Photocopieuse

- Par l'auteur HDS Lydiesalope37 -
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Récit libertin : Photocopieuse Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Photocopieuse
Histoire 100% autentique

Il a déjà quelques années, je vivais avec une jolie Milf, la quarantaine bien portée, petit cul en 36, tres belle poitrine en bonnet D, la peau douce, les cheveux mi longs.
Féminine, elle aimait être apprêtée, talon, tenue moulante, ongles fait, maquillage juste ce qu il faut pour être sexy sans être vulgaire, parfumée délicatement.

C était un plaisir pour un homme de l avoir ainsi à son bras.

Cette coquine aimait le sexe, sucer, se faire prendre, être un peu "ma chose".

Lors de notre première fois, alors que nos corps se découvraient, j avais fini en l enculant en levrette, bien fort dans son étroit petit anus. Je lui avais percuté la rondelle, sans lui demander, en Mâle dominant, et cela lui avait plu...même plus que plu puisqu elle m incitait régulièrement à la prendre ainsi.

Sans être dans un schéma Bdsm de soumise elle aimait m être "offerte" ou "disponible" à tout instant et je pouvais la croiser dans nos escaliers à la maison et lui demander de se mettre à genoux pour sucer, ou bien, parfois lorsqu elle était dans la salle de bain à s apprêter pour sprtir, aller travailler, il m arrivait de passer derriere elle, de lui oter son petit string, de la pénétrer d un coup, sans rien demander ni préliminaire et de la limer sans un mot, face à la glace jusqu à ce que jaillisse en elle.
Les couilles vidées, je repartais à mes affaires, toujours sans un mot, la laissant souillée mais heureuse d être "un trou" à la disposition des désirs et plaisirs de son homme.

Chef d entreprise, je partais régulièrement sur la route ce lui créeait du manque.

Elle même cadre supérieure, elle dirigeait une agence d aide au logement.

Son bureau, placé idéalement au centre ville, était dans un ensemble immobilier ayant plusieurs vitrine donnant sur une des plus grosses artères de la ville.
Son bureau "de chef" avait d ailleurs une grande vitrine, partiellement ocultée par des films que tres légèrement opaques.

J étais donc parti depuis quelques jours quand je décidais de venir la surprendre le vendredi soir vers l heure de fermeture de son agence.

J y arrive donc...surprise, joie, elle me saute au cou et je constate qu elle est particulièrement sexy en tailleur ce soir là.

Chacun de nous se raconte ces quelques jours passés sans l autre, mélangeant les petits rien du quotidien et les sujets plus complexes de nos métiers.
Cependant, je ne m y trompe pas, je la connais, elle est en manque de sexe, cela se voit dans ses yeux.

Respectueux de son autorité dans ses locaux, je m étais bien sur installé de l autre coté de son bureau.
Je me lève, contourne le meuble imposant et m approche d elle. Je commence à la caresser au travers de son pull tres fin. Je sens ses tétons qui s excitent, durcissent, se dressent.
De manière à peine perceptible ses cuisses s ouvrent.

Je l embrasse à pleine bouche en continuant à la caresser.

Derriere la cloison, ses collaboratrices vont et viennent, s occupant de commencer à fermer l agence pour le week end.
L agence se vide tandis que je continue à l exciter par mes caresses de ses seins superbes, de son entrecuisse totalement ouverte sur son fauteil de cuir.

Elle souffle, rougit et doit prendre elle pour répondre avec une voix posée et naturelle aux "Bon week end Thérésa ! A lundi!"qui jaillissent du couloir les uns après les autres tandis que je continue à l exciter.

Enfin seuls dans l agence....

" Vas y, suces moi maintenant" lui dis je dès que le silence s est installé.

Je déboutonne mon pantalon, sort mon sexe bien dur et m'approche d elle, toujours assise à son poste de directrice.
Je tourne son fauteuil pour qu elle soit visible au travers de sa vitrine à travers de laquelle on voit la vie de la rue qui passe

C est une excellente suceuse, vraiment, et elle s affaire à l ouvrage sur mon sexe gorgé. Sa langue joue avec mon gland et son petit truc à elle, c est de contracter ses levres pour bloquer mon sexe à l entrée de sa bouche et d un coup relacher pour que ma tie s engoufre en glissant sur sa langue brulante.

Je l ai bien sur formé à la gorge profonde donc j attrape réulièrement sa tête et j appuie, j appuie jusqu à ce que tout rentre...et je le fais en regardant la vitrine, dehors, imaginant que quelqu un décide de regarder au travers du film légèrement occultant...

La belle coquine veut rentrer à la maison pour y être bien prise et arrête donc en douceur cette belle pipe.

Elle range ses affaires, eteind son ordi tandis que j ai rangé mon sexe dur et mes envies de jaillir.
La coquine ne perd rien pour attendre.

Ça y est ...tout est éteint, il n y à plus que les alarmes à mettre.
Le boitier des alarmes est tres mal placé, dans le local photocopie.

Elle s y rend et je la suis imiginant ce que je vais lui faire en arrivant à la maison.

Soudain, pulsion....

Cette petite coquine#salope m a trop chauffé, je commence à l embrasser dans le cou mais ce n est qu une ruse pour attraper ses cheveux mi long, les rerouper en queue de cheval...et la forcer à se coucher/courber sur la grosse photocopieuse qui à la bonne idée d être là.

Une main la maintient sur la photocopieuse tandis que l autre descend son string et sort mon sexe dur.

Je la penètre brutalement tandis qu elle s accroche à la machine. Elle est trempée d envie, j en étais sur.

Mes deux mains ont saisi ses hanches...la machine tremble et recule sous mes coups de boutoir. Je la sens qui tremble de plaisir, je l entends qui halète de bonheur jouissif.

Toujours en la limant, mes deux mains ecartent ses fesses et mes deux pouces violent son autre orifice. Ils entrent sans résistance et je sens les va et vient de mon sexe au travers de ses paroies.
Je sens son orgasme et le mien venir crescendo.

Soudain, du bruit dans l agence : bruit de clé, de choses que l on bouge.

Je me fige en elle.

"Non, continues! Finis moi maitenant! C est la femme de ménage, on s en fout".

J hesite....

"PRENDS MOI!!"

Je relance l action et elle grimpe tres vite. Elle ne crie pas bien sur mais ne peut s empecher de couiner un peu car mes pouces sont revenus dans leur antre et mon sexe s active toujours.

La femme de ménage ne peut avoir aucun doute de ce qui se passe sur la photocopieuse, d autant qu en plus des bruits orgasmique, on me voit partiellement m activer par la porte en verre.

Ça y est ! Elle jouis comme une folle, et ses soubressaut interne m entrainent à me vider puissament en elle...

Elle se redresse, se réajuste et va vers la femme de ménage dans le bureau adjacent qui n a aucun doute sur ce qui vient de se passer.

"Bonsoir", dit elle avec un air de patrone trés détachée,"cela faisait plusieurs jours que je n avais pas vu mon mari" rajoute t elle,"je ne pouvais plus attendre"

Laissant la femme de ménage eberlhuée par son aplomb à assumer d être une salope, nous sommes sortis de son agence heureux de cet intense moment de sexe impromptu.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Mal écrite, tu as perdu l'apostrophe???

Pauvre femme de ménage! Peut-être qu'elle aurait aimé essayer la photocopieuse, elle aussi ?



Texte coquin : Photocopieuse
Histoire sexe : Une rose rouge
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