Plaisirs Mécaniques

- Par l'auteur HDS ecilalice -
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Récit libertin : Plaisirs Mécaniques Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Plaisirs Mécaniques
— Merde, merde, merde!

Je me disais alors que je le regardais, ce maudit Stéphane, s'éloigner vers la porte de mon appartement, laissant derrière lui une effluve délicieusement masculine qui semblait s'accrocher à chaque meuble, chaque tissu. « Pourquoi est-ce qu'il m'excite autant? »


Il venait de finir de réparer la fuite de mon évier, son torse nu scintillant de sueur dans la lumière tamisée de ma cuisine. Les veines de ses avant-bras saillaient alors qu'il serrait son outil, et chaque fois qu'il se penchait pour vérifier son travail, son jean moulait parfaitement ses fesses fermes et rondes.

— Putain! Est-ce que je suis sérieusement en train de fantasmer sur le cul de mon plombier?

Mais ce n'était pas un fantasme ordinaire, c'était différent. C'était... plus profond. J'étais ébranlée. Non, merde, je suis ébranlée.


Je le regarde encore une fois avant qu'il ne sorte, et il me donne un de ces sourires coquins qui fait que mon cœur semble sauter un battement. Ses yeux brillent d'une chaleur, d'une bonté, et de ce petit quelque chose de mystérieux qui me donne l'impression d'être une adolescente boutonneuse à nouveau.

— Est-ce que je suis en train de tomber amoureuse de lui? Non, c'est impossible.

Mais pourquoi ce serait impossible? Merde, il est attirant, il est doux, il est gentil et il sent incroyablement bon. Et puis, il y a cette façon qu'il a de me regarder, comme si je suis la seule chose qui compte.

Et merde! Ça ne devrait pas être possible, mais j'ai envie de lui. Pas juste physiquement, mais émotionnellement. Je veux savoir comment il aime, comment il désire, comment il jouit. J'ai envie de sentir sa bite dure contre mon ventre, de goûter son sperme dans ma bouche, de sentir sa langue jouer avec ma chatte.

Je le regarde partir, mon cœur battant la chamade, ma chatte humide. Je ferme la porte derrière lui et me laisse glisser le long jusqu'à ce que je sois assise sur le sol froid, ma tête dans mes mains.

— Merde, merde, merde. Je suis dans la merde.

C'est cette réalisation qui m'envahit alors, que je suis là, assise sur le sol, l'odeur de Stéphane encore dans l'air.

— Mais putain, qu'est-ce que je vais faire maintenant?

Je reste là, assise sur le sol, à contempler la porte fermée comme si elle allait s'ouvrir et Stéphane allait réapparaître. L'air est encore chaud de sa présence, et je m'enveloppe dans son odeur.

— Respire, putain, respire !

Je m'ordonne, mais ma respiration est saccadée, aussi désordonnée que mes pensées. Est-ce que j'ose le rappeler ? Est-ce que j'ose lui dire ce que je ressens ?


Je sens la chaleur monter en moi, une chaleur qui semble venir de l'intérieur et s'étendre à chaque partie de mon corps. J'ai envie de lui, de son corps contre le mien, de sa bouche sur la mienne. Je veux sentir son sexe dur contre mon clitoris, je veux qu'il me pénètre, je veux entendre ses gémissements de plaisir alors qu'il jouit en moi.

— Merde, merde, merde. Arrête de penser à ça, putain!

Je me réprimande, mais il est trop tard. Mon corps est en feu, mes tétons durcis, ma chatte trempée. Je glisse une main sous ma jupe, dans ma culotte, et je touche mon clitoris. Je gémis à la sensation, à la pensée de Stéphane qui me touche, qui me lèche, qui me baise.


Je jouis en silence, mon corps se convulsant dans un plaisir solitaire, les images de Stéphane dans ma tête. Lorsque je reviens à moi, je suis allongée sur le sol, haletante, mon corps encore vibrant de l'orgasme.

— Putain, qu'est-ce que je vais faire ?

Je me demande, alors que la réalité me frappe de nouveau. Comment lui faire comprendre ce que je ressens ?


Je me redresse, le sol froid sous moi, et je prends une grande respiration. Je sais que je dois le faire. Je dois lui dire. Je dois prendre le risque. Parce que si je ne le fais pas, je vais toujours me demander ce qui aurait pu se passer.

Je me lève, mon corps encore tremblant, et je me dirige vers mon téléphone. Mon cœur bat la chamade, mais je suis déterminée. Je vais lui dire. Et qui sait, peut-être qu'il ressent la même chose pour moi.

— Allez, respire, putain. Tu peux le faire.

Je murmure à moi-même, alors que je compose son numéro.


Merde, je suis vraiment dans la merde.

Je prends une grande inspiration, mon cœur battant comme un tambour sauvage dans ma poitrine. J'appuie sur le bouton d'appel et le son de la tonalité me semble le bruit le plus fort du monde.

— Allô, Stéphane?

Ma voix tremble légèrement et je m'en veux d'être aussi nerveuse.

— Allô, oui, c'est moi. Qu'y a-t-il?

Sa voix, grave et chaleureuse, me fait frissonner. Mon corps se rappelle de sa présence, de sa proximité.

— Euh, j'ai encore un problème avec mon évier...

Je murmure, consciente de l'excuse ridicule que je suis en train de faire. Mais j'ai besoin de le voir, de lui parler, de lui dire ce que je ressens.

— Il y a encore une fuite?

Sa voix est pleine de surprise et d'inquiétude. C'est adorable.

— Euh, non, ce n'est pas une fuite. C'est juste... il fait des bruits étranges.

Je me maudis en silence pour mon mensonge flagrant.

— Des bruits étranges?

Il semble sceptique, mais il ne dit rien d'autre. "Je peux passer dans une demi-heure, ça te va?"

— Oui, oui, ça me va parfaitement.

Mon cœur bat à tout rompre. "A tout à l'heure alors."

— A tout à l'heure.

Et il raccroche.


Merde, qu'est-ce que je viens de faire? Je me regarde dans le miroir de la salle de bain, mes joues rouges, mes yeux brillants. Je suis un désastre.

Je passe rapidement sous la douche, me lave, me rince. Je veux être parfaite pour lui. Je veux qu'il me désire, comme je le désire. Je sors de la douche, me sèche et m'habille rapidement, choisissant une robe légère qui moule mes courbes.

Je m'assois sur le canapé, attendant qu'il arrive. Mon cœur bat la chamade, ma chatte est humide à l'idée de le voir.

Lorsqu'il frappe à la porte, je me lève précipitamment, lissant ma robe, vérifiant une dernière fois mon apparence dans le miroir. Puis, je vais ouvrir la porte.

— Salut, Stéphane.

Je lui offre un sourire timide, un battement de cils innocent. "Merci d'être venu si vite."


Il me rend mon sourire, ses yeux parcourant rapidement mon corps avant de revenir à mes yeux. Il y a un éclat dans son regard qui me fait espérer qu'il ressent la même chose pour moi.

— Alors, montre-moi ce fameux évier.

Il dit, entrant dans l'appartement.


Et alors que je le guide vers la cuisine, je me promets de lui dire ce que je ressens. Peu importe ce qui se passe ensuite.

Alors que je le conduis vers la cuisine, je sens son regard sur moi. Je me mords la lèvre inférieure, une vague d'excitation monte en moi. « Merde, je dois le faire. » Je murmure à moi-même. Mais la vérité est là, vibrante dans chaque fibre de mon être: je le désire. J'ai envie de lui, de son corps, de sa peau contre la mienne.

Alors que nous arrivons à l'évier, je m'appuie contre le comptoir, faisant en sorte que ma robe remonte un peu, révélant plus de mes jambes nues. Je le sens regarder, et je souris. "Eh bien, voilà le coupable." Je désigne l'évier avec un mouvement de la main.

Il s'approche, mais je vois qu'il a du mal à se concentrer sur l'évier. Sa respiration est légèrement saccadée, et je peux voir l'envie dans ses yeux. "Je vais voir ce que je peux faire." Il dit, mais sa voix est plus grave qu'auparavant.

Je m'éloigne pour le laisser travailler, mais je reste dans la pièce, à le regarder. J'admire ses muscles qui travaillent alors qu'il se penche sur l'évier, l'odeur de son parfum qui remplit la pièce. Je suis mouillée, mon clitoris pulse d'envie.

Après quelques minutes, je m'approche de nouveau. Je me place derrière lui, ma poitrine frôlant son dos. Je pose une main sur son épaule, la faisant glisser le long de son bras. "Est-ce que tu as besoin d'aide?" Je murmure dans son oreille.

Il se redresse et se tourne vers moi, nos corps sont si proches. "Je... je ne sais pas." Il balbutie, ses yeux parcourant mon corps. Je sens sa respiration s'accélérer, et je peux voir la bosse grandissante dans son jean. Il me désire aussi.

Sans un mot, je me penche en avant et l'embrasse. Il semble surpris au début, mais il répond rapidement, ses bras m'enveloppant, sa langue explorant ma bouche. Je gémis contre ses lèvres, sentant son érection contre mon ventre.

Je déboutonne son jean, glisse ma main à l'intérieur et caresse sa bite à travers son boxer. Il est dur, chaud, et je soupire de plaisir à la sensation. Il grogne contre ma bouche, ses mains descendent pour caresser mes fesses, me pressant plus près de lui.

Je romps le baiser et m'agenouille, libérant sa bite de son jean. Je la regarde, sa belle queue dure, puis je la prends dans ma bouche, savourant le goût de lui. Il gémit, ses mains se perdent dans mes cheveux alors que je le suce, le lèche, le goûte.

C'est un tourbillon de sensations, de désir, d'envie. Je le désire, et je vais l'avoir.

Le goût de lui, salé et masculin, remplit ma bouche alors que je l'engloutis, ma langue caressant le dessous de sa bite. Stéphane gémit, son souffle se faisant plus court, ses doigts s'enfonçant dans mes cheveux.

— Putain...

Il soupire, son regard fixé sur moi alors que je m'occupe de lui. Je sens sa bite palpiter dans ma bouche, l'excitation monte en moi, me faisant mouiller encore plus.


Je mets un de mes doigts à l'entrée de ma chatte, caressant mon clitoris du bout de l'autre main. Je m'attarde sur le gland sensible de Stéphane, suçant doucement tout en me touchant. Mon souffle s'accélère, je suis au bord de l'orgasme.

Soudain, Stéphane se retire de ma bouche et me tire vers lui. "Non, je veux te sentir." Il dit, sa voix rauque par le désir. Il me pousse contre le comptoir, soulève ma robe et descend ma culotte.

Je sens son regard brûlant sur mon sexe, j'écarte mes jambes pour lui, mon cœur battant la chamade. J'ai envie de lui, tellement envie de lui.

Il pose une main sur mon clitoris, la chaleur de sa paume contre ma peau me fait gémir. Il me regarde droit dans les yeux alors qu'il commence à me caresser, son toucher doux mais ferme.

— Merde, tu es tellement mouillée...

Il murmure, et l'entendre dire ça me fait frissonner de désir.


Je le veux en moi. "Prends-moi, Stéphane." Je souffle, incapable de résister plus longtemps.

Sans un mot, il s'exécute. Il sort sa bite de son jean, se positionne entre mes jambes et me pénètre en un mouvement fluide. Je crie à la sensation, à la plénitude de l'avoir en moi. Il est grand, épais, parfait.

Il commence à bouger, chaque coup de reins me fait gémir de plaisir. Je sens son souffle chaud contre mon cou, l'odeur de lui me fait tourner la tête. Mon orgasme monte, inéluctable, irrésistible.

Il augmente le rythme, sa bite me ramone avec une vigueur qui me fait crier. Je sens mon orgasme arriver, une vague de plaisir qui déferle sur moi. "Je... je vais..." Je gémis, et avant que je puisse finir ma phrase, l'orgasme m'emporte.

Je crie son nom alors que je jouis, mon corps se convulsant de plaisir. Stéphane suit peu après, ses mouvements devenant erratiques alors qu'il jouit à son tour. Je sens son sperme chaud me remplir, et cela prolonge mon propre orgasme.

Nous restons là, contre le comptoir, nos corps en sueur, nos respirations haletantes. Je ne peux pas nier que ce que je viens de vivre avec lui a été incroyable.

Et alors que je le regarde, son sourire satisfait,son corps nu contre le mien, je ne peux m'empêcher de me demander ce que cela signifie pour nous. Suis-je en train de tomber amoureuse de lui? Non, je ne peux pas me permettre de penser à ça maintenant. Tout ce que je sais, c'est que je le désire. Et je vais le prendre autant que je le pourrai.

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