Petite chienne - histoire érotique

Coucou tout le monde je me présente, je m’appelle Julie mais tout le monde m’appelle juju, je fais un mètre soixante-quatre pour cinquante kilos tout rond, je fais un petit 95C et je suis seule parce que je n’ai pas encore trouvé de personne qui accepte mon orientation car oui, je suis lesbienne.
Je vais a un petit lycée près de chez moi, je suis en terminale et plutôt bonne élève et je suis délégué de la classe. Aujourd’hui dès mon arriver je suis appelée chez le bureau de la proviseure.

-mademoiselle Julie, j’ai une mission à vous confier, aujourd’hui arrive dans notre établissement une nouvelle élève je compte sur vous pour lui faire un bonne accueille et la présenter à toute la classe. Je vois en pris entré Cécilia
Et entre une magnifique fille, légèrement plus petite en taille et en forme, mais je me dis que si j’étais un homme je ne sais pas comment je pourrais rester à l’envie de l’embrasser, elle est véritablement magnifique, avec des cheveux d’un brun profond coiffé avec un chignon super.

-tu viens Cécilia on nous attend en cour de français, je te donnerais tes livres à la pose d’après.

Nous sortons du bureau mais une fois dans le couloir, dès que la porte ce ferme, elle m’attrape la main et met son visage à deux centimètres du mien. Pendant un court instant je manque de succomber à la tentation de lui mordre ces lèvres, mais à la place c’est elle qui se met à parler.

-dis ! Tu ne serais pas en train de fantasmer sur moi la part hasard ?

Un peu surprit de sa question et répondant à mon instinct je n’arrive pas à me contrôler et luirépond sans détour.

-oui carrément tu m’excite beaucoup mais c’est parce que …
-oui, j’ai deviné, moi aussi j’aime les femmes et je peux te dire qu’entre le temps où je t’ai vu et maintenant j’ai déjà la culotte trempé.

Elle m’adresse un grand sourire et m’embrasse sans que je n’aie eu le temps de réagir. Toujours pétrifier par ce qui ce vient de passer je reste sur place ma bouche ouverte. Je ne reviens pas du sans gêne de cette fille totalement dévergondée. Elle est déjà au bout du couloir et m’attend en me demandant de me dépêcher. Non mais oh, c’est moi la déléguée ici je ne permettrai pas qu’une fille aussi excitante soit elle prenne le contrôle de ce lycée. Nous arrivons en classe, je la présente à toute la classe et déjà je vois ces ports de garçons se mettre à baver devant elle.
Dans ma tête j’aimerais les prévenir que c’est chasse garder et qu’elle m’appartient. Mais nous allons nous assoir et pour prévenir de toute concurrence je me débrouille pour qu’elle soit à côté de moi. Pendant l’heure la prof demande que je lise un texte. Je me lance et quand soudain Cecilia me pince les fesses, je suis un peu distraite et bafouille. Immédiatement je me fais rappeler que l’on est noté sur notre lecture et que si je ne me concentre pas un peu je vais avoir un zéro. Plus doucement je reprends ma lecture mais elle vient caresser ma cuisse, puis elle remonte tout doucement ver mon minou. C’est la première fois qu’une autre main que la mienne vienne caresser cet endroit. Très vite je sens la chaleur monter dans le bas de mon ventre, je n’arrive plus du tout à lire.

-excuser moi madame je peux aller aux toilettes s’il vous plait c’est urgent
-oui allez-y et Cecilia vous l’accompagnerez, mais je vous préviens je vous mets 13/20.

Nous quittons la classe et partons dans le couloir, je n’ai qu’une seule idée en tête me venger et lui montrer que c’est moi qui domine ! Et c’est là que nous passer près du locale ou le concierge range tout le matériel, je pense d’abord l’enfermer dedans mais au vu de mon excitation actuelle j’ai une autre idée en tête.

-c’est là ne t’inquiète pas la lumière ce déclenche toute seule mais elle met du temps à s’allumer.

Je rentre et elle me suis sans trop se poser de question, je passe alors derrière elle et verrouille la porte et allume la lumière, je la bouscule et attrape quelques rallonge électriques qui trainait sur les étagères a coter pour lui attacher les main en auteur, dans cette position elle ne peut que se tenir debout. Étrangement, elle reste interdite devant la vitesse à laquelle se déroulent les actions. Immédiatement je l’empêche de crier avec ma main.

-maintenant écoute moi bien petit salope tout à l’heure dans la classe je te fessais envie ?

-heu ou oui je hum huuum hum
-ça suffit, j’en ai assez entendu
J’enlève ma culotte toute tremper et lui fourre dans la bouche, je la déshabille entièrement et je vois par son antre qu’elle en a aussi envie que moi. Je commence doucement par lui caresser le visage, puis je viens lui sucé les tentons qui sont déjà tout dure, j’adore ces seins, je joue un moment avec, je sens grandir l’envie en elle et le plaisir en moi. Je vais pour lui enlever sa jupe et ses sous-vêtements mais elle replis et ressert ces jambes. Je prends ça comme un défis et lui tire et écarte et je les maintiens de sorte à avoir pleinement accès à son intimité avec encore quelques câbles.
Ne pouvant plus bouger elle est totalement soumis à ma volonté. J’adore cette vision de son corps qui m’est totalement offert et ça chatte dégoulinante. Je m’empresse de lécher les gouttes de cyprine qui ruisselle le longue de ces cuisse. Je remonte doucement, très doucement. Je l’entends gémir et respirer de plus en plus vite. Je sens à la chaleur qu’elle dégage qu’elle n’attend que de jouir. Mais je ne lui fait pas cette honneur.

-tu aimerais que je nettoie aussi l’intérieure de ta chatte petite chienne ?

-hum huum !

-oui tu aimerais ça, mais à cause de toi, j’ai eu une mauvaise note tu seras donc punis
-humm !

Je reprends mon nettoyage toujours avec ma langue sur son autre cuisse. Toujours d’une extrême lenteur. Puis n’y tenant plus je lui dévorés son bouton d’amour. Je le lèche dans tous les sens encore et encore, je le suce, le mordille, j’utilise ma langue comme un doigt pour appuyer dessus.
C’est d’ailleurs avec une main que je commence à me toucher moi aussi. Elle finit par enlever son bâillon de fortune.

-ha … ouiiii…va y… t’arrête pas…haaaaaa
Je continu de plus belle mes caresses puis j’arrête tout.

-mais qu’est-ce que tu fais ? Continu ! Je t’en supplie, je veux jouir ! Je n’en peux plus je ferais tout ce que tu veux Julie, pitié fais-moi jouir
-tout ce que je veux ? D’accord alors à partir de maintenant tu es ma petite amie soumise, tu devras obéir à chacun de mes ordre, être toujours présente et à ma disposition et tu devras arrêter de te masturber car seule moi peut te faire jouir, compris ?

-oui maitresse Julie, je vous en surplis prenez mon corps.

-woua c’est bien, tu apprends vite petite chienne, bon du coup je suppose que nous n’avons plus besoin de ces liens.

Je la détache et la couche par terre, je la tourne légèrement sur le côté, je m’allonge aussi et me met en ciseaux et colle mon sexe contre le sien. Je sens nos deux minous trempés coller l’un à l’autre. Le sien est brulant elle doit être sur le point d’exploser.

-va y fais plaisir à ta maîtresse et interdiction de jouir avent moi.

Elle commence à faire onduler son corps, le frottement de nos sexe me donne chaud, j’ai d’ailleurs maintenant très chaud.
Elle continu de plus en plus fort, je sens comme une boule partir de mon ventre et irradier par vague tout mon corps. Je me laisse totalement aller et je me laisse succomber par le plaisir que me procure cette jolie brune. Puis je sens ces jambes avoir des spasmes, elle a lui la petite salope même si elle fait semblait de rien elle a joui. Et en plus elle m’inonde la chate. Mais quel affront.
Mais je suis trop occuper par mon propre plaisir je la punirais plus tard. Elle continu de frotter, de plus en plus fort de plus en plus vite. Je n’en peux plus je jouis dans un grands soupire et relâche tous mes muscles une fois l’orgasme passer. Quelque instant plus tard je me relève et lui chochotte a l’oreille en me rhabillant.

-tu as joui mais tu as continué pour me faire plaisir, tu ma désobéit mais tu as tenu à me faire plaisir, tu seras puni mais tu as échappé au pire, pour l’instant remet tes vêtements la sonnerie est dans 5 minute.

-bien maitresse Julie, je suis désoler je n’ai pas réussi, merci de me punir je vous en suis très reconnaissante que vous vouliez bien éduquer la chienne que je suis.

-tu es vraiment fait pour être soumise je sens que ton dressage va être un véritable plaisir.


Cecilia ayant été une vilaine chienne j’ai décidé de la punir. Et c’est avec cette penser que je suis rentré chez moi, j’avais déjà une petite idée de ce que je voulais lui faire subir. Après un petit tour rapide sur internet j’ai trouvé ce que je voulais ; un œuf vibrant avec une autonomie de 8heurs .je le reçoit 4 jours plus tard par la poste. Il est tous noir je le branche cette nuit car demain je vais avoir besoin de toute sa puissance. Le lendemain au petit matin il est entièrement charger je fais un rapide contrôle des commandes pour comprendre tous les programmes, mais ce qui m’intéresse c’est le contrôle à distance. Je décide donc de me l’enfoncer doucement dans mon petit trou pour voir les sensations. Étonnamment ça forme fait qu’il rentre sans problème, je le sens bien juste sous mon clito, un peux hésitante je le mets en marche. Hum que c’est bon, les sensations son divines, je le sens vibre dans mon ventre avec une envie irrésistible de me caresser. Mais il est déjà 7 :30 et je vais être en retard, je le retire, le passe sous de l’eau geler et le range discrètement dans mon sac. Arriver au lycée je me dirige immédiatement vers Cecilia.

-salut les filles, Cecilia vient il faut que je te parle.

-salut juju heu oui j’arrive a plus les filles je reviens.

Je l’entraine dans les une salle de classe qui est libre jusqu’à 9 :00, je ferme la porte à clef.

-déshabille toi. (L’ordre est sec)
-oui maitresse Julie
Je sors l’œuf de mon sac. Je lui enfonce d’un coup dans son vagin que j’ai préparé durant ces 4 jours.

-haaa mais c’est froid, qu’est-ce que c’est ?

- tais-toi ! Je ne t’ai pas autorisé à parler, mais ta question est légitime, c’est ta punition pour avoir jouis avent moi l’autre fois. Maintenant rhabille toi on va être en retard.

Elle ce rhabille et met sa tête entre mes seins et me fais un câlin
-qu’est-ce que tu fais petite chienne ?

-je vous aime tan maitresse Julie, j’aime quand vous me puiser et j’aime ces deux seins là, ils sont si doux … (clac)
-ne t’approche plus d’eux je ne veux que personnes ne les touches n’y les regardes compris ?

Elle ne répondit pas et parti les larmes au bord des yeux. J’ai peut-être été un peu forte avec elle mais mes seins sont mon pont faibles depuis qu’une fille que j’aimais c’est moquer de moi en me disant qu’ils étaient aussi plats que le trottoir je les ai toujours trouvé trop petits malgré ce que me disent les autres je ne les caches aux plus possible. Mais pour l’instant il faut que je me fasse pardonner en cour je lui passe un mot :
« Je suis vraiment désoler ça va ? » … pas de réponse
« Qu’est-ce que je peux faire pour que tu me pardonne ? » … toujours pas de réponse. C’est alors que je sors la télécommande de l’œuf vibrant et je lui montre.

« La prochaine fois si tu ne réponds pas tu vas le sentir, je te rappelle que tu es toujours à moi »… pas de raiponce.
J’appuis et l’allume, je ne l’entends mais je la voie qui commence à frotter ces cuisses et se tortiller son jolie derrière. Je la voie qui commence à rougir, je suppose qu’elle doit commencer à prendre du plaisir alors j’éteins.

« Qu’est-ce que tu fais ? »
« Tu me pardonne ? »
« Oui mais continu stp »
Je le rallume, quelque instant plus tard je reteins
« Non continu c’est trop bon j’ai ma culotte qui est tremper continue stp »
« Stp qui ? »
« Svp maitresse Julie »
Pendant l’heure je rallume et éteint plusieurs fois elle commence à l’aise couler son nectar partout sur la chaise. Je profite de son excitation pour lui expliquer mon complexe, elle ne comprend pas elle non plus pourquoi alors qu’elle aimerait bien en avoir d’aussi « gros » selon elle. L’heure ce termine et elle me demande de venir avec elle sur le côté du lycée. Elle me demande une faveur et en échange elle fera tout ce que je voudrais, j’accepte.
Elle passe ca tète sous mon t-shirt et arrive jusqu’à mes seins
-non je t’ai dit de ne pas y toucher !

-et vous m’avez accordé une faveur alors laissez-vous faire c’est pour votre bien.

Elle commence à lécher tout doucement une de mes auréoles rose, je sens mon cœur qui accélère.
Avec son autre main elle commence à malaxer mon autre sein et à tordre mon téton. C’est exquis je sens des vagues de plaisir monter en moi au ou elle l’aspire. Sans trop bouger je prends la télécommande qui est dans ma poche et pousse les vibrations au max.

-aie ! Tu m’as han mordu haa.

-hum c’est que je suis devenu sensible, mon ventre est en feu maitresse haaaan je n’en peux plus je veux jouir
-alors continu c’est bon ce que tu fais ma petite chienne adoré.

Elle reprend de plus belle et me remord. Je me sens proche de l’orgasme, mon corps ne me répond et le plaisir remplis ma tête, je mouille maintenant beaucoup mais pas autant que Cecilia ou l’on voie une tache naitre sur son jean. Elle est d’ailleurs tout près de jouir aussi, elle me met d’un coup trois doigt dans mon vagin et me mord plus violement, elle reste comme ça pendant plusieurs seconde ce qui déclenche en moi un violent orgasme qui gonfle ma poitrine déjà sur le bord d’exploser. Nous nous asseyons toute les deux par terre la tête contre le mur.

-vous voyer maitresse Julie, moi qui ai pu regarder de très près votre poitrine et bien je peux vous dire qu’elle est plus grosse que toutes celles que j’ai vues et je les aime beaucoup.

¬merci tu es adorable, si tu le dis je suis prête à te croire mais évite quand même de les toucher quand il y a du monde ça me gêne beaucoup. Par contre maintenant tu as une dette en vers moi. Viens chez moi ce soir je te donne l’adresse par sms.

¬bien maitresse Julie