Pique nique en gorges profondes
Récit érotique écrit par Amilcarus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2018 dans la catégorie Plus on est
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Pique nique en gorges profondes
Quand j'étais étudiant à Montpellier, il y a de ça dix ans. J’avais pris l'habitude aux beaux jours, d'aller avec celle que j'aimais à l'époque, dans les gorges de l'Hérault, près du pont du diable. Pour nager dans le fleuve et faire l'amour sur les berges, à l'abri des regards ...notre emploi du temps universitaire nous permettait de nous évader sur la côte ou dans les terres quand tout le monde était au travail ou en cours...la Bella vità...
nous avions déjà expérimenté les joies du naturisme sur une plage du Gros du Roi, mais le lieu était trop fréquenté, soit par les sempiternels rôdeurs des plages nudistes. Hommes entre deux âges, attirés de loin par la silhouette avantageuse de ma petite amie, une jolie algérienne à la cambrure chevaline et aux seins fermes. Soit par de plus honnêtes couples ou familles naturistes qui pouvaient légitimement s'offusquer du spectacle de mon sexe gonflé et tendu par les caresses discrètes de ma compagne...
Nous avions donc repéré un endroit idéal dans les méandres de l'Hérault sous les frondaisons. Lieu peu fréquenté en dehors des weekends et des congés d'été.... du moins c'est ce que nous pensions en cette fin de matinée un mardi ou mercredi matin de l'été 2007. Je me souviens du sous-bois à flanc de route que nous avions trouvé donnant directement sur la rivière ; de notre piquenique préparé la veille ; de nos maillots de bain pendant sur une branche basse ; de notre insouciance sereine ; de nos corps nus le mien si blanc contrastant avec sa peau brune.
Je me souviens surtout d'elle à quatre pattes sur ma serviette de bain, m'invitant à la chevaucher d'une moue suggestive, balançant ses hanches de gauche à droite, cambrant ses fesses avec une facilité déconcertante pour me révéler la conque de sa vulve, logée au creux de ses cuisses et de ses fesses charnues. Je me souviens de mon empressement à la pénétrer. Bref rien que nous n'avions déjà fait maintes fois, là ou ailleurs.
Quand sur la petite plage de galets qui nous faisait face et que nous pensions déserte, une femme âgée d’une cinquantaine d’années s'avança dans l'eau. Elle était nue elle aussi et ses affaires étaient posées sur le sol derrière elle. Elle semblait sortie de nulle part. Nous nous ne l'avions ni vu ni entendu venir. Nous sommes restés interdits, incapable de réagir. Mon sexe encore profondément planté dans la croupe de ma compagne...
il était clair qu'elle nous avait vu. Mais elle ne semblait ni surprise ni gênée. Nous étions tellement pris au dépourvu, que nous n'avons pas bougé, figés et silencieux, complétement ahuris. Nous avons finalement ri convulsivement, comme deux benêts.
Imperturbable, elle nous salua d'un fort accent nord européen. Elle nous pria de ne surtout pas nous arrêter à cause d'elle. Elle continua en affirmant que nous étions jeunes et beaux et que nous avions raison de faire l'amour à cet endroit. Que c'était une belle chose à faire dans un bel endroit. Puis elle est entrée dans l'eau et s'est éloignée tranquillement en nageant vers un petit coude de la rivière où elle est ressortie de l'eau pour s’étendre sans vraiment nous prêter plus d’attention.
Nous étions stupéfaits par son apparition. Nous enregistrions tout avec un temps de retard, incapables de lui répondre un seul mot intelligible. J'ébauchais finalement un mouvement de retrait (même si cela relevait plus de l'instinct que de la décision rationnel) m'attendant à ce que mon amie se redresse et me demande de me retirer complétement.
Elle n'en fit rien, au contraire d'un mouvement de bassin, elle m’engloutit de nouveau en elle. Imprimant une nouvelle cadence, les mains crispées sur le drap de bain et les bras tendus. La bouche entrouverte elle gémissait de façon ostentatoire, m'invitant à la besogner avec plus d'ardeur, mon bas ventre claquant bruyamment sur ses fesses .Je la pris ainsi une dizaine de minutes me délectant de l'ostentation de nos manifestations de plaisir jusqu'à ce que jouisse au fond d'elle....
Je me permets un aparté, qui je le promets ne nuira pas au récit. à l'époque j'étais persuadé que la femme que je chevauchais avec tant d’entrain et d’insouciance serait la mère de mes enfants...je n'ai jamais connu depuis une telle harmonie sexuelle et affective ni avant ni après...nous faisions tout le temps l'amour, nos corps et nos sexes semblaient avoir été conçus sur mesure, à moins qu'ils se soient adaptés l'un à l'autre pendant trois ans de relation...je me souviens de la douceur de son sexe de toutes les fois où j'ai jouis en elle ou ma semence à couler au fond de son fourreau chaud doux et humide...du plaisir qu'elle prenait à ce que je force l'entrée de son con que j'y progressait péniblement et que mon sexe endolori sentait la corole du sien s'ouvrir et s'humidifier comme une fleur pour le laisser entrer dans toute sa longueur et largeur...comme pour en rendre l’étreinte encore plus douce en comparaison de la difficile pénétration initiale...
Je me suis souvent demandé ce que notre visiteuse avait bien pu voir de là d'où elle était, l'angle de vue devait lui permettre d'apprécier le spectacle de cette belle croupe brune engloutissant cette épaisse colonne de chair pâle allant et venant entre les bourrelets sombres et lippus de sa chatte .A-t-elle été excitée ? Avait-elle envie de nous rejoindre ? je lui suis gré en tout cas de s'être montrée si bienveillante et tolérante devant ce spectacle... je me souviens comme nous avons ri sous cape un peu embarrassés de notre frénésie exhibitionniste mais fiers de ne pas nous être dégonflés...nous avons partagé une cigarette silencieux sereins, nous restions ostensiblement nus, nos corps moites de sueur et nos sexes détrempés bien en vus...cette bravade post coitum un peu sur jouée nous faisait oublié la surprise et l'effroi un peu grotesque qui nous avaient saisi alors que nous nous accouplions bruyamment... nous savourions cette soudaine et éphémère liberté sous le matronage bienveillant de cette walkyrie baba cool perdue dans le Languedoc...
J’avoue que quand nous avons été surpris j'ai d'abord oscillé entre la gêne et même un peu de peur avant de goûter toute l'excitation de la situation...je crois aussi en la force symbolique de cette expérience je crois que les phéromones de cette femme ce sont mêlés aux nôtres par l'air l'eau et la terre...aurions-nous eu l'audace de lui proposer de nous rejoindre, aurions-nous su comment procéder ? :) je n'en suis pas sûr...et je ne suis pas sûr que mon amie aurait été la plus réluctante...j'avoue que la vue de ce corps nu bien que marqué par l'âge m'avait aussi passablement excité, ses seins lourds ses fesses et ses cuisses généreuses sa vulve que je devinais sous sa toison dorée ont alimentés depuis bien des séances de masturbation solitaire...revivant inlassablement de nouvelles variantes de cette rencontre... les seuls sons sortis de nos bouches que cette femme a pu entendre ont été des gémissements et des rires, nous n'avons retrouver notre rationalité et notre langue que durant le voyage retour dans la petite 106 qui nous ramenait à Montpellier..
nous avions déjà expérimenté les joies du naturisme sur une plage du Gros du Roi, mais le lieu était trop fréquenté, soit par les sempiternels rôdeurs des plages nudistes. Hommes entre deux âges, attirés de loin par la silhouette avantageuse de ma petite amie, une jolie algérienne à la cambrure chevaline et aux seins fermes. Soit par de plus honnêtes couples ou familles naturistes qui pouvaient légitimement s'offusquer du spectacle de mon sexe gonflé et tendu par les caresses discrètes de ma compagne...
Nous avions donc repéré un endroit idéal dans les méandres de l'Hérault sous les frondaisons. Lieu peu fréquenté en dehors des weekends et des congés d'été.... du moins c'est ce que nous pensions en cette fin de matinée un mardi ou mercredi matin de l'été 2007. Je me souviens du sous-bois à flanc de route que nous avions trouvé donnant directement sur la rivière ; de notre piquenique préparé la veille ; de nos maillots de bain pendant sur une branche basse ; de notre insouciance sereine ; de nos corps nus le mien si blanc contrastant avec sa peau brune.
Je me souviens surtout d'elle à quatre pattes sur ma serviette de bain, m'invitant à la chevaucher d'une moue suggestive, balançant ses hanches de gauche à droite, cambrant ses fesses avec une facilité déconcertante pour me révéler la conque de sa vulve, logée au creux de ses cuisses et de ses fesses charnues. Je me souviens de mon empressement à la pénétrer. Bref rien que nous n'avions déjà fait maintes fois, là ou ailleurs.
Quand sur la petite plage de galets qui nous faisait face et que nous pensions déserte, une femme âgée d’une cinquantaine d’années s'avança dans l'eau. Elle était nue elle aussi et ses affaires étaient posées sur le sol derrière elle. Elle semblait sortie de nulle part. Nous nous ne l'avions ni vu ni entendu venir. Nous sommes restés interdits, incapable de réagir. Mon sexe encore profondément planté dans la croupe de ma compagne...
il était clair qu'elle nous avait vu. Mais elle ne semblait ni surprise ni gênée. Nous étions tellement pris au dépourvu, que nous n'avons pas bougé, figés et silencieux, complétement ahuris. Nous avons finalement ri convulsivement, comme deux benêts.
Imperturbable, elle nous salua d'un fort accent nord européen. Elle nous pria de ne surtout pas nous arrêter à cause d'elle. Elle continua en affirmant que nous étions jeunes et beaux et que nous avions raison de faire l'amour à cet endroit. Que c'était une belle chose à faire dans un bel endroit. Puis elle est entrée dans l'eau et s'est éloignée tranquillement en nageant vers un petit coude de la rivière où elle est ressortie de l'eau pour s’étendre sans vraiment nous prêter plus d’attention.
Nous étions stupéfaits par son apparition. Nous enregistrions tout avec un temps de retard, incapables de lui répondre un seul mot intelligible. J'ébauchais finalement un mouvement de retrait (même si cela relevait plus de l'instinct que de la décision rationnel) m'attendant à ce que mon amie se redresse et me demande de me retirer complétement.
Elle n'en fit rien, au contraire d'un mouvement de bassin, elle m’engloutit de nouveau en elle. Imprimant une nouvelle cadence, les mains crispées sur le drap de bain et les bras tendus. La bouche entrouverte elle gémissait de façon ostentatoire, m'invitant à la besogner avec plus d'ardeur, mon bas ventre claquant bruyamment sur ses fesses .Je la pris ainsi une dizaine de minutes me délectant de l'ostentation de nos manifestations de plaisir jusqu'à ce que jouisse au fond d'elle....
Je me permets un aparté, qui je le promets ne nuira pas au récit. à l'époque j'étais persuadé que la femme que je chevauchais avec tant d’entrain et d’insouciance serait la mère de mes enfants...je n'ai jamais connu depuis une telle harmonie sexuelle et affective ni avant ni après...nous faisions tout le temps l'amour, nos corps et nos sexes semblaient avoir été conçus sur mesure, à moins qu'ils se soient adaptés l'un à l'autre pendant trois ans de relation...je me souviens de la douceur de son sexe de toutes les fois où j'ai jouis en elle ou ma semence à couler au fond de son fourreau chaud doux et humide...du plaisir qu'elle prenait à ce que je force l'entrée de son con que j'y progressait péniblement et que mon sexe endolori sentait la corole du sien s'ouvrir et s'humidifier comme une fleur pour le laisser entrer dans toute sa longueur et largeur...comme pour en rendre l’étreinte encore plus douce en comparaison de la difficile pénétration initiale...
Je me suis souvent demandé ce que notre visiteuse avait bien pu voir de là d'où elle était, l'angle de vue devait lui permettre d'apprécier le spectacle de cette belle croupe brune engloutissant cette épaisse colonne de chair pâle allant et venant entre les bourrelets sombres et lippus de sa chatte .A-t-elle été excitée ? Avait-elle envie de nous rejoindre ? je lui suis gré en tout cas de s'être montrée si bienveillante et tolérante devant ce spectacle... je me souviens comme nous avons ri sous cape un peu embarrassés de notre frénésie exhibitionniste mais fiers de ne pas nous être dégonflés...nous avons partagé une cigarette silencieux sereins, nous restions ostensiblement nus, nos corps moites de sueur et nos sexes détrempés bien en vus...cette bravade post coitum un peu sur jouée nous faisait oublié la surprise et l'effroi un peu grotesque qui nous avaient saisi alors que nous nous accouplions bruyamment... nous savourions cette soudaine et éphémère liberté sous le matronage bienveillant de cette walkyrie baba cool perdue dans le Languedoc...
J’avoue que quand nous avons été surpris j'ai d'abord oscillé entre la gêne et même un peu de peur avant de goûter toute l'excitation de la situation...je crois aussi en la force symbolique de cette expérience je crois que les phéromones de cette femme ce sont mêlés aux nôtres par l'air l'eau et la terre...aurions-nous eu l'audace de lui proposer de nous rejoindre, aurions-nous su comment procéder ? :) je n'en suis pas sûr...et je ne suis pas sûr que mon amie aurait été la plus réluctante...j'avoue que la vue de ce corps nu bien que marqué par l'âge m'avait aussi passablement excité, ses seins lourds ses fesses et ses cuisses généreuses sa vulve que je devinais sous sa toison dorée ont alimentés depuis bien des séances de masturbation solitaire...revivant inlassablement de nouvelles variantes de cette rencontre... les seuls sons sortis de nos bouches que cette femme a pu entendre ont été des gémissements et des rires, nous n'avons retrouver notre rationalité et notre langue que durant le voyage retour dans la petite 106 qui nous ramenait à Montpellier..
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