PONT DE L'ASCENSION

- Par l'auteur HDS Gust 1 -
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Récit libertin : PONT DE L'ASCENSION Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PONT DE L'ASCENSION
PONT DE L ASCENSION


Demain c’est le pont de l Ascencion, j’ai pris l’aprés midi de libre pour aller sur une plage fluviale pas trop loin de chez moi pour prendre un bain de soleil et me baigner si l’eau n’est pas trop froide,
J’ai 20 ans, je m’appelle Leo et depuis 3 mois j’ai une relation avec Mansour, mon voisin du 3e et père de mon ami. Tout a commencé dans sa maison de campagne où je l’aidais à la remettre en état, et, depuis ce jour, et même si les travaux de sa maison sont terminés on se voit deux ou trois fois par semaine, il est content de me satisfaire d’autant plus que sa femme ne veut pas le sucer ni lui donner son cul...Bien sur, on prend toutes les précautions pour garder notre relation secrète, la seule chose qui me gêne est qu’il ne veut pas qu’on s‘embrasse , ca me procure un manque car je suis sur que si on s’embrassait je me sentirai vraiment femelle entre ses bras….
Donc, ce mercredi après midi me voici en maillot de bain sur cette plage où après avoir mis les pieds dans l’eau j’ai renoncé au bain. Allongé sur le ventre, je savoure les rayons du soleil tout en somnolant, m’endormant même. Je suis sorti de mon sommeil par des échanges de voix, je lève la tête et je vois un homme allant de groupe en groupe et échangeant avec eux, je m’assieds et je le vois se diriger ves moi : « Excusez moi de vous importuner mais j’ai perdu les clefs de ma voiture, si vous les trouvez je vous remercie de m’avetir » et je lui réponds que si c’est le cas je ne manquerai pas de les lui remettre, c’est un beau mec entre 40 et 50 ans, musclé, blond , les yeux bleus, au fond de moi je me dis que je passerai bien quelques heures avec lui dans son lit mais vite j’écarte cette idée en me traitant de rêveur...Au bout d’un moment, je décide de rentrer chez moi, il reste peu de gens sur la plage mais l’homme est toujours là en train de chercher ses clefs. « Vous n’avez pas un double ?, je lui demande et il me répond que si mais il est chez lui, sans arrière pensée je lui demande s’il habite loin, il me répond a un quart d’heure et je décide de l’emmener chez lui avec ma voiture. Effectivement, son appartement est tout proche et nous avons vite fait l’aller retour, durant le trajet il m’ a dit qu’il s’appellait Benoit et était directeur d’une boite d’informatique. Au moment de se séparer, il voulait me payer le carburant, ce que j’ai refusé et il a alors insisté pour m’inviter chez lui à prendre un verre, ce que j’ai accepté en recommençant à m’imaginer plein de choses que j’ effaçais aussitôt de mes pensées. Arrivé chez lui, j’ai pu découvrir un bel appartement bien décoré et agencé, on s’est assis sur un sofa et on a parlé de tout et de rien tout en savourant l’apérif et les amuses geules qu’il avait servi. Puis , un moment de silence, on ne savait plus quoi dire, il a mis sa main sur ma cuisse en me regardant droit dans les yeux et m’ a dit : »Encore merci, sans toi, je ne sais pas comment j’aurai fait « . Il ne m’a pas laissé le temps de lui repondre, il a pris mon visage entre ses mains et a approché ses lèvres des miennes, pour ma part j’ai eu le réflexe de lui tendre les miennes, au bout d’un échange de deux ou trois bisous il m’a chuchoté »Toi aussi, tu aimes les mecs, pas vrai ? » pour toute réponse j’ai passé mes bras autour de son cou et nous nous sommes embrassés longtemps, passionnément, nos langues se cherchaient, se touvaient, se séparaient, j’étais excité comme jamais, j’étais bien, je me sentais soumis entre les bras de mon mari. Il a passe sa main entre mon bas ventre et mon short et a commencé a me branler, pour ma part je luis caressais les couilles à travers son pantalon et son souffe s’accélérait :
-Tu as eu beaucoup de mecs ? 
- Si tu me fais partager ton lit tu seras le second.
Et nous sommes allés dans sa chambre, on ne cessait de s’embrasser et de se caresser, puis j’ai pris la direction des opérations, je l’ai pris dans ma bouche, son sexe ne cessait de gonfler au point que je croyais qu’il allait se déverser en moi, ce qui n’aurait pas été pour me déplaire d’ailleurs mais, il m’a fait mettre sur le dos, je ne comprenais pas pourquoi, ensuite il a levé mes jambes jusqu’a sur ses épaules , ses mains me plaquaienet mes épaules et il est entré en moi délicatement avant d’accélérer la cadence et de me faire gémir de plaisir comme jamais. Je découvrais cette position vu que Mansour m’avait toujours pris a plat ventre ou a quatre pattes.
- C’est bon tous les deux , tu aimes mon chéri ?
- Ouiiii, met moi la toute ! Défonce moi !
Au bout d’une série interminable, mais exquise, d’assauts répétés il m’a inondé de son jus et m’a fait crier de plaisir et de bonheur. Je n’ai eu que le temps de me remettre sur le dos qu’il a placé sa bouche entre mes jambes et je n’ai pas tardé à jouir, il a continué encore jusqu’a avaler la dernère goutte : C’était la première fois qu’un mec me suçait, j’adorais.
Puis on est resté allongé l’un contre l’autre, je lui ai raconté ma liaison avec Mansour sans rien lui cacher, lui même m’ a conté ses aventures bien plus nombreuses, vu son âge. Je suis resté manger et j’ai insisté pour faire la vaisselle, au bout d ‘un moment, il s’est plaqué contre moi, m’a baissé le pantalon et a commencer a jouer avec sa queue entre mes fesses, j’avais les mains dans l’évier et je me suis cambré autant que j’ai pu pour lui faciliter le passage, j’étais excité comme jamais, j’avais encore envie qu’il me prenne, qu’il s’enfonce en moi, ce qui n’a pas tarder à se produire.
- Tu sais que tu es à moi à présent, tu es ma femelle et je suis ton mec , pas vrai ?
- Ouiiii, chéri, fais moi ce que tu voudras, c’est bon ! N’arrête pas, continue !
Nous avons joui ensemble, puis, dans la soirée, il m’ a d’abord demandé de passer ces jours de fête en sa compagnie et ensuite de cesser ma relation avec Mansour, il me voulait pour lui seul. J’ai accepté de suite. Voici un an que cela s’est passé ; les fins de semaine , les veilles de fête, les vacances nous les passons ensemble, on envisage de ne plus se quitter, on laisse le temps au temps.
Je suis follement amoureux, et lui aussi, j’en suis sur….

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