Plage naturiste
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Plage naturiste
Comme à l’habitude, je me rends en vélo à la plage naturiste de La Palmyre en empruntant la très accidentée piste cyclable qui quitte Royan par le nord en passant par Vaux et Saint Palais. La chaleur est accablante. La piste monte et descend sans cesse et nécessite de nombreux efforts. Passé les falaises et les splendides terrasses accueillantes de la très touristique « Grande côte », je renonce à mon désir de rafraîchissement et m’engage dans les raidillons qui franchissent successivement les dunes. Plus d’une fois mon élan est coupé par des estivants qui traversent la piste à pied pour se rendre à la plage. Je me laisse griser par la vitesse due aux fortes pentes et cela me permet d’effacer les côtes qui suivent sans effort. La plage naturiste est très accessible et on y parvient par un court chemin à travers une jolie pinède torturée par le vent. J’attache mon vélo au dernier arbre en bord de plage, jette mes affaires dans un espace libre sur le sable, me déshabille et me rue vers l’eau. J’entre doucement dans une mer agréablement fraiche et savoure ce délicieux moment. Voilà juste un an que j’ai redécouvert la baignade et apprécié pour la première fois les plaisirs du naturisme qui convient bien à mon tempérament exhibitionniste. Je laisse mon regard errer sur les nombreux baigneurs exposés sur le sable. J’admire ces corps nus indécemment superbes sous le hâle. Plaisirs combinés des yeux et de l’eau fraîche sur ma peau découverte.
Lorsque je sors de l’eau et regagne ma natte pour m’y allonger, je me sens en osmose avec les baigneurs. Je les trouve étonnamment beaux dans leur nudité. Nombre d’entre eux ne sauraient attirer mon regard s’ils étaient habillés et pourtant, je me laisse séduire tant par le bronzage des uns que par la blancheur laiteuse des autres. Je regrette mon bronzage agricole où mollets, bras et tête dénotent par rapport au reste du corps. Devant moi, un svelte athlète vieillissant délicieusement caramel voisine avec le dandinement d’un superbe cul blanc et la grosse dame qui va avec. Si l’un ou l’autre approche, je lui donne libre accès à toute mon anatomie, mais rien ne se passe. De nombreux vacanciers sont joliment étalés sur le sable. Trois jeunes femmes totalement imberbes exhibent leur sexe entre leurs cuisses largement écartées. La plus blonde des trois laisse voir une fente longue, disproportionnée par rapport à sa taille. Je pense « une chatte à fister » et continue mon chemin. Arrivé à ma natte, je me précipite sur mon téléphone qui avertit d’un message. Impossible de déchiffrer celui-ci tant le soleil est ardent et se réfléchit sur l’écran. Je me rue à couvert de la pinède en haut de la dune, mon outil à la main.
A peine abrité dans l’ombre des conifères, je concentre mon attention sur mon portable sans jeter le moindre coup d’œil autour de moi. Je suis donc rempli d’étonnement lorsque je sens une main douce se saisir de mon sexe tandis qu’une autre caresse mes fesses. Mon cœur s’accélère et ma respiration devient difficile. La caresse quitte la proximité de mes orifices pour s’égayer sur mon corps en insistant sur les zones sensibles. La pointe de mes seins, l’intérieur de mes cuisses, le creux de mes reins sont explorés. Je ferme les yeux tout à mon plaisir en serrant compulsivement mon téléphone devenu inutile. Insensiblement, mes cuisses et mes bras s’écartent pour faciliter la caresse. Ma tête est remplie d’émotions, mes joues rougissent comme celle d’une jeune fille. Je suis à la fois gêné et heureux de ce qui m’arrive.
La main avant revient peloter mes bourses et bande peu à peu mon sexe tandis que son alter-ego arrière pénètre mes fesses et caresse délicieusement mon orifice. Je laisse mon téléphone tomber au sol sous le coup de l’émotion et m’accroche au tronc de l’arbre le plus proche. Insensiblement mes jambes s’écartent encore et libèrent l’accès à mon sphincter annal. Un doigt épais, copieusement lubrifié, s’y enfonce tandis que l’autre main me branle la tige avec une conviction peu commune. Je ne me contrôle plus. Mes jambes tremblent et tout mon corps est secoué de spasmes. Une langue envahit ma bouche. Deux autres mains caressent mes seins et mes cuisses. « Tiens, mon amant est pluriel ! » Je m’effondre tête en avant vers le sol alors que mon sexe crache sa semence. Le doigt quitte mon cul et son propriétaire me maintient fesses en l’air en me tenant par les hanches. Un sexe me pénètre alors que mes mains touchent le sol sablonneux. Je suis alors soulevé par les épaules et ma bouche empalée sur un phallus dressé. Doucement, l’invasion de mon cul me projette en avant et me force à avaler plus encore. Ma gorge heurtée se révolte, remplit mes yeux de larmes et m’arrache un spasme. Je subis le rythme de mes partenaires qui me ballottent au gré de leur plaisir… et du mien… Curieusement, mon sexe est redevenu dur. Lorsque mon amant buccal me quitte pour répandre sa semence sur mon ventre, je commence à psalmodier ma jouissance à pleine gorge. Ceci a pour effet de voir mon intestin rempli de liqueur dans une suite ininterrompue de soubresauts délicieux.
C’est à ce moment que j’ouvre un œil curieux. Je distingue d’abord mon replet partenaire facial à la bouche rieuse et au sexe court et large. Lorsque je me redresse un peu plus, j’esquisse un geste de fuite. L’émotion me submerge à nouveau. Nous sommes entourés d’une dizaine d’hommes attentifs. Certains sont entièrement nus, plusieurs se caressent. Un demande l’autorisation de me toucher et caresse mon bas ventre. Nouvelle excitation visible de ma part qui est saluée par des applaudissements. Le toucheur s’enhardit et me branle doucement tandis que mon maigre amant de derrière, que je découvre, retire sa longue queue fine. Je jouis bruyamment à nouveau. Imprudemment, je tombe au sol et suis bientôt couvert du foutre des spectateurs à l’exclusion de mon visage. Etonnamment, j’aime bien cela malgré ces yeux qui se révulsent et échappent à la contemplation de mon anatomie. Dommage ! ! Toutefois, comme la pression des voyeurs devient envahissante, je me décide à me lever, récupérer mon téléphone et à le ranger dans mon sac, puis je me précipite vers l’océan dans le but de faire disparaître les miasmes de ce moment de sexe.
Dès que je touche du pied l’eau de la baïne, celle-ci me parait chaude. Après le banc de sable, elle est plus fraiche et plus agitée. J’entre prudemment dans la mer. Les vagues me libèrent rapidement de toute salissure et je me laisse porter, la tête en révolution. Je m’immerge totalement dans la fraîcheur ambiante. Je fais quelques brasses. Ma tête bourdonne toujours de plaisir. Alors que je fais la planche, une main amicale et douce se pose sur ma hanche. Je me redresse brutalement, bois la tasse, suffoque et suis accueilli en surface par un immense éclat de rire féminin. Une quarantenaire replète aux formes régulières, à la poitrine ronde et fièrement dressée, au visage agréable et poupin, me contemple d’un œil amusé. « Es-tu satisfait des attentions de mes amours ? » psalmodie la jolie jeune femme d’une voix chantante. Alors que j’acquiesce d’un signe de tête en lui jetant un regard étonné, une vague nous bouscule et nous nous retrouvons accrochés l’un à l’autre, collés l’un contre l’autre. Instinctivement je la serre contre moi tandis qu’elle s’accroche à ma taille avec force.
Je sens son sexe contre le mien, ses seins contre ma poitrine et me laisse porter par ce nouvel instant inattendu. Mes sens ne se sont pas calmés depuis l’épisode précédent. J’essaie de me comporter avec élégance et de ne pas profiter de l’occasion. Mais elle se frotte contre moi et mon sexe durcit à nouveau. Les vagues nous bousculent et notre étreinte devient de plus en plus ferme. Nos corps se massent l’un contre l’autre. Nos mains courent sur nos dos et nos séants au gré des mouvements contraints. Je glisse une main entre ses fesses jusqu’à atteindre, de deux doigts écartelés, son sexe et son cul. Je la caresse doucement. Je sens son désir et le mien devient plus qu’explicite. Mon phallus, collé à son bas ventre est devenu ferme au point d’en être gênant. Elle s’en saisit avec douceur et l’introduit dans sa grotte intime comme pour me soulager d’un fardeau. Fermement agrippés l’un à l’autre, nous nous aimons au gré du mouvement des vagues jusqu’à ce que la trop forte excitation ne nous oblige à quelques vigoureux coups de reins. Sans doute plus excitée que moi par ce qu’elle a vu dans les dunes, elle jouit en de petits râles successifs puis, me sentant prêt à défaillir, extrait mon sexe du sien et me laisse ensemencer l’océan. Nous restons ainsi, agrippés l’un à l’autre, nous caressant tendrement, jusqu’à ce que nous retrouvions notre calme puis sortons de l’eau, main dans la main. Au passage entre les baigneurs, quelques regards égrillards nous prouvent que nos ébats ne sont pas passés inaperçus.
Après avoir ramassé mes affaires, je rejoins mes trois protagonistes à l’ombre de leurs parasols et des pins, en bord de plage dans la pinède. Ils se définissent comme un trio libertin vivant souvent ensemble weekends et vacances sans habiter ensemble. Les deux hommes, cinquantenaires, sont divorcés et accueillent régulièrement leurs grands enfants. Leur compagne mène une vie professionnelle intense qui lui laisse peu de temps pour penser famille. Ils se sont rencontrés sur un site Internet libertin et se retrouvent pour des moments de plaisir. Ils m’avouent qu’ils m’ont « assailli » parce que je leur avais paru prêt à tout pour un peu de tendresse. Ils étaient à la recherche d’un partenaire de jeu neuf et mon attitude laissait entendre que je n’étais habitué ni au libertinage, ni à la bisexualité. J’étais donc le « puceau » rêvé dont ils pourraient faire leurs choux gras pendant ces quelques jours de villégiature. Je leur confirme, s’il en était encore besoin, mes dispositions d’esprit favorables à cette aventure. Puis nous nous étendons côte à côte, fourbus de nos efforts.
A l’heure du diner, je m’apprête à me rhabiller et à les quitter lorsque la jeune femme interrompt mon geste d’une main ferme. « Notre camping-car est tout près, nous t’y invitons pour la soirée » dit-elle. Leur sommaire campement plié, je récupère mon vélo et nous voici partis tous quatre à travers la pinède. Ils me précédent et j’en profite pour admirer leurs bronzages réguliers et de couleur différente ainsi que le dandinement de leurs fesses au gré des aspérités du sentier sablonneux. L’émotion me gagne à nouveau et je fais des efforts désespérés pour qu’elle ne soit trop visible. Arrivés à l’étroite zone de stationnement, nous nous glissons derrière les véhicules pour n’être point vus de la route. Il nous faut peu de temps pour disposer une table et quatre chaises pliantes et nous voici installés, à l’abri des regards, pour l’apéritif. Nous enchainons avec un frugal diner puis repartons vers la plage, toujours totalement nus, pour assister au coucher du soleil.
Celui-ci est une pure merveille aux couleurs d’incendie. Son reflet sur nos peaux nous met en valeur bien plus que lorsqu’il était à son zénith. Instinctivement nous nous prenons par la main pour profiter de l’instant. La plage est apparemment déserte. A la disparition de l’astre du jour nous nous ruons à l’eau et batifolons gaiement. Peu à peu, le jeu prend un tour sexué et, je ne sais comment, la fille et moi nous retrouvons flanc contre flanc face à la mer, à quatre pattes, joyeusement sodomisés. Nos bras se croisent pour permettre à nos mains d’atteindre nos sexes réciproques et de les branler avec conviction jusqu’à satisfaction de nos désirs. Cette expérience est enrichissante sur le plan sensuel. Le soleil éclaire à peine la surface des eaux dans le lointain. La caresse sur nos bas ventres et cette sensation d’être rempli par l’autre et bousculé par son plaisir est un rare bonheur. Les orgasmes des uns déclenchent ceux des autres. Un nouveau bain nous permet de nous libérer de nos salissures et nos corps nus s’effondrent dans le sable indécents, repus et comblés.
Lorsque je sors de l’eau et regagne ma natte pour m’y allonger, je me sens en osmose avec les baigneurs. Je les trouve étonnamment beaux dans leur nudité. Nombre d’entre eux ne sauraient attirer mon regard s’ils étaient habillés et pourtant, je me laisse séduire tant par le bronzage des uns que par la blancheur laiteuse des autres. Je regrette mon bronzage agricole où mollets, bras et tête dénotent par rapport au reste du corps. Devant moi, un svelte athlète vieillissant délicieusement caramel voisine avec le dandinement d’un superbe cul blanc et la grosse dame qui va avec. Si l’un ou l’autre approche, je lui donne libre accès à toute mon anatomie, mais rien ne se passe. De nombreux vacanciers sont joliment étalés sur le sable. Trois jeunes femmes totalement imberbes exhibent leur sexe entre leurs cuisses largement écartées. La plus blonde des trois laisse voir une fente longue, disproportionnée par rapport à sa taille. Je pense « une chatte à fister » et continue mon chemin. Arrivé à ma natte, je me précipite sur mon téléphone qui avertit d’un message. Impossible de déchiffrer celui-ci tant le soleil est ardent et se réfléchit sur l’écran. Je me rue à couvert de la pinède en haut de la dune, mon outil à la main.
A peine abrité dans l’ombre des conifères, je concentre mon attention sur mon portable sans jeter le moindre coup d’œil autour de moi. Je suis donc rempli d’étonnement lorsque je sens une main douce se saisir de mon sexe tandis qu’une autre caresse mes fesses. Mon cœur s’accélère et ma respiration devient difficile. La caresse quitte la proximité de mes orifices pour s’égayer sur mon corps en insistant sur les zones sensibles. La pointe de mes seins, l’intérieur de mes cuisses, le creux de mes reins sont explorés. Je ferme les yeux tout à mon plaisir en serrant compulsivement mon téléphone devenu inutile. Insensiblement, mes cuisses et mes bras s’écartent pour faciliter la caresse. Ma tête est remplie d’émotions, mes joues rougissent comme celle d’une jeune fille. Je suis à la fois gêné et heureux de ce qui m’arrive.
La main avant revient peloter mes bourses et bande peu à peu mon sexe tandis que son alter-ego arrière pénètre mes fesses et caresse délicieusement mon orifice. Je laisse mon téléphone tomber au sol sous le coup de l’émotion et m’accroche au tronc de l’arbre le plus proche. Insensiblement mes jambes s’écartent encore et libèrent l’accès à mon sphincter annal. Un doigt épais, copieusement lubrifié, s’y enfonce tandis que l’autre main me branle la tige avec une conviction peu commune. Je ne me contrôle plus. Mes jambes tremblent et tout mon corps est secoué de spasmes. Une langue envahit ma bouche. Deux autres mains caressent mes seins et mes cuisses. « Tiens, mon amant est pluriel ! » Je m’effondre tête en avant vers le sol alors que mon sexe crache sa semence. Le doigt quitte mon cul et son propriétaire me maintient fesses en l’air en me tenant par les hanches. Un sexe me pénètre alors que mes mains touchent le sol sablonneux. Je suis alors soulevé par les épaules et ma bouche empalée sur un phallus dressé. Doucement, l’invasion de mon cul me projette en avant et me force à avaler plus encore. Ma gorge heurtée se révolte, remplit mes yeux de larmes et m’arrache un spasme. Je subis le rythme de mes partenaires qui me ballottent au gré de leur plaisir… et du mien… Curieusement, mon sexe est redevenu dur. Lorsque mon amant buccal me quitte pour répandre sa semence sur mon ventre, je commence à psalmodier ma jouissance à pleine gorge. Ceci a pour effet de voir mon intestin rempli de liqueur dans une suite ininterrompue de soubresauts délicieux.
C’est à ce moment que j’ouvre un œil curieux. Je distingue d’abord mon replet partenaire facial à la bouche rieuse et au sexe court et large. Lorsque je me redresse un peu plus, j’esquisse un geste de fuite. L’émotion me submerge à nouveau. Nous sommes entourés d’une dizaine d’hommes attentifs. Certains sont entièrement nus, plusieurs se caressent. Un demande l’autorisation de me toucher et caresse mon bas ventre. Nouvelle excitation visible de ma part qui est saluée par des applaudissements. Le toucheur s’enhardit et me branle doucement tandis que mon maigre amant de derrière, que je découvre, retire sa longue queue fine. Je jouis bruyamment à nouveau. Imprudemment, je tombe au sol et suis bientôt couvert du foutre des spectateurs à l’exclusion de mon visage. Etonnamment, j’aime bien cela malgré ces yeux qui se révulsent et échappent à la contemplation de mon anatomie. Dommage ! ! Toutefois, comme la pression des voyeurs devient envahissante, je me décide à me lever, récupérer mon téléphone et à le ranger dans mon sac, puis je me précipite vers l’océan dans le but de faire disparaître les miasmes de ce moment de sexe.
Dès que je touche du pied l’eau de la baïne, celle-ci me parait chaude. Après le banc de sable, elle est plus fraiche et plus agitée. J’entre prudemment dans la mer. Les vagues me libèrent rapidement de toute salissure et je me laisse porter, la tête en révolution. Je m’immerge totalement dans la fraîcheur ambiante. Je fais quelques brasses. Ma tête bourdonne toujours de plaisir. Alors que je fais la planche, une main amicale et douce se pose sur ma hanche. Je me redresse brutalement, bois la tasse, suffoque et suis accueilli en surface par un immense éclat de rire féminin. Une quarantenaire replète aux formes régulières, à la poitrine ronde et fièrement dressée, au visage agréable et poupin, me contemple d’un œil amusé. « Es-tu satisfait des attentions de mes amours ? » psalmodie la jolie jeune femme d’une voix chantante. Alors que j’acquiesce d’un signe de tête en lui jetant un regard étonné, une vague nous bouscule et nous nous retrouvons accrochés l’un à l’autre, collés l’un contre l’autre. Instinctivement je la serre contre moi tandis qu’elle s’accroche à ma taille avec force.
Je sens son sexe contre le mien, ses seins contre ma poitrine et me laisse porter par ce nouvel instant inattendu. Mes sens ne se sont pas calmés depuis l’épisode précédent. J’essaie de me comporter avec élégance et de ne pas profiter de l’occasion. Mais elle se frotte contre moi et mon sexe durcit à nouveau. Les vagues nous bousculent et notre étreinte devient de plus en plus ferme. Nos corps se massent l’un contre l’autre. Nos mains courent sur nos dos et nos séants au gré des mouvements contraints. Je glisse une main entre ses fesses jusqu’à atteindre, de deux doigts écartelés, son sexe et son cul. Je la caresse doucement. Je sens son désir et le mien devient plus qu’explicite. Mon phallus, collé à son bas ventre est devenu ferme au point d’en être gênant. Elle s’en saisit avec douceur et l’introduit dans sa grotte intime comme pour me soulager d’un fardeau. Fermement agrippés l’un à l’autre, nous nous aimons au gré du mouvement des vagues jusqu’à ce que la trop forte excitation ne nous oblige à quelques vigoureux coups de reins. Sans doute plus excitée que moi par ce qu’elle a vu dans les dunes, elle jouit en de petits râles successifs puis, me sentant prêt à défaillir, extrait mon sexe du sien et me laisse ensemencer l’océan. Nous restons ainsi, agrippés l’un à l’autre, nous caressant tendrement, jusqu’à ce que nous retrouvions notre calme puis sortons de l’eau, main dans la main. Au passage entre les baigneurs, quelques regards égrillards nous prouvent que nos ébats ne sont pas passés inaperçus.
Après avoir ramassé mes affaires, je rejoins mes trois protagonistes à l’ombre de leurs parasols et des pins, en bord de plage dans la pinède. Ils se définissent comme un trio libertin vivant souvent ensemble weekends et vacances sans habiter ensemble. Les deux hommes, cinquantenaires, sont divorcés et accueillent régulièrement leurs grands enfants. Leur compagne mène une vie professionnelle intense qui lui laisse peu de temps pour penser famille. Ils se sont rencontrés sur un site Internet libertin et se retrouvent pour des moments de plaisir. Ils m’avouent qu’ils m’ont « assailli » parce que je leur avais paru prêt à tout pour un peu de tendresse. Ils étaient à la recherche d’un partenaire de jeu neuf et mon attitude laissait entendre que je n’étais habitué ni au libertinage, ni à la bisexualité. J’étais donc le « puceau » rêvé dont ils pourraient faire leurs choux gras pendant ces quelques jours de villégiature. Je leur confirme, s’il en était encore besoin, mes dispositions d’esprit favorables à cette aventure. Puis nous nous étendons côte à côte, fourbus de nos efforts.
A l’heure du diner, je m’apprête à me rhabiller et à les quitter lorsque la jeune femme interrompt mon geste d’une main ferme. « Notre camping-car est tout près, nous t’y invitons pour la soirée » dit-elle. Leur sommaire campement plié, je récupère mon vélo et nous voici partis tous quatre à travers la pinède. Ils me précédent et j’en profite pour admirer leurs bronzages réguliers et de couleur différente ainsi que le dandinement de leurs fesses au gré des aspérités du sentier sablonneux. L’émotion me gagne à nouveau et je fais des efforts désespérés pour qu’elle ne soit trop visible. Arrivés à l’étroite zone de stationnement, nous nous glissons derrière les véhicules pour n’être point vus de la route. Il nous faut peu de temps pour disposer une table et quatre chaises pliantes et nous voici installés, à l’abri des regards, pour l’apéritif. Nous enchainons avec un frugal diner puis repartons vers la plage, toujours totalement nus, pour assister au coucher du soleil.
Celui-ci est une pure merveille aux couleurs d’incendie. Son reflet sur nos peaux nous met en valeur bien plus que lorsqu’il était à son zénith. Instinctivement nous nous prenons par la main pour profiter de l’instant. La plage est apparemment déserte. A la disparition de l’astre du jour nous nous ruons à l’eau et batifolons gaiement. Peu à peu, le jeu prend un tour sexué et, je ne sais comment, la fille et moi nous retrouvons flanc contre flanc face à la mer, à quatre pattes, joyeusement sodomisés. Nos bras se croisent pour permettre à nos mains d’atteindre nos sexes réciproques et de les branler avec conviction jusqu’à satisfaction de nos désirs. Cette expérience est enrichissante sur le plan sensuel. Le soleil éclaire à peine la surface des eaux dans le lointain. La caresse sur nos bas ventres et cette sensation d’être rempli par l’autre et bousculé par son plaisir est un rare bonheur. Les orgasmes des uns déclenchent ceux des autres. Un nouveau bain nous permet de nous libérer de nos salissures et nos corps nus s’effondrent dans le sable indécents, repus et comblés.
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Les avis des lecteurs
Sur la cinquantaine de textes écrits par l'auteur,celui ci est vraiment un de mes préférés.Merci pour ce moment.