Petite annonce 3
Récit érotique écrit par Helensexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petite annonce 3
Lorsque je m’éveillais le lendemain matin, j’étais seule…. L’appartement était calme. Une odeur de sexe planait dans la chambre. Au cours de la nuit j’avais encore subi les assauts, de, je pense, Victor.
Je me levais et filais sous la douche. J’enfilais une chemise qui était posé sur la chaise à côté de la douche et me dirigeais vers la cuisine. Surprise, j’y trouvais Victor assis devant une tasse de café, en peignoir, les cheveux légèrement humides.
- Bonjour, bien dormi ? Demanda-t-il avec un clin d’œil- Oui merci répondis je un peu gênée.
- Tu veux un café ? Les tasses sont rangées là, fit il en me désignant un placard.
J’ouvrais le meuble, les tasses étaient sur une étagère en hauteur, sur la pointe des pieds je tentais d’en attraper une mais j’étais trop petite. Sous l’effort, je sentais la chemise remonter juste sous mes fesses et pensais que Victor ne devait pas perdre une miette du spectacle.
Sans bruit il s’était levé et je le sentis dans mon dos.
- Attends je vais t’aider. Son corps se colla sur le mien et il attrapa une tasse. Il bandait déjà. Je sentais sa trique contre mes reins à travers son peignoir. J’étais coincée entre le plan de travail et cet homme qui se frottait contre moi. Une vague de chaleur envahit mon ventre. Il s’attarda légèrement, se retira et me servit un café.
Il retourna s’asseoir sur sa chaise en me fixant intensément. J’étais un peu décontenancée- Tu me redonnes mes 20 ans poursuivit il, regarde je bande encore comme un âne dit il tandis qu’il dénouait la ceinture du peignoir puis écartait les pans, dévoilant son sexe en érection. Une onde de chaleur m’envahit.
- Approche, jeune fille.
J’obéis les yeux rivés sur l’entrejambe de Victor. Son sexe était de bonne taille, plutôt gros, la peau mate, le gland complètement décalotté était rouge foncé, pas très beau à regarder à vrai dire.
- Philippe m’a dit que tu étais une bonne petite pipeuse, c’est vrai ?
- Euh… je ne savais que répondre.
- Suis moi, tu vas me faire profiter de tes talents. Sur ce, il se leva, me prit par la main et m’emmena dans le salon. Il me fit mettre à 4 pattes sur la table basse, les jambes écartées, la chemise relevée jusqu’à la taille exposant mon intimité. Il se plaça devant moi le sexe à la main, à hauteur de ma bouche et se caressait doucement. Il approcha, le gland se posa sur mes lèvres qui instinctivement s’ouvrirent pour laisser glisser le mandrin que je me mis à pomper. Une main me tenait la tête tandis qu’il me baisait la bouche délicatement. J’avais une furieuse envie de me branler, ma chatte semblait trempée, mais je me concentrais pour le pomper consciencieusement. Il se retira, puis vint se placer derrière moi. Ses mains se posèrent sur mes fesses qu’ils commença à caresser doucement, une de ses mains effleurait de temps à autres mon sexe, puis ses caresses se firent plus appuyées, je mouillais comme une chienne.
Il s’ajusta derrière moi, son manche à l’entrée de ma grotte, les 2 mains maintenant fermement mes hanches; il poussa doucement mais inexorablement jusqu’à la garde. On aurait dit qu’il m’avait déchiré le con. Il resta un moment immobile au fond de mon ventre, ma chatte palpitait sur sa queue, et il se mit à me limer.
- Ce que tu es étroite dit il admiratif. Si on m’avait dit qu’à mon âge j’allais encore pouvoir enfiler une gamine de ton âge… Il limait lentement, sortant presque entièrement de mon con et replongeant bien à fond au fond de mon ventre. Parfois un coup de reins brutal m’arrachait un grognement. Il voulait profiter de la situation le plus longtemps possible.
- Ne bouge pas m’ordonna-t-il en se retirant. J’attendis quelques minutes qu’il revienne. Il se replaça derrière moi et m’enfila à nouveau. Ses mains écartèrent mes fesses, une sensation de froid sur ma rondelle, ses doigts qui glissaient dans mon anus, il avait été chercher du lubrifiant. Ses doigts assouplissaient délicatement mes chairs, un doigt força délicatement mon anus, puis un deuxième et me branlaient doucement. Des frissons parcouraient mon corps, c’était divinement bon. Je jouis. Il se retira de ma chatte béante et plaça le gland à l’entrée de mon cul. Il poussa doucement et me pénétra centimètre par centimètre jusqu’à la garde et commença son lancinant mouvement de va et vient.
- Hummm, t ‘es encore plus étroite du cul que de la chatte… tu la sens bien ma queue ?
- Oui c’est bon je gémissais, ma cyprine coulait entre mes cuisses.
C’est à ce moment là que Philippe fit irruption dans la pièce, il se plaça devant moi. Il défit sa ceinture, ouvrit sa braguette en sortit sa bite qui prit aussitôt place dans ma bouche. J’avais un mal fou à me concentrer sur ma fellation mais ça ne semblait pas gêner Philippe qui m’imposait son rythme. Je ne sais pas combien de temps ils me baisèrent ainsi touts les 2 mais je commençais à avoir mal aux genoux.
Ils se retirèrent enfin . Victor s’allongea sur le dos, sur le tapis devant le canapé et m’invita à le chevaucher. Il m’attira contre lui, sa bouche força la mienne, nos langues s’enroulèrent dans un long baiser. Je m’empalais doucement sur sa queue, quelques instants plus tard des mains m’écartaient doucement les fesses et le sexe de Philippe pris place entre mes fesses.
- T’aimes ça petite cochonne demanda Victor.
-Ouiii- On va te bourrer comme une chienne jusqu’à ce qu’on se vide les couilles bien à fond, ma chérie poursuivait Philippe.
La cadence s’accélérait. Mes seins ballottaient dans tous les sens alors que je subissais les assauts virils de ces deux mâles en rut.
Mes gémissements et cris se mêlaient aux grognements et aux mots crus que les hommes proféraient.
Je jouis comme une folle. Victor déchargea le premier et inonda ma chatte de longs jets de foutre épais suivi de Philippe qui m’envoya sa purée entre les fesses.
Epuisée je retombais sur le torse de Victor, haletante.
Philippe se retira. Je restais un moment allongée, le sexe de Victor qui avait perdu de sa vigueur toujours dans le ventre. J’allais me relever mais il m’attrapa le bras.
- Ne te sauve pas petite fille… T’as vu dans quel état t’as mis ma queue ? Elle est poisseuse de foutre et de cyprine. Tu vas me nettoyer tout ça.
J’hésitais un instant, c’était dégouttant. Son engin, déjà pas beau à voir en érection, souillé de traces de sperme mélangées à ma mouille, pendait sur sa cuisse gauche . Mon regard croisa le sien. Il me fixait intensément. Je m’exécutais. Ma langue lécha délicatement le gland, glissa le long de sa tige jusqu’aux couilles qu’il m’ordonna de lécher et de sucer, puis remonta jusqu’au gland. Sa queue nettoyée de toute trace de cyprine et de sperme reprenait déjà de la vigueur entre mes lèvres . La main qui me caressait doucement la nuque et les cheveux se fit plus ferme- Oh putain, tu me fais rebander … oui pompe moi bien… comme ça oui….
Je le suçais depuis un long moment lorsqu’il se crispa sur ma nuque, de longues giclées chaudes et visqueuses s ‘écrasèrent sur mon palais. J’avalais sa semence jusqu’à la dernière goutte.
Après une douche bien méritée je m’habillais et partais en cours.
Je me levais et filais sous la douche. J’enfilais une chemise qui était posé sur la chaise à côté de la douche et me dirigeais vers la cuisine. Surprise, j’y trouvais Victor assis devant une tasse de café, en peignoir, les cheveux légèrement humides.
- Bonjour, bien dormi ? Demanda-t-il avec un clin d’œil- Oui merci répondis je un peu gênée.
- Tu veux un café ? Les tasses sont rangées là, fit il en me désignant un placard.
J’ouvrais le meuble, les tasses étaient sur une étagère en hauteur, sur la pointe des pieds je tentais d’en attraper une mais j’étais trop petite. Sous l’effort, je sentais la chemise remonter juste sous mes fesses et pensais que Victor ne devait pas perdre une miette du spectacle.
Sans bruit il s’était levé et je le sentis dans mon dos.
- Attends je vais t’aider. Son corps se colla sur le mien et il attrapa une tasse. Il bandait déjà. Je sentais sa trique contre mes reins à travers son peignoir. J’étais coincée entre le plan de travail et cet homme qui se frottait contre moi. Une vague de chaleur envahit mon ventre. Il s’attarda légèrement, se retira et me servit un café.
Il retourna s’asseoir sur sa chaise en me fixant intensément. J’étais un peu décontenancée- Tu me redonnes mes 20 ans poursuivit il, regarde je bande encore comme un âne dit il tandis qu’il dénouait la ceinture du peignoir puis écartait les pans, dévoilant son sexe en érection. Une onde de chaleur m’envahit.
- Approche, jeune fille.
J’obéis les yeux rivés sur l’entrejambe de Victor. Son sexe était de bonne taille, plutôt gros, la peau mate, le gland complètement décalotté était rouge foncé, pas très beau à regarder à vrai dire.
- Philippe m’a dit que tu étais une bonne petite pipeuse, c’est vrai ?
- Euh… je ne savais que répondre.
- Suis moi, tu vas me faire profiter de tes talents. Sur ce, il se leva, me prit par la main et m’emmena dans le salon. Il me fit mettre à 4 pattes sur la table basse, les jambes écartées, la chemise relevée jusqu’à la taille exposant mon intimité. Il se plaça devant moi le sexe à la main, à hauteur de ma bouche et se caressait doucement. Il approcha, le gland se posa sur mes lèvres qui instinctivement s’ouvrirent pour laisser glisser le mandrin que je me mis à pomper. Une main me tenait la tête tandis qu’il me baisait la bouche délicatement. J’avais une furieuse envie de me branler, ma chatte semblait trempée, mais je me concentrais pour le pomper consciencieusement. Il se retira, puis vint se placer derrière moi. Ses mains se posèrent sur mes fesses qu’ils commença à caresser doucement, une de ses mains effleurait de temps à autres mon sexe, puis ses caresses se firent plus appuyées, je mouillais comme une chienne.
Il s’ajusta derrière moi, son manche à l’entrée de ma grotte, les 2 mains maintenant fermement mes hanches; il poussa doucement mais inexorablement jusqu’à la garde. On aurait dit qu’il m’avait déchiré le con. Il resta un moment immobile au fond de mon ventre, ma chatte palpitait sur sa queue, et il se mit à me limer.
- Ce que tu es étroite dit il admiratif. Si on m’avait dit qu’à mon âge j’allais encore pouvoir enfiler une gamine de ton âge… Il limait lentement, sortant presque entièrement de mon con et replongeant bien à fond au fond de mon ventre. Parfois un coup de reins brutal m’arrachait un grognement. Il voulait profiter de la situation le plus longtemps possible.
- Ne bouge pas m’ordonna-t-il en se retirant. J’attendis quelques minutes qu’il revienne. Il se replaça derrière moi et m’enfila à nouveau. Ses mains écartèrent mes fesses, une sensation de froid sur ma rondelle, ses doigts qui glissaient dans mon anus, il avait été chercher du lubrifiant. Ses doigts assouplissaient délicatement mes chairs, un doigt força délicatement mon anus, puis un deuxième et me branlaient doucement. Des frissons parcouraient mon corps, c’était divinement bon. Je jouis. Il se retira de ma chatte béante et plaça le gland à l’entrée de mon cul. Il poussa doucement et me pénétra centimètre par centimètre jusqu’à la garde et commença son lancinant mouvement de va et vient.
- Hummm, t ‘es encore plus étroite du cul que de la chatte… tu la sens bien ma queue ?
- Oui c’est bon je gémissais, ma cyprine coulait entre mes cuisses.
C’est à ce moment là que Philippe fit irruption dans la pièce, il se plaça devant moi. Il défit sa ceinture, ouvrit sa braguette en sortit sa bite qui prit aussitôt place dans ma bouche. J’avais un mal fou à me concentrer sur ma fellation mais ça ne semblait pas gêner Philippe qui m’imposait son rythme. Je ne sais pas combien de temps ils me baisèrent ainsi touts les 2 mais je commençais à avoir mal aux genoux.
Ils se retirèrent enfin . Victor s’allongea sur le dos, sur le tapis devant le canapé et m’invita à le chevaucher. Il m’attira contre lui, sa bouche força la mienne, nos langues s’enroulèrent dans un long baiser. Je m’empalais doucement sur sa queue, quelques instants plus tard des mains m’écartaient doucement les fesses et le sexe de Philippe pris place entre mes fesses.
- T’aimes ça petite cochonne demanda Victor.
-Ouiii- On va te bourrer comme une chienne jusqu’à ce qu’on se vide les couilles bien à fond, ma chérie poursuivait Philippe.
La cadence s’accélérait. Mes seins ballottaient dans tous les sens alors que je subissais les assauts virils de ces deux mâles en rut.
Mes gémissements et cris se mêlaient aux grognements et aux mots crus que les hommes proféraient.
Je jouis comme une folle. Victor déchargea le premier et inonda ma chatte de longs jets de foutre épais suivi de Philippe qui m’envoya sa purée entre les fesses.
Epuisée je retombais sur le torse de Victor, haletante.
Philippe se retira. Je restais un moment allongée, le sexe de Victor qui avait perdu de sa vigueur toujours dans le ventre. J’allais me relever mais il m’attrapa le bras.
- Ne te sauve pas petite fille… T’as vu dans quel état t’as mis ma queue ? Elle est poisseuse de foutre et de cyprine. Tu vas me nettoyer tout ça.
J’hésitais un instant, c’était dégouttant. Son engin, déjà pas beau à voir en érection, souillé de traces de sperme mélangées à ma mouille, pendait sur sa cuisse gauche . Mon regard croisa le sien. Il me fixait intensément. Je m’exécutais. Ma langue lécha délicatement le gland, glissa le long de sa tige jusqu’aux couilles qu’il m’ordonna de lécher et de sucer, puis remonta jusqu’au gland. Sa queue nettoyée de toute trace de cyprine et de sperme reprenait déjà de la vigueur entre mes lèvres . La main qui me caressait doucement la nuque et les cheveux se fit plus ferme- Oh putain, tu me fais rebander … oui pompe moi bien… comme ça oui….
Je le suçais depuis un long moment lorsqu’il se crispa sur ma nuque, de longues giclées chaudes et visqueuses s ‘écrasèrent sur mon palais. J’avalais sa semence jusqu’à la dernière goutte.
Après une douche bien méritée je m’habillais et partais en cours.
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