petite histoire d'un couple pervers 2 - histoire érotique

Sans nouvelle de lui depuis 4 jours….
Je reçois un coup de téléphone m’invitant le soir même chez lui, pour lui faire la
surprise je contacte Mélanie une jeune radasse de 20ans draguée au cour des solde chez
Jennifer.
J’arrive… je sonne il ouvre me plaque et me "viole" dans l’entrée debout…. Ma
jouissance est si forte que j’en tremble et hurle … il déverse son foutre en moi humm
quel merveilleux amant, cédant au rituel je me dirige vers la sdb
Me remaquille et enfile la tenue du jour…
Son esprit c’est surpassé, il me tend un bustier de cuir très fin souple noir qu’il
m’attache en le serrant au maximum et m’aide à enfiler un pantalon de cuir stretch….
Le salaud trois fois trop petit pour moi qui me moule d’une manière indécente pire que
si j’étais nue, des botte au genou très pointues et a talon de 13cm en cuir complète
ma tenue, lui revêtis un costume de bon alois.
Mélanie arrive âpres des présentations d’usage et une mise en condition a coup de
fouet et de gifle elle se révèle être une incroyable pute, je l’habille en pute de
quartier mini en skaï bas résille escarpin et top en lycra vraiment la radasse, puis
le marquis pour la faire réfléchir a son nouvel état l’enferme une heure dans la cave,
il va la chercher en la tenant par une laisse attaché a un collier lui enserrant le
cou…
Humm elle lèche divinement humm mon pantalon se tache de plaisir quelle belle pute
humm, mais ce soir la je ne suis pas très en forme et que ma prestation n’est pas la
hauteur, je profite d’un moment ou Mélanie subis la perversité de Stéphane pour
m’éclipser et les laisser seuls…. Je m’excuserais au prés de lui …


Sans nouvelle du marquis je repensais à lui mes journées s’étiraient sans plaisir,
lorsque le téléphone sonna, je reconnu sa voix chaude et envoutante, il me demanda
poliment de le rejoindre chez lui, vers 17h00 je pris ma mini et me dirigea vers son
adresse.
Il m’accueillit comme toujours beau et souriant, il passe très vite sa main ferme sur
mon sexe, il commença à me caresser humm que de plaisir je ne fus pas longue a devenir
humide, sa main ce fit habile et sournoise je me cambrais sur mes talons creusa mes
reins ondulant me frottant à lui, libera son sexe en ouvrant son zip…
Dans un mouvement souple il s’empala dans ma chatte dilatée et chaude de plaisir
lentement je sentis sa colonne de chair me fouillée me besogner, je me fis câline
m’incrusta en lui bougeant mes fesses, et dans un râle nous avons joui ensemble.
De sa vois il me précisa que nous partions en weekend end en Normandie, j’en fus ravie
et que j’avais 15minutes pour me préparer, pendant qu’il me confectionna un gin fizz
glacé je pris une douche, et je découvris sur le lit la valise, et ma tenue du soir
dans un rituel bien établis, je rajoutai en passant dans la valise quelque accessoire
et un stock de string ficelle noir tachés de ma mouille.
Je revêtis le tailleur de cuir noir, la jupe ajuste courte moulante, la veste cintrée
bien coupée, les bas fin de soie noire la guêpière de soie qu’il m’aida en me
caressant à ajuster sur mes hanches, je mis un paire d’escarpin noirs a talons
aiguille, voila je suis prête, tres vite il me prise par le bras et me conduis vers ma
voiture. Il me demanda de conduire.
Nous primes l’autoroute, nous roulions au rythme des concertos brandebourgeois de
Bach, concentrée je sentais sa main qui caressait sans relâche ma chatte humide, je
décidai de m’arrêter sur une aire de service fréquentée de l’autoroute de Normandie,
je garai la mini entre deux camions.
Je sortis laissant les phares allumes, dans les pinceaux des phares la nuit tombée je
me déhanchai et commença sans pudeur à me caresser, ma jupe troussée sur mes hanches.
A la vue de ce spectacle un routier viens vers moi et commença à se branler a ma vue,
je lui précisai que j’étais une pute et que s’il en voulait plus c’étais 300 euros…
âpres un grognement il me glissa 300 euros en billet froissés dans ma guêpière, je le
laissai caresser avec ses grosses main me caresser la chatte mon petit clito dresse je
coulais sur sa main, il grognait bandait comme un porc, je le branlais a pleine main.
Plusieurs de ses collègues s’étaient rapprochés pour nous observes en se caressant,
Stéphane ne perdait pas une miette du spectacle.
Il s’était glissé au volant, considérant que le manège avait suffisamment duré, je
prend les couilles du routier et lui écrase lui tord pour le forcer à se mettre a
genoux, il grimace dur mais bande encore plus, il viens juter comme une pauvre merde
sur mes escarpin , ses copains se décharge comme il peuvent, je pose un string ficelle
noir sur le visage de l’homme, effectue une révérence et remonte en voiture sous le
regard mort de rire du marquis.
Il ouvre la fenêtre prend les billets dans ma guêpière et les lance au vent, quelle
idée ??? Enfin bon….