Plaisirs en sous-sol. - histoire érotique

C'est la canicule, il fait chaud, très chaud, l'air humide, lourd, sans vent tombe sur la ville. Personne dans les rues.
En ce samedi après-midi Stefan est allongé sur son canapé, la télé ronronnant qui le fait somnoler. Il sent la sueur couler sur son corps, il est nu, il ne peut plus rien enlever, il se touche la queue, elle est comme molle, ne voulant faire aucun effort pour se redresser et donner du plaisir à son propriétaire.
Cela le fait sourire car hier soir sa belle queue était vaillante dans les petits culs qu'elle a rencontrés.

Stefan est un mec de 32 ans, se qualifiant lui-même d'ordinaire, mais il fait du sport et cela se voit sur son corps, son torse, ses abdos bien formés qu'il aime exhiber, et quand les mecs voient autant sa queue que son cul, ils sont attirés, car il n'est pas avare des deux côtés. Brun, cheveux courts, petite moustache bien taillée, fine et des yeux clairs transperçant n'importe quel regard.

Hier soir il n'arrivait pas à dormir, toujours cette chaleur humide qui normalement annonce des orages qui se font attendre. Là sa queue réclame une main, une bouche, un cul, elle se redresse dans la nuit et Stefan se caresse nonchalamment et son esprit va sur le cul du dernier mec qu'il a baisé il y a quelques soirs dans le parking du sous-sol. Il venait stationner sa voiture, et dans la lumière des phares il voit un mec penché en avant le cul à l'air. Il n'avait pas baisé depuis plusieurs jours, alors il est allé voir de plus près et n'a pas été déçu, car le mec demandait "juste" de se faire baiser comme la dernière salope sur Terre. Alors Stefan lui a fait plaisir pour entendre le mec gueuler comme un putois quand sa grosse queue de 23 cm épaisse l'a perforé et baisé.

Il repense à ce mec et ce qui lui revient à l'esprit, c'est la fraîcheur qui régnait dans le sous-sol... Il ne met pas longtemps à se lever, enfiler un short sans boxer, ses TN, un tee-shirt et il descend au garage comme il le fait tous les jours.

Il est prêt de minuit, l'heure du crime, pense t-il en souriant, descend par l'ascenseur et s'engouffre dans le grand sous-sol. C'est le silence absolu mais c'est vrai qu'il fait "frais" enfin meilleur que dans son appart. Il avance au milieu des voitures sans se cacher, au contraire, sachant que s'il rencontre quelqu'un c'est sûrement pour la même chose que lui.

1er sous-sol, pas un bruit, personne, pas de mec là où il avait baisé l'autre salope. Sans aucune crainte il descend au 2ème sous-sol, il fait encore plus frais. Des bruits touffus se font entendre, des bruits bizarres, des craquements... cela doit être hanté pense t-il en riant tout seul. Il s'avance lentement regardant à droite à gauche et arrive au fond du parking. Ses yeux habitués à la pénombre distinguent nettement des ombres un peu plus loin dans le renfoncement et plus il s'approche plus il est sûr qu'il est arrivé au bon endroit.

Il ne fait pas le voyeur vicieux en se cachant, il approche dans la lumière blafarde mais les quatre mecs sont tellement occupés que personne ne fait attention à lui. Il observe le spectacle et sa queue passe par une jambière, se redresse dans la nuit du parking, sûrement pour mieux voir ce qui l'attend.

Un mec est pris en main par deux autres qui le baisent ensemble l'un devant, l'autre derrière et celui qui baise le cul se fait enculer par un quatrième.
Les bruits se font plus distincts, ça râle, ça gémit, ça couine mais les coups de reins sont secs.

Stefan s'approche sans précaution et celui qui se fait sucer le voit et lui fait signe d'approcher, c'est un rebeu dans ses âges qui aussitôt se saisit de sa queue en sifflant. C'est là que Stefan réalise qu'ils sont tous les quatre à poils complètement. 3 rebeus et un quatrième dont il ne voit pas la tête.
-dessape toi le céfran qu'on voit le matos! dit le sucé.

Stefan ne se fait pas plus prier, il n'a que son tee-shirt et son short à retirer et exhibe sa queue, son torse musclé dans la pénombre en revenant près des mecs. Le sucé caresse son torse, son cou, revient sur son torse, tâte les abdos et prend sa queue en main qu'il branle durement.
-t'as une belle queue mec! dit le rebeu sucé.
-et toi un beau cul dit Stefan en caressant son dos et ses fesses, j'aime tes fesses lisses et dures.

Les corps se touchent presque et le rebeu redresse la tête, son nez vient toucher le sien.
-ça embrasse un rebeu ? demande Stefan.
-les autres j'sais pas mais moi oui dit le rebeu en posant ses lèvres sur les siennes et aussitôt sa langue agile vient retrouver celle de Stefan pour une bataille rangée, humide. Ils soupirent tous les deux, le rebeu sort sa queue de la bouche de l'autre mec et vient se coller à Stefan comme une midinette amoureuse.

Ils se caressent les corps, les mains sont fouineuses des deux côtés, touchent les anus, les doigts se font fureteurs...
-tu niques ? demande le rebeu.
-si le rebeu le veut je peux le niquer pour le faire gueuler sa race dit Stefan en souriant.
-le céfran ne serait pas vantard ?
-tourne toi le rebeu et j'te nique direct!

Il avait lancé ça comme un défi et le plus surpris c'est lui quand le rebeu se retire de ses bras, le prend par la main et ils vont dans le coin plus sombre, le rebeu s'appuie sur le mur, le cul bien tendu, écarte ses jambes.
Stefan passe ses doigts dans la raie humide, retrouve le petit trou et son index s'enfonce facilement.
Il se penche sur le rebeu, posant sa grosse queue dans la raie :
-le rebeu aime faire la salope à ce que mon doigt vient de me dire.
Le rebeu ne répond pas et frotte son cul sur la grosse queue comme un appel.

Faut jamais décevoir les bonnes volontés pense Stefan qui se recule un peu et fait passer son gland dans la raie, sa grosse queue coule, la mouille se pose sur l'anus, c'est le rebeu qui recule dessus. Il la veut la queue du céfran.
Stefan le bloque en le tenant aux hanches :
-bouge pas le rebeu tu vas l'avoir la grosse queue du céfran!

Le cul recule encore, alors d'un coup de reins Stefan fait entrer son gros gland et c'est le hurlement de la sirène qui se met en route. Le rebeu se redresse, sans chercher à se sauver pour que le céfran le prenne dans ses bras.
-putain t'as une grosse queue le céfran, nique moi maintenant comme un rebeu en manque!
-j'suis pas rebeu mais en manque oui dit Stefan en riant.

Au troisième coup de reins sa queue était bien au fond du petit cul chaud et serré du rebeu qui gémissait comme une vulgaire salope de cité, sous les rires et les moqueries des trois autres.
Stefan était heureux d'avoir ce rebeu au bout de la queue, car il l'a niqué comme rarement il n'avait baisé un mec. Quelle que soit la position, la queue coulissait à merveille dans le petit cul pendant que le rebeu n'arrêtait pas de gémir.
Le meilleur moment est quand il a soulevé une jambe et, pliant les genoux légèrement il est revenu à la charge claquant sur les fesses dures, faisant gueuler le rebeu.

Il l'a repris dans ses bras, le serrant contre lui pour le mordre dans le cou, le lobe de l'oreille, lui faire tourner la tête et lui offrir sa langue qu'il n'a pas refusé.
-le rebeu veut jouir de ma main ou après ? demande doucement Stefan.
-de ta main le céfran.

Alors Stefan l'a branlé durement, serrant bien son gros zob, aussi long et gros que sa queue et quand le rebeu, en gueulant encore une fois a joui, giclant sur le mur, il a bien cru que ses fesses allaient lui écraser la queue tellement elles le serraient. Cela l'a fait jouir pratiquement en même temps et plus le rebeu lançait des giclées sur le mur, plus le céfran remplissait son petit cul bouillant.
Lorsque tout s'est arrêté, ils se sont regardés en riant.

Mais ce que Stefan constate c'est que le rebeu bande encore.
Le rebeu l'embrasse tendrement et lui dit à l'oreille :
-maintenant que tu m'as fait jouir avec ta main, j'peux te niquer tranquille, j'espère que ton petit cul est endurant le céfran!
-t'es un voyou le rebeu! dit Stefan en se retournant pour offrir son cul.

Il prend la position qu'avait le rebeu et aussitôt sent les doigts entrer en lui. Il sait que son cul est prêt et qu'il aime ça alors il s'offre au rebeu qui ne fait pas dans le détail. Son gros zob cherche l'ouverture, le trouve rapidement, sa main se cale sur ses abdos, l'autre sur une hanche et d'un coup de reins, le zob arrive direct au fond de son cul. C'est lui qui gueule maintenant de surprise, puis gémit, râle et s'offre, surtout ne pas résister, c'est là que ça fait le plus mal!

Il sait niquer le rebeu, il se sert de Stefan comme d'un pantin, lui faisant prendre différentes positions sans jamais sortir son zgeg de son cul.
Il est surpris Stefan quand deux mains le prennent par les bras et il se retrouve devant deux rebeus à poils la queue raide.
-suce le céfran, c'est jour de chance, trois zobs pour toi ce soir!

A chaque coup de reins, l'un des zobs s'enfonçait dans sa bouche bien au fond.
Ils n'étaient pas tendres, mais pas brutes non plus car son corps n'a jamais été aussi bien caressé par ces trois rebeus.
Ils se faisaient sucer, branler, venaient embrasser le céfran en lui offrant leur langue pendant que SON rebeu continuait de le niquer toujours avec délice.

Les trois rebeus ont juté pratiquement en même temps, bon derrière tout était dans son petit cul, mais devant il en avait partout sur le visage, dans les cheveux, dans le cou, ça coulait partout et les trois rebeus riaient.
Stefan n'en est pas revenu quand ils l'ont entouré tous les trois pour le lécher partout et ils ne faisaient pas semblant. SON rebeu niqueur, lui offrant sa langue même.

-J'te niquerais bien dit l'un des rebeus sucé.
-tu devrais lui offrir ton cul de salope Farid, tu vas voir ça va être sa fête. Il nique bien ce céfran!
Il n'était pas dur à convaincre Farid qui a offert son cul aux coups de reins de Stefan qui, tout en le niquant se faisait caresser, embrasser, doigter par les deux autres.
Il a juté dans le cul serré de Farid avant de lui offrir le sien pour une baise virile mais également pleine de tendresse.

Puis ce fut le tour du troisième, Rachid qui gueulait comme un putois et faisait rire les deux autres de le voir se tortiller avec la queue du céfran au fond de son cul!
Ils n'étaient pas avares en caresses et bisous, des baisers avec des échanges de salives qui coulaient sur les lèvres, les mentons, rattrapées par des coups de langue.
Stefan a offert son cul a Rachid et ce fut très rapide avec lui, même pas trois allers retours qu'il jutait en gueulant se faisant moquer par les deux autres.

Puis ce fut des échanges de caresses, de bisous, des corps qui se frottent sans aucun échange de mots. Ils étaient bien!
Farid et Rachid d'un seul coup décident de partir, laissant SON rebeu avec Stefan.
Quand Stefan l'attire dans ses bras, il se laisse faire :
-le rebeu n'a pas envie de dormir ?
-si mais il fait tellement chaud dans les apparts qu'on est bien ici!
-surtout tous les deux, si j'ai froid mon rebeu inconnu me réchauffera ?
-moi c'est Ouali le céfran !
-et moi Stefan.

Il sent le corps de Ouali caresser le sien, les queues bandent et roulent l'une sur l'autre, les mains repartent en exploration, les bouches se rejoignent, les langues se caressent, ce n'est plus la guerre... les salives coulent d'une bouche à l'autre et Ouali fait son câlin dans les bras de Stefan.

Stefan le colle le long du mur appuyant son sexe dur sur le sien :
-j'ai une proposition à te faire Ouali, même s'il fait chaud tu viendrais dans mon lit pour se reposer un peu...
Stefan voit son regard briller dans la pénombre.
-le céfran ne serait pas un vicieux qui veut séquestrer un pauvre rebeu sans défense ?
-vicieux ça oui, et j'aime tellement les beaux mecs dans ton genre qui savent donner et recevoir!
-mais mon ami, c'est la base du plaisir, du vrai plaisir!

Stefan rigole.
-alors ? tu ne m'as pas répondu Ouali.
-t'as une douche ?
-oui le rebeu.
-eau froide ?
-et eau chaude aussi dit Stefan en riant.
-alors faut qu'on se rhabille un peu pour aller chez toi.
-tu crois qu'il va y avoir beaucoup de monde dans les couloirs à presque 4 heures du matin ?
-rho dit Ouali en éclatant de rire, t'es bien un vicieux et j'adore ça! chiche on le fait.

Et heureusement ils n'ont rencontré personne dans le parking, dans le couloir, dans l'ascenseur mais ils avaient le cœur battant quand les portes se sont ouvertes sur l'étage du céfran. Ils bandaient comme des malades et n'arrêtaient pas se toucher la queue!

Ils sont allés sous la douche... et les queues étaient toujours aussi dures...

La fin de nuit allait être très chaude... la canicule était en eux.