Plaisir d'exhib 2
Récit érotique écrit par Crabou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 21 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Plaisir d'exhib 2
Résumé de la première partie:
La soirée à commencer par un souper au restaurant au cours duquel, j'ai successivement enlever mon string, introduit des boules de geisha dans mon sexe puis accroché des pinces à mes seins et aux petites lèvres de mon sexe, reliées entre elles par une chaînette. Après cela, nous sommes allés danser la samba dans un bar spécialisé. Enfin, nous venons de sortir d'un café fétichiste où mon mari m'a fait rester torse nu pendant que nous y prenions un verre. Lorsque j'ai proposé de sorti pour attendre le taxi que nous avons appelé pour rentrer, mon mari ne m'a pas rendu mon chemisier.
Et c'est donc torse nu que je sors. Il n'y a personne dans la rue. Le taxi arrive et c'est dans la même tenue que je monte à bord sous le regard ébahi du chauffeur qui ne décolle quasi pas ses yeux du rétroviseur pendant tout le trajet. L'un ou l'autre piéton profite également du spectacle lors de ralentissements ou d'arrêts à des feux rouges. Tout cela entretient mon niveau d'excitation. Je frotte mes fesses nues sur le tissu râpeux des sièges et mes cuises l'une contre l'autre pour mieux sentir les boules dans mon sexe. Je dois me faire violence pour ne pas me caresser tant j'ai envie de jouir.
Arrivé devant l'hôtel, nous descendons et je fais le tour du taxi pour venir me mettre devant la porte du chauffeur et je prends tout mon temps pour chercher dans mon sac la monnaie pour le payer. Jean en profite pour passer une main sur mes fesses, remontant au passage ma jupe pour montrer mes fesses au chauffeur.
Pour rentrer dans l'hôtel, je remets mon chemisier mais sans le boutonner, me contentant de le passer dans ma jupe. L'homme à la réception a du mal à articuler un bonsoir audible. Une fois dans l'ascenseur, mon chemisier se retrouve à nouveau sur le bras de mon mari. Nous ne croisons malheureusement personne jusqu'à la porte de notre chambre.
En entrant dans la chambre, j'abandonne mes chaussures et j'allume une grande bougie que j'avais apportée. J'ouvre la porte du balcon et vais m'accouder à la balustrade en fer forgé qui ne me cache donc pas du tout. J'admire un moment le paysage. Notre chambre est au troisième étage. L'hôtel en comporte cinq. Dans l'immeuble en face quasi aucune lumière ne brille derrière les fenêtres dont certaines sont ouvertes. Il est tard mais il fait encore chaud. Je me retourne:
• Jean, j'ai envie d'être nue. Viens me déshabiller
Il s'approche, fait glisser ses mains sur mon corps et dégrafe ma jupe qui tombe à mes pieds.
• Intégralement nue !!
Il pose un baiser sur mes lèvres, empoigne une des pinces de mes seins et l'enlève. Elles sont assez douces, mais vu le temps depuis lequel je les porte, le retour du sang dans mon téton m'arrache un premier gémissement. La seconde suit peu de temps après. Lorsque sa main descend vers mon sexe:• Enlève les toutes les deux d'un coup
Il comprend mon désir et commence par tirer un peu sur les deux pinces de mes petites lèvres pour finir par les arracher d'un geste brusque. Un long feulement s'échappe de ma gorge. Ah que j'aime cette douleur brusque qui m'envahit d'un coup. Je meurs d'envie qu'il me caresse le sexe pour atténuer cette douleur mais cela me ferait jouir tout de suite et je veux attendre encore.
J'entends un petit bruit au-dessus de nous et un visage de femme apparaît brièvement.
• Va chercher la bougie que j'ai allumée. Tu vas faire couler la cire sur mon corps. Lorsque la bougie sera complètement fondue, je serai à ton entière disposition pour le reste du week-end pour autant qu'il n'y ait pas de cire répandue sur le sol.
Mais avant, enlève moi mes boules de geisha, je veux que rien ne puisse me distraire de la cruelle caresse de la bougie sur tout mon corps.
Jean se rapproche et tend la main.
• Non pas comme. cela, avec la bouche.
De m'adosse au balcon. Jean se met à genou entre mes cuises grandes ouvertes et ave la bouche attrape le cordon des boules de geisha qu'il fait sortir une à une de mon vagin, me créant un sentiment de vide que le bougie va vite combler. Lorsque je lève la tête, je constate que c'est un homme et une femme qui m'observent cette fois sans plus trop se cacher.
Jean disparaît dans la chambre et quand il revient la bougie en main, il est torse nu et pieds nus. Moi, je me suis mise à genou, les épaules plaquées au sol et les fesses bien relevées, les cuisses légèrement écartées.
La cire commence à courir le long de ma colonne vertébrale, me créant un délicieux frisson.
Huummm, Jean verse maintenant de la cire entre mes fesses et elle coule dans ma raie. La bougie descend un peu et la cire plus chaude encore vient napper mon anus pour mon plus grand plaisir.
Jean pose la bougie sur le sol un moment pour enlever son pantalon.
A la vue de ses belles fesses mises en valeur par le string, dernier vêtement qu'il porte encore, mon excitation croit encore un peu plus. Je me retourne et me couche sur le dos. Appuyée sur les coudes, je cambre ma poitrine pour faire comprendre à Jean que cela doit être sa prochaine cible.
Il comprend et en me regardant droit dans les yeux, il verse d'un coup une grande quantité de cire sur le mamelon d'un de mes seins, m'arrachant un cri de plaisir et de souffrance mélangés. Petit à petit, ma poitrine disparaît sous la bougie. Je me contorsionne pour exposer tour à tour chacun de mes seins pour qu'aucun n'échappe à son tourment. Le couple de l'étage supérieur s'est appuyé à la balustrade de leur balcon et je peux voir qu'ils ne sont pas insensibles à ce qui m'arrive car ils se caressent un peu.
Lorsque mon mari retire son string et que son sexe se dresse fièrement, je suis quasi en transe. Je ne peux empêcher mon corps de trembler. Je n'ai plus qu'une seule envie: qu'il me pénètre de partout, que son sperme emplisse ma bouche. Cherchant à me pousser à bout, à me provoquer, ile passe sa queue à proximité de mes lèvres mais sans me laisser l'atteindre.
Je résiste et ne lui saute pas dessus mais je pose mes épaules parterre et lève le plus haut possible mon pubis en écartant largement les jambes. Je me mets à faire littéralement l'amour à la bougie en une série de mouvements langoureux; mon sexe complètement lisse allant à la rencontre de la bougie pratiquement jusqu'à la toucher puis se recule lors qu'il ne peut plus résister à la chaleur de la cire pour revenir ensuite de plus belle s'offrir à la langue de feu qui le dévore sans relâche.
Ma voisine est maintenant nue elle aussi et son mari la masturbe ouvertement.
Lorsque la bougie arrête de couler, je suis prête à descendre dans la rue faire l'amour au premier passant venu ou encore au couple au-dessus de nous.
• Tu n'as pas renversé de cire parterre. Bien ! Très bien ! Comme promis, pour le reste du week-end, tu peux me demander ce que tu veux, m'habiller comme tu le souhaites…bref, je suis à toi totalement. Si tu juges que je ne respecte pas tes ordres, il y a une cravache dans ma valise pour me punir.
Jean approche sa queue de ma bouche et je l'enfourne sans me faire prier car j'adore cela. Il ne tarde pas à jouir. Je n'avale pas tout de suite, me délectant de son nectar. Je veux l'attirer pour qu'il me fasse jouir à mon tour mais il se recule un peu et me dit:• Retourne toiEt c'est dans mon cul qu'il entre mais faisant très rapidement crier de jouissance.
Lorsque nous reprenons nos esprits, il me dit:• Tu es à mes ordres pour le week-end! Alors prends le téléphone et commande une bouteille de champagne. Tu ouvriras la porte dans cette tenue et sans enlever la cire qui couvre ton corps!
Ah, quel plaisir d'être soumise et de s'exhiber sans remord car demander par son Maître !! Mais suis-je vraiment soumise ???
La soirée à commencer par un souper au restaurant au cours duquel, j'ai successivement enlever mon string, introduit des boules de geisha dans mon sexe puis accroché des pinces à mes seins et aux petites lèvres de mon sexe, reliées entre elles par une chaînette. Après cela, nous sommes allés danser la samba dans un bar spécialisé. Enfin, nous venons de sortir d'un café fétichiste où mon mari m'a fait rester torse nu pendant que nous y prenions un verre. Lorsque j'ai proposé de sorti pour attendre le taxi que nous avons appelé pour rentrer, mon mari ne m'a pas rendu mon chemisier.
Et c'est donc torse nu que je sors. Il n'y a personne dans la rue. Le taxi arrive et c'est dans la même tenue que je monte à bord sous le regard ébahi du chauffeur qui ne décolle quasi pas ses yeux du rétroviseur pendant tout le trajet. L'un ou l'autre piéton profite également du spectacle lors de ralentissements ou d'arrêts à des feux rouges. Tout cela entretient mon niveau d'excitation. Je frotte mes fesses nues sur le tissu râpeux des sièges et mes cuises l'une contre l'autre pour mieux sentir les boules dans mon sexe. Je dois me faire violence pour ne pas me caresser tant j'ai envie de jouir.
Arrivé devant l'hôtel, nous descendons et je fais le tour du taxi pour venir me mettre devant la porte du chauffeur et je prends tout mon temps pour chercher dans mon sac la monnaie pour le payer. Jean en profite pour passer une main sur mes fesses, remontant au passage ma jupe pour montrer mes fesses au chauffeur.
Pour rentrer dans l'hôtel, je remets mon chemisier mais sans le boutonner, me contentant de le passer dans ma jupe. L'homme à la réception a du mal à articuler un bonsoir audible. Une fois dans l'ascenseur, mon chemisier se retrouve à nouveau sur le bras de mon mari. Nous ne croisons malheureusement personne jusqu'à la porte de notre chambre.
En entrant dans la chambre, j'abandonne mes chaussures et j'allume une grande bougie que j'avais apportée. J'ouvre la porte du balcon et vais m'accouder à la balustrade en fer forgé qui ne me cache donc pas du tout. J'admire un moment le paysage. Notre chambre est au troisième étage. L'hôtel en comporte cinq. Dans l'immeuble en face quasi aucune lumière ne brille derrière les fenêtres dont certaines sont ouvertes. Il est tard mais il fait encore chaud. Je me retourne:
• Jean, j'ai envie d'être nue. Viens me déshabiller
Il s'approche, fait glisser ses mains sur mon corps et dégrafe ma jupe qui tombe à mes pieds.
• Intégralement nue !!
Il pose un baiser sur mes lèvres, empoigne une des pinces de mes seins et l'enlève. Elles sont assez douces, mais vu le temps depuis lequel je les porte, le retour du sang dans mon téton m'arrache un premier gémissement. La seconde suit peu de temps après. Lorsque sa main descend vers mon sexe:• Enlève les toutes les deux d'un coup
Il comprend mon désir et commence par tirer un peu sur les deux pinces de mes petites lèvres pour finir par les arracher d'un geste brusque. Un long feulement s'échappe de ma gorge. Ah que j'aime cette douleur brusque qui m'envahit d'un coup. Je meurs d'envie qu'il me caresse le sexe pour atténuer cette douleur mais cela me ferait jouir tout de suite et je veux attendre encore.
J'entends un petit bruit au-dessus de nous et un visage de femme apparaît brièvement.
• Va chercher la bougie que j'ai allumée. Tu vas faire couler la cire sur mon corps. Lorsque la bougie sera complètement fondue, je serai à ton entière disposition pour le reste du week-end pour autant qu'il n'y ait pas de cire répandue sur le sol.
Mais avant, enlève moi mes boules de geisha, je veux que rien ne puisse me distraire de la cruelle caresse de la bougie sur tout mon corps.
Jean se rapproche et tend la main.
• Non pas comme. cela, avec la bouche.
De m'adosse au balcon. Jean se met à genou entre mes cuises grandes ouvertes et ave la bouche attrape le cordon des boules de geisha qu'il fait sortir une à une de mon vagin, me créant un sentiment de vide que le bougie va vite combler. Lorsque je lève la tête, je constate que c'est un homme et une femme qui m'observent cette fois sans plus trop se cacher.
Jean disparaît dans la chambre et quand il revient la bougie en main, il est torse nu et pieds nus. Moi, je me suis mise à genou, les épaules plaquées au sol et les fesses bien relevées, les cuisses légèrement écartées.
La cire commence à courir le long de ma colonne vertébrale, me créant un délicieux frisson.
Huummm, Jean verse maintenant de la cire entre mes fesses et elle coule dans ma raie. La bougie descend un peu et la cire plus chaude encore vient napper mon anus pour mon plus grand plaisir.
Jean pose la bougie sur le sol un moment pour enlever son pantalon.
A la vue de ses belles fesses mises en valeur par le string, dernier vêtement qu'il porte encore, mon excitation croit encore un peu plus. Je me retourne et me couche sur le dos. Appuyée sur les coudes, je cambre ma poitrine pour faire comprendre à Jean que cela doit être sa prochaine cible.
Il comprend et en me regardant droit dans les yeux, il verse d'un coup une grande quantité de cire sur le mamelon d'un de mes seins, m'arrachant un cri de plaisir et de souffrance mélangés. Petit à petit, ma poitrine disparaît sous la bougie. Je me contorsionne pour exposer tour à tour chacun de mes seins pour qu'aucun n'échappe à son tourment. Le couple de l'étage supérieur s'est appuyé à la balustrade de leur balcon et je peux voir qu'ils ne sont pas insensibles à ce qui m'arrive car ils se caressent un peu.
Lorsque mon mari retire son string et que son sexe se dresse fièrement, je suis quasi en transe. Je ne peux empêcher mon corps de trembler. Je n'ai plus qu'une seule envie: qu'il me pénètre de partout, que son sperme emplisse ma bouche. Cherchant à me pousser à bout, à me provoquer, ile passe sa queue à proximité de mes lèvres mais sans me laisser l'atteindre.
Je résiste et ne lui saute pas dessus mais je pose mes épaules parterre et lève le plus haut possible mon pubis en écartant largement les jambes. Je me mets à faire littéralement l'amour à la bougie en une série de mouvements langoureux; mon sexe complètement lisse allant à la rencontre de la bougie pratiquement jusqu'à la toucher puis se recule lors qu'il ne peut plus résister à la chaleur de la cire pour revenir ensuite de plus belle s'offrir à la langue de feu qui le dévore sans relâche.
Ma voisine est maintenant nue elle aussi et son mari la masturbe ouvertement.
Lorsque la bougie arrête de couler, je suis prête à descendre dans la rue faire l'amour au premier passant venu ou encore au couple au-dessus de nous.
• Tu n'as pas renversé de cire parterre. Bien ! Très bien ! Comme promis, pour le reste du week-end, tu peux me demander ce que tu veux, m'habiller comme tu le souhaites…bref, je suis à toi totalement. Si tu juges que je ne respecte pas tes ordres, il y a une cravache dans ma valise pour me punir.
Jean approche sa queue de ma bouche et je l'enfourne sans me faire prier car j'adore cela. Il ne tarde pas à jouir. Je n'avale pas tout de suite, me délectant de son nectar. Je veux l'attirer pour qu'il me fasse jouir à mon tour mais il se recule un peu et me dit:• Retourne toiEt c'est dans mon cul qu'il entre mais faisant très rapidement crier de jouissance.
Lorsque nous reprenons nos esprits, il me dit:• Tu es à mes ordres pour le week-end! Alors prends le téléphone et commande une bouteille de champagne. Tu ouvriras la porte dans cette tenue et sans enlever la cire qui couvre ton corps!
Ah, quel plaisir d'être soumise et de s'exhiber sans remord car demander par son Maître !! Mais suis-je vraiment soumise ???
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