Plus facile chez soi
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2013 dans la catégorie Fétichisme
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Plus facile chez soi
Plus facile chez soi
Vous me connaissez ( histoire du 5/12/2013 à 9 heures) Dominique, 41 ans, ni plus belle ni moins belle qu’une autre, je travaille dans une compagnie d’assurance. Je suis mariée à un gentil mari et nous aimons bien les jeux érotiques uro/scato soft.
J’ai toujours eu des problèmes, je ne me soulage bien que chez moi, pour pipi ça va mais pour le reste c’est beaucoup plus délicat, je n’arrive pas à chier correctement, quand je ne suis pas dans ma salle de bains, ça bloque. Alors pendant les vacances c’est un gros problème.
En Bretagne depuis une semaine et seulement quelques petits envies sans importance que j’ai vite réussi à faire passer. Le dimanche suivant notre arrivée, je me suis rendue compte que je n’avais pas été faire pot pot depuis maintenant 8 jours, et ça commençait à me préoccuper, en même temps je commençais à avoir mal au ventre. Quand mon mari me demanda si je voulais aller faire un tour sur le port je n’étais pas très chaude pour cette promenade sachant que je pouvais être prise de coliques à tous moments. Le temps était beau et devant son insistance nous sommes sortis. J’étais mal à l’aise au milieu de tous ces touristes, mes intestins gonflés commençaient à réagir et c‘est au beau milieu de notre ballade que j'ai enfin senti l’envie de chier monter en moi, une vraie envie qui ne supporte aucune attente alors j'ai dit à mon mari : « il faut que nous rentrions maintenant, tu comprends, je n’ai pas fait caca depuis une semaine et c’est maintenant que je dois y aller, c’est le moment ou jamais de me libérer ». Il m'a demandé si je pouvais tenir encore un peu, le temps que nous finissions notre promenade. Il ne se rendait vraiment pas compte de ma situation, il connait pourtant bien les habitudes de mon rectum , mais il ne savait pas cette fois depuis combien de temps je n’avais pas été chier. Il a été effaré quand je lui ai dit que je n’avais pas été depuis une semaine, il eu un petit sourire et me dis dépêchons nous je ne voudrais pas rater le spectacle, il voyait bien que j’étais mal à l’aise. Nous sommes rentré assez rapidement dans notre gîte rural. J’avais « le chocolat au bord des lèvres » mais il devait être si volumineux qu’il lui était impossible de sortir et pourtant j’avais envie de pousser mais il fallait absolument se retenir. Ouf, nous arrivons enfin au gîte, c’est bizarre cette impression d’avoir la crotte au cul. Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai décidé de me peser pour voir la différence avant et après. Je me suis assise sur les toilettes mais rien ne se passa pendant environ 10minutes pourtant ce n’était pas faute d’être pleine à ras bord, puis je sentis un fort mouvement de mes intestins et l’arrivée de quelque chose de consistant qui me semblait énorme. J'ai demandé à mon mari s'il pouvait apporter le tube de vaseline qui était dans la valise ( en lubrifiant mon petit trou j’espérais que mon petit trou souffrirait moins devant le colosse qui se présentait à l’orifice ) . Il a été très gentil et m’a demandé s’il pouvait l’appliquer lui-même. « Absolument pas » je lui ai répondu. Il voulait me voir ( et surtout voir ma rosette) pousser ce monstre et j’ai finalement accepté . C'était très étrange au début de le savoir derrière moi à attendre, pourtant j’y suis habituée, mais j’étais heureuse qu'il soit avec moi. Il savait qu’il faudrait forcer pour faire sortir cet étron qui attendait maintenant depuis si longtemps d’être libéré. Après de bonnes poussées il montra le bout de son nez, bien formé et gras et tellement long qu’il n’en finissait plus de sortir de sorte qu’il ne rentra pas dans la cuvette des toilettes , j'ai dû relever les fesses quand il a atteint la porcelaine pour ne pas gêner sa sortie.( quel feerie pour mon admirateur) Finalement tout est parti d’un coup suivi d’un pet chuintant . C'était si douloureux que j'étais en larmes tellement j’avais fait des efforts pour faire sortir cette « chose » . C’était un grand boudin mœlleux et il était si grand qu'il reposait contre le bord du siège . Je dirais plus de 20 cm de long et environ 5 cm de diamètre. J’en tremblais mais j’étais libérée. 30 minutes s’étaient écoulées depuis mon arrivée sur le siège et mon mari était en état d’extase devant le spectacle que je venais de lui offrir. Quand nous avons été remis de nos émotions , je pesais presque 2 kgs de moins ! Il a fallu deux jours pour mon trou du cul pour revenir à sa taille normale .Mon mari aurait pu en profiter mais la brûlure était trop grande et il a dû patienter. Ce qu’il fit sans broncher car il savait qu’il fallait en passer par là si il voulait assister à une nouvelle scéance.
Vous me connaissez ( histoire du 5/12/2013 à 9 heures) Dominique, 41 ans, ni plus belle ni moins belle qu’une autre, je travaille dans une compagnie d’assurance. Je suis mariée à un gentil mari et nous aimons bien les jeux érotiques uro/scato soft.
J’ai toujours eu des problèmes, je ne me soulage bien que chez moi, pour pipi ça va mais pour le reste c’est beaucoup plus délicat, je n’arrive pas à chier correctement, quand je ne suis pas dans ma salle de bains, ça bloque. Alors pendant les vacances c’est un gros problème.
En Bretagne depuis une semaine et seulement quelques petits envies sans importance que j’ai vite réussi à faire passer. Le dimanche suivant notre arrivée, je me suis rendue compte que je n’avais pas été faire pot pot depuis maintenant 8 jours, et ça commençait à me préoccuper, en même temps je commençais à avoir mal au ventre. Quand mon mari me demanda si je voulais aller faire un tour sur le port je n’étais pas très chaude pour cette promenade sachant que je pouvais être prise de coliques à tous moments. Le temps était beau et devant son insistance nous sommes sortis. J’étais mal à l’aise au milieu de tous ces touristes, mes intestins gonflés commençaient à réagir et c‘est au beau milieu de notre ballade que j'ai enfin senti l’envie de chier monter en moi, une vraie envie qui ne supporte aucune attente alors j'ai dit à mon mari : « il faut que nous rentrions maintenant, tu comprends, je n’ai pas fait caca depuis une semaine et c’est maintenant que je dois y aller, c’est le moment ou jamais de me libérer ». Il m'a demandé si je pouvais tenir encore un peu, le temps que nous finissions notre promenade. Il ne se rendait vraiment pas compte de ma situation, il connait pourtant bien les habitudes de mon rectum , mais il ne savait pas cette fois depuis combien de temps je n’avais pas été chier. Il a été effaré quand je lui ai dit que je n’avais pas été depuis une semaine, il eu un petit sourire et me dis dépêchons nous je ne voudrais pas rater le spectacle, il voyait bien que j’étais mal à l’aise. Nous sommes rentré assez rapidement dans notre gîte rural. J’avais « le chocolat au bord des lèvres » mais il devait être si volumineux qu’il lui était impossible de sortir et pourtant j’avais envie de pousser mais il fallait absolument se retenir. Ouf, nous arrivons enfin au gîte, c’est bizarre cette impression d’avoir la crotte au cul. Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai décidé de me peser pour voir la différence avant et après. Je me suis assise sur les toilettes mais rien ne se passa pendant environ 10minutes pourtant ce n’était pas faute d’être pleine à ras bord, puis je sentis un fort mouvement de mes intestins et l’arrivée de quelque chose de consistant qui me semblait énorme. J'ai demandé à mon mari s'il pouvait apporter le tube de vaseline qui était dans la valise ( en lubrifiant mon petit trou j’espérais que mon petit trou souffrirait moins devant le colosse qui se présentait à l’orifice ) . Il a été très gentil et m’a demandé s’il pouvait l’appliquer lui-même. « Absolument pas » je lui ai répondu. Il voulait me voir ( et surtout voir ma rosette) pousser ce monstre et j’ai finalement accepté . C'était très étrange au début de le savoir derrière moi à attendre, pourtant j’y suis habituée, mais j’étais heureuse qu'il soit avec moi. Il savait qu’il faudrait forcer pour faire sortir cet étron qui attendait maintenant depuis si longtemps d’être libéré. Après de bonnes poussées il montra le bout de son nez, bien formé et gras et tellement long qu’il n’en finissait plus de sortir de sorte qu’il ne rentra pas dans la cuvette des toilettes , j'ai dû relever les fesses quand il a atteint la porcelaine pour ne pas gêner sa sortie.( quel feerie pour mon admirateur) Finalement tout est parti d’un coup suivi d’un pet chuintant . C'était si douloureux que j'étais en larmes tellement j’avais fait des efforts pour faire sortir cette « chose » . C’était un grand boudin mœlleux et il était si grand qu'il reposait contre le bord du siège . Je dirais plus de 20 cm de long et environ 5 cm de diamètre. J’en tremblais mais j’étais libérée. 30 minutes s’étaient écoulées depuis mon arrivée sur le siège et mon mari était en état d’extase devant le spectacle que je venais de lui offrir. Quand nous avons été remis de nos émotions , je pesais presque 2 kgs de moins ! Il a fallu deux jours pour mon trou du cul pour revenir à sa taille normale .Mon mari aurait pu en profiter mais la brûlure était trop grande et il a dû patienter. Ce qu’il fit sans broncher car il savait qu’il fallait en passer par là si il voulait assister à une nouvelle scéance.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore tes histoires qui me font bander!
Moi aussi, j'aime avoir un gros caca bien dur qui pousse et que j'essaie de retenir...
J'espère qu'un jour, tu nous raconteras quels sont vos jeux, après...
Continue, chérie...
Moi aussi, j'aime avoir un gros caca bien dur qui pousse et que j'essaie de retenir...
J'espère qu'un jour, tu nous raconteras quels sont vos jeux, après...
Continue, chérie...