Pizza supplément bite...

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Pizza supplément bite... Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pizza supplément bite...
Cela m'a pris un samedi en fin de soirée, de ranger la pièce qui me servait de débarras dans l'appartement. Si je voulais y mettre autre chose, il fallait ranger et je ne pensais pas en avoir pour si longtemps, mais retrouver des choses auxquelles je ne pensais plus. Trier, garder, garder et finalement pas jeter grand chose, mais au moins c'était rangé et il était près de 22 heures!
Tu m'étonnes que j'avais faim et l'envie d'une pizza se fait sentir.

Je téléphone à la pizzéria plus loin qui m'avait déjà livré et je m'entends dire : pas avant une demie heure, y'a bourrage ce soir!
J'avais le temps de prendre une douche. Je me déshabille dans la salle de bains et je prends ma douche tranquillement en m'admirant dans la glace. Ben y'avait personne pour me dire que je suis un beau mec! et je remets un tee-shirt et mon vieux survêt sans boxer. J'aime bien sentir ma queue bouger toute seule le soir à la maison.
L'heure d'arrivée de la pizza était dépassée, je repasse un coup de fil et on me promet rapidement.

Encore un quart d'heure avant le coup de sonnette. J'ouvre sur un jeune rebeu, casque sur la tête, visière ouverte, des yeux souriants, que je qualifie de coquins tout de suite.
Je le fais entrer, je cherche la monnaie pour lui donner et je le vois se dandiner d'un pied sur l'autre, vous savez comme quand on a une envie de pisser.
-est ce que je pourrais utiliser vos toilettes m'sieur, sinon je crois que je rentre pas à la pizzéria ! demande t-il avec toujours ses yeux coquins..

Je lui indique la salle de bains, vu que les toilettes y sont également. Il s'y dirige, enlevant son casque, pendant que j'emporte la pizza dans la cuisine. J'entends son jet dans la cuvette, je souris, c'était pas du chiqué j'ai pensé en souriant puis c'est le silence. J'attends à l'entrée de la cuisine… toujours le silence, pas de bruit de chasse d'eau… le silence. Je me demande ce qui se passe, j'avance doucement pour regarder par la porte ouverte et stupeur, j'en reste comme deux ronds de flancs.

Le beau rebeu aux cheveux mi-longs a trouvé mon boxer, et, les yeux fermés il le sniffe à pleins poumons. J'ai envie de rire.
-hum hum ! j'ai fait.
Il a sursauté, sans lâcher mon boxer et m'a fixé en passant par toutes les couleurs et s'arrêter au blanc pâle quand je me suis approché de lui.
La pizza allait refroidir…
-mon odeur te plait ?

Il baisse les yeux, je m'approche, lui arrache le boxer de la main, le retourne pour que l'intérieur soit au dessus et je le passe sous son nez.
-alors respire le rebeu… respire bien l'odeur du mâle céfran!
Et, stupéfait, je le vois obéir. Il renifle, sent en frottant son nez là où mes couilles reposent. Je lui passe l'arrière du boxer, je vois ses yeux pleins d'étincelles. Je frotte sur son nez. Je l'entends respirer, aspirer fort.

Mes yeux regardent son entrejambe, pas de toute, il bande le petit rebeu.
J'appuie sur sa tête, pour le faire reculer et que son cul bute sur la machine à laver, moi devant, je continue de passer le boxer sur son visage. Il se laisse faire, je vois mes chaussettes traînées. Vite fait je me baisse et les ramasse, non sans voir la barre que renferme l'entrejambe.
J'oublie la pizza complètement…
-et mes chaussettes ? tu les veux ?
Il me fixe et ses yeux disent oui.
Alors je lui fais respirer et il ferme les yeux le rebeu, il savoure comme devant une bonne pizza, c'est tout juste s'il ne gémit pas.
Je prends mon temps, lui fait bien respirer les chaussettes, alternant avec le boxer, qu'est ce qu'il a l'air content! j'en reviens pas.

On se regarde, il est tout sourire.
-si le rebeu me montrait comment il est fait ? déshabille toi le rebeu!
Il retire son blouson, le laisse tomber au sol, retire son tee-shirt, que je récupère et en le fixant, je sens le tee-shirt, les aisselles… c'est humide… ça sent la sueur mais surtout y'a l'odeur du rebeu, cette bonne odeur qui me rend fou. Je vois à son regard qu'il est étonné. Je lui fais partager son odeur, on est presque nez à nez, yeux dans les yeux. Je retire le tee-shirt, il ne bouge pas et je pose mes lèvres sur les siennes, aussitôt il ferme les yeux et gémit en projetant son bassin sur le mien.

Je ne fais qu'effleurer ses lèvres, je le respire, comme lui faisait à mon boxer, je m'imprègne de son odeur de rebeu, de son haleine chaude qui se projette sur mon visage.
-enlève le reste le rebeu!
Essayant de ne pas me quitter des yeux, il baisse son jean, son boxer, libérant son zob que je ne vois pas encore.
-enlève tes godasses que j'admire la bête!

Il sourit, se penche, enlève ses bottes, pantalon, boxer rejoignent le blouson. Il retire ses chaussettes, les gardant dans sa main et se redresse lentement, ses yeux devant mon entrejambe déformé, et largement déformé. Il le regarde, tend sa joue et se caresse avec le gland renfermé, la tête relevée pour me regarder. Je le relève, son zob bande bien raide, un beau zob circoncis, large, au gland bien dessiné mais pas plus gros que la hampe. Il revient me fixer dans les yeux, ma main est immédiatement attirée par ce zob.

Je m'en saisis en l'entourant et la serrant tendrement.
Sa tête se redresse, il gémit la bouche entrouverte, ses yeux sont comme dans le vague.
De mon autre main, je prends la sienne qui tient ses chaussettes et on sniffe tous les deux les odeurs du rebeu. Si vous aviez vu ses yeux qui brillaient, on s'est énivré de son odeur avant de s'embrasser d'abord tendrement, les yeux fermés. C'est marrant il ne me touchait pas et, quand nos langues se sont frôlées, ma main le caressait tout le long de sa hampe, il a poussé de petits gémissements qui entraient dans ma gorge.

J'ai lâché sa queue pour lui prendre le visage et le déguster comme j'aime. Il se laissait faire.
-t'as le temps ?
-oui dit il dans un souffle.
-tu veux mes pieds ?
-oui et ses yeux brillaient.
-ma queue ?
-oh oui!
-mon cul ?
-te lécher le cul et t'enfoncer ma langue c'est mon plus grand plaisir.
-et ton cul ?
-ben tu me niques le céfran! j'adore ton odeur. J'ai reniflé tes couilles, j'ai reniflé dans ton boxer l'odeur de ta queue et elle m'a fait bander de suite et si tu veux je commence par les pieds. Je voudrais te lécher, te sniffer du haut en bas avant que tu me niques. J'suis sûr que t'es un bon niqueur le céfran.
Il avait les yeux malicieux en me parlant nez contre nez.
-et toi ?
-moi je crois que je suis la plus belle salope du département.
Il rigole en me déshabillant, c'est vite fait vu ce que je porte et je le prends par la main pour l'emmener dans la chambre.

Il est beau mon rebeu, assez grand, corps sec mais musclé, on voit les muscles rouler sous la peau bronzée naturellement. Son beau zob repose sur deux belles couilles qui ne pendent que légèrement, poilu autour du sexe et aux jambes musclées. Le torse imberbe laisse voir deux beaux tétons proéminents qui pointent au milieu d'aréoles plus foncées.

Je l'observe en souriant. Il prend la pose, tourne sur lui-même pour que j'admire l'arrière. Un petit cul de rebeu comme j'aime, bombé, remontant légèrement, deux belles fesses recouvertes d'un duvet, une raie sombre, y'a du poils à sniffer là!
Il revient dans mes bras, m'embrasse tendrement, me serre contre lui, me prend la tête entre ses mains.
-tu me laisses faire monsieur le client ?
Je cligne des yeux, il me pousse, je tombe à la renverse sur le lit. Il pose mes pieds sur son torse chaud, l'odeur de rebeu avait envahie ma chambre.

Sans jamais me quitter des yeux il m'a bouffé les pieds, léché, sucé les orteils, passant sa langue dans tous les recoins. J'ai apprécié mais je pense que c'est lui qui appréciait le plus vu les gémissements ou les petits cris qu'il poussait. Ah il a pris son temps, j'avais l'impression d'être lavé une seconde fois et sa langue est remontée sur mes jambes, mes cuisses imberbes de blond. Ses yeux se sont perdus dans ma toison or, cette toison qui les hypnotise tous. J'ai senti ses doigts passer dessus, se mélanger aux poils, son souffle passer sur ma queue raide pas encore décalottée mais il a commencé par lécher les poils, les prenant entre ses lèvres et les tirant, pour me faire crier et il riait.

Il m'a léché les couilles, tout le tour du sexe, sans y toucher. Je sentais la mouille couler, sa langue est remontée au nombril, l'a foré, inondé pour remonter sur mon ventre, léchant, léchant et léchant encore pour venir m'embrasser les tétons durs comme l'acier.
Au moment où il prenait un téton entre ses lèvres, son corps chaud et souple, se posait sur le mien, délicatement progressivement, d'abord les queues qui se croisent, son ventre sur le mien, ses lèvres qui remontent sur ma gorge m'obligeant à relever la tête, m'envahir de bisous, de coups de langues et tout son corps s'est appesanti sur le mien quand il a pris mes lèvres, m'enfonçant sa langue au fond de la gorge en gémissant. Mes bras se sont refermés sur lui.

Il ondulait du bassin, nos queues s'échangeaient la mouille pour faire plus ample connaissance. J'aimais ce corps doux et chaud caresser le mien, ses ondulations, sa queue qui frotte la mienne, caresser la peau douce et chaude de son dos, s'arrêter de m'embrasser et me regarder tout sourire.
-t'es beau le céfran et tu sens bon! j'adore!
Je n'ai pas eu le temps de répondre qu'il m'embrassait.

Il se redresse, restant à genoux entre mes jambes.
-offre moi ton cul à la dégustation le céfran, j'adore les culs de céfran blond.
Et moi j'adore me faire bouffer le cul par un rebeu! ça tombe bien j'ai pensé.
Je me suis mis à quatre pattes, pour sentir ses mains douces me les caresser, les ouvrir, les pétrir et me faire des bisous, de gros bisous sur les fesses qui se rapprochaient de ma raie imberbe. Il écartait bien mes fesses quand j'ai senti sa langue partir du haut et descendre lentement en donnant de petits coups et déposer de la salive, je la sentais couler dans la raie.

Mais quand la pointe de sa langue m'a touché l'anus, j'ai senti des frissons me parcourir et j'ai tendu mon cul encore plus, poussant comme si j'allais me faire enculer. La pointe est revenue, tâtant, tâtonnant, se libérant de sa salive, la poussant dans le petit trou. Ses lèvres essayaient d'attraper l'anus et de l'aspirer. Quelles sensations j'avais et, quand la pointe de la langue a réussi à s'enfoncer dans l'entrée, il m'a fait gémir comme jamais je n'avais gémi. Qu'elle était bonne sa langue chaude et agile, engouffrant sa salive, l'aspirant, reléchant, grognant, mordant mes fesses, revenant lécher. Je me sentais m'ouvrir, ses lèvres se poser sur mon anus comme un baiser.
Tout s'arrête d'un coup. Il me fait me redresser, se colle à moi, m'embrasse dans le cou.
-tu vas me bouffer le cul le céfran et me niquer comme tu veux… du moment que ce soit bien hard!

Et c'est lui qui prend la position pour que je m'occupe de son beau cul poilu et y'en avait du poils, j'en avais partout. J'ai léché, foré, bouffé comme un malade ce petit cul de rebeu. Il s'ouvrait tout seul, sans que je mette un doigt, s'ouvrir en formant un petit "O", je voyais bien qu'il forçait mais quel plaisir ce rebeu. J'ai claqué ses fesses, il gémissait en poussant de petits cris, tendant bien son petit cul bombé et quand j'ai mis un doigt, à peine enfoncé il a poussé un long gémissement. J'ai enfoncé rien que pour l'entendre et mettre de suite deux doigts en vissant, doigtant au plus profond que je pouvais. Il avait la tête de relevée et poussait de petits cris.

Ma queue raide s'était décalottée toute seule, à genoux derrière lui, j'ai promené le gland dans la raie poilue, ça me chatouillait, ça m'émoustillait mais quand le gland est entré en contact avec les lèvres annales. C'est lui qui a reculé son cul, l'enveloppant d'une chaleur douce et je commençais déjà à répondre à ses gémissements. J'ai vu mon gland disparaître, avalé par ce cul glouton. Il a poussé un petit cri, plus fort que les autres quand le gland est entré, s'est arrêté et d'un geste brusque en arrière m'a avalé la queue entièrement avec son cul posant son torse sur le lit, la tête dans les draps, le cul bombé bien relevé, ouvert comme jamais.
-nique moi le céfran! j'aime ta grosse queue!

Faut pas me dire des choses comme ça et je l'ai niqué, ma queue coulissait bien, son conduit la serrait, la pressait, ça claquait sur ses fesses. Il se donnait le rebeu mais j'étais tellement excité que je n'ai pas tenu tellement longtemps. Quand j'ai senti la sève monter je l'ai fait se redresser au moment de la première giclée, c'était comme si il s'asseyait encore plus sur ma queue, je l'ai enserré dans mes bras, mordu dans la nuque qu'il m'offrait avant de le couvrir de bisous tout le temps de lui remplir son petit cul chaud, et de gueuler tous les deux en même temps avant de retomber ensemble sur le lit toujours fiché en lui.
Nos cœurs battaient la chamade.

Il m'a fait sortir de lui, tout sourire.
-faut que je te suce maintenant, que je te goûte le céfran.
Sans en dire plus il s'allonge contre moi, en position du 69 national et j'ai enfin son zob à portée de mains et de bouche. Mais quand ces doigts se posent sur ma queue qui bandaient encore, pleine de ses sécrétions il l'avale directement pour la sucer comme une glace et la déguste.

Je n'ai plus qu'à m'occuper du morceau que j'ai devant les yeux et quel morceau les amis…! Déjà le tenir en main, le renifler, le humer, regarder ce gland bien dur, luisant au méat bien ouvert, la mouille liquide coule. Il est excité le petit rebeu et je donne le premier coup de langue, il sursaute, crie en lâchant ma queue. J'avale son gland direct en fond de gorge. Il crie encore plus fort et je suce, j'aspire, joue avec ma langue. Je sens qu'il fait la même chose sur la mienne mais moi j'ai un avantage je viens de juter, ça va être un peu plus long.

Et je déguste le plus possible ce bon sgeg bien dur, quel plaisir de le recouvrir de salive, de lécher, de l'aspirer et d'avoir ce goût de zob voyager dans ma bouche.
Je lui tripote les couilles, il soulève une jambe, comme une invitation, mon doigt va chercher son petit trou ouvert, s'enfonce en même temps que son sgeg vient bousculer ma luette en me faisant pleurer et cracher. Mais je tiens le coup, je sens sa queue durcir, je le doigte plus férocement, il pousse des gémissements étouffés. Je sens que le plaisir ne pas tarder autant pour moi que pour lui. D'un seul coup le zob ne bouge plus, raide, dur, je referme les lèvres autour pendant que je sens la même chose et on jouit ensemble. Une giclée répondant à l'autre et du jus de rebeu j'en ai dégusté ce soir là! j'ai cru qu'il ne s'arrêterait jamais. Quand les giclées ont été terminées, ça coulait encore, j'ai aspiré, léché, lâché la queue pour respirer, reprendre mon souffle. Il n'arrêtait pas de me donner des coups de langue sur la queue.

Quand il est venu dans mes bras il avait son grand sourire, s'est blotti contre moi comme un bébé, m'a fait un bisou.
-t'en fais pas dit il je sais comment faire réchauffer une pizza froide!

On a rigolé en se roulant sur le lit enlacés, se faisant des caresses, des bisous.
Il m'a bloqué couché sur moi.
-je crois que j'ai bien fait d'avoir eu envie de pisser le céfran! mais c'est de ta faute ce qui arrive aussi!
Je l'ai regardé étonné. Il avait un beau sourire coquin comme ses yeux.
-ben oui! c'est ton odeur qui m'a rendu fou! et en plus tu laisses traîner ton slip!

Il n'est reparti que tard dans la nuit. On était crevé, mais souriants, heureux.
-quand tu veux une pizza, tu demandes Djamel le livreur. Tu demandes une pizza avec supplément.
-bite pour le livreur ? dis je en riant.

Il a rigolé en partant!

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