Petite tranche de vie - histoire érotique

Lettre d'un amant à sa maîtresse....
Comme nous en avons souvent convenu, je t’envoie quelques mots pour raconter, ce que nous pourrions faire un jour en nous retrouvant.
N’ayant pas eu ton avis sur le ton à employer, je vais y mettre tour à tour un peu de romance et quelques passages un peu plus crus…
Par une de ces tristes journées hivernales, tu t’es vêtue d’une jolie robe boutonnée entièrement du haut en bas. Tu as pris soin de glisser tes jambes galbées dans de jolis bas blancs, offrant à ton admirable poitrine un doux écrin pour la mettre en valeur.
La fin de journée arrive, coïncidant ainsi qu’avec mon arrivée sur ton lieu de travail, où nous avons convenu de nous retrouver.
Un rapide coup d’œil nous confirme notre désir de nous sauter au cou. Chose que nous réalisons sur l’instant, tel deux amants affamés et heureux de nous retrouver après un si long moment d’attente.
Mes yeux sont tous tournés vers toi et parcours d’envie et de désir ton visage, tes yeux, tes cheveux. Mais pas ton corps, qui reste encore protégé par ton long manteau.
Après quelques douces embrassades sur nos lèvres, quelques attentions chaleureuses au creux de nos cous nous partons main dans la main vers un petit bar, que tu as déjà repéré où nous pourrons à loisir nous isoler un peu.
Nous nous installons et dès notre commande servie, nous reprenons nos baisers, nous caressants tendrement les mains et les bras. Parcourant avec avidité nos cous de nos doigts doux et fureteurs.
Ma mains coquine part se faufiler sur ta poitrine gonflée de désir. Tes tétons ressortent, comme voulant percer ta fine lingerie, ainsi que ta robe. Je joue avec l'un deux par dessus tes vêtements, le faisant rouler, l'agaçant, le tirant... Ta respiration est rapide, tes yeux s'embue de bonheur.
Mais ton désir est ailleurs. Tes envies sont tout autre. Aujourd'hui, c'est toi qui décide. Aussi, tu prends ma main afin de la déposer sur ta cuisse, innocemment tournée vers moi et légèrement écartée.
Comprenant ton désir, je laisse les phalanges touchés tes bas, si agréables doux. Après plusieurs allers-retours tendres sur ta cuisse, j’ose m’aventurer un peu plus loin vers le haut de ta cuisse. Découvrant ici la douceur de ta peau, que je ne peux m’empêcher de parcourir à maintes reprises.
Ma bouche ne restant pas inactive, mes lèvres ont repris leur parcours inquisiteur autour de ton lobe d’oreilles, respirant ainsi ton parfum si attirant.
Je te sens totalement abandonnée, suivant le dessein qui est le tien. Tu es ici ma soumise, juste et uniquement pour ton propre plaisir.
Ma main remonte encore un peu vers ton mont vénus, que je découvre sans aucun rempart. Ton absence de vêtement en cet endroit chaud et soyeux fait monter en moi une sorte de fièvre de désir. Mes doigts viennent découvrir ton trésor caché. Personne ne peut nous voir, tellement nous sommes bien isolés et protégés de la vue des autres.
Du bout de ma main, je fais aller mes doigts sans toucher ta vulve frémissante. De temps à autre, ton bassin s’avance à mon contact, montrant combien tu trembles de désirs de me sentir plus intimement en toi. A cet appel, je réponds par de doux passages sur tes lèvres, qui s’ouvrent délicatement, laissant couler ta sève d’amour. Je sens ton clitoris dardé de bonheur et d’envie. J’en prends doucement possession, jouant avec lui, faisant ainsi encore monter ton désir. Te sentant de plus en plus ouverte, je laisse mes doigts prendre possession de ton sexe humide. Une, deux, trois phalanges te pénètrent, bientôt, c’est deux doigts qui viennent toucher ton antre. Tes yeux sont clos, ta respiration rapide, tes seins gonflés de désirs. Mes mouvements se fonds doux, lents, rapides… faisant ainsi monter régulièrement ta jouissance, jusqu’au moment où tu te laisses complètement aller, vaincu par le plaisir, retenant en pinçant tes lèvres pour ne pas hurler ton bonheur. Doucement, je laisse mes doigts quitter ton antre, parcourir encore un peu ton sexe repu de plaisir et d’amour. Je porte ma main à ma bouche, désireux de te goutter et d’apprécier ta saveur intime. Tu ne peux que te jeter sur mes doigts et venir déguster ce doux nectar.
Nous nous embrassons passionnément, tendrement. Nous finissons tranquillement notre boisson, avant de partir vers d’autres jeux tous aussi passionnants et électrisants pour nos sens.
Voilà par quelques mots, comment nous pourrions un jour nous retrouver, laissant ainsi libre cours à nos désirs. Gardant toujours à l’esprit que le plaisir de l’un n’existe que dans celui de l’autre.
Il me tarde de te retrouver physiquement et partager avec toi quelques bons intimes, comme nous en connaissons régulièrement depuis plusieurs semaines maintenant.