Permière sodomie
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Permière sodomie
Nous bavardons tranquillement en dînant. Par sous entendu, à cause des enfants qui sont encore là avant l'aller au collège, je lui fait comprendre que je voudrais sa queue dans la bouche pour lui prendre sa semence. Je sais qu'il bande de plus en plus : tant mieux. C'est vrai depuis de matin j'ai faim de lui, de sa jouissance, de son sperme, même si pour une fois il me rentre pas dans mon corps.
C'est vrai qu'il aime, comme moi baiser, me la mettre partout, dans les mains, dans le vagin, là où j'aime particulièrement dans l'anus. Ah ! Dans l'anus, que de plaisir il me donne. Au début, les premières sodomies n'étaient que pour son plaisir, sauf qu'un jour je me suis surprise à jouir de l'avoir là, dans ce petit trou , objet de tant de désir. Avant de me sodomiser, je regardais sa queue : une très grosse bite pour mon si petit trou fragile.
Je devais me mettre en levrette, me mouiller avec ma propre cyprine ce tout petit endroit : j'en profitais pour tâter cet endroit en priant pour qu'il ne me fasse pas mal. Il venait derrière moi, se collait à mes fesses : je sentais avant tout ses poils sur moi, puis il entrait doucement entre mes fesses que le tenais écartées à deux mains. Je n'étais pas bien mise, c'était notre première fois, je lui donnais mon cul, en espérant que ça ne dure pas longtemps, que j'en soit débarrassée une fois pour toute.
Un de mes amies me racontait qu'elle aimait se faire enculer pour son plaisir à elle et à lui par conséquence. Je n'en était pas là.
Juste avant il m'avait baisée rapidement sans même jouir, ni sans me donner un plaisir haut de gamme. C'est en sortant du vagin, encore mouillé de ma cyprine qu'il venait sur mon anus qui n'avait jamais éprouvé le désir d'être écartelé.
Il était derrière moi, je pouvais lui tenir la bite dans une main quand il est entré dans mon vagin : là j'étais d'accord, qu'il me fasse jouir comme souvent avec sa grosse queue, pas obligatoirement dans cette position.
Il a du déraper dans le périnée pour se trouver ainsi juste sur mon entrée secondaire. Il est venu poser le bout de sa bite devant mon cul. Je la sentais contre moi, toujours aussi tendue, aussi grosse, palpitante. Je serrais les dents pour ne pas me plaindre et gâcher ainsi son désir et son futur plaisir.
Je voulais quand même connaître l'effet de sa jouissance à l'intérieur de mes boyaux.
Mes chairs s'écartaient devant sa poussée. Il entrait en me faisant à peine mal, puis il allait au fond de ses possibilité.
Il s'est mis à aller et venir en moi, comme s'il me baisait. Je me décontractais en constant qu'il ne me faisait pas mal au contraire. Plus je me détendais moins j'avais mal.
Il continuait à me pistonner, m'enculer comme si c'était naturel. Pour lui sans doute pas encore pour moi. D’un seul coup il prenait son plaisir : je le sentis avoir des spasmes. A cet instant je me suis mise moi aussi à jouir, plus fort que dans les baises traditionnelles. Il me donnait envie de compléter mon plaisir en me branlant. Mes doigts s'agitaient en cadence sur ma chatte. Je me caressais le clitoris, un peu le vagin avant de revenir d'où j'étais partie.
Mes fesses accompagnaient ses vas et vient.
Depuis cette première fois nous avons fait des progrès. Je reste sur le dos, les jambes bien ouvertes, sa pine qui vient dans mon con pour se mouiller un peu avant de sortir pour assiéger l'anus. Il glisse sur moi, vient juste sur la petite ouverture que je tâche d'ouvrir un peu.
Il se tient sur ses bras tendus pour regarder sa queue, je regarde aussi comme je peux. Il est juste sur l'anus, il me tarde toujours qu'il soit dedans. L'inévitable arrive : il me sodomise, j'aime ça en plus. Je resserre un peu mon entrée : je le sens bien mieux. Je sens aussi ses couilles qui battent mes fesses. Je ne retiens jamais mon plaisir, je jouis facilement avec une bite dans le cul.
Je suis sans doute dégénérée, mais c'est une véritable drogue quand je l'ai dans le cul. Ça me soulage, ça élimine tous les maux que je peux avoir. Je me sens bien, mieux après une telle jouissance.
De rare fois j'ai envie de son jus. Je le prend dans la bouche, ma langue fait le tour plusieurs fois de son gland goûteux. Je le pompe comme s'il avait un puits de pétrole. Mais que c'est bon quand il vient dans la bouche, que je reçoit son sperme à gros bouillons sur la langue, que je m'en mets partout plein la bouche, que de fois je l'embrasse sur la bouche avec sa semence encore en moi. Il la goûte, la trouve bonne, nous la partageons toujours.
Je dois être une salope puisque j'aime le lécher quand il sort de mon cul. Je le lave de son sperme et d'un autre jus que je ne sais nommer.
C'est vrai qu'il aime, comme moi baiser, me la mettre partout, dans les mains, dans le vagin, là où j'aime particulièrement dans l'anus. Ah ! Dans l'anus, que de plaisir il me donne. Au début, les premières sodomies n'étaient que pour son plaisir, sauf qu'un jour je me suis surprise à jouir de l'avoir là, dans ce petit trou , objet de tant de désir. Avant de me sodomiser, je regardais sa queue : une très grosse bite pour mon si petit trou fragile.
Je devais me mettre en levrette, me mouiller avec ma propre cyprine ce tout petit endroit : j'en profitais pour tâter cet endroit en priant pour qu'il ne me fasse pas mal. Il venait derrière moi, se collait à mes fesses : je sentais avant tout ses poils sur moi, puis il entrait doucement entre mes fesses que le tenais écartées à deux mains. Je n'étais pas bien mise, c'était notre première fois, je lui donnais mon cul, en espérant que ça ne dure pas longtemps, que j'en soit débarrassée une fois pour toute.
Un de mes amies me racontait qu'elle aimait se faire enculer pour son plaisir à elle et à lui par conséquence. Je n'en était pas là.
Juste avant il m'avait baisée rapidement sans même jouir, ni sans me donner un plaisir haut de gamme. C'est en sortant du vagin, encore mouillé de ma cyprine qu'il venait sur mon anus qui n'avait jamais éprouvé le désir d'être écartelé.
Il était derrière moi, je pouvais lui tenir la bite dans une main quand il est entré dans mon vagin : là j'étais d'accord, qu'il me fasse jouir comme souvent avec sa grosse queue, pas obligatoirement dans cette position.
Il a du déraper dans le périnée pour se trouver ainsi juste sur mon entrée secondaire. Il est venu poser le bout de sa bite devant mon cul. Je la sentais contre moi, toujours aussi tendue, aussi grosse, palpitante. Je serrais les dents pour ne pas me plaindre et gâcher ainsi son désir et son futur plaisir.
Je voulais quand même connaître l'effet de sa jouissance à l'intérieur de mes boyaux.
Mes chairs s'écartaient devant sa poussée. Il entrait en me faisant à peine mal, puis il allait au fond de ses possibilité.
Il s'est mis à aller et venir en moi, comme s'il me baisait. Je me décontractais en constant qu'il ne me faisait pas mal au contraire. Plus je me détendais moins j'avais mal.
Il continuait à me pistonner, m'enculer comme si c'était naturel. Pour lui sans doute pas encore pour moi. D’un seul coup il prenait son plaisir : je le sentis avoir des spasmes. A cet instant je me suis mise moi aussi à jouir, plus fort que dans les baises traditionnelles. Il me donnait envie de compléter mon plaisir en me branlant. Mes doigts s'agitaient en cadence sur ma chatte. Je me caressais le clitoris, un peu le vagin avant de revenir d'où j'étais partie.
Mes fesses accompagnaient ses vas et vient.
Depuis cette première fois nous avons fait des progrès. Je reste sur le dos, les jambes bien ouvertes, sa pine qui vient dans mon con pour se mouiller un peu avant de sortir pour assiéger l'anus. Il glisse sur moi, vient juste sur la petite ouverture que je tâche d'ouvrir un peu.
Il se tient sur ses bras tendus pour regarder sa queue, je regarde aussi comme je peux. Il est juste sur l'anus, il me tarde toujours qu'il soit dedans. L'inévitable arrive : il me sodomise, j'aime ça en plus. Je resserre un peu mon entrée : je le sens bien mieux. Je sens aussi ses couilles qui battent mes fesses. Je ne retiens jamais mon plaisir, je jouis facilement avec une bite dans le cul.
Je suis sans doute dégénérée, mais c'est une véritable drogue quand je l'ai dans le cul. Ça me soulage, ça élimine tous les maux que je peux avoir. Je me sens bien, mieux après une telle jouissance.
De rare fois j'ai envie de son jus. Je le prend dans la bouche, ma langue fait le tour plusieurs fois de son gland goûteux. Je le pompe comme s'il avait un puits de pétrole. Mais que c'est bon quand il vient dans la bouche, que je reçoit son sperme à gros bouillons sur la langue, que je m'en mets partout plein la bouche, que de fois je l'embrasse sur la bouche avec sa semence encore en moi. Il la goûte, la trouve bonne, nous la partageons toujours.
Je dois être une salope puisque j'aime le lécher quand il sort de mon cul. Je le lave de son sperme et d'un autre jus que je ne sais nommer.
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C'est magic