Petite ,pute - L'histoire complète.

- Par l'auteur HDS Badine21 -
Récit érotique écrit par Badine21 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Petite ,pute - L'histoire complète. Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Petite ,pute - L'histoire complète.
CHAPITRE 1

Ce soir, elle doit m' attendre nue et accroupie derrière la porte d ‘entrée de son appart.
J’espère qu‘ elle m’ aura obéi, cette petite chienne.
J‘ ai les clefs, je rentre. tout est éteint, et personne pour m ‘accueillir. Déjà ça me gonfle.
Ok, je vais poser mes affaires, ôter mes chaussures après le boulot ça fait du bien.
Elle est là. Nue vers le meuble d’ entrée, accroupie, à genoux, comme indiqué. Bonne petite.
Je la regarde. Je l’adore cette petite pute, des formes pleines, une odeur de chienne en chaleur, un regard suppliant. une peau lisse et ferme. Elle a le don de me faire bander rien qu’en me léchant du bout de la langue.
Le début de notre histoire ? oh je me souviens très bien. J ‘étais juste un plan cul pour elle. Un soir sans lendemain, quand elle avait le temps. C’est ce qu’elle m’avait dit sur le tchat.
Déjà, j ‘étais un peu étonné de me faire allumer si vite sur le site. Et quelques heures plus tard,
elle m’ invite chez elle. Elle supplie même.
Chaudasse.
Une pute ou quoi ? Je me méfiais. Un faux profil encore sûrement.
Mais bon, pas froid aux yeux, elle me donne son adresse perso que je vérifie quand même.
Je me pointe, ça va. Elle n'est pas trop moche, et ne me demande pas ma CB.
Elle fait sa séductrice, elle caresse mes mains, mes cuisses, me sert à boire, sourit à tout ce que je dis.
Elle ne me déplaît pas.
Elle veut un coup de queue visiblement.
On finit au pieu, banal.
Et là …. des bings et des bangs
Oh putain qu ‘elle est bonne ! ses gros seins, ses fesses blanches et rebondies, et surtout ses petits gémissements dès que je la touche, et sa façon de me lecher la main comme une chienne lèche son maître.
je l ‘ai baisée, t’imagines même pas.
Et tu sais pas ce qu ‘elle m'a dit tellement elle avait joui, une belle femelle en extase …
“J’aimerais être à toi, s ‘il te plaît, je peux pas me passer de toi, dresse-moi”
je ne suis pas sûr qu‘ à ce moment elle ait bien compris ce que cela impliquait.
Elle allait apprendre, cette petite chaudasse.

CHAPITRE 2

Faut pas prendre de gants avec cette petite pute quand elle est dans cet état. C’est pas son truc et c’est pas le mien non plus. Je reluque son cul vraiment magnifique, bombé, blanc et offert. J’adore cette position à quatre pattes, la tête à même le sol, les mains dans le dos, et le cul offert, et j’ai une furieuse envie de lui rougir les fesses.
Lorsqu'elle est excitée comme ça, c’est même pas la peine de lui dire bonjour. Je la baise et je joue avec, c’est tout, elle mérite que ça. Et c’est ce qu'elle veut. Complètement dingue de soumission cette meuf, et avec moi elle est bien tombée, elle va recevoir ma queue dans tous ses orifices et elle va se prendre une bonne rouste .
“Tu ne bouges pas ! petite pute, tu vas m’attendre dans cette position !”. Ma voix est claire, dure, presque cruelle. Un maître se doit de se faire entendre et obéir sans discuter. Je lui tend un collier de laisse rouge, elle l’avait posé par terre… Mmmmh cette chienne sait exactement ce qui me fait bander.
“Tiens, voilà ton collier pour cette nuit, lèche le et mordille le en attendant ton maître”
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Ce collier, je l'avais obligée à venir l ‘acheter avec moi dans un magasin de cul.
On en était à notre troisième week-end ensemble. Elle avait choisi silencieusement dans le magasin, pensant se cacher des clients qui n’en croyaient pas leurs yeux. Elle léchait les colliers les uns après les autres, dans sa petite bouche en me regardant en douce. Timide et aguichante. Elle les mordillait, me chauffant le sang, pour sentir lequel deviendrait sa marque, son habit de soumission. Quelle salope.
Elle avait choisi un collier rouge et une laisse en cuir noir.
Elle avait juste dit : “Je peux prendre celle-là mon maître ? Le rouge m’excite, et le cuir ça claque sur mon cul de pétasse”.

CHAPITRE 3

Je file sous la douche en vitesse avec ma queue dont je ne suis pas peu fier, dure comme du bois, tellement cette meuf m’excite. Je la nettoie et la caresse en même temps, je me branle un peu en imaginant toutes les saloperies que je vais lui faire. Je me lave consciencieusement. Elle va me lécher partout et un maître absolu se doit de ne pas commettre de fautes, pour exiger qu’elle soit à la hauteur.
Je reviens silencieusement. J’espère qu’elle s’est arrêtée de mâchouiller sa laisse pour que je la punisse, mais non elle est complètement habitée par son rôle de chienne soumise. Elle mâchouille en gémissant, elle attend d’être outragée.
Je suis déjà debout devant elle. Elle sait qu’elle ne doit rien faire, rien dire. C’est mon animal de compagnie, et elle se doit de rester à sa place. Juste exécuter mes ordres.
Je lui enserre le cou avec le collier, et j'accroche sa laisse en cuir souple, celle qui claque fort… Je la tiens fermement en main.
Je lui caresse les fesses doucement. Sa peau est d’une douceur de velours, et la texture de ses fesses est bandante à souhait, souple et facile à empoigner. Pas de fessier musclé comme je déteste, non, des fesses rondes fermes mais dans lesquelles les mains s’enfoncent, et qui marquent très vite, avec un petit trou qui s'ouvre tout seul dès que je la touche.
Je lui claque la fesse droite violemment. elle hurle… Je sais qu’elle n’a pas si mal que ça, juste assez pour se sentir vivante. Sa douleur est sa jouissance. Plus elle à mal, plus elle se sent soumise et humiliée, violée… Je regarde la trace de ma main bien visible sur son petit cul de pute. J’adore, mais il me faut encore plus de soumission, de vénération. Je lui prends les cheveux, et je pousse sa tête vers le bas. Tout en tirant sur sa laisse de chienne pour qu’elle sente la mainmise de son maître.
“Lèche moi les pieds ! ton maître est rentré. C’est comme cela qu’on accueille son propriétaire.”
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Avec son collier, j ‘avais commencé à la dresser.
Et surtout je l' avais obligée à quémander de se faire baiser. Jusqu'à ce qu’elle me supplie de l ‘enculer. Juste en la titillant, et en enfonçant le bout de ma queue dans son petit trou. Je la sentais bien se contorsionner et avoir envie. Elle voulait être à moi de tous ses orifices.
J' ai fini par la déchirer un bon coup. Elle a morflé, crié, elle se débattait un peu, mais surtout je savais qu’ elle était en train de jouir, cette salope.
Waouh, une vraie dingue de la sodomie… Elle avait de violents orgasmes, carrément en boucle, sans s'arrêter. Il a fallu changer les draps tellement sa chatte avait bavé partout. Tout était trempé, ça coulait le long de ses cuisses. Elle en redemandait encore avec ses yeux de biche effrayée.
J‘ avais envie d ‘en faire une vraie pet-girl. Elle voulait me faire visiter des sites de cul, d ‘ailleurs. Elle avait des idées, des idées perverses…
Je ne voulais pas encore me le dire, mais elle me plaisait de plus en plus.

CHAPITRE 4

Ce soir, rien qu'à voir son empressement, je vois bien qu’elle n’attendait que ça, répondre à ma demande et me lecher les pieds. Elle se penche lascivement et donne de grands coups de langue. Elle fait ça avec une dévotion pas possible, son cul bien rond est exposé, je devine son anus déjà un peu ouvert, en attente… Elle me prend le pied dans ses mains et le lèche lentement en tremblotant de désir et de peur. Et moi j’ai envie d’une clope. Je l’attrape par les cheveux et lui montre le chemin du canapé, elle se dandine, elle adore marcher à quatre pattes devant moi comme un animal. Rien que pour le plaisir, j’attrape ma ceinture et lui fouette le cul méchamment.
Ça claque fort et elle pousse un petit cri de douleur et de surprise. Elle commence à comprendre qu’elle va prendre très cher ce soir. Je m'assois sur le canapé et m’allume une cigarette.
“ Tu sais ce que tu as à faire petite pute à 30 euros ! alors tu vas pomper et tâche de faire ça bien”
“Oui mon maître”. Ce seront ses seules paroles avant longtemps. Elle regarde mon énorme engin, dressé devant sa petite bouche, elle laisse passer un filet de bave qui coule le long de son menton, pour m’exciter davantage. Elle me regarde et fait ses yeux de salope en chaleur. Mais elle ne bouge pas, elle connaît nos conventions, celles que j’ai imposées dès le départ. J’allume ma clope et je jette négligemment trois billets de 10 euros que j’avais gardé dans ma main sur le sol. C’est son signal, comme un maître élève son animal avec un sussucre. Obéissance…
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Au début, elle faisait sa fière petite pute, elle testait sa rébellion… Mais moi, je n ‘avais pas que ça à foutre. J ‘ai du recadrer assez sévèrement. : “ soit tu me laisses faire ce que je veux de toi, soit tu te casses”
Ça a jeté un froid. Elle m ‘a regardé, amoureuse et perdue.
Et elle a obéi, elle a enfin saisi. Quoi que l’on fasse, et où que l’on soit, elle était sur le qui vive. Je pouvais en pleine rue la coincer sous une porte cochère, remonter sa jupe et la baiser comme une chienne et sans lui demander son avis. Evidemment, les collants et les petites culottes lui étaient interdits. Le nombres d’endroits complètement incroyables dans lesquels elle m’avait sucé à genoux, les mains liées dans le dos, avec la peur d’êtres découverts, je te dis même pas.
C' est elle qui m' a demandé d ‘être sa pute. 30 balles sur la table de nuit, et j’en faisais ce que je voulais. Cet argent n ‘était qu’un jeu, un pass. Si je décidais de les poser, elle n ‘était plus qu ‘une pute objet. Je crois qu’elle voulait m' allumer encore davantage.
Ces 30 balles signifiaient que je l ‘avais payée, comme on achète un objet sur le bon coin. Elle ne devait plus moufter, même si parfois je sentais qu’elle ne savait pas à quoi s’ attendre avec moi. Elle tremblait sous mes mains.
Lorsque je m’étais bien amusé avec elle, elle allait les chercher et me les rapportait après dans sa petite gueule. Et on allait les claquer ensemble au resto !
Loin d’être conne, la classe en petite robe et souliers à talons. Une vraie lady, et qui savait me faire sourire en plus… Mais traiter une lady comme une sale pute à 30 euros, c’est encore plus jouissif. A cette époque , je ne me rendais pas compte que je devenais addict, et jamais je n’aurais avoué qu’elle me plaisait, qu’elle me plaisait vraiment.

CHAPITRE 5

Les trente euros sont sur le plancher, le signal est donné. Elle commence à prendre ma grosse bite entre ses doigts, les fait glisser lentement , elle caresse, elle soupèse, elle branle un peu , commence à s'empoigner avec ses deux mains pour me branler et voir mon gland qui semble trop gros pour sa petite bouche. Et puis elle lèche, un peu, du bout de la langue, pour sentir le goût, c’est une épicurienne de la pipe. Elle me lèche tout le long de ma queue, et commence même à baver dessus. De la salive glisse le long de mes couilles, et elle me regarde avec un air de supplication et de dévotion pas possible. Je pose ma clope , et d’un simple geste rapide, je lui file une baffe sans la prévenir.
Elle pousse un cri mais ne lache pas mon engin, elle sait, je suis certain qu’elle attendait sa baffe avec impatience.. Elle prend le temps de me dire avec une voix d’esclave suppliante : “Pardon mon maître, c’est trop long, pardon pardon, je vais me racheter…”
Son regard se plante dans le mien, et d’un seul coup, elle avale ma queue avec une gourmandise évidente. Elle l'enfonce dans sa bouche et commence ses va et vient, avec sa langue qui tourne autour de mon gland. et elle me regarde et elle gémit en même temps. Le mec, il fume sa clope tranquille et sa petite pute est au travail. Objectif : Être la meilleure salope de la terre pour donner du plaisir à son maître absolu.
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Cette chienne était tellement dépravée, que je me méfiais toujours un peu. Une nana dingue de la soumission et du cul brutal comme ça, c’était pas normal. Et si cette putain de nympho se faisait défoncer derrière mon dos par d’autres types ? C’est que je la baisais sans préservatif, ça donnait à réfléchir quand même !!
En pleine nuit alors qu’elle dormait, je me suis mis à fouiller son portable. Et là, bingo ! Tchats, mails, sms , du cul virtuel tous les soirs, elle n’avait aucune limite cette pute.
“Gicle moi dessus”, “je suis une cochonne”, “Dilate moi le cul mon mon maître”, les mêmes termes crus qu’elle employait avec moi.
Je l’ai réveillée d’une claque en pleine gueule, et je lui ai mis son téléphone sous le nez, elle s'est mise à pleurer. Mais rien à foutre. Je l’ai retourné sur le ventre sans ménagement, et lui ai claqué les fesses férocement avec ma ceinture. Elle hurlait “pardon pardon”... T’aurais vu la gueule de son cul, putain il y avait même des endroits ou ça saignait, elle se dandinait sous la douleur. Et moi qui gueulait : “ Tu ne vas plus jamais te faire baiser ailleurs sale pute, c’est clair ? “
Et elle a juste dit : “oui, mon maître”.
Chiennasse !
elle a pris son tel, et a dégagé devant moi tous les sites de cul.
“Prends moi encore pour un con, salope, et t’iras te faire foutre. Tu vas baiser dans tous les coins, t’as rien compris connasse ! “
Elle pleurait, tête baissée, demandant pardon. Et puis elle s’est mise à quatre pattes devant moi, sur le plancher, et à juste dit : “Punis moi toute la nuit, sois une brute et mets moi une bonne branlée, je ne mérite pas mieux, je ferai tout ce que tu veux , mais je t’en supplie, ne me laisse pas”.
J’ai compris qu’elle avait abaissé toutes ses défenses, et qu’elle était à moi, et sans retour. Et j’ai découvert un sentiment que je ne connaissais pas, la jalousie. J’étais jaloux et en colère. Mon addiction semblait sans retour aussi.

CHAPITRE 6

Je la regarde, elle est à 4 pattes, les cuisses écartées, ma bite enfoncée aux deux tiers dans sa gorge, ma main qui lui prend les cheveux et la force à se l’enfiler jusqu’aux amygdales. Elle a des hauts le cœur tellement c’est profond, mais je sais qu’elle aime ça, elle aime par-dessus tout se faire violer la bouche à en vomir… Je regarde son foutre couler le long de ses cuisses tellement elle est excitée, et J’ai envie de voir aussi sa salive couler le long de son cou.
“Bave sur ma queue !”
Elle laisse consciencieusement lâcher un jet de salive chaude le long de mon engin, et frotte ses lèvres pour se montrer pleine de bave et complètement dépravée à son maître. Elle me regarde, elle en veut plus. Encore plus d’humiliation. Sa langue accélère, elle frissonne et se perd complètement , elle me lèche tout le long de ma queue et descend sa petite gueule vers mes couilles qu’elle lève avidement en les tenant au creux de sa main, elle les gobe délicatement, et remonte le long de mon membre gonflé. Et se pose devant mon gland et ouvre grand sa bouche et me regarde d’un oeil suppliant. Je lui enfonce ma bite jusqu’à la garde, la force à avaler les 22 cms de mon engin. Elle est pleine de spasmes et de hauts le cœur, et pourtant lorsque je retire ma queue et libère sa bouche pleine de bave, elle me dit juste “encore s’il te plait”. Elle frotte sa salive sur son visage, mais elle en veut encore plus…
“Crache moi sur la gueule mon maître, s’il te plait, je t’en supplie”.
Je ne réponds jamais favorablement à ces demandes, c’est moi le maître et elle doit savoir où est sa place. Je me penche vers elle et commence à presser ses gros nichons, à lui tirer sur les tétons pour la faire crier de douleur. Elle sent mon excitation et nos fantasmes s'emmêlent. Je l’entends marmonner la bouche encore pleine de ma queue.
“Tire sur mes tétons, fais moi mal”
Plus elle se laisse aller à me donner tous les pouvoirs, plus j’ai envie de m’en servir, de me servir de tout, de lui faire subir les pires outrages. C’est étonnant cette envie de la dépraver totalement, et cette tendresse que je ressens au-delà de mes fantasmes de soumission.
“Il est temps de te dresser un peu avant que je te baise à mort, penche toi, les fesses en l’air, et tu ne bouges plus, tu vas répondre à mes questions, et je vais te corriger à coups de badine… “
------------------------------------------------------------------------------------------------ leurs débuts, elle n'osait pas trop dire ce qu' elle aimait. Elle suppliait des yeux, simplement, mais sa libido et ses fantasmes étaient tels qu'elle-même en avait peur. Son besoin de soumission si profondément ancré en elle qu’elle pouvait entrer littéralement en transe. Et lorsque la nuit la prenait dans le fond de son lit, ses pensées dérivaient vers des scénarios pervers et de plus en plus tordus. Elle avait même honte de ses rêveries quelquefois. Et elle lisait des histoires, des histoires de plus en plus salaces qui la mettaient dans un état second.
Un jour elle se décida à lui faire lire une de ces histoires. Une petite pet girl se promenant en laisse dans le jardin, nue et à 4 pattes. Parfois son maître lui donnait des coups de badine en bois pour qu’elle presse le pas, et la pauvre petite couinait sous les coups… Elle avançait et tordait sa petite croupe de douleur…
Il n’avait rien dit mais il avait compris. Le lendemain il l’avait emmené dans un bois, et il avait choisi une branche assez souple, l’avait coupée, et nettoyée devant elle. Il avait fait de grands moulinets avec cette badine improvisée, pour écouter le sifflement du vent lorsqu’il la maniait. Elle avait juste dit :
“Veux tu l’essayer tout de suite pour voir si elle te convient, mon maître ?”
“Oui, je le veux. Met toi à quatre pattes et relève ta jupe. “
Et là, au milieu d’un bois sombre, la tête à moitié enfouie dans les feuilles mortes et la terre grasse, il l’avait corrigée jusqu’au sang. Elle avait crié : “merci, merci !”, et les traces de la badine étaient restées longtemps, plusieurs jours. Elle avait eu du mal à s’asseoir, voire à marcher pendant longtemps, mais cette souffrance et ses traces étaient comme des victoires pour elle. La soumise parfaite. Et elle avait d’autres histoires, à échanger et expérimenter.
CHAPITRE 7
Voilà, tout est en place, elle m'a sucé comme une reine, ou comme une pute. elle s’applique à lecher mon gland avec ferveur, elle tortille ses belles fesses rondes et essaye de se montrer perverse et pleine de désir, je la connais bien elle est excitée à mort. Elle veut se faire prendre, posséder, violer. Elle ne veut pas que je la ménage, souvent elle me dit: “Ne prends pas de gants avec moi, je ne suis qu’une pute dont tu n’as rien à foutre, alors pense à toi, moi je ne suis qu’un objet”.
“Mets toi à quatre pattes sur le canapé “
“bien, mon maître”.
Docile, elle se place sur le canapé, exactement comme j’aime, les fesses en l’air, la tête au milieu des coussins. Instinctivement elle me livre ses mains qu’elle place derrière son dos. Je vais prendre une paire de menottes qu’elle a malicieusement laissée traîner sur la table basse, et je lui attache les poignets. Quand on les avait achetées, ces menottes, il y avait de la fourrure rouge autour, mais dès que l’on était sortis du magasin, elle avait oté la fourrure et avait foutu cette merde à la poubelle en disant : “ Des menottes ça doit faire mal aux poignets sinon ça ne sert à rien”.
Je me place à genoux derrière elle. Je prends le temps de contempler le spectacle. Nue, à 4 pattes, tenue en laisse, les mains attachées dans le dos, et moi ma queue dans une main et la badine dans l’autre. J’écarte un peu sa chatte déjà ouverte et dégoulinante, et j’enfonce mon gros chibre. Elle me gratifie d’un “wouaaaah” qui se termine en râle lorsque j’enfonce ma bite au fond de son vagin.
“Bien. On va reprendre les bases et redéfinir les règles, petite pute.”
Un premier coup de badine qui lui claque les fesses, un trait rouge apparaît immédiatement. Elle pousse un petit cri, et je ne sais pas si c’est de la douleur ou du plaisir.
“A chaque coup de badine, une question, et une réponse simple et claire, si tu te trompes, c’est 10 coups de badine supplémentaires ! “
“oui mon maître, merci mon maître”
Clac, un second coup de badine la fait hurler et se tendre sous la douleur.
“ A qui est-ce que tu appartiens corps et âme ?”
“A toi mon maître”
Clac, un second coup de badine vient lui strier les fesses, elle gigote sous la douleur et couine comme une petite cochonne.
“ A qui dois-tu une obéissance absolue ?”
“A toi mon maître”
Pendant que je lui pose mes questions, je la baise de plus en plus fort. Ma main tient la badine mais l’autre lui agrippe les fesses et je la besogne sans arrêt. ma queue fait des va et vient jusque dans son ventre. Elle commence à couiner sans arrêt.
“ Combien de fois ton maître a-t-il le droit de t’enculer sur la soirée”
“Pas de limite, autant de fois que tu veux, mon maître. Mon cul est à toi, tu en joues comme tu l’entends”.
Ses paroles sont déjà presque inaudibles tellement elle est au bord de l’orgasme. J’ai une dernière question… Clac, un autre coup de badine, encore plus fort la fait tressaillir et gémir comme jamais.
“Est ce que tu as été gentille, est-ce que tu ne mérites pas que je te file une bonne rouste ?”
“Oh non mon maître j’ai été une sale pute, je mérite de me faire punir sans pitié, s’il te plait ! “
Je n’en peux plus, je lache la badine, lui agrippe les hanches et je la défonce, elle rebondit sur le canapé, sa bouche est ouverte et cherche de l’air. Elle ne s’arrête pas de répeter : “Oh putain, oh putain, oh putain !!”
Et elle jouit, dans un râle interminable. Elle me le crie .
“Je jouis, je jouis, oh merci mon maître !! Merci !!”
Je continue de la baiser, lentement , doucement. Mais je sais ce qu’elle veut. et j’attends. nous sommes déjà très complices, et nous avons certains rites immuables. Elle remonte autant qu’elle peut ses mains attachées par les menottes, et maladroitement elle écarte ses fesses pour moi. Son petit trou s'élargit immédiatement. Rond, avec des petites nervures, et un grain de beauté sur le côté. Et elle me parle doucement, presque en pleurs.
“S’il te plait mon maître, je t’en supplie, tu veux bien m’enculer ? J’en ai trop envie, s’il te plait !! jusqu’au fond de mon cul, je voudrais tant sentir ta grosse bite m’éclater! Je t’en prie mon maître!”
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Il y a deux semaines, elle avait voulu reprendre un peu de fierté, carrer les épaules, faire sa petite minette qui emplume le mec. Malgré son désir profond d' être à lui, elle gardait encore un peu de force, cette idiote. Elle pensait connement que si elle se la jouait rebelle, il n’allait rien se passer, ou alors elle espérait inconsciemment se faire punir et discipliner…
Mine de rien, elle lui avait servi un verre, sur son canapé, lancé une musique jazzy. Sa robe était si courte qu' elle ne cachait plus ses fesses quand elle se penchait.
Et évidemment cette salope avait oublié de mettre une culotte.
Ses gros nibards, c' était pas mieux. Un sous tif ? Pourquoi faire non mais ! Surtout avec une robe en soie qui effleuré ...
Elle voulait le faire bander grave et elle le savait, elle voulait le baiser, mais pas dans le bon sens du terme. Et la voilà toute souriante qui sort son jeu de Trivial pursuit.
"Tu verras, c' est un peu intelligent" lui avait-elle lancé avec un sourire narquois.
“Ok, on va jouer. Mais quand on perd, on a un gage”.
Pauvre petite conne, elle n’avait pas gagné une seule fois, il la surpassait en culture et en rapidité. Et son dressage avait réellement commencé ce jour-là.
“Tu as perdu 3 fois, tu as trois gages que je vais t’imposer maintenant, si tu veux on joue une dernière fois. Mais si tu perds, je rajouterai une particularité à tes trois gages, je te les donnerai mais dans la cave de ton immeuble, au milieu des poubelles et avec le risque que n’importe lequel de tes voisins te voient te faire défoncer comme la sale pute que tu es”.
Et elle avait perdu…
Il avait pris une grande serviette, et l’avait forcée à descendre à la cave avec lui. Et là, entre deux poubelles, à même le sol, il l’avait enculée, fouettée, forcée à s'enfoncer un god dans la chatte, pour finir par lui claquer sa petite gueule. Une vraie brute, et elle avait joui plusieurs fois sur le béton froid de la cave mal éclairée et pleine de poussière. Il l’avait obligée à ramper sur le béton, puis s’était mis debout au-dessus de son corps meurtri et couché à terre. Il avait mis son pied sur sa figure, et lui avait giclé son sperme sur tout le corps.
Il avait dû la rhabiller et la porter jusqu’à chez elle, tellement elle était partie en transe. Et il l’avait encore baisée toute la nuit sans qu’elle puisse bouger ni se révolter.
ET le lendemain, il s’apercevait qu’elle commençait déjà à lui manquer…

CHAPITRE 8

Ce sont des moments magiques, que j’aime par-dessus tout. Elle est complètement soumise, perdue, dévergondée et déglinguée par l’excitation. Elle n’a aucune limite, et elle ne le fait pas exprès, juste un petit animal avec des très très bas instincts.
Elle est là devant moi, à genoux sur le canapé, la tête enfouie dans les coussins, les fesses en l’air et le dos bien cambré. Tenue en laisse, avec les mains attachées dans le dos, elle bave à moitié et me supplie encore et encore de l’enculer. Elle a réussi malgré les menottes à écarter ses fesses avec les mains pour me montrer son cul qui s’ouvre de plus en plus.
“je t’en supplie, mon maître, mon Dieu, mon roi, s’il te plait est-ce que tu veux bien m’enculer ? J’en ai trop envie, s’il te plait… “
J’en ai très envie aussi, cette façon de lui dilater l’anus et de modifier son aspect est pour moi un des symboles de la soumission totale. Une dépravation acceptée par la femme pour montrer que son maître a le pouvoir absolu sur elle. Laisser cette intimité dégradante à un homme, c’est offrir tout son être, toute son âme. Jusqu’au bas fonds de sa personne. Et la soumission, c’est ça…
Je me dois d’être à son niveau, c’est à dire pervers et sadique, et je sais ce que je vais faire. Je commence par lui cracher sur le cul, pour étaler ma salive autour de son petit trou, elle gémit de plaisir, et aussi parce qu’elle sait qu’elle va recevoir mon gros engin en plein dans le cul et jusqu'à la garde. Je récupère de sa mouille qui dégouline de sa chatte, et enfonce mes doigts trempés dans son petit trou. Un et puis deux, et je joue avec quelques minutes, en les pliant et en écartant son trou avec mes deux pouces. Elle crie de plus en plus fort, elle bouge sa croupe et cherche de l’air avec sa petite gueule ouverte.
Je prends ma grosse verge à pleine main et je l’enfonce délicatement dans son petit trou. Il se dilate immédiatement pour laisser le chemin s’ouvrir pour ma queue. C’est jouissif parce que c’est un peu serré. et c’est surtout la vue de ma bite lui entrant dans le cul qui est excitant et jouissif … Je l’enfonce à moitié, pour la faire couiner un peu, et je me retire. Juste pour voir les dégâts que je fais à son petit trou. Et je recommence. j’enfonce ma queue à moitié et la retire immédiatement. Elle me montre par ses gémissements qu’elle est déçue et trop impatiente… Mais je recommence plusieurs fois. Et au bout de 30 secondes, son trou s’est considérablement dilaté, il est ouvert et j’ai presque du mal à toucher les bords. J’enfonce amoureusement 3 doigts pour qu’elle aie un peu mal… Elle crie son fameux “oh putain”, et me redmande de l’enculer comme la dernière des putes.
Je prends ses mains qui sont en train d'écarter ses fesses et je les guide dans son dos. Je vais l’enculer à mort et je veux ses fesses pour moi seul. C’est parti… D’un seul coup, j’enfonce mon gros machin dans son cul de chienne et je commence à la bourrer de plus en plus fort et de plus en plus profond… Ma queue s'enfonce à fond dans son trou de balle de chiennasse et elle hurle à chaque fois que je suis collé à ses grosses fesses. Je sens mes couilles qui claquent sur sa chatte, et je sais qu’elle aime ça. Elle me le dit souvent. Plusieurs fois elle m’avait demandé de lui baiser les trois orifices en même temps. Je lui mettais un god dans la chatte, je l’enculais avec ma grosse bite et elle suçait un autre god devant moi. Et un jour elle avait négligemment dit : “Dommage que le god dépasse de ma chatte, parce que quand tu m’encules je ne sens plus tes couilles taper sur mes grandes lèvres”. Voilà, elle était comme ça. Un animal, une petite pet girl qui pouvait dire les pires horreurs sans savoir… Et là elle se lâche comme à son habitude.
“Oh mon maître, tu m’encule si bien, merci de m’enculer merci merci ! Tu vas écarter mes fesses hein? Pour mater mon trou qui se fait défoncer ? Tu sais combien j’aime quand tu me mates le cul. Tu vas l’abimer ? Le pilonner ? “
A chaque fois que je l’encules longuement, elle se lâche complètement et ne s'arrête pas de parler. Des mots sans suite, des mots crus. Je la fais rebondir sur le canapé, tire sur sa laisse à l’étrangler, et je lui claque les fesses à outrance tellement cela m’excite… Et là encore elle prend cher sur son gros cul qui devient rouge et même presque violacé. Clac clac !! Je n'arrête pas de frapper, et de temps en temps je lui agrippe les fesses à pleine mains. Je suis tellement excité et ivre de pouvoir, que je me mets à lui griffer le dos furieusement. Ma queue sort et rentre jusqu’à la garde, je fouille le fond de son rectum jusqu’au ventre. Et elle , elle jouit, sans arrêt. Et elle parle, enfin elle essaye mais je ne comprends pas tout ce qui sort de sa bouche.
“ Encule ta cochonne, je ne suis qu’une grosse pute, je vaux pas chère, pour 30 euros tu me défonces comme tu veux. Humilie moi, je ne vaux rien, je ne suis plus rien, ta grosse queue c’est tout pour moi aggrippe moi, fais toi plaisir, profite de ton petit dessert, je ne suis qu’une merde, bonne à baiser et c’est tout !! Crache-moi dessus! claque moi la gueule !”
J’ai l'impression de conduire une jument, ou une grosse vache qui va partir à la traite. Je sens que ma sève arrive, et que je vais jouir.
“Écarte tes fesses !”
Malgré sa jouissance elle comprend et maladroitement elle relève une nouvelle fois ses mains qui agrippent et écartent ses fesses. Je me retire et son trou du cul apparaît énorme, rouge, défoncé, éclaté et abimé. Mais très propre, je sais qu’elle fait tout ce qu’il faut avant que je vienne pour que son cul reste un objet de plaisir, et que je ne suis pas scato.
Il est tellement ouvert que je pense que je pourrais la fister sans problème, même si je n’en ai pas envie, pour garder du plaisir dans un trou du cul un peu serré. Je m’aperçois que quand je pense comme ça, je ne pense pas à elle comme si c’était un être humain. A ce moment elle n’est qu’un “truc”. Juste un machin fait pour s’amuser…
Je lui gicle sur le trou plusieurs fois, je dirige ma queue comme un jet, pour voir une partie de mon sperme entrer dans son trou de balle, et une autre partie se répandre sur ses fesses, ou il fait de petites taches blanche sur un cul rougis par mes fessées. Et on reste de longues minutes sans se parler, sans bouger. Juste pour profiter de l’instant, et essayer de le rendre éternel, ou immobile…
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Il y a quelque temps, il avait découvert un carton dans sa penderie, un truc un peu caché derrière les robes et foulards. Et à l’intérieur, il y avait un nombre de sex toys considérable.
Il l’avait sorti, et avait étalé les gods sur son lit. Elle était sortie de la salle de bains, et elle avait vu. Elle était devenue rouge. Et avait fait ce qu’il y avait à faire. Elle avait baissé la tête et attendu avec les mains sur le ventre, en signe de soumission. Mais cette fois-ci il n’avait pas crié.
“ Tu les utilises en pensant à qui ?”
“A toi mon maître, je te le jure, a toi et toutes les saloperies que tu me fais”
“Mouais, des saloperies qui manquent de gods, mais on va remédier à ça. À quatre pattes sur le lit, et tout de suite !!”
Elle s'était exécutée, et comme à son habitude s’était penchée complètement, la tête au milieu des coussins et les mains dans le dos, . Mais il l’avait redressé.
“Tu reste à 4 pattes, et tu me désignes un de tes gods, celui que tu veux.”
Elle avait hésité, et elle avait choisi un god assez gros, en forme de penis. Il lui avait pris des mains, et avait commencé à l’introduire dans sa chatte. Il avait joué un moment avec , il l’enfonçait de plus en plus vite, jusqu’à la laisser bien profond entre ses cuisses. Elle avait gueuler quand il l’avait enfoncé profondément.
“Choisis en un autre! “
Elle avait eu peur de la suite alors elle avait désigné un petit oeuf pas trop épais, avec une télécommande pour activer le vibreur. Il avait immédiatement pris le god entre ses mains, lui avait léché le cul pour le lubrifier légèrement, et lui avait introduit l'œuf dans l’anus. Il avait eu du mal à se glisser dans son anus pourtant déjà dilaté parce que son entrecuisse était déjà pris par le premier god. Mais il avait forcé le passage. Et il avait réussi à enfoncer l’oeuf sans problème. Il dépassait légèrement.
“choisis en un troisième”
Ele avait choisi un petit god noir, assez dur avec un gland bien apparent.
“Ouvre ta bouche”
Et il lui avait introduit le dog dans sa petite gueule. Elle était obligée de le mordre légèrement pour qu’il ne tombe pas. Il avait sorti son portable.
“ Tu descends du lit et tu vas me faire des aller-retour dans le couloir. À quatre pattes petite chienne! “
Et il l’avait filmé, pendant de longues minutes, se promenant à 4 pattes devant lui avec ses trois gods insérés dans tous ses orifices. Et de temps en temps il actionnait la télécommande et regardait son visage complètement transcendé par la jouissance pendant que le petit oeuf vibrait au fond de son cul. Elle s’était sentie plus chienne que jamais. Plus humiliée que jamais. Plus folle de lui que jamais. Elle voulait de la dépravation. Elle ne s’était pas encore dit que c’est cette dépravation qui la rendait puissante, qui faisait d’elle quelque chose dont il ne pourrait bientôt plus se passer.


Il avait fini par lui enlever les gods un par un, et les avait remplacés par sa grosse queue dont elle ne pourrait plus se passer. Il l’avait terminé dans les chiottes, enculée debout et la tête dans la cuvette, en train de gueuler pendant qu’il lui ramonait le cul comme un malade. Depuis ce jour, les gods faisaient souvent partie de leur vie, et il lui arrivait souvent d’obligé sa pute à en avoir un entre les fesses dont il pouvait manipuler à sa guise la télécommande sans la prévenir.
Cette histoire se termine ici mais il y a un deuxième livre, écrit un an plus tard, et il vous sera livré très prochainement

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