Plan à trois toride : je découvre les talents de ma colocataire.
Récit érotique écrit par Metisse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2013 dans la catégorie Plus on est
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Plan à trois toride : je découvre les talents de ma colocataire.
« J’aimerai tellement que tu me suces Julia »… Malheureusement, ces mots ne viennent pas annoncer une nuit torride dans mon lit avec un jeune Apollon. Non, ils viennent de Paul, un homme que j’ai rencontré il y a un mois de ça sur internet. N’étant pas une grande convaincue des histoires d’amour naissant sur la toile, je ne suis pas pour autant complétement fermée aux conversations érotiques avec un inconnu qui donnent matière à se caresser. Paul avait eu le don de me donner plusieurs orgasmes de suite simplement en m’envoyant quelques mots crus, ne vous étonnez donc pas que j’ai gardé contact avec lui.
Nous avons mis plusieurs semaines avant de nous rencontrer. Question de principe à deux balles peut-être… Une nuit qu’il m’envoyait des mots salaces, je craquais et lui demandais de passer chez moi le soir suivant. Je mettais ma coloc, Marjolaine, à la porte pour la nuit. Après de longues tergiversions, j’optais pour un ensemble en satin et une robe moulante avec des hauts talons pour la soirée. On frappa … Quelle ne fut pas ma surprise quand je découvris un quarantenaire devant ma porte : « Bonsoir, je suis Paul ». Quelle idiote j’avais été de ne pas lui demander une photo ! Les images de son corps musclé et de son imposant pénis m’avaient suffi. J’allais lui fermer la porte au nez, verte de rage, mais il la retint avec une force qui m’étonna : « Je peux au moins prendre un verre, non ? ». Je commençais à lui rire au nez quand j’aperçus ses muscles saillants sous son t-shirt moulant. Il était vraiment bien bâti. En le regardant avec plus d’attention, je remarquais qu’il ressemblait à Bruce Willis. Je le laissai entrer…
Je me rendis dans la cuisine pour prendre le vin. Je le surpris en train de matter mes fesses avec satisfaction. Quel salopard…je me tenais droite, sans bouger, visiblement énervée. Il s’approcha lentement de moi : « Allez Julia, tu ne vas pas me faire le coup de la sainte nitouche. Non, pas après tout ce que tu m’as dit, pas après toutes les photos sexy que tu m’as envoyées… » Il agrippa mes hanches. Je voulais me reculer, mais en vain…Il me tenait d’une main de fer. Sans réfléchir, je caressais ses bras, puis son torse… Hmmm quel corps de rêve. Il me murmura : « C’est ça, laisse toi aller, je sais que tu en meurs d’envie. Hmmm c’est bien. Après tout, un homme mature sait mieux sauter une femme c’est bien connu ». Je passais les mains sous son t-shirt, complètement enivrée par son corps, ses paroles. Je passais mes mains sous son jean, impatiente de sentir pour de vrai sa grosse bite. Je ne pus retenir un gémissement. « Tu en avais envie n’est-ce-pas ? Lâche toi, mon corps est tout à toi ». Il me contrôlait complétement. En un quart de seconde, cet homme avait pris possession de moi. Je repensais à tous ces messages, ses promesses de baises torrides et mon excitation grandissait. Il me fit descendre entre ses cuisses et je me délectais de son membre. J’eue du mal à le mettre en entier dans ma bouche, il était tellement épais…Il me releva, enleva mon ensemble de satin avec ses dents et m’allongea sur la table. Il m’écarta les cuisses violemment et sa langue se mit à s’activer sur mon clitoris. Après m’avoir fait jouir, il remonta vers moi sans me laisser de reprendre mes esprits et frotta son pénis contre ma chatte. Il commençait à me pénétrait quand on entendit un bruit de clés.
Sur le pallier, Marjolaine, ma colocataire, qui avait visiblement oublié mes indications pour la nuit. Après un petit cri étouffé lorsqu’elle découvrit un homme complétement nu dans le salon prêt à me prendre, elle sourit et marcha lentement jusqu’à sa chambre, visiblement impressionnée par l’homme que j’avais ramené. Paul et moi partirent dans ma chambre finirent nos ébats.
En effet, il savait comment y faire avec les femmes. Chacune de ses caresses me rendaient folles, je mouillais comme une salope, ce qui semblait le combler. Il allait enfin me pénétrer quand Marjolaine entra dans la chambre. Elle se tenait contre la porte, uniquement vêtue d’une petite nuisette transparente : « Je peux entrer ? ». Sans même attendre une réponse, elle s’approcha de moi et m’embrassa langoureusement, sous le regard abasourdi de Paul. Je voulais la renvoyer illico dans sa chambre mais ses lèvres me convinrent du contraire. Après tout pourquoi pas ? Marjo était une magnifique blonde, dotée d’une poitrine généreuse comme la mienne, avec une bouche pulpeuse qui m’avait toujours fascinée. Je glissais ma main entre ses cuisses, sa chatte était déjà trempée. Je l’imaginais se caresser quelques minutes auparavant de l’autre côté du mur, excitée par mes gémissements et les grognements de Paul. Ce dernier continuait de nous fixer, visiblement heureux de la tournure que prenaient les événements. Marjo me léchait les seins avec passion. Paul s’approcha et commença à nous doigter en même temps. Nos gémissements entremêlés de petites chattes en chaleur lui faisaient perdre la tête. Marjolaine regardait son pénis avec envie. « Tu le veux ? » lui demanda Paul. Il approcha lentement son membre de la bouche de mon amie, qui s’en empara. Quelle salope… Elle le suçait avec une vigueur incroyable. Je me caressais un moment en les regardant avant de rejoindre mon amie. Nos langues se croisaient, se caressaient voire se cherchaient sur le sexe bien dur de notre partenaire. Je caressais ses fesses en même temps. Elles étaient sublimes, bien fermes et rebondies. En retour, elle me donna une fessée, ce qui redoubla mon excitation.
Soudain, Marjolaine lâcha d’un ton autoritaire : « Maintenant chéri, tu t’occupes de nous ». Elle m’allongea auprès d’elle. Paul s’empara de nos poitrines, ravi d’avoir deux 95C entre ses mains expertes. Il murmurait « Oh les petites chiennes, hmmm vous allez voir ce que vous allez prendre. » Il nous lécha chacune notre tour et fit jouir mon amie une première fois. Marjolaine et moi nous embrassions sensuellement, excitées de nous retrouver dans une telle situation. Sa langue léchait mes lèvres tendrement…elle savait y faire. Je sentis soudainement l’attention de Paul se concentrait sur moi. Il me sourit : « à toi l’honneur ma petite cochonne ». D’un coup de rein vif, il me pénétra. Marjolaine gémissait en même temps que moi en se caressant. Paul n’était plus qu’à moi. Je me délectais de son corps de rêve. Il me semblait sentir son pénis grossir encore en moi. Il me prenait d’une façon presque animale. Il m’assit sur lui, écartant mes cuisses au maximum. Il dévorait mes seins en même temps qu’il m’empalait doucement. Je surpris le regard pervers de Marjolaine, qui se délectait du spectacle. Mais la façon dont elle regardait la queue de Paul s’enfonçait en moi montrait à quel point elle avait hâte que ce soit son tour. Il me retourna pour me prendre en levrette. Il me dit : « Lèche ta copine en même temps ». Sans trop savoir comment m’y prendre, je m’exécutais. Ma langue s’approcha de la chatte mouillée de Marjo qui se tordait de plaisir. A ma grande surprise, j’aimais ça. Et, à en croire les gémissements de ma colocataire, je m’y prenais plutôt bien. L’orgasme vint rapidement…pour elle comme pour moi. Les coups de bite sauvages de Paul m’avait fait venir, mes coups de langue pour elle. Paul embrassa mes lèvres trempées de mouille. Pendant qu’il reprenait ses esprits, Marjolaine faisait durer mon orgasme en me léchant.
Bien qu’à moitié assommée par le plaisir, je vis que Paul s’occupait maintenant de ma copine. Je m’approchais doucement d’eux, massant à tour de rôle les couilles de Paul et les seins de Marjo qui rebondissait sous les coups de reins. Je regardai à mon tour cet inconnu prendre le contrôle du corps (magnifique, il faut l’avouer) de mon amie. Son dos se cambrait sous les assauts endiablés de Paul. Elle gémissait « Donne-moi une fessée ! ». Je souriais, surprise de découvrir cet aspect de sa personnalité. Etrangement, ça me plaisait beaucoup. Alors qu’il allait venir, il se retira de Marjo et nous éjacula sur les seins. Il ne mit pas longtemps à s’endormir. Mais nous en voulions encore. Je m’approchais du corps de ma partenaire pour lui lécher ses seins recouverts de sperme. Elle me fixait d’un regard plein d’envie, et lécha ma poitrine à son tour. Je regardais ses lèvres lécher lentement mes tétons. Elle prit ma main et la plaça entre mes cuisses pour que je me caresse. Elle fit pareille de son côté. Nous eûmes notre dernier orgasme, nous fixant droit dans les yeux. Nous nous endormions l’une sur l’autre, sa main encore entre mes cuisses.
Le lendemain, nous prirent une douche tous les trois, Marjolaine et moi plaquées contre le mur pour recevoir chacune notre tour la bite de Paul. Il nous insultait de petites salopes, de belles putes en même temps qu’il nous sautait sauvagement. Alors que nous le sucions il murmura : « Je vous ai entendu hier soir petites cochonnes. Vous pensiez que je dormais hein ? Hmmm vous m’avez offert une belle branlette. »
Une fois qu’il fut parti, je m’allongeais sur mon lit pour me reposer. C’était sans compter sur Marjolaine, qui, quelques heures plus tard, entra dans ma chambre, cette fois-ci entièrement nue. « Je peux entrer ? ».
Nous avons mis plusieurs semaines avant de nous rencontrer. Question de principe à deux balles peut-être… Une nuit qu’il m’envoyait des mots salaces, je craquais et lui demandais de passer chez moi le soir suivant. Je mettais ma coloc, Marjolaine, à la porte pour la nuit. Après de longues tergiversions, j’optais pour un ensemble en satin et une robe moulante avec des hauts talons pour la soirée. On frappa … Quelle ne fut pas ma surprise quand je découvris un quarantenaire devant ma porte : « Bonsoir, je suis Paul ». Quelle idiote j’avais été de ne pas lui demander une photo ! Les images de son corps musclé et de son imposant pénis m’avaient suffi. J’allais lui fermer la porte au nez, verte de rage, mais il la retint avec une force qui m’étonna : « Je peux au moins prendre un verre, non ? ». Je commençais à lui rire au nez quand j’aperçus ses muscles saillants sous son t-shirt moulant. Il était vraiment bien bâti. En le regardant avec plus d’attention, je remarquais qu’il ressemblait à Bruce Willis. Je le laissai entrer…
Je me rendis dans la cuisine pour prendre le vin. Je le surpris en train de matter mes fesses avec satisfaction. Quel salopard…je me tenais droite, sans bouger, visiblement énervée. Il s’approcha lentement de moi : « Allez Julia, tu ne vas pas me faire le coup de la sainte nitouche. Non, pas après tout ce que tu m’as dit, pas après toutes les photos sexy que tu m’as envoyées… » Il agrippa mes hanches. Je voulais me reculer, mais en vain…Il me tenait d’une main de fer. Sans réfléchir, je caressais ses bras, puis son torse… Hmmm quel corps de rêve. Il me murmura : « C’est ça, laisse toi aller, je sais que tu en meurs d’envie. Hmmm c’est bien. Après tout, un homme mature sait mieux sauter une femme c’est bien connu ». Je passais les mains sous son t-shirt, complètement enivrée par son corps, ses paroles. Je passais mes mains sous son jean, impatiente de sentir pour de vrai sa grosse bite. Je ne pus retenir un gémissement. « Tu en avais envie n’est-ce-pas ? Lâche toi, mon corps est tout à toi ». Il me contrôlait complétement. En un quart de seconde, cet homme avait pris possession de moi. Je repensais à tous ces messages, ses promesses de baises torrides et mon excitation grandissait. Il me fit descendre entre ses cuisses et je me délectais de son membre. J’eue du mal à le mettre en entier dans ma bouche, il était tellement épais…Il me releva, enleva mon ensemble de satin avec ses dents et m’allongea sur la table. Il m’écarta les cuisses violemment et sa langue se mit à s’activer sur mon clitoris. Après m’avoir fait jouir, il remonta vers moi sans me laisser de reprendre mes esprits et frotta son pénis contre ma chatte. Il commençait à me pénétrait quand on entendit un bruit de clés.
Sur le pallier, Marjolaine, ma colocataire, qui avait visiblement oublié mes indications pour la nuit. Après un petit cri étouffé lorsqu’elle découvrit un homme complétement nu dans le salon prêt à me prendre, elle sourit et marcha lentement jusqu’à sa chambre, visiblement impressionnée par l’homme que j’avais ramené. Paul et moi partirent dans ma chambre finirent nos ébats.
En effet, il savait comment y faire avec les femmes. Chacune de ses caresses me rendaient folles, je mouillais comme une salope, ce qui semblait le combler. Il allait enfin me pénétrer quand Marjolaine entra dans la chambre. Elle se tenait contre la porte, uniquement vêtue d’une petite nuisette transparente : « Je peux entrer ? ». Sans même attendre une réponse, elle s’approcha de moi et m’embrassa langoureusement, sous le regard abasourdi de Paul. Je voulais la renvoyer illico dans sa chambre mais ses lèvres me convinrent du contraire. Après tout pourquoi pas ? Marjo était une magnifique blonde, dotée d’une poitrine généreuse comme la mienne, avec une bouche pulpeuse qui m’avait toujours fascinée. Je glissais ma main entre ses cuisses, sa chatte était déjà trempée. Je l’imaginais se caresser quelques minutes auparavant de l’autre côté du mur, excitée par mes gémissements et les grognements de Paul. Ce dernier continuait de nous fixer, visiblement heureux de la tournure que prenaient les événements. Marjo me léchait les seins avec passion. Paul s’approcha et commença à nous doigter en même temps. Nos gémissements entremêlés de petites chattes en chaleur lui faisaient perdre la tête. Marjolaine regardait son pénis avec envie. « Tu le veux ? » lui demanda Paul. Il approcha lentement son membre de la bouche de mon amie, qui s’en empara. Quelle salope… Elle le suçait avec une vigueur incroyable. Je me caressais un moment en les regardant avant de rejoindre mon amie. Nos langues se croisaient, se caressaient voire se cherchaient sur le sexe bien dur de notre partenaire. Je caressais ses fesses en même temps. Elles étaient sublimes, bien fermes et rebondies. En retour, elle me donna une fessée, ce qui redoubla mon excitation.
Soudain, Marjolaine lâcha d’un ton autoritaire : « Maintenant chéri, tu t’occupes de nous ». Elle m’allongea auprès d’elle. Paul s’empara de nos poitrines, ravi d’avoir deux 95C entre ses mains expertes. Il murmurait « Oh les petites chiennes, hmmm vous allez voir ce que vous allez prendre. » Il nous lécha chacune notre tour et fit jouir mon amie une première fois. Marjolaine et moi nous embrassions sensuellement, excitées de nous retrouver dans une telle situation. Sa langue léchait mes lèvres tendrement…elle savait y faire. Je sentis soudainement l’attention de Paul se concentrait sur moi. Il me sourit : « à toi l’honneur ma petite cochonne ». D’un coup de rein vif, il me pénétra. Marjolaine gémissait en même temps que moi en se caressant. Paul n’était plus qu’à moi. Je me délectais de son corps de rêve. Il me semblait sentir son pénis grossir encore en moi. Il me prenait d’une façon presque animale. Il m’assit sur lui, écartant mes cuisses au maximum. Il dévorait mes seins en même temps qu’il m’empalait doucement. Je surpris le regard pervers de Marjolaine, qui se délectait du spectacle. Mais la façon dont elle regardait la queue de Paul s’enfonçait en moi montrait à quel point elle avait hâte que ce soit son tour. Il me retourna pour me prendre en levrette. Il me dit : « Lèche ta copine en même temps ». Sans trop savoir comment m’y prendre, je m’exécutais. Ma langue s’approcha de la chatte mouillée de Marjo qui se tordait de plaisir. A ma grande surprise, j’aimais ça. Et, à en croire les gémissements de ma colocataire, je m’y prenais plutôt bien. L’orgasme vint rapidement…pour elle comme pour moi. Les coups de bite sauvages de Paul m’avait fait venir, mes coups de langue pour elle. Paul embrassa mes lèvres trempées de mouille. Pendant qu’il reprenait ses esprits, Marjolaine faisait durer mon orgasme en me léchant.
Bien qu’à moitié assommée par le plaisir, je vis que Paul s’occupait maintenant de ma copine. Je m’approchais doucement d’eux, massant à tour de rôle les couilles de Paul et les seins de Marjo qui rebondissait sous les coups de reins. Je regardai à mon tour cet inconnu prendre le contrôle du corps (magnifique, il faut l’avouer) de mon amie. Son dos se cambrait sous les assauts endiablés de Paul. Elle gémissait « Donne-moi une fessée ! ». Je souriais, surprise de découvrir cet aspect de sa personnalité. Etrangement, ça me plaisait beaucoup. Alors qu’il allait venir, il se retira de Marjo et nous éjacula sur les seins. Il ne mit pas longtemps à s’endormir. Mais nous en voulions encore. Je m’approchais du corps de ma partenaire pour lui lécher ses seins recouverts de sperme. Elle me fixait d’un regard plein d’envie, et lécha ma poitrine à son tour. Je regardais ses lèvres lécher lentement mes tétons. Elle prit ma main et la plaça entre mes cuisses pour que je me caresse. Elle fit pareille de son côté. Nous eûmes notre dernier orgasme, nous fixant droit dans les yeux. Nous nous endormions l’une sur l’autre, sa main encore entre mes cuisses.
Le lendemain, nous prirent une douche tous les trois, Marjolaine et moi plaquées contre le mur pour recevoir chacune notre tour la bite de Paul. Il nous insultait de petites salopes, de belles putes en même temps qu’il nous sautait sauvagement. Alors que nous le sucions il murmura : « Je vous ai entendu hier soir petites cochonnes. Vous pensiez que je dormais hein ? Hmmm vous m’avez offert une belle branlette. »
Une fois qu’il fut parti, je m’allongeais sur mon lit pour me reposer. C’était sans compter sur Marjolaine, qui, quelques heures plus tard, entra dans ma chambre, cette fois-ci entièrement nue. « Je peux entrer ? ».
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