Plaisirs interdits - histoire érotique

En ce vendredi soir ensoleillé, Jade rentrait de la faculté où elle suivait des cours en biologie. Elle gara sa veille voiture dans l’allée de la maison de ses parents où elle résidait encore durant ses études.
En entrant dans la demeure, elle entendit des bruits inhabituels en provenance de la cuisine. Elle aurait juré qu’il s’agissait de gémissements de plaisir. Curieuse, elle s’avança doucement vers la pièce pour en avoir le cœur net. Elle vit alors un homme nu en train de baiser une femme. Cette dernière était assise dans l’angle du plan de travail. L’un de ses pieds reposait près de l’évier tandis que le second pendait dans le vide, une culotte bleue accrochée à la cheville. Elle ne voyait rien de plus de la femme, cette dernière étant cachée par l’homme. Quant à ce dernier, bien qu’il lui tournât le dos, elle reconnut immédiatement son grand frère, Jules.
Ses yeux parcoururent le corps de son frère. Il était athlétique comme elle avait déjà pu le constater lorsqu’ils se baignaient à la plage. Elle devait bien admettre qu’il était bien fait. Son regard se porta pour la première fois sur ses fesses nues galbées puis sur ses jambes sculptées par de longs muscles puissants. Elle admira le bras musclé, parcourut de tatouages, qui tenait la jambe libre de sa partenaire.
Son attention se fixa à nouveau sur les fesses musclées qui se contractaient a chaque fois que Jules enfonçait son sexe au plus profond du ventre de sa partenaire. Elle se sentit soudainement perturbée par le regard qu’elle portait sur lui.

Jade resta néanmoins quelques instants à observer ce couple, avec une certaine excitation, renforcée par sa position de voyeuse. « Il pourrait baiser ses copines ailleurs quand même » se dit-elle avant de s’éclipser finalement. Alors qu’elle montait l’escalier d’un pas léger pour ne pas se faire entendre, des paroles prononcées par la femme la firent s’arrêter :
- Ho oui, mon chéri ! Maintenant que tu m’as bien labouré la chatte je voudrais que tu me défonces le cul !

C’était la voix de sa mère, elle l’aurait juré, mais n’en croyait cependant pas ses oreilles. Elle hésita un certains temps, guettant d’autres paroles. Mais comme le silence persistait, elle redescendit l’escalier sur la pointe des pieds et vint se tapir à l’entrée de la cuisine.

Lorsque son regard se porta sur le couple, la femme se trouvait à quatre pattes au sol, les fesses dirigées vers Jade. Son frère se tenait debout derrière la femme, jambes écartées. Il plongea ses doigts dans la chatte trempée puis pénétra le cul avec son majeur lubrifié. Il recommença plusieurs fois.
Jade ne voyait toujours pas le visage de cette femme. Elle ne voyait d’elle que ses jambes, sa chatte suintant de plaisir et ses fesses au milieu duquel son anus se faisait malmené par Jules. Ses yeux descendirent sur la toison blonde touffue avant de s’arrêter sur la chatte parfaitement lisse. Elle pu apercevoir des lèvres gonflées de plaisir au milieu desquelles brillaient des chaires roses pâles.

Jules replongea sa queue dans le vagin de la femme puis après quelques va et vient plaqua son gland sur l’anus dilaté. Il poussa doucement et centimètre par centimètre enfonça tout son membre dans le cul accueillant.

Jules pliait les jambes en rythme pour pouvoir enfoncer sa queue, d’abord doucement puis avec plus de fougue. De ce qu’elle en voyait, la queue de son frère avait l’air de belle taille. La femme gémissait à chaque fois que le membre s’enfonçait en elle.

Jade entendit à nouveau la femme parler :
- Ho putain, c’est bon ! J’adore avoir ta grosse queue dans mon cul !
La jeune femme en était certaine, même si elle avait du mal à le croire. Cette femme était sa mère.

- Plus fort ! Laboure-moi mon cul de grosse salope !

Le jeune homme s’exécuta et reprit avec de plus amples coups de reins, ses couilles glabres tapant contre les fesses de sa partenaire. La femme, emportée par un puissant orgasme, cria alors son plaisir.
- Putain, qu’est-ce que ta queue est bonne ! S’écria-t-elle, le souffle court, une fois sa jouissance passée.
En entendant les gémissements de plaisir, Jade ressentit des picotements dans son ventre. Comment était-ce possible devant ce spectacle dépourvu de moral ? Peut-être parce qu’elle n’avait jamais entendu une femme ressentir autant de plaisir ?

- Je vais bientôt jouir, annonça Jules avec une voix un peu étranglée.
- Donne-moi ton jus ! S’empressa de dire sa partenaire.

Le jeune homme sortit sa queue, laissant voir à Jade un anus largement dilaté. La femme se releva.
Jade aperçu alors nettement le visage de sa mère. La confirmation de ce qu’elle pensait provoqua un frisson d’effroi dans son corps.

Sa mère se mit à genoux devant Jules.
La jeune femme avait à présent les yeux posés sur la queue de son frère. Elle était effectivement d’une taille imposante. Longue, épaisse et bien droite. Les couilles étaient glabres et seul un fin duvet clair apparaissait sur le pubis. Elle sentit un peu de honte à admirer cette queue qu’elle trouvait belle, parfaite.
Le jeune homme se branlait maintenant devant la bouche ouverte de sa mère. Au bout de quelques minutes il poussa un râle de plaisir et déchargea de puissants jets de sperme dans la bouche de la femme.
Jade resta hypnotisée par la langue de sa mère couverte de liquide blanchâtre. Cette dernière suça la queue pour en extraire les dernières gouttes de jus dont elle semblait raffoler. Alors qu’elle se léchait les lèvres, elle confirma :
- J’adore toujours autant ton jus mon chéri ! Quel délice de te sentir jouir dans ma bouche !

Jade s’empressa de s’éclipser avant qu’ils ne la remarquent et monta dans sa chambre. Elle s’allongea sur son lit, pour digérer ce qu’elle venait de voir. Sa chatte s’était largement humidifiée devant la scène qu’elle venait de contempler. Elle ne savait pas trop quoi penser de ses sentiments ambivalents. Ce qu’elle venait de voir était moralement dérangeant et pourtant elle en éprouvait de l’excitation.
Elle décida pour l’instant de calmer sa tension sexuelle et glissa une main sous sa jupe pour l’introduire dans sa culotte. Elle se caressa le clitoris avec entrain, caressa toute sa vulve pour pénétrer finalement sa chatte de son index. Elle passa son autre main sous son débardeur et massa ses petits seins fermes, libres de tout soutien-gorge qu’elle ne portait presque plus jamais.
Rapidement, elle atteignit l’orgasme. Elle étouffa ses gémissements en se mordant les lèvres. Comme souvent, lorsqu’elle jouissait, elle expulsa de sa vulve quelques jets de liquide qui vinrent tremper sa main. Jade resta sur son lit, l’esprit plus apaisé et la culotte souillée de son plaisir.

Le soir même, Jade croisa son frère qui sortait de la salle de bain, avec comme seul vêtement une serviette enroulée autour de la taille. Elle regarda le corps musclé de Jules différemment de d’habitude. Une immorale excitation s’empara à nouveau de son ventre.
Elle s’approcha de la porte de la chambre de son frère. Ce dernier l’avait laissée entrouverte. Jade, collée au mur pour ne pas se faire remarquer, pouvait voir une partie de la chambre. Le miroir de l’armoire lui permettait d’observer une bonne partir du reste de la pièce.
Elle regarda son frère défaire la serviette autour de sa taille et contempla la queue gonflée et rougie par la chaleur de la douche. Elle la trouvait toujours aussi belle. Jules se frotta encore avec la serviette pour enlever les dernière traces d’humidité sur son corps. La jeune femme suivait du regard le trajet de la serviette. Elle passa sur la jambe athlétique, puis sur l’autre. Elle essuya ensuite le ventre sur lequel des abdos ressortaient légèrement. Le tissus épongea ensuite les pectoraux saillants clairsemés d’un duvet clair puis remonta sur les épaules dont les muscles offraient une agréable ligne courbée. Il essuya ensuite ses fesses à la puissante rondeur et passa enfin le tissus sur son sexe volumineux.
Jules jeta la serviette sur son lit puis se dirigea vers sa commode. Jade était hypnotisée par cette queue qui se balançait à chaque pas de son frère. Ce dernier se saisit d’un boxer rouge et l’enfila.

Emportée par les pulsions qui enflammaient son corps et son esprit, elle frappa à la porte et entra sans attendre de réponse. Elle se retrouva face à Jules qui ne portait que son sexy boxer rouge. Le regard de la jeune femme se fixa sur la bosse de son sous-vêtement.
- Hé ! ne te gêne pas ! s’exclama Jules.
- Ca ne te gêne pas de montrer ta queue à maman ! répondit Jade en reprenant ses esprits mais en fixant toujours le tissus qui cachait l’objet de ses désirs.
Devant l’absence de réponse de Jules, elle poursuivit.
- Je vous ai vu tout à l’heure, dans la cuisine.
- Oui, ça nous arrive, reconnu son frère, pas gêné.
- J’aimerai que tu me fasses jouir comme elle. Tu as l’air de bien savoir t’en servir, maman semblait avoir beaucoup apprécié.
Devant la moue surprise de son frère, elle poursuivit :
- Tu baises ta mère, tu peux bien baiser ta sœur ! Rejoins-moi ce soir dans ma chambre si ça ne te fais pas peur !
Jade sortit de la pièce, laissant son frère à sa surprise.

Il était 23h passé quand un léger grattement se fit entendre à la porte de la chambre de Jade. Elle ne savait pas si son frère allait venir. Dans cet espoir, elle avait revêtue un joli string vert et une nuisette assortie à moitié transparente qui ne cachait pas grand-chose de son corps élancé. Elle se remit dans une position lascive. Jules entra, uniquement vêtu de son boxer rouge, et vit sa sœur allongée sur le lit, faiblement éclairée par la lumière tamisée.
- Tu es sûre ? demanda-t-il.
- Oui, répondit Jade avec assurance.
Jules s’allongea près de sa sœur et ils commencèrent à se caresser, timidement. Lorsque la main de son frère se posa sur sa cuisse elle ressentit un frisson. Les doigts frôlaient la douce peau puis remontèrent doucement le long de la jambe. Ils glissèrent sur la hanche puis grimpèrent sur le flan du buste de sa sœur. Ils contournèrent délicatement le sein, le frôlant à peine, puis s’arrêtèrent un peu sur l’épaule avant de redescendre le long du bras. Arrivés sur la main, les doigts de Jules et Jade s’enroulèrent les uns autour des autres. La main coquine repris son chemin et remonta le bras pour s’arrêter au creux du cou où elle resta pour prolonger les agréables caresses. Les doigts chauds glissèrent dans la nuque de la jeune femme avant de s’égarer dans la masse de ses cheveux châtains.

Jade sentit le membre tendu sur sa cuisse et frissonna à l’idée de cette queue s’enfonçant en elle. Alors que ses doigts exploraient aussi avec envie le corps musclés de son frère, elle glissa sa main dans le boxer et empoigna le membre pour le branler dans sa prison de tissus.
Jules en fit autant et passa sa main dans le string. Ses doigts touchèrent la fine toison puis glissèrent le long des lèvres gonflées de désir. Son index fouilla l’entrée humide du vagin et se couvrit de cyprine puis remonta jusqu’au clitoris auquel il appliqua d’agréables caresses.
Ils explorèrent leur corps encore un moment, savourant chaque caresse qui les faisait frissonner l’un et l’autre.

Jade se mit à genoux et libéra le sexe de son frère. Elle resta coite quelques instants, la queue de Jules lui semblant encore plus grosse de près. Elle observa avec désir chaque partie du membre, chaque centimètre de peau, chaque petite veine qui la parcourait puis se lança dans de voluptueuses caresses.
Elle eu presque du mal à faire rentrer le gland dans sa bouche. Ses lèvres s’étiraient sur le membre quelle essayait d’enfoncer le plus possible. Elle s’appliqua du mieux possible à lui faire une fellation. Les mouvements de bassin que se mit à faire Jules lui indiquèrent qu’elle devait bien se débrouiller. Elle prit beaucoup de plaisir à lécher le membre sur toute sa longueur, sucer les couilles et branler avec les mains ce pieux de chair.
Jules la fît se mettre à califourchon sur son visage pour faire un 69. Il écarta le string et lécha la vulve humide et lisse de sa sœur. La langue s’insinuait entre les lèvres, fouillait l’entrée de son vagin trempé et s’aventurait sur son clitoris. De sa main libre, il en profitait pour explorer l’anus qu’il massa avec douceur, sans chercher à le pénétrer. Les soupirs de plaisir de sa sœur l’encourageaient à continuer. Les soupirs se firent gémissements sous les adroits coups de langue. Soudain, l’orgasme déferla sur Jade. Son ventre se contracta et à chaque spasme expulsa de petits jets de liquide de sa vulve. Jules fût surpris par le premier jet puis ouvrit la bouche pour récolter le liquide projeté par les autres.
- Tu es une squirteuse ! J’adore ! s’exclama Jules après l’orgasme de sa sœur.
- Désolé, j’ai oubliée de te prévenir, s’excusa Jade. Je ne pensais pas jouir tout de suite.
- Ce n’est pas grave, j’adore !

Jules se mit à genoux entre les jambes de sa sœur et présenta son membre devant sa vulve. Il appuya son gland à l’entrée de son vagin trempé et poussa doucement.
Jade se cambra en sentant sa chatte s’étirer pour laisser passer l’épaisse queue de son frère. La jeune femme était étonnée d’être capable d’accueillir en elle un sexe de cette taille. Le jeune homme commença un lent va-et-vient. Jade adorait sentir cette belle queue coulisser en elle, la remplir, combler toute sa chatte. Elle n’avait jamais éprouvé ça.
Jules se pencha plus sur elle, prenant appui avec ses bras de part et d’autre de sa sœur puis accéléra le rythme de ses mouvements. Il besognait maintenant avec force Jade, leurs corps rebondissants sur le matelas à chaque puissant coup de rein.
La jeune femme gémissait de plaisir et enfonçait ses ongles dans les fesses musclées de son frère.
- Tu aimes te faire labourer la chatte par la grosse queue de ton frère ?
- Oui, putain, elle trop bonne ta queue !
- Tu n’as pas l’habitude de te faire éclater la chatte comme ça ?
- Ho non ! Répondit Jade entre deux souffles haletants.

Finalement, son frère approcha de l’orgasme à son tour :
- Je vais bientôt jouir !
- Je veux goûter à ton jus aussi, comme maman ! Elle avait l’air d’adorer ça !
Le jeune homme se mit debout et laissa sa sœur le branler, à genou devant elle. Elle maintenait sa bouche grande ouverte, le gland posé sur sa langue tout en masturbant le membre. Elle sentit son frère se contracter puis décharger de puissants jets de sperme sur la langue. Quand il eut terminé, elle referma la bouche, garda un peu le sperme sur la langue. Elle grimaça face au goût âcre du liquide puis avala.
- La prochaine fois, ce sera meilleur ! dit Jules en embrassant sa sœur à pleine bouche.

Jules continua à la prendre dans plusieurs positions : la levrette, les cuillères, l’amazone. La jeune femme jouit encore à plusieurs reprises, mouillant un peu plus le dessus de son lit.
Ils poursuivirent leur ébats jusqu’au bout de la nuit et à chaque fois que Jules semblait se reposer Jade lui disait :
- Ma chatte a encore faim de ta queue.
Alors Jules reprenait des forces et la besognait, encore et encore. Elle se dit qu’il pourrait la baiser toute la nuit et qu’elle adorerait ça !


Le lendemain, Nathalie, la mère de Jade, prit sa fille à part pour lui parler.
- Jules m’a dit ce que vous aviez fait la nuit dernière.
Jade baissa la tête, honteuse.
- Ne sois pas gênée ma chérie. Je trouve ça merveilleux. C’est la nature et vous ne comptez pas vous marier ou faire des enfants. Vous êtes deux adultes consentants.
Jade resta silencieuse, perdue dans ses réflexions. Sa mère reprit :
- Tu sais, cela fait quelques temps que Jules me baise, et plutôt bien je dois l’admettre. Souvent, ton père et ton frère me prenne en même temps et c’est très agréable. Il n’y a aucune gêne, aucune honte. On se donne du plaisir et c’est tout.
Jade regarda sa mère interloquée.
- Je prends du plaisir avec les deux. Et pour rien te cacher, ton père est aussi bien monté que ton frère. Avoir ses deux queues en même temps en toi c’est un plaisir indescriptible.
Jade était intriguée. Son envie balaya vite ses réticences morales. Elles avaient de toute façon déjà volées en éclat hier.
- Tu crois que je pourrais participer aussi ?
- Tu es sûre de toi ? demanda sa mère.
- Oui, confirma Jade sans hésitation qui sentit un frisson la parcourir.
- Parfait ! répondit satisfaite, Nathalie. Avec Jules c’était comment ?
- Extra !
- Il se débrouille bien, hein ?
- Oui ! Et quelle endurance il a ! ajouta Jade en rigolant.
- Il ne s’arrête jamais de te baiser ! Il est une source de plaisir sans fin ! Plaisanta sa mère.
- Quand il te laboure la chatte avec son engin c’est le paradis.
Les deux femmes se quittèrent en pouffant.

L’après-midi, la famille se retrouva dans le salon. Jade était un peu déstabilisée par le regard de son père sur elle, mais avait vraiment envie de découvrir de nouveaux horizons.
Jade et sa mère s’assirent sur le canapé et Nathalie dit :
- Maintenant que Jade s’est faite éclaté la chatte par son frère, on peut passer un bon moment tous les quatre. Tu as toujours envie Jade ?
- Oui, maman, confirma la jeune femme.
- Parfait, approuva Nathalie, heureuse de la réponse de sa fille. Tu peux tout arrêter quand tu veux si tu ne veux plus, OK ?
La jeune femme acquiesça.

Les deux femmes se levèrent et Nathalie s’avança vers sa fille en lui tendit le bandeau qu’elle tenait à la main :
- Je te propose de te bander les yeux. Tu n’auras qu’à te laisser porter par tes sens, écouter ton corps.

Jade enfila le bandeau et se retrouva dans le noir. Les premières mains commencèrent à se poser sur elle. Son frère s’était placé devant elle tandis que ses parents étaient dans son dos. Elle sentit des mains se poser sur son ventre, d’autres lui caresser le dos et les fesses. Elle ressentait de nombreux frissons au contact de tous ces doigts sur son corps.
Jules ne lâchait pas des yeux les seins de sa sœur. Son cardigan ajusté sur son corps épousait parfaitement les courbes de ses seins. Sous les agréables caresses, les tétons pointaient sous le fin tissus. Le jeune homme avait une irrésistible envie de les avoir dans sa bouche. Il remonta doucement ses mains pour caresser la poitrine de sa sœur.
Jade sentit des doigts glisser le long de ses cuisses avant de remonter délicatement. Sur leur chemin ils s’insinuèrent sous sa jupe. Elle sentit les doigts chauds de ces mains caresser ses fesses dont le tanga laissait apparaître sa peau. Les doigts passaient alternativement de sa peau douce à la dentelle de son sous-vêtement. La main s’introduisit sous le tissus du tanga pour masser l’ensemble de ses fesses avec envie.
Jade poussait des soupirs de plaisir en commençant à onduler du bassin. Elle sentit les boutons de son cardigan être délicatement ôté un à un. Lorsque Jules eût tout défait il contempla la peau nue de sa sœur entre ses seins. Les pans de son cardigan bleu recouvraient ses seins pour ne laisser apparaître qu’une large bande de peau nacrée de son cou à sa jupe. Il posa ses mains sur son ventre puis remonta vers sa poitrine. Ses doigts s’insinuèrent sous le tissus du cardigan et entrèrent en contact avec la délicate peau de ses seins avant de s’arrêter sur le mamelon durcit par l’excitation.
La jeune femme se laissait emporter par les caresses sur son corps, par ces mains qui l’exploraient avec envie. Des doigts s’emparèrent de ses tétons et les pincèrent. Un frisson la parcourut. Jules engloutit les mamelons dans sa bouche et les lécha avec une très forte envie de les posséder.
Une autre main allait et venait le long de sa cuisse et remontait de plus en plus haut sous sa jupe jusqu’à frôler sa vulve emprisonnée dans le fin tissus de son tanga. Jade exprimait de plus en plus fort son plaisir devant tant de caresses. Les doigts caressaient sa vulve avec avidité et ressentirent le tissus s’humidifier rapidement sous les caresses. Ils écartèrent adroitement le sous-vêtement pour s’ouvrir la voie vers son vagin. Ils pénétrèrent son intimité qu’ils fouillèrent avec envie. Jade ondulait de plus en fort du basin.

Nathalie ressortit ses doigts d’entre les jambes de sa fille et les porta à sa bouche avec gourmandise :
- Je crois qu’elle est prête !
En s’adressant à son fils, elle ajouta :
- Jules, tu veux lui bouffer la chatte ?
Le jeune homme, qui embrassait passionnément sa sœur, lâcha la bouche de Jade. Alors que ses lèvres frôlaient presque celle de la jeune femme il murmura :
- Tu en as envie ?
- Oui, répondit-elle simplement entre deux souffles haletant.
Jules s’accroupit devant sa sœur et fit tomber la jupe à ses pieds. Il attrapa ensuite le tanga qu’il fit glisser tout doucement le long de ses jambes. Il avait à présent son visage à quelques centimètres de la toison châtain de Jade. Il y déposa plusieurs longs baisers.

La mère de Jade la guida ensuite vers le canapé où elle la fit s’asseoir. Elle écarta les jambes pour offrir son sexe à son frère. Jules prit à pleine bouche la vulve humide de sa sœur et lui fit un agréable cunnilingus.

Les parents étaient restés debout et, enlacés et se caressant, observaient leur enfants se donner du plaisir.

Nathalie se dirigea finalement vers le canapé où elle prit place à côté de sa fille. Elle s’adossa, posa une jambe sur l’accoudoir et une autre sur celle de sa fille, releva sa jupe et écarta son string violet pour libérer sa vulve.
- Viens me bouffer la chatte aussi, ordonna-t-elle à l’attention de son mari.

Jules léchait avec avidité la vulve de sa sœur tandis que Patrick mangeait avec gourmandise le sexe de Nathalie.
L’excitation montait de plus en plus dans le corps des deux femmes sous les adroites attentions des hommes. Le clitoris qui roulait sous des baisers endiablés, les lèvres qui se faisaient gober avec avidité par une bouche gourmande et une langue qui s’aventurait à l’entrée du vagin ne faisaient que faire monter la tension. Les deux femmes respiraient fortement en ondulant du bassin. Elle se laissaient porter par le plaisir que leur procurait leur partenaire.

Jade, qui avait les yeux bandés, entendit un bruit de fermeture éclaire. Elle sentit ensuite un gland se presser à l’entrée de son vagin. Il le pénétra légèrement puis ressortit pour glisser le long de sa fente et caresser son petit bouton. Il redescendit, la pénétra un peu et recommença ses caresses plusieurs fois.
Jules introduisit finalement toute sa queue dans la ventre de sa sœur et massa de son pouce humide le clitoris de Jade. Quelques minutes de ce traitement provoqua l’orgasme de la jeune femme qui exprima avec force le plaisir qui la parcourait. En jouissant, sa vulve éjacula. Si Jules n’en fût pas surpris, ses parents restèrent étonnés et intrigués.
- Tu es une femme fontaine ! S’exclama la mère de Jade. J’adorerai jouir comme ça ! Ajouta-t-elle avec une pointe de jalousie

Une fois remise de ses émotions, Jade se releva avec l’aide de son frère qui lui ôta son bandeau et l’embrassa à pleine bouche. Jade retira le cardigan qui était le seul vêtement qu’elle portait encore et aida son frère à se déshabiller. La jeune femme s’accroupit devant son frère et lui fît une fellation. Elle prit la belle queue avec envie et l’enfourna autant que possible dans sa bouche.

Nathalie et Patrick imitèrent leurs enfants. Jade pu alors constater qu’en effet son père était aussi bien monté que Jules.

Les deux femmes prenaient beaucoup plaisir à lécher ces queues, à enrouler leur langue sur le gland, à faire coulisser leurs mains sur le membre ou à gober les couilles encore pleines. Offrir du plaisir était parfois aussi intense que d’en recevoir ! Cependant, au bout d’un moment, Nathalie s’exclama :
- J’ai la chatte en feu, je ne tiens plus ! Je veux que ta grosse queue remplisse ma chatte !
Patrick s’exécuta avec plaisir et prit sa femme par derrière alors qu’elle venait de s’accouder sur la table.
Jade l’imita, bien décidée à accueillir la queue de son frère en elle. Elle se plaça à côté de sa mère et tourna sa tête vers elle. Nathalie pu se régaler du plaisir qui s’empara du visage de sa fille quand son frère s’inséra en elle jusqu’au plus profond de son vagin.
- C’est bon ma chérie ? demanda la mère attentionnée de Jade à sa fille.
- Oui maman.
- Tu la sens bien ma queue dans ta chatte ? demanda Jules à sa sœur.
- Oui ! Comment je pourrais ne pas la sentir, elle est tellement grosse !
Satisfait, Jules besogna un peu plus fort sa sœur.
Les gémissements, émis par les deux femmes à chaque coup de rein de leur partenaire, se confondaient maintenant.

Après un orgasme, le feu dans son ventre étant un peu calmé, Nathalie s’accroupit sous les jambes de sa fille. Elle avait le visage proche de la chatte de Jade et du pieux de son fils qui s’introduisait en elle. Elle caressait les couilles de son fils et par moment attrapait le membre pour le porter à sa bouche afin de le sucer avec gourmandise. Elle le guidait ensuite vers la chatte de sa fille qui réclamait son jouet. Nathalie recommença ainsi plusieurs fois.
Soudain, Jules explosa et inonda la chatte de sa sœur. Au moment où le plaisir était monté en lui, il avait cessé ses mouvements et s’était calé à l’entrée du vagin. Lorsque son orgasme fût passé, il se recula et sa mère approcha son visage de l’intimité de Jade, la bouche grande ouverte. Elle butina la chatte de sa fille de laquelle coulait l’abondant et précieux nectar blanc. Elle lapait, aspirait, léchait tout ce qu’elle pouvait pour ne pas en perdre une goutte. Jade était parcourue de frissons à sentir la langue de sa mère lécher le foutre de son frère sur son sexe.

Nathalie laissa la place à son mari qui pour la première fois eut l’occasion de baiser sa fille. Il dirigea son membre tendu vers la vulve trempée de la jeune femme. Doucement s’inséra en elle puis imprima un lent-et-vient dans le vagin encore rempli de liquide onctueux.

Nathalie caressa un peu ses seins en admirant sa fille se faire prendre par son père. Ils étaient comme ceux de Jade, de taille moyenne, bien ronds et fermes. Elle les portait haut, souvent libres de tout sous-vêtement et les trouvait très beaux. Elle aimait particulièrement sentir le mouvement du tissus sur ses mamelons durs, sentir ses seins libres de toute entrave.

Jules qui avait retrouvé sa vigueur, fit s’asseoir sa mère sur le bord de la table et la prit avec fougue, la besognant avec de grands coup de reins. Nathalie lui plantait ses ongles dans le dos savourant l’agréable plaisir qui parcourait son corps.

Jade porta son regard sur le corps musclé de son frère, attirée par la beauté de celui-ci. Ses yeux se tournèrent ensuite vers son père dans son dos, en train de la besogner. Il conservait pour son âge un beau corps, assez svelte bien que quelques kilos superflus s’était installés autour de son ventre. Son torse était assez musclé du fait de ses récurrents travaux physique.

Les gémissements, les râles de plaisir, les souffles haletants résonnaient dans la pièce devenue une antre de la baise. Les corps bougeaient, les mots salasses pleuvaient, le plaisir montait.

Nathalie et sa fille s’allongèrent sur la table, chacune à chaque extrémité. Leur visage se retrouva l’un à côté de l’autre, très proche. Patrick continua à prendre sa fille tandis Jules vint pénétrer sa mère. Les langues tendus des deux femmes s’enroulaient l’une autour de l’autre. Les deux hommes se délectaient de voir les seins de leur partenaire bouger à chaque coup de rein qu’ils donnaient. Tout le monde ressentait un intense plaisir à cet instant.
- Et te faire labourer la chatte par ton père c’est bon ?
- Ho oui ! confirma Jade entre deux gémissements.

Ce dernier sortit sa queue de sa fille et caressa son clitoris avec son gland. Il remit son membre dans le ventre de Jade le temps d’un court va-et-vient et recommença ainsi plusieurs fois. Ce traitement fût trop intense pour la jeune femme qui explosa de plaisir, en expulsant des jets de liquide sur le ventre de son père. Il sentit avec délectation la chatte de sa fille frémir autour de sa queue. Alors que son orgasme se prolongeait sous les assauts de son père, Jade entendit sa mère jouir à son tour en exprimant son plaisir avec ses mots.
« Ho, putain c’est bon ! Vas-y ne t’arrête pas ! Défonce-moi la chatte ! ».
Tandis qu’elles se remettaient à peine de leur jouissance, les deux hommes approchèrent de leur visage en se branlant. Presque en même temps ils déchargèrent leur sperme dans la bouche de leur partenaire. Les deux femmes se délectèrent du foutre qui venait de se répandre sur leur langue.

En se relevant, Nathalie dit :
- Messieurs, vous avez bien défoncé la chatte de Jade, il serait peut-être temps de lui défoncer le cul !
La jeune femme eu un moment d’inquiétude. Elle avait pu accueillir ces grosses queues dans sa chatte, mais son cul ce n’était pas pareil ! D’autant qu’elle n’avait jamais pratiqué le plaisir de Sodome. Devant la peur de sa fille, Nathalie la rassura :
- Ne t’inquiète pas ma chérie, elles vont rentrer sans problème !

Après une fellation pour redonner de la vigueur à leur partenaire, Jade se positionna à quatre pattes sur le tapis du salon.
Sa mère, qui était partie chercher un tube de lubrifiant, se mit derrière elle et entreprit de la pénétrer avec ses doigts experts. Ces derniers glissèrent dans son anus sans difficulté. L’orgasme avait détendu ses muscles et le lubrifiant faisait le reste. Quand elle fût assez dilatée, Nathalie proposa à son mari :
- Je te laisse la place, tu peux labourer son cul !

Nathalie repris la fellation sur son fils, assise sur le canapé, en observant sa fille se faire enculer. Patrick présenta son large gland à l’entrée de l’anus et poussa tout doucement. Centimètre par centimètre le membre s’enfonçait dans les entrailles de Jade. La jeune femme grimaçait mais ne disait rien. Quand la queue fut entièrement enfoncée, Patrick la ressortit puis la remis. Il commença un lent va-et-vient et la douleur de Jade se transforma doucement en agréables sensations.
Nathalie était fascinée par la queue de son mari qui s’enfonçait entièrement dans le cul de Jade. Patrick accéléra le rythme et besogna de plus en plus fort sa fille. Les premiers gémissements de cette dernière confirmait qu’elle y prenait du plaisir.
- Maman, moi aussi je voudrais lui défoncer le cul !
- Pas tout de suite mon garçon. D’abord tu vas labourer un peu la chatte de ta mère !
Nathalie s’allongea dans la longueur du canapé, les fesses posées sur l’accoudoir en tissus. Son fils la pénétra avec beaucoup de vigueur. Sa chatte était une fournaise aussi accueillit-elle le membre de Jules avec beaucoup de plaisir. Voir sa fille se faire baiser l’excitait vraiment beaucoup.

Patrick se releva et contempla avec satisfaction l’anus dilaté de sa fille. Il alla s’asseoir sur le canapé et invita Jade à le rejoindre. Cette dernière se tourna et mit ses fesses en arrière. Elle empala son cul sur le pieux de chair avec facilité. Après quelques mouvements de haut en bas, elle posa les pieds sur le bord du canapé et s’adossa sur le torse musclé de Patrick. Elle offrait la vue de sa chatte gonflée d’excitation et dégoulinante de cyprine à qui la voulait. Son frère n’y résista pas et sortit de sa mère pour s’approcher de sa sœur. Il pénétra Jade et les trois protagonistes se mirent en mouvement pour faire coulisser les queues dans les orifices de Jade.
Jamais elle n’avait fait de double pénétration mais trouva cela divin. Le plaisir provoqué par le contexte, par la présence de deux queues en elle, qui plus est d’une taille hors norme, lui procurait un intense plaisir. Jules savourait le contentement sur le visage de sa sœur, sur les mamelons qui se dressaient plus que jamais.
Entre deux gémissements Jade exprimait sa satisfaction de se faire ainsi prendre « Ho putain ! C’est bon ! ».

Nathalie se caressait en observant la scène. Alors qu’elle avait deux doigts dans sa chatte trempée.
- Alors ma chérie, c’est comment de se faire défoncer par tous les trous ?
- Haaa ! C’est… fantast.. tique ...maman. Haaaaaa !

La position étant fatigante, Jade se releva. Son frère s’allongea au sol et très avide de sentir à nouveau ses queues en elle alla s’empaler sur le membre de Jules. Son père présenta sa hampe de chair face àl’anus dilaté et la pénétra avec vigueur. Tous les trois reprirent leur mouvements et trouvèrent un rythme qui permettait à Jade de profiter au mieux de ces queues en elle.
Elle se sentait complètement remplie et trouvait la sensation très agréable. Son souffle se faisait de plus en court, ses soupir devinrent gémissements.

Un puissant orgasme déferla à nouveau dans le corps de Jade qui cria de plaisir. Son corps tremblait, son ventre convulsait, ses tétons se dressaient, sa chatte frémissait, son anus se contractait, sa vulve jutait.
En entendant sa sœur jouir comme ça, Jules ne pu se retenir plus longtemps et déchargea. En ressentant les puissants jets de sperme inonder sa chatte, Jade cru avoir un nouvel orgasme. Elle n’avait plus de force.
Patrick se retira et laissa sa fille s’allonger contre le canapé pour récupérer.

Nathalie s’approcha de Jade et lécha le sperme qui s’écoulait de la chatte de sa fille. Avec avidité elle fouillait le sexe pour en ressortir un maximum de liquide. Jade essayait de contracter son vagin pour en faire ressortir le plus de jus possible.
- Merci ma chérie, dit Nathalie en lui caressant le ventre.

Quand elles eut finies, Nathalie supplia son mari :
- Mon chéri, je n’ai pas eu le droit à ma queue dans le cul !
Patrick alla contenter sa femme. Elle s’allongea sur la table, releva son cul que son mari entreprit de dilater progressivement. Il la pénétra assez vite et la besogna avec force.
- Ho oui ! Défonce-moi le cul avec ta grosse queue. J’adore ça !

Alors que Jade reprenait des forces sur le canapé, son frère s’approcha d’elle avec son membre tendu.
- Encore !? S’étonna la jeune femme, avec de la surprise, de l’excitation et de l’envie dans la voix.
Elle prit la queue de son frère dans la bouche et le suça avec envie tout en gardant un œil sur ses parents.
Jules fit s’allonger sa sœur sur le ventre et se mit à califourchon sur elle. Il trouva le chemin de sa chatte tiède et humide et la pénétra.

- Ton frère est insatiable ! dit Nathalie à sa fille en la voyant se faire prendre à nouveau.
- J’ai l’impression qu’il pourrait nous baiser toute la journée ! Confirma Jade.
- Vous me faites tellement bander les filles ! Reconnu le jeune homme.

Les gémissements des deux femmes emplirent à nouveau la pièce, le plaisir montant de plus en plus en elles. Alors qu’elle se faisait labourer le cul avec fougue et que les doigts de son mari s’attardaient sur son clitoris, Nathalie jouit « Haaa Putain, c’est bon Haaa ».
Après avoir entendu sa femme jouir, Patrick sortit sa queue de son cul et se branla au dessus de sa chatte humide. Il déchargea alors une belle quantité de sperme sur la vulve gonflée de plaisir.
- Viens lécher ma chatte pleine de foutre, dit Nathalie à sa fille.

La jeune femme se mit devant sa mère, se pencha en avant et récolta avec gourmandise chaque trace de sperme. Elle en profitait pour lécher et sucer chaque partie de la vulve sensible. Alors qu’elle s’appliquait à nettoyer sa mère Elle sentit la queue de son frère s’insérer à nouveau en elle. Il la besognait avec force, son bassin claquant contre ses fesses. Alors que plus aucune trace de sperme n’était là, elle poursuivit le cunnilingus à sa mère, prenant du plaisir à lécher une douce chatte.
- J’adore que tu me défonces la chatte, mais j’aimerai que tu me laboure le cul aussi ! Demanda Jade à son frère. Je veux ta grosse queue tout au fond de mon cul.
Jules sortit de la chatte de sa sœur pour remettre son membre dans son cul. Elle baissa un peu les fesses pour faciliter la position tandis que son cul toujours bien dilaté accueillit facilement le gros membre de Jules.
Jade se faisait défoncer avec fougue par son frère qui donnait de grands coup de rein, enfonçait bien profondément son membre dans le cul de sa sœur. Il le ressortait de temps en temps complètement pour mieux la pénétrer.
Jade gémissait, haletait, ondulait du bassin. Le plaisir était tellement intense qu’elle avait du mal à se concentrer sur la chatte de sa mère.
- Ho putain ! Je vais jouir du cul !
Un intense orgasme déferla dans son corps, de son cul à la pointe de ses seins. Elle ne pensait pas pouvoir éprouver d’orgasme aussi fort ainsi rapprochés.

- Je vais bientôt jouir aussi ! Annonça Jules.
- Va boire son jus, tu l’as bien mérité ! Dit Nathalie à sa fille.

Jade s’accroupit devant son frère. Elle eu à peine le temps d’ouvrir la bouche qu’il déchargea sur sa langue son plaisir. La quantité de sperme était encore abondante malgré l’enchaînement des orgasmes. Jade se releva et se dirigea vers sa mère. Elle se pencha vers son visage et l’embrassa. Le sperme coula dans la bouche de Nathalie alors que leur langues s’enroulaient entre elles. Elle s’embrassèrent longuement en gardant le liquide blanchâtre dans leur bouche. Le baiser était intense.
- Je voulais partager avec toi maman.
- Merci ma chérie, j’ai adoré, reconnue Nathalie en déposant un tendre baiser sur les lèvres de sa fille.

Lorsque les deux femmes se relevèrent, elles trouvèrent leur mari et leur frère affalés dans le canapé. Ils avaient l’air exténués.
- On les a bien fatigué on dirait, dit Nathalie.
- Faut dire qu’on leur a bien vidé les couilles à ses salauds ! Approuva Jade.
- Oui, ils n’ont plus aucune goutte de sperme à nous offrir !
- Peut-être que demain ils auront retrouvé un peu de vigueur ! Dit Jade avec une pointe de provocation
- Je te culbute ce soir dans ta chambre si tu veux, rétorqua Jules pour répondre à la provocation. Et même plusieurs fois !
- Ok, je t’attendrais ! Ma chatte n’est pas encore rassasiée ! Répondit-elle en lui faisant un clin d’œil.