Plaisir inavouable
Récit érotique écrit par Catherine1970 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Plaisir inavouable
Comment ai je pu me donner à un ami de ma fille ?
Le pire c'est que je ne sais même pas si je dois regretter ce que j'ai fait tellement mon amant m'avait donné du plaisir.
Ce jour là j'étais seule à la maison, mon mari était en déplacement pour des raisons professionnelles et ma fille était restée à la fac chez sa copine car elle avait une compétition de volley. Il faisait très chaud ce jour là et la sonnette retentie alors que je sortais de la douche. J'enfilais rapidement un peignoir et allait ouvrir. C'était Mehdi qui venait chercher ses cd. Je fus gênée par ma tenue mais je le fis entrer quand même. Mehdi est un très beau jeune homme de 23 ans, d'allure sportive, assez grand et costaud, des cheveux courts et mat de peau. Je le conduisis alors jusqu'au salon et je passais devant lui. Il s'excusa de me déranger puis me saisit la main droite pour me faire pivoter face à lui. Dans l'élan mon peignoir s'entrouvrit et il découvrait une partie dénudée de ma poitrine.
- Je vous trouve vraiment charmante et désirable dans cette tenue.... me lança t’il avec un sourire charmeur. Je ne sus plus quoi répondre et rougis devant ses propos. Essayant de garder les idées claires, je ne savais pas comment réagir quand sa main droite s'immisce en un éclair sur mes hanches. Je ne bougeais plus, mon esprit était ailleurs. Sa main remontait doucement vers ma poitrine et je le laissais faire sans réagir. J'aurais du lui demander d'arrêter mais j'étais tiraillée entre la peur et le désir que je ne contrôlais pas. L'excitation provoquée par la situation fit je ne pouvais retenir les frissons qui m'envahissaient par le ventre. Quand ses deux mains se sont emparées de me seins, j'ai compris que je n'avais pas la force de le repousser. Je restais là immobile contre le mur, perdue, ne comprenant pas ce qui m'arrivait. Il semblait si sur de lui quand ses lèvres se posèrent dans mon cou et me soufflait au creux de l'oreille qu'il me désirait et qu'il me trouvait très réceptive.
- Que m’arrivait t-il ? Pourquoi moi ? me demandais je. Je me rendais bien compte que j'allais commettre l'irréparable avec un ami de ma fille mais c'était plus fort que moi. Ce fut le chao complet, je ne me reconnaissais plus. La suite fut rapide. Je fus prise dans un tourbillon incroyable. Mehdi dégrafa son pantalon. En quelques secondes, il exhibait fièrement un sexe d'une taille impressionnante. Mes yeux le fixait béatement, il profita de mon trouble pour me prendre la main et y mettre son sexe entre mes doigts. Puis il me retourna prestement, me fit pencher légèrement en avant .Je sentais sa queue me frotter les fesses et ses mains courir sur mon ventre, entre mes cuisses, puis caresser mes fesses et chatouiller mon anus pour me dire :"Tu n'as qu'un mot à dire pour que je te prennes, là, debout, je te sens très chaude et j'ai trop envie de te baiser..." Je l'écoutais sans dire un mot, jamais un homme ne m'avait parlé de cette façon. Ses doigts fouillaient mon intimité et je gémissais couinant de manière indécente. Puis il fit tomber mon peignoir pour se coller à moi. Je sentis son sexe dur battre entre mes cuisses. il poussa son gland à l’entrée de mon vagin, un frisson parcourut tout mon corps et je lui demandais de s'arrêter. J’avais l’impression que sa progression ne finirait pas. Il allait toujours plus profond dans une lenteur calculée. Ma respiration s'accélérait quand il bougea en moi lentement. Il s’activa de plus en plus rapidement et je ne pouvais me retenir d'exprimer ma jouissance. Il continuait ces va et vient puis se retira soudainement pour se positionner à l'entrée de mon anus. Un "non" spontané sortit du fond de ma gorge serrée mais je n'étais pas en état de le repousser. D'une voix calme il me dit que j'allais connaître le summum du plaisir et qu'il fallait que je me détende. Je réitérais mon refus.
- — Maintenant, tu vas me donner ton cul, je sens que ta petite rondelle ne demande qu'à se faire éclater.
- _ Non, pas par là!
- _ Oh que si ma jolie, me répondit-il... n'ai pas peur, détend toi, tu vas adorer te faire enculer tu vas voir.
- _ Non pas ça ! lui répétais je paniquée. Il dégageait une force si puissante que je ne pus me dégager. Quand il poussa doucement pour forcer le passage, ma respiration s'accéléra, une douleur vive semblait me transpercer le dos. Je ressentis comme une barre d'acier brûlante progressant centimètre par centimètre dans le coeur de mes entrailles. Dés lors je me mis à onduler de manière indécente, à gémir sourdement acceptant non sans mal mon sort. Puis il s'amusait à me mettre des petites claques sur les fesses me disant que j'étais bien serrée et qu'il raffolait de mon cul.
- - Laisse toi aller ma belle, je sens que tu commences déjà à aimer çà ...Le plaisir était en train de m’envahir comme une onde puissante, des orteils à la racine des cheveux. C'était un étrange mélange de sensation de douleur, de soumission et de bestialité. Je m'entendais couiner à chaque coup de reins puis il s’emballa et ce fut l’orgasme, un orgasme ravageur et bruyant comme je n’en avais jamais éprouvé en vingt ans de vie sexuelle. Alors il m'envoya un dernier coup de rein puissant pour me posséder profondément, il restait immobile bien calé en moi et avec le reste de lucidité qui me restait je savourais sa semence qui m'inondait l'intérieur. Alors il se retira et je renfilais rapidement mon peignoir sans oser le regarder et je le priais de partir. Il se rhabillait doucement à son tour puis prit un bout de papier et un stylo posé sur le petit meuble pour y inscrire son numéro de téléphone. En partant il me remercia et me proposa de le rappeler quand je voulais et attendait rapidement de mes nouvelles pour me "faire le cul".
Le pire c'est que je ne sais même pas si je dois regretter ce que j'ai fait tellement mon amant m'avait donné du plaisir.
Ce jour là j'étais seule à la maison, mon mari était en déplacement pour des raisons professionnelles et ma fille était restée à la fac chez sa copine car elle avait une compétition de volley. Il faisait très chaud ce jour là et la sonnette retentie alors que je sortais de la douche. J'enfilais rapidement un peignoir et allait ouvrir. C'était Mehdi qui venait chercher ses cd. Je fus gênée par ma tenue mais je le fis entrer quand même. Mehdi est un très beau jeune homme de 23 ans, d'allure sportive, assez grand et costaud, des cheveux courts et mat de peau. Je le conduisis alors jusqu'au salon et je passais devant lui. Il s'excusa de me déranger puis me saisit la main droite pour me faire pivoter face à lui. Dans l'élan mon peignoir s'entrouvrit et il découvrait une partie dénudée de ma poitrine.
- Je vous trouve vraiment charmante et désirable dans cette tenue.... me lança t’il avec un sourire charmeur. Je ne sus plus quoi répondre et rougis devant ses propos. Essayant de garder les idées claires, je ne savais pas comment réagir quand sa main droite s'immisce en un éclair sur mes hanches. Je ne bougeais plus, mon esprit était ailleurs. Sa main remontait doucement vers ma poitrine et je le laissais faire sans réagir. J'aurais du lui demander d'arrêter mais j'étais tiraillée entre la peur et le désir que je ne contrôlais pas. L'excitation provoquée par la situation fit je ne pouvais retenir les frissons qui m'envahissaient par le ventre. Quand ses deux mains se sont emparées de me seins, j'ai compris que je n'avais pas la force de le repousser. Je restais là immobile contre le mur, perdue, ne comprenant pas ce qui m'arrivait. Il semblait si sur de lui quand ses lèvres se posèrent dans mon cou et me soufflait au creux de l'oreille qu'il me désirait et qu'il me trouvait très réceptive.
- Que m’arrivait t-il ? Pourquoi moi ? me demandais je. Je me rendais bien compte que j'allais commettre l'irréparable avec un ami de ma fille mais c'était plus fort que moi. Ce fut le chao complet, je ne me reconnaissais plus. La suite fut rapide. Je fus prise dans un tourbillon incroyable. Mehdi dégrafa son pantalon. En quelques secondes, il exhibait fièrement un sexe d'une taille impressionnante. Mes yeux le fixait béatement, il profita de mon trouble pour me prendre la main et y mettre son sexe entre mes doigts. Puis il me retourna prestement, me fit pencher légèrement en avant .Je sentais sa queue me frotter les fesses et ses mains courir sur mon ventre, entre mes cuisses, puis caresser mes fesses et chatouiller mon anus pour me dire :"Tu n'as qu'un mot à dire pour que je te prennes, là, debout, je te sens très chaude et j'ai trop envie de te baiser..." Je l'écoutais sans dire un mot, jamais un homme ne m'avait parlé de cette façon. Ses doigts fouillaient mon intimité et je gémissais couinant de manière indécente. Puis il fit tomber mon peignoir pour se coller à moi. Je sentis son sexe dur battre entre mes cuisses. il poussa son gland à l’entrée de mon vagin, un frisson parcourut tout mon corps et je lui demandais de s'arrêter. J’avais l’impression que sa progression ne finirait pas. Il allait toujours plus profond dans une lenteur calculée. Ma respiration s'accélérait quand il bougea en moi lentement. Il s’activa de plus en plus rapidement et je ne pouvais me retenir d'exprimer ma jouissance. Il continuait ces va et vient puis se retira soudainement pour se positionner à l'entrée de mon anus. Un "non" spontané sortit du fond de ma gorge serrée mais je n'étais pas en état de le repousser. D'une voix calme il me dit que j'allais connaître le summum du plaisir et qu'il fallait que je me détende. Je réitérais mon refus.
- — Maintenant, tu vas me donner ton cul, je sens que ta petite rondelle ne demande qu'à se faire éclater.
- _ Non, pas par là!
- _ Oh que si ma jolie, me répondit-il... n'ai pas peur, détend toi, tu vas adorer te faire enculer tu vas voir.
- _ Non pas ça ! lui répétais je paniquée. Il dégageait une force si puissante que je ne pus me dégager. Quand il poussa doucement pour forcer le passage, ma respiration s'accéléra, une douleur vive semblait me transpercer le dos. Je ressentis comme une barre d'acier brûlante progressant centimètre par centimètre dans le coeur de mes entrailles. Dés lors je me mis à onduler de manière indécente, à gémir sourdement acceptant non sans mal mon sort. Puis il s'amusait à me mettre des petites claques sur les fesses me disant que j'étais bien serrée et qu'il raffolait de mon cul.
- - Laisse toi aller ma belle, je sens que tu commences déjà à aimer çà ...Le plaisir était en train de m’envahir comme une onde puissante, des orteils à la racine des cheveux. C'était un étrange mélange de sensation de douleur, de soumission et de bestialité. Je m'entendais couiner à chaque coup de reins puis il s’emballa et ce fut l’orgasme, un orgasme ravageur et bruyant comme je n’en avais jamais éprouvé en vingt ans de vie sexuelle. Alors il m'envoya un dernier coup de rein puissant pour me posséder profondément, il restait immobile bien calé en moi et avec le reste de lucidité qui me restait je savourais sa semence qui m'inondait l'intérieur. Alors il se retira et je renfilais rapidement mon peignoir sans oser le regarder et je le priais de partir. Il se rhabillait doucement à son tour puis prit un bout de papier et un stylo posé sur le petit meuble pour y inscrire son numéro de téléphone. En partant il me remercia et me proposa de le rappeler quand je voulais et attendait rapidement de mes nouvelles pour me "faire le cul".
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