Plaisir – presque – solitaire

- Par l'auteur HDS Petitchimiste2 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Plaisir – presque – solitaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Plaisir – presque – solitaire
Suite du récit "Effeuillage".

A quelque deux mètres du piédestal de la statue, mon épouse et moi laissâmes les deux quadragénaires puis continuâmes notre marche jusqu’à sa base ; je l’enlaçai puis la serrai contre moi. Je sentais au travers de ma chemise ses aréoles durcies, et la consistance souple de ses seins. Nous étions de profil par rapport à ses deux autres amants d’une nuit, qui nous observaient échanger quelques brefs baisers pendant que nous dialoguions à voix basses.

- Pourquoi ne me baisez-vous pas, me demanda-t-elle ? Suis-je si peu désirable que ça ? J’ai accepté de me laisser entièrement dévêtir en plein Paris, sans que ça ne vous fasse le moindre effet, vous êtes restés tous les trois habillés !

En l’écoutant, je me rendis compte que mon érection était belle mais pas exceptionnelle ; c’est pourquoi je lui expliquai :
- Ces deux quadragénaires sont expérimentés ; te voir à poil ne les excite pas plus que ça, il leur faut un petit truc en plus !

Nous nous embrassâmes plus longuement ; après quelques secondes de réflexion, elle me proposa :
- Tu pourrais me sauter par derrière devant eux !
- Je ne crois pas que ça suffise pour les exciter, expliquai-je. Par contre si tu te finis comme tu peux, ça fera un effet bœuf !

Elle observa les alentours, puis me répondis :
- Il n’y a pas d’objet phallique ici !
- Utilise tes doigts, proposai-je.
- Tu veux que je me branle devant vous trois, s’inquiéta-t-elle ?
- Si tu atteins l’orgasme, je suis sur que ça nous déridera, insistai-je !

Ses yeux devinrent pétillants, et un sourire éclaira son visage.

- Vous ne serez pas déçus, me dit-elle
Plusieurs raisons poussent les femmes à se masturber. La plupart du temps, elles le font en solitaire, lorsqu’il manque un mâle dans leurs lits. Parfois elles le font après l’amour, quand elles estiment que leurs partenaires n’ont pas été suffisamment performants, c’est humiliant pour eux. D’autres fois, elles utilisent cette pratique comme préliminaire ; elles invitent ainsi leurs amants à leur faire atteindre un nirvana plus élevé que celui qu’elles atteignent en solo. A cet instant précis, pour mon épouse, la masturbation était plus qu’un préliminaire, c’était une arme de séduction, puisque nous étions tous les trois encore habillés.

La Statue de la Liberté s’érige sur un piédestal en béton de six mètres de hauteur, dont la base carrée a des côtés de trois mètres. Une bande horizontale de ciment lisse d’un mètre de largeur entoure le piédestal.

Je rejoignais les deux quadragénaires, alors que mon épouse s’installait debout contre le piédestal, face à nous et au Pont de Grenelle ; nous baignions tous les quatre dans une lumière très intense. Elle écarta ses talons d’environ quarante-cinq centimètres, et ouvrit ses pieds à angle droit ; ses genoux pointaient vers l’extérieur, et l’ouverture de ses cuisses mesurait près de trente degrés. Les deux quadragénaires et moi nous assîmes en tailleur sur le sol pour mieux observer son sexe par en dessous.

Elle se lécha longuement les doigts de sa main droite, qui caressèrent ensuite son sexe. Elle leur fit faire plusieurs aller-retour assez lents, de l’intersection de ses petites lèvres à l’anus ; à chaque fois qu’ils l’atteignaient, mon épouse devait pencher son torse légèrement vers l’avant, et ses seins se décollaient de sa poitrine de quelques centimètres.

Sa main gauche rejoignit la droite, chacune d’elles caressait à plusieurs reprises une lèvre sur toute sa longueur. Puis elle rentra ses fesses pour nous montrer son sexe que ses doigts écartaient pour exhiber sa vulve. Son index et son majeur gauches excitaient son clitoris, alors que les mêmes doigts de la main droite caressaient ses muqueuses luisantes en faisant des petits mouvements circulaires. Ses seins remuaient de droite à gauche, et sa bouche s’ouvrait en cul-de-poule ; son visage grimaçait légèrement : ses rides du lion se creusaient à peine.

Elle fit ensuite glisser son index et son majeur gauche de chaque côté de ses lèvres, pour davantage ouvrir sa vulve. Elle dévoilait ainsi l’entrée de son vagin que les doigts de sa main droite caressaient délicatement. Elle plia ses genoux pour écarter un peu plus ses cuisses, et fit entrer son majeur et son annulaire dans son intimité. Pour que la pénétration fût plus profonde, elle dut encore pencher son buste vers l’avant et ses seins se décollèrent une nouvelle fois de sa poitrine. Ses rides du lion se creusaient plus profondément, et celles horizontales du front se marquaient. Alors qu’elle remuait les doigts dans son vagin, ses seins s’agitaient en un léger mouvement pendulaire, et son visage grimaçait davantage : elle clignait des yeux et ses ailes du nez se dilataient ; ses rides de la patte d’oie devenaient clairement visibles, ses sillons naso-géniens se creusaient sous l’effet des rictus de plaisir.

Ce traitement de son sexe dura quelques minutes ; elle entra ensuite à nouveau ses fesses, et passa sa main droite luisante de son lubrifiant intime dans ses cheveux, avant d’en lécher les doigts, comme si elle voulait goûter ses sécrétions vaginales. Alors que sa main gauche reprenait délicatement l’excitation de son clitoris, ses doigts droits quittaient sa bouche pour caresser une nouvelle fois sa vulve. Dans les instants qui suivirent, les mouvements de ses phalanges s’accéléraient peu à peu.

Elle lécha ensuite les doigts de ses deux mains ; nous remarquâmes que ses petites lèvres avaient gonflé sous l’effet du plaisir au point d’en écarter les grandes de trois bons centimètres juste en dessous de sa toison tondue. Ses dix doigts rejoignirent rapidement son sexe, les gauches excitaient son clitoris, les droits caressaient à plusieurs reprises sa vulve de haut en bas puis de bas en haut ; les rides de son visage se creusaient davantage, elle émettait quelques petits gémissements discrets. Après quelques minutes, elle pencha une fois encore son buste vers l’avant et fit pénétrer à plusieurs reprises son majeur droit dans son vagin ; alors que ses doigts gauches excitaient son clitoris de petits mouvements circulaires et que ses seins ballottaient d’avant en arrière, elle alterna pénétrations digitales et caresses vulvaires avec les doigts de sa main droite pendant de longs instants.

Elle fit remonter sa main gauche vers ses seins qu’elle se mit à pétrir longuement à plusieurs reprises, sans pour autant cesser les mouvements des doigts de son autre main. Elle reprit ensuite les caresses de sa vulve à deux mains, tout en écartant davantage ses talons ; ses pieds restaient ouverts à angle droit.

Elle rentra ses fesses pour nous montrer sa vulve qu’elle caressait toujours. Puis elle plia lentement ses genoux, son buste glissait le long du piédestal de la statue et l’écartement de ses cuisses augmentait. Lorsqu’il atteignit un angle droit, elle cessa de plier es genoux, et ses caresses sur son sexe se firent plus rudes. Les rides de son visage devenaient plus profondes.

Elle recommença à plier ses genoux lentement, tout en continuant de comprimer sa vulve dorénavant rouge de ses deux mains. Ses seins rebondirent plusieurs fois sous l’effet des caresses appuyées sur ses muqueuses lors de la descente de son buste.

Elle arrêta une nouvelle fois de plier ses genoux lorsque l’angle de ses cuisses fut plat ; elles étaient perpendiculaires à son tronc, les rebonds de ses seins s’intensifièrent. Elle accéléra à plusieurs reprises les mouvements de ses doigts sur son clitoris et sa vulve. Elle ouvrit souvent la bouche pour émettre quelques profonds soupirs, les grimaces rendaient son visage méconnaissable.

Tout en se caressant, elle reprit la descente de son buste le long du piédestal en pliant davantage ses genoux. Lorsque ses fesses atteignirent le sol en ciments, elle y posa ses mains, puis ouvrit ses cuisses orthogonalement à son tronc ; ses mollets étaient parallèles à son buste ; ses cous de pied touchaient le sol, ses genoux en étaient distants d’à peine dix centimètres.

Elle fit avancer l’ensemble pieds, jambes et bassins vers nous, puis appuya sa nuque et ses omoplates contre la base du piédestal ; son ventre et son bassin étaient en position horizontale ; ses seins s’étalaient sur sa poitrine oblique, leur ptose chassait les aréoles vers les aisselles.

Sa position totalement impudique provoqua en moi une intensification de mon plaisir ; ma verge se sentit soudain à l’étroit dans mes vêtements; elle me faisait légèrement souffrir : je glissais donc une main dans mon pantalon pour la libérer. L’élastique de mon slip la comprimait dorénavant en son milieu, mon gland frôlait ma ceinture. Sous l’effet de l’érection, la peau de mes bourses était lisse et tendue, elles comprimaient mes testicules.

Elle reprit les caresses sur sa vulve et son clitoris. Puis elle écarta ses petites lèvres de sa main gauche, alors qu’elle léchait à nouveau ses doigts droits. Elle nous présentait ainsi son vagin béant ; ses doigts droits descendirent le long de son ventre et son index atteignit bientôt son clitoris qu’elle excitait durement.

Elle accéléra les mouvements de sa main droite, son bassin montait et descendait à plusieurs reprises, sa vulve et son index s’agitaient de façon synchronisée et ses fesses roulaient sur le sol en ciment.

Mon épouse était très bien proportionnée ; et en observant ses seins et l’intérieur de ses cuisses qu’elle nous montrait ostensiblement, je remarquais qu’elle n’avait aucune vergeture. Et ses fesses qui roulaient sur le ciment ne faisaient pas apparaître d’effet peau d’orange. Enfin, les plis de son ventre au niveau du diaphragme ne formaient guère de bourrelets disgracieux. Cette absence de ces types de défauts est rare chez une multipare ; il faut avouer qu’elle avait pris grand soin d’elle pendant les grossesses et les périodes d’allaitement.

Alors que ses doigts experts tripotaient sa vulve et son clitoris, sa respiration devint saccadée et quelque peu bruyante. Son visage grimaçant prouvait que son plaisir sexuel allait croissant, ses seins montaient et descendaient en fonction de ses inspirations et expirations d’air. Ses deux mains se mirent à exciter longuement son clitoris ; sous l’effet des mouvements de son bassin, ses mollets détendus tremblaient.

Pendant que sa main gauche excitait son clitoris, elle fit entrer puis ressortir son majeur droit dans son sexe ; elle répéta ces mouvements plusieurs fois, d'abord lentement, puis plus rapidement ; les oscillations de son bassin s’intensifièrent. Les fouilles vaginales étaient de plus en plus profondes.

Son annulaire droit rejoignit le majeur. Les deux doigts firent des aller retour de plus en plus rapides. Les mouvements du bassin s'accélérèrent encore, faisant davantage rouler ses fesses sur le sol.

Ces excitations vaginales et clitoridiennes durèrent près de cinq minutes. A plusieurs reprises, son corps fut soumis à des petits soubresauts, alors que les grimaces de son visage se marquaient encore plus profondément, et que ses seins tressautaient. Elle parvint néanmoins à se contrôler, donc à retarder son orgasme, en faisant sortir ses doigts de son vagin. Elle continua à caresser sa vulve avec ses deux mains.

Elle écarta davantage ses petites lèvres ; à la base de sa vulve dorénavant écarlate, son vagin était grand ouvert. Elle reprit ses pénétrations vaginales avec le majeur et l'annulaire de sa main droite, alors que ses doigts gauches appuyaient fermement sur son clitoris. Ses fouilles lui permettaient d’exciter les parois de son intimité ; elle s’humecta plusieurs fois les lèvres de son visage avec sa langue ; elle clignait des yeux, tant ses grimaces de plaisir déformaient son regard ; puis elle fit passer sa main droite dans ses cheveux, alors que ses majeur et annulaire gauches fouillaient frénétiquement son vagin
Sa respiration devint plus profonde et plus bruyante, elle la retint à plusieurs reprises ; lorsqu'elle la reprenait, elle émettait de petits gémissements.

Les mouvements de son bassin s'accélérèrent, ses mollets tremblaient davantage ; ses fesses semblaient rebondir sur le sol. Ses caresses sur sa vulve et son clitoris s'intensifièrent encore, ses omoplates se décollèrent du piédestal, mon épouse ne reprit cependant pas une position assise : sa vulve ouverte était donc parfaitement visible. Sa respiration devint bruyante, elle se caressait vulve et clitoris sans ménagement.

Ses omoplates se recollèrent contre le piédestal ; son plaisir semblait diminuer. Mais bien vite, elle les décolla à nouveau du mur ; les mouvements de ses doigts et sa respiration saccadée s'accélérèrent encore, ses gémissements devinrent plus profonds.

Elle leva le menton, puis retint de nouveau sa respiration. Les doigts de sa main droite reprirent leurs fouilles vaginales ; elle se remit à haleter bruyamment, ses seins remuaient brutalement.

Les mouvements de ses doigts étaient dorénavant très rapides : ses fouilles vaginales et excitations clitoridiennes atteignirent leur paroxysme, au point que son corps explosa une première fois ; elle poussa un puissant cri de plaisir, ses fesses décollèrent de quelques centimètres du sol ; elle y posa sa main gauche derrière elle pour en atténuer l’atterrissage sur le ciment et reprendre son équilibre. Les doigts de sa main droite continuaient leurs fouilles vaginales.

Elle ne contrôlait plus ses mouvements spasmodiques. Elle haleta encore trois ou quatre fois, puis deux soubresauts consécutifs et inattendus encore plus violents que le premier parcoururent son corps. Alors qu'elle semblait reprendre le contrôle d'elle-même, un quatrième soubresaut la surprit ; pour chacun d’eux, ses fesses avaient décollé puis atterri, et sa bouche ouverte avait émis un puissant cri de plaisir.

Elle recolla ses omoplates et sa nuque contre le piédestal, et laissa ses cuisses écartées ; ses bras reposaient sur le sol le long de son buste. Elle ferma ensuite les yeux pour reprendre son souffle et ses esprits pendant de longues secondes durant lesquelles les deux quadragénaires se levaient puis retiraient leurs pantalons et caleçons. Je rangeais ces habits dans le sac. Le visage de mon épouse reprenait son aspect normal, au fur et mesure que les grimaces s’atténuaient, alors qu’elle se pétrissait les seins. Je m’aperçus que les érections des quadragénaires étaient semblables à la mienne.

Avait-elle simulé ? Je ne le pensais pas. Les rebonds de ses fesses sur le ciment et de ses seins retenus par sa poitrine l’avaient fait souffrir ; si elle avait simulé, son plaisir sexuel n’aurait pas compensé ces douleurs, donc ses soi-disant spasmes orgasmiques auraient été moins amples. De plus, pendant l’orgasme, ses cris puissants auraient pu attirer quelques badauds, au risque de se retrouver intégralement nue en pleine nuit à Paris et sous une lumière intense au centre d’une petite foule d’inconnus. Si elle avait simulé, ses cris auraient été moins forts. De plus, en cinq ans de vie commune, je n'avais jamais vu son corps exploser de cette façon.

Je ne regrettais pas d’avoir fait languir mon épouse pendant près d’une heure : si nous les trois hommes l’avions honorée plus rapidement, elle ne se serait certainement pas masturbée jusqu’à atteindre une telle extase. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle constata que les sexes des quadragénaires étaient nus. Elle se rua vers l’un d’eux telle une meurt-de-faim, s’agenouilla devant lui, s’assit sur les talons et goba la verge qui lui était offerte. Alors qu’elle faisait entrer puis sortir le pénis dans sa bouche, elle faisait rouler les testicules du second quadragénaire dans la paume de sa main.

Les entrées et sorties de la verge dans sa bouche étaient rapides Lorsque le pénis y entrait, ses joues se creusaient, son torse s’avançait jusqu’à ce que ses seins se collent contre les cuisses de son partenaire. Mais lorsque le pénis en sortait, ses joues se regonflaient, son buste reculait, sa poitrine se séparait des cuisses, puis ses seins se décollaient de son torse. Parfois, avant de faire à nouveau entrer la verge dans sa bouche, elle mordillait la base de gland, son partenaire émettait de petits râles rauques.

Mon épouse accéléra les va-et-vient de la verge dans sa bouche, tout en faisant rouler les testicules de l’autre quadragénaire dans sa paume. Lorsqu’elle avançait son torse, ses seins claquaient contre sa poitrine, comme s’ils applaudissaient une performance artistique de haut vol.

Tout en continuant les succions de la verge et les attouchements de testicules, elle agrippa de sa main libre la taille de mon pantalon pour me rapprocher d’elle. Elle déboucla ma ceinture, ouvrit ma braguette, déboutonna mon pantalon, le baissa jusqu’aux genoux. Elle tira l’entrejambe de mon slip pour découvrir mon sexe. Elle se mit à jouer avec mes testicules en les pinçant délicatement et rapidement l’une après l’autre.

Le quadragénaire qu’elle suçait tint à peine dix minutes avant d’éjaculer dans sa bouche en émettant un grand cri rauque. Elle en fit sortir la verge, déglutit, nettoya le sexe masculin en léchant le gland et en gobant les testicules. Elle se déplaça ensuite à genoux vers le second quadragénaire dont elle goba le pénis. Elle me lâcha pour saisir les bourses de l’homme qu’elle venait de faire jouir ; j’en profitai pour ôter mon pantalon et mon slip que je rangeai dans le sac, puis me déplaçai ver sa main libre.

Elle pratiqua le même type de fellation à son nouveau partenaire qui éjacula plus vite que le premier. Comme elle ne se sentait pas totalement comblée, elle continua les succions alors que ses seins applaudissaient encore. Bien qu’elle se fût attardée longuement sur ce second sexe, elle ne réussit pas à faire jouir son partenaire une seconde fois. Puis ce fut à mon tour de subir les affres de la fellation.

Ses gobages étaient remarquables ; elle alternait succions et mordillements qui étaient particulièrement agréables lorsqu’elle s’attaquait à la base du gland. Je tentais de retarder le plus possible l’émission de mon sperme, mais je ne pus me retenir au-delà de dix minutes. Je finis par éjaculer généreusement, elle avala ma semence. Malgré la libération de sperme, mes testicules restaient néanmoins congestionnées.

Je l’aidai ensuite à se relever, puis dirigeai l’équipe sous le tablier du Pont de Grenelle ; il était deux heures du matin.

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