Pierre, mon ami malaisien (2)
Récit érotique écrit par Curlic [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2024 dans la catégorie A dormir debout
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Pierre, mon ami malaisien (2)
Pierre entendit peu à peu le bruit des vagues et se réveilla lentement. Il se dit "Nous nous sommes assoupis suite à nos ébats sexuels !" Jeanne sommeillait toujours, entièrement dénudée et allongée sur mon corps également dénudé. Ses seins reposaient sur les miens et je sentais la dureté de ses tétons sur ma poitrine. Je caressais de mes deux mains sa croupe. Sa peau était merveilleusement douce. Je m'aventurais entre ses lobes et passais mon index autour de son anus. Je sentais les plis de son orifice. Ne résistant plus, j'enfonçais l'intégralité de mon index dans son anus. Je sentis la douce tiédeur de son corps. Jeanne s'est alors réveillée doucement. Je lui glissai un "coucou !" à son oreille et sa tête se releva en me souriant.
Sa bouche est venue effleurer mes lèvres puis sa langue a pénétré ma bouche. Nous avons échangé un long baiser. Je lui ai chuchoté que c'était la première fois de ma vie où j'éjaculais aussi souvent en si peu de temps. Jeanne a souri en se relevant. Son ventre était collé au mien du fait de ma dernière éjaculation abondante. Jeanne remit son petit slip tout en fixant avec envie mon pénis qui commençait à se raidir. Je tardai volontairement a remettre mon beau speedo afin qu'elle puisse continuer à admirer mon sexe qui se raidissait pour se mettre vertical contre mon bas ventre. J'ai fini par remettre mon speedo et dit à Jeanne "Allons prendre un bain !" Elle se mit alors à courir vers la mer. Je couru après elle et me je me jetais dans l'eau tout près d'elle.
Nous avons commencé à nager côte à côte lorsque je lui ai demandé "Jeanne, as tu déjà fait l'amour dans l'eau ?" Jeanne me répondit: "Non, mais pourquoi pas ?, tu es sûr d'avoir une érection sous l'eau ?" Je me mis à sourire car je sentais ma verge gonflée depuis que j'étais dans l'eau.
J'ai alors demandé à Jeanne de se rapprocher du bord de l'eau jusqu'à avoir pieds. Une fois au bon endroit, je me suis séparé de mon speedo me retrouvant ainsi nu. C'est une sensation excitante que de nager nu, je decalottais ma verge pour faire apparaître mon gland. Cela, avec l'eau un peu froide, me procura une sensation terriblement érotique. Jeanne n'avait plus de slip et nageait également toute nue. Nous nous sommes rapprochés l'un de l'autre pour échanger un long baiser. J'entourai alors mon bassin de ses deux jambes positionnant ainsi mon pénis en érection totale au niveau de sa vulve. Jeanne eut un long frisson de plaisir en sentant mon sexe en érection à l'orée du sien. Mon pénis a commencé à écarter ses grandes lèvres.
Poursuivant, je frottai lentement mon gland sur son clitoris qui était devenu presque dur. Je dirigeai ensuite mon pénis vers sa cavité secrète, je pénétrais Jeanne très lentement. Elle se mit à geindre très fort, je regardais alors si des nageurs n'étaient pas à proximité de nos ébats aquatiques ! Je sentis très rapidement que j'allais éjaculer ce qui me surprit ! En effet, peu de temps après la pénétration, un dernier coup de rein a provoqué une éjaculation violente. Jeanne a cambré son corps accompagné d'un cris rauque.
J'embrassais fougueusement Jeanne puis nous avons remis nos slips avant de remonter sur la plage.
Il était 12h30 et dis à Jeanne que nous pourrions aller déjeuner. Nous avons donc pris le même chemin étroit qu'à l'aller pour rejoindre la maison. Jeanne marchait devant moi et je ne pu m'empêcher d'imaginer ses fesses au travers de son maillot de bain. Elles se balançaient au fur et mesure de sa marche faisant plisser le tissus synthétique de son maillot.
Arrivés à sa maison, nous sommes montés dans nos chambres respectives pour nous changer et prendre une bonne douche. Le repas terminé, j'ai proposé à Jeanne de passer un moment au bord de la belle piscine. Nous sommes alors remontés dans nos chambres pour remettre nos maillots de bain.
J'ai retrouvé Jeanne près de la piscine assise dans un transat et vêtue d'un peignoir de bain. J'étais également vêtu d'un peignoir et me suis assis dans autre transat à ses côtés. J'observais à la dérobade ses jambes fuselées et bronzées. L'encolure entrouverte de son peignoir laissait entrevoir ses seins bronzés. Les tétons pointaient au travers du peignoir ce qui me confirmait qu'elle n'avait pas mis le haut de son bikini. En décroisant ses jambes, j'aperçu avec stupéfaction son pubis ! Elle était donc nue sous son peignoir ! Son corps apparaissait entièrement nu face au soleil. Jeanne tourna la tête vers moi et me sourit.
Pour la petite histoire, j'avais devancé cette situation hautement excitante et... j'étais également nu sous mon peignoir. Mon sexe vibrait d'excitation et, n'en pouvant plus j'écartais les jambes et ouvrit mon peignoir. Je devoilais ainsi ma verge bandée au maximum mais non encore decalottée. La peau de ma verge était plus foncée que le reste de mon corps et brillait du fait de l'érection violente. Mes testicules, chauffés par le soleil pendaient du reste de mon sexe et les quelques poils noirs qui les parsemaient étaient hirsutes comme le sont ceux des asiatiques.
Jeanne regardait mon sexe sans montrer de grande surprise devant cette situation hautement excitante car elle devait bien se douter que je serai nu sous mon peignoir. Elle m'avoua ressentir une très forte excitation à la vision d'hommes de type malaisien. Je lui répondis que son corps avait des formes envoûtantes. Elle écarta alors ses jambes face au soleil, et entrouvit son sexe comme un coquillage laissant apparaître les petites lèvres de sa vulve. Le soleil dardait ses rayons sur ce sexe ainsi ouvert et Jeanne émettait des soupirs frisant la jouissance. J'étais comme paralysé devant ce corps ainsi offert.
Elle me regarda et me dit sans un souffle "Prends moi ! mais par derrière, j'en rêve" Comprendre "Sodomise moi !" Et elle se leva du transat pour se placera quatre patte devant moi. Je me levais à mon tour et commençait à lécher son anus parfaitement imberbe. Son petit trou était plissé par le muscle entourant son trou. En léchant sa rosette, elle émit des cris étouffé de plaisir. J'introduisis ma langue dans ce magnifique trou. Je ressentis un peu de résistance en introduisant ma langue, puis la lubrification naturelle aidant, ma langue pénétrait dans son antre. Puis, j'enfoncais mon index puis, le majeur dans son anus. Jeanne se cambra légèrement et émit des gémissements de plaisir. Son anus était maintenant prêt pour accueillir mon pénis archi bandé et décalotté.
Je dois avouer que ce n'était pas la première fois que que je sodomisais une femme. J'appréhendais quand même l'introduction de mon pénis dans cet orifice qui me paraissait bien étroit. Jeanne écarta encore ses fesses, faisant apparaître son anus légèrement ouvert. Je me mis debout et guidait mon pénis. Au premier touché de mon gland, Jeanne émis un son rauque de plaisir. Je positionnais alors mon gland devant l'ouverture sacrée et poussais lentement. Mon gland buta sur sa couronne de muscle anal et je dû guider mon pénis avec la main. En poussant lentement, l'extremité de mon gland parvint à s'introduire en partie dans son anus. Je donnais un léger coup de rein et mon gland pénétra entièrement. Jeanne émis un petit cri de douleur et me souffla "Continue ! enfile ta jolie queue dans corps, je jouis comme une folle, vas-y je t'en supplie !". Mon gland est maintenant totalement introduit, reste maintenant a dépasser le col de la base de mon gland. Je poussais lentement et introduisis l'intégralité de mon pénis. Jeanne se cambra et cria son plaisir. Je commençais alors un mouvement de va et vient.
Je ressentais un plaisir immense ! mon pénis se trouvait dans un écrin de chair tiède m'excitant au plus haut point. Mes testicules bien pendantes cognaient contre le périnée de Jeanne en faisant un petit claquement. Je passais alors une main au dessus de sa vulve et l'aperçu que Jeanne jouissait, son sexe était mouillé.
Je souhaitais renouveler ma jouissance ressentie au moment de l'introduction de mon gland dans son anus. Pour se faire, j'ai ressorti très lentement mon pénis de son anus. Jeanne ne comprenant pas mon jeu a exprimé son mécontentement par: "Pierre ne te retire pas !! Je t'en supplie !" Une fois mon pénis sorti, j'ai de nouveau présenté mon gland devant son orifice. Je constatais que sa rondelle était devenue rose et luisait de plaisir. L'introduction de mon gland fut plus aisée que la première fois mais ne me procura pas la même intense jouissance. Je repris mes va et viens lentement faisant ainsi gémir Jeanne de plaisir.
Très rapidement, je sentis ma verge se cabrer et soudainement des giclées de semence ont inondé l'intérieur de son anus. Jeanne sentit la décharge et se mit à crier de jouissance. Ma verge devint assez rapidement flasque. Je supposais que cela était dû à l'intense activité sexuelle depuis le début de la matinée. Je me retirais et embrassait fougueusement Jeanne.
Les corps entièrement nus de Jeanne et Pierre étaient maintenant allongés sur le dos. Le dallage de pierre chauffé par ce soleil ardent fit que chacun s'assoupit. Environ 1 heure après, Jeanne se réveilla la première et, se mettant sur les coudes, contemplait le corps de Pierre avec sa peau cuivré. Pierre dormait profondément, Jeanne s'en aperçu en passant une main sur les tétons de Pierre. Son doigt caressait son bas ventre s'attardant sur le mince filet de poils entre son nombril et son pubis. Jeanne fixait du regard le sexe de Pierre avec une certaine gourmandise. Sa verge au repos devait mesurer environ 7 cm et se terminait par un prépuce à la peau plissée et foncée. Son pénis était totalement imberbe et luisait encore des sécrétions de Jeanne suite à la récente sodomie. Jeanne fit rouler les testicules bien pendantes du fait de la chaleur ambiante.
Jeanne se positionna alors assise face au sexe de Pierre. Elle se saisit très délicatement de sa verge et étira lentement le prépuce, la verge restait encore flasque. Jeanne introduisit son index dans le prépuce étiré qui entourait maintenant l'extrémité de son doigt. Jeanne sentit la chaleur de l'intérieur de son prépuce. Enfonçant son doigt, il buta sur son gland. Jeanne tourna son doigt autour du gland encore visqueux de sperme suite à la dernière sodomie. Elle retira son doigt de l'intérieur du prépuce et le suça goûtant ainsi au précum qui commençait à sortir du méat. Elle replongea son doigt dans ce prépuce maintenant visqueux de précum et repris sa rotation autour du gland. La verge de Pierre restait relativement flasque mais commençait à bander. Continuant la rotation autour du gland, elle s'attarda sur la partie inférieure du gland. L'effet fut immédiat ! Bien que Pierre dormait toujours, un seul jet de sperme sortit du méat.
Jeanne se précipita pour effectuer une fellation afin de ne rien perdre du liquide séminal qui suintait. Elle suçait littéralement le gland maintenant décalotté. Un deuxième jet de sperme gicla alors dans la bouche de Jeanne. Elle conserva précieusement le liquide séminal en bouche et se dirigea vers la bouche de Pierre qui ouvrit les yeux.
Jeanne l'embrassa déversant sa semence dans la bouche. Pierre déglutit lentement son propre sperme en gémissant. Pierre avoua à Jeanne que ce n'était pas la première fois qu'il goûtait son sperme en telle quantité. Il lui trouva un goût salé un peu aigre.
La fin de la journée approchant, Pierre avait prévu de repartir très tôt le lendemain matin. Ils dinèrent rapidement. Jeanne ressentait beaucoup de tristesse de voir son malaisien partir après tous ces exercices. Le lendemain matin, il s'embrassèrent très longuement, puis Jeanne l'a raccompagné à la gare. Pierre a prévu de revenir l'année prochaine avec un ami. Le fils de Jeanne devait également les rejoindre. Jeanne imaginait déjà l'été prochain !!
A suivre !
Ne pas hésiter à laisser des commentaires !
Sa bouche est venue effleurer mes lèvres puis sa langue a pénétré ma bouche. Nous avons échangé un long baiser. Je lui ai chuchoté que c'était la première fois de ma vie où j'éjaculais aussi souvent en si peu de temps. Jeanne a souri en se relevant. Son ventre était collé au mien du fait de ma dernière éjaculation abondante. Jeanne remit son petit slip tout en fixant avec envie mon pénis qui commençait à se raidir. Je tardai volontairement a remettre mon beau speedo afin qu'elle puisse continuer à admirer mon sexe qui se raidissait pour se mettre vertical contre mon bas ventre. J'ai fini par remettre mon speedo et dit à Jeanne "Allons prendre un bain !" Elle se mit alors à courir vers la mer. Je couru après elle et me je me jetais dans l'eau tout près d'elle.
Nous avons commencé à nager côte à côte lorsque je lui ai demandé "Jeanne, as tu déjà fait l'amour dans l'eau ?" Jeanne me répondit: "Non, mais pourquoi pas ?, tu es sûr d'avoir une érection sous l'eau ?" Je me mis à sourire car je sentais ma verge gonflée depuis que j'étais dans l'eau.
J'ai alors demandé à Jeanne de se rapprocher du bord de l'eau jusqu'à avoir pieds. Une fois au bon endroit, je me suis séparé de mon speedo me retrouvant ainsi nu. C'est une sensation excitante que de nager nu, je decalottais ma verge pour faire apparaître mon gland. Cela, avec l'eau un peu froide, me procura une sensation terriblement érotique. Jeanne n'avait plus de slip et nageait également toute nue. Nous nous sommes rapprochés l'un de l'autre pour échanger un long baiser. J'entourai alors mon bassin de ses deux jambes positionnant ainsi mon pénis en érection totale au niveau de sa vulve. Jeanne eut un long frisson de plaisir en sentant mon sexe en érection à l'orée du sien. Mon pénis a commencé à écarter ses grandes lèvres.
Poursuivant, je frottai lentement mon gland sur son clitoris qui était devenu presque dur. Je dirigeai ensuite mon pénis vers sa cavité secrète, je pénétrais Jeanne très lentement. Elle se mit à geindre très fort, je regardais alors si des nageurs n'étaient pas à proximité de nos ébats aquatiques ! Je sentis très rapidement que j'allais éjaculer ce qui me surprit ! En effet, peu de temps après la pénétration, un dernier coup de rein a provoqué une éjaculation violente. Jeanne a cambré son corps accompagné d'un cris rauque.
J'embrassais fougueusement Jeanne puis nous avons remis nos slips avant de remonter sur la plage.
Il était 12h30 et dis à Jeanne que nous pourrions aller déjeuner. Nous avons donc pris le même chemin étroit qu'à l'aller pour rejoindre la maison. Jeanne marchait devant moi et je ne pu m'empêcher d'imaginer ses fesses au travers de son maillot de bain. Elles se balançaient au fur et mesure de sa marche faisant plisser le tissus synthétique de son maillot.
Arrivés à sa maison, nous sommes montés dans nos chambres respectives pour nous changer et prendre une bonne douche. Le repas terminé, j'ai proposé à Jeanne de passer un moment au bord de la belle piscine. Nous sommes alors remontés dans nos chambres pour remettre nos maillots de bain.
J'ai retrouvé Jeanne près de la piscine assise dans un transat et vêtue d'un peignoir de bain. J'étais également vêtu d'un peignoir et me suis assis dans autre transat à ses côtés. J'observais à la dérobade ses jambes fuselées et bronzées. L'encolure entrouverte de son peignoir laissait entrevoir ses seins bronzés. Les tétons pointaient au travers du peignoir ce qui me confirmait qu'elle n'avait pas mis le haut de son bikini. En décroisant ses jambes, j'aperçu avec stupéfaction son pubis ! Elle était donc nue sous son peignoir ! Son corps apparaissait entièrement nu face au soleil. Jeanne tourna la tête vers moi et me sourit.
Pour la petite histoire, j'avais devancé cette situation hautement excitante et... j'étais également nu sous mon peignoir. Mon sexe vibrait d'excitation et, n'en pouvant plus j'écartais les jambes et ouvrit mon peignoir. Je devoilais ainsi ma verge bandée au maximum mais non encore decalottée. La peau de ma verge était plus foncée que le reste de mon corps et brillait du fait de l'érection violente. Mes testicules, chauffés par le soleil pendaient du reste de mon sexe et les quelques poils noirs qui les parsemaient étaient hirsutes comme le sont ceux des asiatiques.
Jeanne regardait mon sexe sans montrer de grande surprise devant cette situation hautement excitante car elle devait bien se douter que je serai nu sous mon peignoir. Elle m'avoua ressentir une très forte excitation à la vision d'hommes de type malaisien. Je lui répondis que son corps avait des formes envoûtantes. Elle écarta alors ses jambes face au soleil, et entrouvit son sexe comme un coquillage laissant apparaître les petites lèvres de sa vulve. Le soleil dardait ses rayons sur ce sexe ainsi ouvert et Jeanne émettait des soupirs frisant la jouissance. J'étais comme paralysé devant ce corps ainsi offert.
Elle me regarda et me dit sans un souffle "Prends moi ! mais par derrière, j'en rêve" Comprendre "Sodomise moi !" Et elle se leva du transat pour se placera quatre patte devant moi. Je me levais à mon tour et commençait à lécher son anus parfaitement imberbe. Son petit trou était plissé par le muscle entourant son trou. En léchant sa rosette, elle émit des cris étouffé de plaisir. J'introduisis ma langue dans ce magnifique trou. Je ressentis un peu de résistance en introduisant ma langue, puis la lubrification naturelle aidant, ma langue pénétrait dans son antre. Puis, j'enfoncais mon index puis, le majeur dans son anus. Jeanne se cambra légèrement et émit des gémissements de plaisir. Son anus était maintenant prêt pour accueillir mon pénis archi bandé et décalotté.
Je dois avouer que ce n'était pas la première fois que que je sodomisais une femme. J'appréhendais quand même l'introduction de mon pénis dans cet orifice qui me paraissait bien étroit. Jeanne écarta encore ses fesses, faisant apparaître son anus légèrement ouvert. Je me mis debout et guidait mon pénis. Au premier touché de mon gland, Jeanne émis un son rauque de plaisir. Je positionnais alors mon gland devant l'ouverture sacrée et poussais lentement. Mon gland buta sur sa couronne de muscle anal et je dû guider mon pénis avec la main. En poussant lentement, l'extremité de mon gland parvint à s'introduire en partie dans son anus. Je donnais un léger coup de rein et mon gland pénétra entièrement. Jeanne émis un petit cri de douleur et me souffla "Continue ! enfile ta jolie queue dans corps, je jouis comme une folle, vas-y je t'en supplie !". Mon gland est maintenant totalement introduit, reste maintenant a dépasser le col de la base de mon gland. Je poussais lentement et introduisis l'intégralité de mon pénis. Jeanne se cambra et cria son plaisir. Je commençais alors un mouvement de va et vient.
Je ressentais un plaisir immense ! mon pénis se trouvait dans un écrin de chair tiède m'excitant au plus haut point. Mes testicules bien pendantes cognaient contre le périnée de Jeanne en faisant un petit claquement. Je passais alors une main au dessus de sa vulve et l'aperçu que Jeanne jouissait, son sexe était mouillé.
Je souhaitais renouveler ma jouissance ressentie au moment de l'introduction de mon gland dans son anus. Pour se faire, j'ai ressorti très lentement mon pénis de son anus. Jeanne ne comprenant pas mon jeu a exprimé son mécontentement par: "Pierre ne te retire pas !! Je t'en supplie !" Une fois mon pénis sorti, j'ai de nouveau présenté mon gland devant son orifice. Je constatais que sa rondelle était devenue rose et luisait de plaisir. L'introduction de mon gland fut plus aisée que la première fois mais ne me procura pas la même intense jouissance. Je repris mes va et viens lentement faisant ainsi gémir Jeanne de plaisir.
Très rapidement, je sentis ma verge se cabrer et soudainement des giclées de semence ont inondé l'intérieur de son anus. Jeanne sentit la décharge et se mit à crier de jouissance. Ma verge devint assez rapidement flasque. Je supposais que cela était dû à l'intense activité sexuelle depuis le début de la matinée. Je me retirais et embrassait fougueusement Jeanne.
Les corps entièrement nus de Jeanne et Pierre étaient maintenant allongés sur le dos. Le dallage de pierre chauffé par ce soleil ardent fit que chacun s'assoupit. Environ 1 heure après, Jeanne se réveilla la première et, se mettant sur les coudes, contemplait le corps de Pierre avec sa peau cuivré. Pierre dormait profondément, Jeanne s'en aperçu en passant une main sur les tétons de Pierre. Son doigt caressait son bas ventre s'attardant sur le mince filet de poils entre son nombril et son pubis. Jeanne fixait du regard le sexe de Pierre avec une certaine gourmandise. Sa verge au repos devait mesurer environ 7 cm et se terminait par un prépuce à la peau plissée et foncée. Son pénis était totalement imberbe et luisait encore des sécrétions de Jeanne suite à la récente sodomie. Jeanne fit rouler les testicules bien pendantes du fait de la chaleur ambiante.
Jeanne se positionna alors assise face au sexe de Pierre. Elle se saisit très délicatement de sa verge et étira lentement le prépuce, la verge restait encore flasque. Jeanne introduisit son index dans le prépuce étiré qui entourait maintenant l'extrémité de son doigt. Jeanne sentit la chaleur de l'intérieur de son prépuce. Enfonçant son doigt, il buta sur son gland. Jeanne tourna son doigt autour du gland encore visqueux de sperme suite à la dernière sodomie. Elle retira son doigt de l'intérieur du prépuce et le suça goûtant ainsi au précum qui commençait à sortir du méat. Elle replongea son doigt dans ce prépuce maintenant visqueux de précum et repris sa rotation autour du gland. La verge de Pierre restait relativement flasque mais commençait à bander. Continuant la rotation autour du gland, elle s'attarda sur la partie inférieure du gland. L'effet fut immédiat ! Bien que Pierre dormait toujours, un seul jet de sperme sortit du méat.
Jeanne se précipita pour effectuer une fellation afin de ne rien perdre du liquide séminal qui suintait. Elle suçait littéralement le gland maintenant décalotté. Un deuxième jet de sperme gicla alors dans la bouche de Jeanne. Elle conserva précieusement le liquide séminal en bouche et se dirigea vers la bouche de Pierre qui ouvrit les yeux.
Jeanne l'embrassa déversant sa semence dans la bouche. Pierre déglutit lentement son propre sperme en gémissant. Pierre avoua à Jeanne que ce n'était pas la première fois qu'il goûtait son sperme en telle quantité. Il lui trouva un goût salé un peu aigre.
La fin de la journée approchant, Pierre avait prévu de repartir très tôt le lendemain matin. Ils dinèrent rapidement. Jeanne ressentait beaucoup de tristesse de voir son malaisien partir après tous ces exercices. Le lendemain matin, il s'embrassèrent très longuement, puis Jeanne l'a raccompagné à la gare. Pierre a prévu de revenir l'année prochaine avec un ami. Le fils de Jeanne devait également les rejoindre. Jeanne imaginait déjà l'été prochain !!
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