Perte de contrôle avec femme d'un autre genre.

- Par l'auteur HDS Hephais -
Récit érotique écrit par Hephais [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Perte de contrôle avec femme d'un autre genre. Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Perte de contrôle avec femme d'un autre genre.
J’ai toujours été attiré par toutes les pratiques, et bien qu’étant cadré par un environnement, j’ai toujours pensé que selon l’instant, et l’atmosphère qui entoure un moment, tout ce qui pouvait procurer du plaisir devait être exploré. Ainsi, bien qu’hétéro avec des relations qu’on peut définir comme classiques, j’éprouve souvent des envies que certains peuvent qualifier de déviantes, et que d’autres trouveront assez normales.
La soirée que je vais vous raconter, et qui est réellement arrivée, se passe un samedi soir.
Après avoir accepté un verre avec des amis, et donc forcément en avoir bu de nombreux, j’étais plutôt guilleret et alors que chacun avait décidé de rentrer chez soi au vu de l’heure tardive, j'ai décidé de commencer à rentrer à pied. C’était à Paris, et il m’aurait bien fallu marcher pendant 1h30, mais j’avais toujours la possibilité de prendre un taxi si la marche s’avérait trop longue.
Marcher me permettait de nourrir encore l’espoir que la soirée ne soit pas terminée, et avec les effluves d’alcool je dois dire qu’à ce moment je n’étais pas contre une rencontre inattendue. Et c’est ce qui arriva.
Au bout d’une vingtaine de minutes, je vis dans une petite rue sur mon chemin, un bar encore ouvert, qui était assez animé mais dont l’ambiance était assez intimiste pour que je puisse m’installer au comptoir prendre un verre en espérant discuter avec le passant, ou surtout la passante. Musique commerciale, lumières semi-tamisées, je me suis assis sur une chaise haute au bar, entre un groupe de 4 amis, et une belle blonde, plus grande que moi. J’ai commandé un Manhattan, et j'ai commencé à lancer quelques regards à cette ravissante demoiselle aux formes exacerbées. Elle m’a remarqué, me regardant plusieurs fois du coin de l'œil, puis lorsque le barman m’a donné mon verre, je me suis permis d’appuyer le regard en sa direction et de lever mon verre en lui disant “Santé”. Un peu ridicule, certainement peu efficace, mais à croire que j’étais bien tombé, elle se retourna vers moi, me sourit, et me répondit “à la tienne”. Le plus difficile est toujours de casser la glace, mais je savais à ce moment que cet échange très succint ouvrait la porte à une discussion. Alors nous échangeâmes quelques banalités. Je lui ai demandé pourquoi elle se trouvait ici toute seule, et elle m’a répondu, dans un accent que je n’arrivais pas à identifier, mais très charmant, qu’elle rentrait de soirée et qu’elle s’était arrêté prendre un dernier verre avant de remonter chez elle, à deux pas. Je souris en lui disant que j’étais dans le même cas, sauf que mon logement à moi se trouvait encore à mille pas de là ! On rit ensemble, je lui offris un verre, qu’elle accepta en me disant que ce serait le dernier de la soirée qu’elle boirait ici. Elle devait mesurer 1m85, avait une poitrine très imposante, ronde, dans laquelle je plongeais mon regard autant que mes lèvres revenaient sur mon verre, des fesses rebondis, des yeux bleus, des lèvres pulpeuses, en bref non pas une définition de la femme fatale mais une incarnation de la sexualité.
Je finis mon verre, elle aussi, et alors qu’elle mis son sac sur l’épaule elle me dit “Tu veux venir à la maison ?”. C’était simple, presque trop facile, mais pour seule réponse je me levais de ma chaise et la suivais.
Nous sommes sortis du bar, elle me répéta qu’elle habitait juste à côté, et après 50 mètres pendant lesquels je restai un tout petit peu derrière elle pour admirer ce fessier balançait de droite à gauche, dans la même rue, elle s’arrêta devant la porte d’entrée d’un immeuble haussmannien. Elle ouvrit la porte, me laissa entrer dans le hall, en passant une main assez ferme sur mes fesses en me disant en riant “De bonnes fesses ce garçon !”, ce qui m'a gêné et m'a plu en même temps. Nous sommes montés à pied, moi devant elle, tandis qu’elle commentait ma démarche et me reluquait moins discrètement que ce que j’avais fait avant, et me dit de m’arrêter au 1er étage.
Nous sommes entrés chez elle, et nous sommes installés dans le salon. Moi sur le canapé, pendant qu’elle sortait deux verres de son bar ainsi qu’une bouteille de rhum. Elle me servit, se servit, mis une musique dont je crois me souvenir que c’était du jazz, et s’installa à côté de moi.
Après une seule gorgée, alors qu’elle avait déjà posé sa main sur le haut de ma cuisse, elle m’attrapa par la nuque et m’embrassa langoureusement. Nos langues virevoltaient, nos salives se mêlaient l’une à l’autre, et je me trouvais dans une position où guidé par ces mouvements elle menait la danse et je ne pouvais que suivre. J’avais mes mains sur ses hanches, elle remontait la sienne vers mon sexe déjà tendu. J’étais aux anges, très excitait, sachant que la fin de la soirée s’annonçait explosive, et je repensais à cette marche salvatrice que j’avais eu la bonne idée de faire !
Elle repoussa légèrement ma tête, remonta son tshirt, et me demanda de lui embrasser les seins. J’approcha ma bouche, saisis un sein d’une main, et fit passer ma langue sur son téton, je l’embrassais, la léchais, tandis qu’elle baissa son tshirt sur ma tête. Elle me parlait en gémissant, “C’est bien, continue.” “Tu t’y prends bien chéri”, “Tête bien ces seins que tu regardes depuis 2 heures”. Chacun de ses mots faisaient monter mon excitation et je crois qu’elle le savait. Je fus surpris car ses seins étaient parfaits, mais assez durs, et je me dis à ce moment qu’elle devait être refaite.
Puis, d’un coup, en l’écoutant parler, je me mis à être persuadé que je n’étais pas avec une femme comme je l’entendais mais avec un trans. Cette aisance avec laquelle elle m’avait attiré chez elle, cette façon de prendre le contrôle de la situation, ça ne ressemblait pas vraiment aux rencontres que j’avais déjà faites. Avec l’ivresse je ne savais pas quoi penser de ce raisonnement instinctif, mais en tout cas cela m’excitait et la situation était telle que j’avais juste envie de continuer à baigner dans le plaisir.
“Ca suffit”. En disant ces mots elle me repoussa un peu, avec tendresse, et me dit “Déshabille toi, je vais m’occuper de toi maintenant”. Je ne me fis pas prier, et me retrouva vite nu sur ce canapé tandis qu’elle était toujours habillée. Elle se mit à genou devant moi, passa sa main sur ma verge, me regarda dans les yeux et me dit “regarde bien comment je fais, et apprécie cette bonne pipe”. Elle embrassa deux trois fois mon gland circoncis, et lentement mais d’un seul coup, mis ma queue toute entière dans sa bouche. Elle savait y faire, et la facilité avec laquelle elle avalait mes 19-20 centimètres me fascinait et me plaisait. Elle remontait et redescendait avec aisance sur ma queue, caressant mes bourses qu’elle faisait rouler sur ces mains, les serrant par moment. Je frissonnais et me délectais de cette fabuleuse caresse. Sa langue dansait sur ma queue, je recevais l’une des meilleures pipe de ma vie, et ce plaisir dura pendant quelques minutes. Puis, elle descendit sur mes couilles, les lécha, les aspira, attrapa mes deux jambes pour les relevait, et commença a venir lécher mon cul. Sa langue sur mon trou me procura un plaisir intense, elle tournoyait autour, tandis que moi, nu, les jambes relevées, à sa merci, je commençais à gémir plus fort, et plus aigü. Elle continua de me lécher, alors que ma main se diriga vers mon sexe pour me caresser en même temps, puis je sentis sa main descendre vers mes fesses, et un doigt se poser contre mon oeillet. Mêlé à sa salive elle entra une phalange, et me dit de me détendre. Ce nouveau plaisir, que je craignais et désirais, m’excita de plus belle. Je commençai à onduler sous sa main, pendant qu’elle me parlait “Tu aimes quand je te caresse le cul” “Tu es serré mais tu vas vite t’ouvrir”, ces mots inhabituels faisaient monter en moi un désir intense. Elle ajouta alors un autre doigt, et commença à me doigter plus fort, en reprenant ma queue dans sa bouche. Je gémissais, tremblais de plaisir, me laissant guider par cette femme qui avait totalement pris le dessus sur moi. Puis, alors que j’étais à deux doigts de jouir, elle le senti et s’arrêta.
“Pas tout de suite. Maintenant à ton tour”. Elle me tira hors du canapé, appuya sur mes épaules pour que je soit à genou, à hauteur de son bassin, et enleva la jupe qu’elle portait jusqu’à maintenant. Elle tira ma tête sur son string, m’appuya contre elle, et à ce moment, même si j’en étais quasiment persuadé, je sentis ce sexe qui devait ressembler au mien. “J’espère que tu as bien regardé car tu vas faire pareil”. J’étais ivre de plaisir, je me demandais ce que j’étais en train de faire, moi qui avait certes déjà eu envie de telles envies mais jamais concrètement. A ce moment, un peu gêné par la situation mais tout autant excité, j’acceptais de continuer d’être guidé par cette belle créature, cette divine femme qui avait pris le dessus sur moi. Elle décala son string d’où sorti une queue plus longue et plus grosse que la mienne. Je n’avais jamais été si proche d’une queue, à quelques centimètres seulement. Je la regardais, en appréciant chaque recoin, chaque veine, et alors que je rêvasser, elle pris cette queue dans sa main et la posa sur mes lèvres en me disant “Tu vas adorer la sucer mon chéri”. J’entrouvis alors les lèvres, fit tourner ma langue sur son gland, et la pris en bouche. Je n’arrivais même pas à en prendre la moitié en bouche malgré mes efforts. Mon expérience manquait, mais je m’appliquais, allant et venant sur cette queue tendue, à genou. Je la léchais aussi plus bas, aspirant ses couilles en caressant cette magnifique queue. Puis d’un coup, elle me mit une gifle, puis une deuxième. Moi qui d’habitude dominait la situation, j’étais pris à mon propre jeu, et j’aimais ça. J’étais surpris, mais cette sensation de perte de contrôle totale explosait en moi.
“Lèche mon cul maintenant”. A ses ordres, je fis ce qu’elle me dit, je passais ma langue sur ce trou qui me semblait déjà ouvert, appréciant prodiguer cette caresse à laquelle elle était très réceptive. Sa main dans mes cheveux me forçait à rester collé contre elle, bien que je ne comptais pas m’enfuir, mais cela rajoutait à cette atmosphère difficilement descriptible..
Puis, elle me dit de me relevait, me pris par la main, m’emmena dans sa chambre et de déshabilla. Elle était superbe, un visage angélique, des seins parfait, de longues jambes douces, et un sexe magnifique et tendu. Son lit était au centre de la pièce, elle me dit de m’allongeais, et resta debout face à moi. Puis elle fit le tour, me tira vers elle, mis ma tête dans le vide, et me dit “Ton cul sera trop serré pour ce soir mais je vais te baiser la bouche”. Je crois qu’à ces mots je crus que je pu jouir dans l’instant. Elle approcha alors sa queue de mes lèvres et s’enfonça dans ma gorge d’un seul coup. J’étais pris de haut le coeur, et je n’arrivais pas à l’avoir entièrement en bouche, mais après plusieurs va et vient, alors que ma salive dégoulinait sur mon menton, je sentis sa queue au fond de ma gorge. Elle me baisait littéralement la bouche et j’aimais ça. Je voulais me toucher en même temps mais d’une claque sur ma main elle m’arrêta en me disant “Tu t’occupes de moi et c’est tout”. Alors je continuais à la sucer, du moins à ouvrir grand ma gueule dans laquelle venait s’engouffrer ce sexe chaud et dur. Puis elle pris une de mes mains et fit entrer un de mes doigts dans son cul, et me dit de continuer. Au bout de quelques minutes seulement elle me dit qu’elle allait me remplir de sperme, et en s’enfonçant deux doigts au plus profond d’elle et en me tirant par les cheveux je sentis de grosse giclée chaude couler au fond de ma gorge. Elle fit quelques va et vient, en gémissant très fort, en criant, et sorti son sexe suave qu’elle fit glisser sur mes joues pour étaler cette semence qu’il lui restait sur la queue.
“Bravo mon chérie, tu es une vrai suceuse maintenant”. Sur ces mots elle avait un regard plus attendrissant, et j’étais assez fier de ce plaisir que je lui avais donné, ou qu’elle avait pris.
J’étais encore très excité, et alors que je continuais de caresser sa queue, elle me demanda de me mettre à quatre pattes. J’hésitais, puis finalement lui obéis.
“Chéri, j’ai pris assez de plaisir avec toi ce soir, mais avant je vais te faire un petit cadeau”. Dans cette position où à sa place j’avais pris de nombreuses femmes, en levrette, je me sentis dépossédé, mais l’attente du plaisir était aussi une position très agréable. Je sentis alors sa bouche revenir sur mes fesses, puis sur mon cul, elle cracha dessus pour l’humidifier, et me mis tout de suite deux doigts. J’avais mal mais ça me plaisait. Elle fit claquer ses mains contre mes fesses, à plusieurs reprises, s’approcha de sa table de chevet d’où elle sorti un gode, et commença à le poser sur mon trou. Petit à petit elle l’enfonça, me rassurant, me disant que j’allais adorer me faire baiser. Et c’est ce qui advient, plus elle enfonçait, plus j’ondulais, gémissant de plus en plus fort sous ces caresses. Me faisait prendre mon cul vierge par cette beauté. Après plusieurs va et vient, je sentis un plaisir monté au fond de mes entrailles, et alors que mon sexe était toujours tendu, une violente décharge explosa en moi, et je jouis de l’intérieur sous ses assault, éjaculant en même temps sur son lit. Je m’écroula alors complètement dans ce lit, tandis qu’elle sorti l’objet de mon plaisir. Elle recula, puis revint en me disant “Voila mon cadeau”, me montra un plug qu’elle glissa entre mes lèvres, puis l’enleva pour le glisser en moi.
“Rhabille toi chéri, et dors avec ce cadeau, la prochaine fois j’espère que tu sentiras mon bassin claquer contre tes fesses”.

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