutôt revêches - loués à Tamanrasset - et qui avaient du mal à nous obéir. Tant et si bien que soudain, celui de mon compagnon se cabra, Manu en tomba, et l’animal s’enfuit au-delà de l’horizon. Alors qu’on essayait de le rattraper, le mien - profitant de l’occasion - fit de même.
Leur perte était très grave car toute notre eau était partie avec eux ainsi que nos espoirs de survie.
Manu me dit : « Qu’allons-nous devenir ici sans eau, il n’y a pas d’ombre, je ne porte qu’un short comme toi, on va brûler au soleil, de plus je commence déjà à avoir très soif… »
-, « Surtout ne pas s’affoler, j’ai ma boussole, nous allons aller droit au Nord, on n’est pas si loin de l’oasis de Foumwalah Awkouhl… »
Nous entreprîmes donc de marcher vers cet espoir de survie que - je le pensais sans le dire - nous n’atteindrions sûrement jamais.
Le temps passait et Manu n’en pouvant plus s’allongea sur le sable les yeux perdus dans le ciel. Désespéré, il pleura.
- Je dis : « Je sais tu as soif, mais il faut tenir le coup, moi aussi, et… (une idée me vint soudain à l’esprit) …attends je crois que j’ai une solution… »
- « Tu sais où y a de l’eau, où ?, où ? »
- « C’est pas tout à fait de l’eau, mais faute de grive…C’est tout simplement là. » Je désignais de mes mains mon entrejambe et celui de mon compagnon.
- « Quoi, nos couilles… ? J’ai compris… ! Notre sperme ! ! »
Aussitôt, assoiffés que nous étions, nous jetâmes nos shorts dans le sable, découvrant nos paquets et nous nous livrâmes à un 69 salvateur. Manu dont la soif était extrême m’astiquait de ses lèvres restées douces malgré le manque d’eau. Je voulais qu’il se désaltère au plus vite et me forçais à jouir dans ce but. Je lorgnais pour cela son corps superbe, avec son dos en V, qui se tordait dans l’effort et était encore une fois l’instrument du plaisir…
- « Serre mes couilles pour en faire sortir le maximum de jus quand ça viendra, comme je le ferai pour toi aussi !»
Le plaisir montait, le soleil au zénith était le seul témoin de la scène, du moins le croyais-je.
Soudain, je n’en pus plus, je criai « ça y est, vas-y bois, n’en perds pas la moindre goutte !»
Je sentis alors que Manu m’aspirait de toutes ses forces, ses doigts entourant fortement mes couilles, cela afin d’absorber ce liquide qui, bientôt, le désaltèrerait.
J’éjaculai abondamment à mon tour.
Il me but jusqu’à la lie et poussa un gémissement de satisfaction tout en léchant avidemment le peu qui s’était étalé sur les poils de sa main velue.
Manu avait un visage juvénil. Mais la pilosité de son corps, notamment son torse, ses avant-bras et ses mains avaient été les éléments déclancheurs qui m’avait poussé à le draguer quelques années plus tôt sur une plage du Sud. Il était le genre de mec que j’avais toujours recherché, de plus sa musculature avait été la cerise sur le gâteau, alors je n’avais pas hésité…
Et maintenant nous étions là, et le plus bel organe de son corps, lui allait et venait dans ma bouche reconnaissante…
«J’espère que tu en cracheras autant que moi, j’en peux plus de la soif moi aussi !»
La réponse ne se fit pas attendre. Sa bite au plus profond de ma gorge, libéra son liquide qui bien que chaud, n’en était pas moins la chose la plus merveilleuse que je n’en pouvais recevoir…
Un râle de plaisir commun termina cet échange spermatique…
Rassasiés, nous restâmes, les jambes écartées, nos sexes dardés.
Un moment plus tard nous léchâmes les derniers vestiges de plaisir qui suintaient du bout de nos bites un peu moins dures maintenant.
Au-delà des dunes, un garçon du cru avait lorgné la scène avec appétit, il descendit vers nous et se présenta un sourire sur les lèvres.
- « Vous êtes français, j’ai entendu et… vu. Je m’appelle Ahmed Mélahla de la tribu Touareg des Fokia, si vous voulez je vais vous accompagner à Foumwalah Awkouhl … mais à une condition… vous me buvez moi aussi… »
Notre soif fut complètement oubliée quelques minutes plus tard, le jeune homme ayant un débit plus qu’abondant en l’occurrence…
Il tint sa promesse.
Voilà, je me souviendrai toujours de cet épisode de ma vie où je fus sauvé par ces deux sexes vigoureux et généreux que je pourlèche et bois maintenant avec toujours autant de reconnaissance et encore plus de plaisir que par le passé, Ahmed
partant désormais tous les ans en vacances avec nous…
j:p)
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