Plaisir solitaire dans le train
Récit érotique écrit par Wobniar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2016 dans la catégorie En solitaire
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Plaisir solitaire dans le train
Ma mère a toujours dit que je devais avoir des épingles sous les fesses. Je ne tiens jamais en place. Je vous laisse imaginer mon état après 3h de train... Je fais 1m75, je ne sais jamais quoi faire de mes jambes. En plus, je suis impatiente. Je vais rejoindre la plus belle femme que je connaisse. Celle de tous mes fantasmes. Je ne l'ai pas vu depuis près de six mois. Alors je change de position toutes les minutes à peu près. Jambes croisées. Jambes décroisées. Jambes sur le côté. Et soudain... Jambes appuyées contre le siège de devant. Je suis bien comme ça, mes jambes sont juste un peu relevées. Je pose la tête en arrière, ce qui cambre mon buste. Je sens la clim arriver à hauteur de mes seins. Je ne suis pas peu fière de mon 100D et je sens mes seins qui commencent à être en émoi. Mon soutien gorge est serré, j'ai envie de l'enlever pour sentir la clim frôler mes tétons. Les vibrations du train, combinées à mes jambes serrées font palpiter mon sexe. Je sens mon corps s'émoustiller. Je serre encore plus les jambes, et je n'ai qu'une envie : me masturber. Le train est vide, le soleil vient taper contre la vitre. Je vois l'image de ma belle brune. Sa peau mate qui brille au soleil. Ses yeux verts. Ses beaux seins, aussi gros que les miens. Elle a un téton plus haut que l'autre, je trouve ça adorable. Elle vient souvent les frotter contre les miens. C'est dingue mais ça me met toujours dans des états pas possibles. Il suffit que ses tétons viennent se frotter aux miens, et je suis déjà au bord de la jouissance... Et sans m'en rendre compte, mes yeux se ferment, et je l'imagine, la, au dessus de moi, ses seins appuyés contre les miens. Ma main passe sous mon t-shirt. Et sous mon soutien gorge. J'attrape tant bien que mal mon téton entre deux doigts. Je soupire fortement. Mon soutien gorge me gêne. Je le dégrafe habillement, et le retire doucement. J'aime beaucoup le sentir s'enlever pour que ma peau, plus sensible que jamais, vienne sentir le tissu de mon t-shirt. Je range rapidement mon soutien gorge dans mon sac et apprécie le vent frais que je sens effleurer mes seins, comme je l'avais prédit... Les vibrations du train excite de plus en plus mon clitoris. Je ne fais rien et c'est déjà comme si j'allais déjà jouir. Mes deux mains passent en dessous mon haut pour rejoindre mes seins. J'entreprends de longues caresses, en imaginant ma belle brune. De plus en plus excitée, je sens mon sexe s'humidifier. Je le sens palpiter. Je ne le fais pas plus attendre et passe une main dessus. Vu ma position, ma main ne peut l'atteindre. Je vais donc devoir me contenter de ces frottements. Je suis tellement sensible que le plaisir monte rapidement. J'appuie mes deux mains. J'entends mon aimée me traiter de petite cochonne, et la jouissance arrive presque instantanément. C'était court, mais tellement intense. Mon corps entier en redemande. Je n'en peux plus, et pars m'enfermer aux toilettes. Je déboutonne mon jean et ma main passe sous ma culotte... J'imagine la langue de ma chérie, et frotte mon clitoris. Je suis trempée. Mon majeur s'enfonce dans mon sexe. Je titille mon clitoris de mon pouce. Mon autre s'accroche à la paroi. Le train vibre sous moi et remonte dans tout mon corps. La voix du chauffeur me tire de mon évasion sexuelle, indiquant que nous arrivons à Bordeaux, ma destination. Je n'ai pas réussi à me faire jouir de nouveau, je sens mon corps extrêmement tendu, et mon sexe sensible à chacun de mes pas quand je rejoins ma place. Je récupère mes affaires rapidement, et me dépêche de sortir pour rejoindre ma belle. Je la vois, m'attendre dans sa robe d'été toute fine. Plus je me rapproche, plus son sourire s'agrandit. Je me jette dans ses bras, et l'embrasse a pleine bouche. Elle ne m'en demande plus et m'enlace. Sa main se glisse dans ma poche arrière, la mienne suit sa hanche. Elle me tire par la main et m'emmène à sa voiture. Elle est magnifique. Je veux tellement lui faire l'amour. Je veux qu'elle me fasse jouir comme je n'ai pu le faire dans le train. À peine arrivées dans la voiture, je me mets à califourchon sur elle et l'embrasse de nouveau. Mon sexe glisse au travers de mon jean contre sa cuisse. "Tu m'as l'air bien excitée" me glisse-t-elle entre deux baisers. "Tais toi et fais moi jouir..." Ce week-end promettait de nombreux ébats...
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