Pour se détendre au chalet #2 - histoire érotique

De retour à l'extérieur avec le groupe, Martine ne cesse de me regarder avec son regard coquin. Avec son maillot deux pièces, qui mets ses seins et son beau petit cul en valeur, elle me fait tourner la tête et je la garde toujours dans mon champs de vision. Je me dis que je dois absolument prendre cette belle petite salope avant la fin du week-end...

Avec cette arrivée mouvementée, j'avais complètement oublié de mettre à l'eau mon bateau à l'eau. En discutant avec Marco pour savoir où le descendre, c'est là que le chum de Martine se manifeste. Il semblait intéressé par la situation. Il se présenta à moi comme étant Pat et qu'il m'offrait son aide pour le descendre. J'acceptai son offre.

Pat était un beau gars, cheveux châtain, yeux marron. Je comprenais qu'il avait le look pour Martine. Je ne pouvais qu'imaginer que leurs séances de baise pouvaient être bien intense. Pat avait retrouvé le sourire en parlant de bateau avec moi. Il me posait toutes sortes de questions en lien avec la puissance, la conduite, etc. Mon bateau est un open deck, inboard, de 26 pieds et de la place pour une dizaine de personne. Le couvercle du moteur permettait de pouvoir s'y étendre pour prendre un peu de soleil. Il y avait suffisamment de place pour y avoir beaucoup de plaisir. Tout genre de plaisir.

Ensemble, nous avons mis le bateau à l'eau. Une fois fait, je lui ai proposé de le conduire jusqu'au chalet. La rampe de mise-à-l'eau était à quelques minutes du chalet. Amplement de temps pour qu'il s'amuse un peu. Pat était comme un enfant à qui on donnait un nouveau jouet. Nous nous sommes promenés pendant une bonne vingtaine de minutes. Nous avons fait une pause au milieu du lac pour jaser un peu, apprendre à se connaitre.

Je lui ai demandé qu'il n'avait pas l'air très heureux quand je suis arrivé. Il m'expliqua qu'il ne voulait pas vraiment venir au chalet car il ne connaissait pas beaucoup de monde, personne à vrai dire et qu'il espérait prendre du temps avec Martine. Ils ne se voyaient pas beaucoup ces derniers temps et il voulait reprendre le temps perdu pour savourer son corps. Je lui ai mentionné que profiter de son corps devait être une belle expérience. Il m'a sourit pour confirmer qu'effectivement c'était quelque chose.

Je lui ai dit que rien ne l'empêcherait de le faire au chalet, que l'ensemble du groupe avait l'esprit pas mal plus ouvert qu'il ne le pensait. Ça baise en masse dans ce groupe d'amis, lui dis-je. Pas besoin de te préoccuper de ça. Les gémissements viendront de toute part durant le week-end, crois-moi... Je te prêterai mon bateau si tu veux. Baiser ta blonde sur le top arrière sera sûrement une expérience inoubliable si tu veux. Je n'ai aucun problème avec ça.

Il avait certainement des images dans sa tête de ce que ça pouvait être car il banda instantanément. Il remarqua que je voyais sa bosse dans son maillot. Je lui dis ne pas s'en faire avec ça, que c'était tout à fait normal, en lui montrant que moi aussi je bandais. Il me demanda pourquoi je bandais aussi. Était-ce que moi aussi je bandais en pensant à sa blonde ou parce que je le voyais bandé.

Je lui répondis du tac au tac, que les deux me faisait bandé. Stupéfait, il me demanda si j'étais gai. Je lui ai répondu que non, que j'adorais les femmes mais que j'ai eu des expériences bi. Il m'avoua alors déjà avoir eu ce genre de fantasme mais sans jamais y aller jusqu'au bout. Même Martine espérait vivre un trip à trois bi avec un autre homme et lui. Je lui demandai ce qu'il le retenais de le faire. Il me répondit la gêne et la crainte d'être jugé, de ne pas bien faire. Pratique-toi alors, lui dis-je.

Je me m'approchai de lui doucement et approcha ma main de son entre-jambe. J'effleurai la bosse de son maillot. Il était bien dur mais sa queue semblait à l'étroit dans ce maillot bien ajusté. Je le regardai droit dans les yeux pour voir s'il ça lui tentait vraiment.

Il hésitait, pris un pas de recul. Il me dit qu'on ne se connaissait pas et qu'il ne voudrait pas que ça se sache. Je lui ai dit que ce qui se passait sur le bateau, resterait sur le bateau. Que de toute façon, il découvrirait plus tard que je ne suis pas le seul du groupe du genre.

Il baissa alors rapidement son maillot, pour faire fuir son hésitation. Sa queue était encore plus grosse et grande que je ne me l'imaginais. Son gland bien saillant et gonflé. Une goutte de précum luisait sur son gland. Je le poussai vers la banquette pour qu'il soit bien confortable. Je me suis mis à ses genoux et d'une main, je commençai à lui pomper lentement la queue. Une autre goutte, bien plus généreuse de précum jaillit. Je ne pus me retenir davantage. Je posai son gland entre mes lèvres et glissai ma langue pour récolter cette goutte invitante.

Ma langue tournait autour de son gland. Je sentais son plaisir monté en lui. Il se cala bien confortablement sur la banquette. D'une main, je le branlais doucement tout en enduisant sa queue d'une bonne dose de salive pour bien le lubrifier. Bien que je sentais sa nervosité, tranquillement il s'abandonnait. Une fois son pénis bien lubrifié, je pus accélérer le rythme de ma main. Son gland était toujours entre mes lèvres pour que ma langue tournoie tout autour. Ensuite, je pompais son engin d'un va-et-vient intense entre mes lèvres. Il gémissait. Il voulait sentir son sexe se faire sucer ainsi.

Je glissai ma main vers l'arrière vers cette zone sûrement jamais explorée. Mon doigt était tout près de son anus. Je le sentis quelque peu sursauté mais je continuai dans la direction de ce petit trou bien serré. Je commençai à titiller son anus du bout du doigt. Le petit salop se laissa aller. Il gémissait son plaisir. Je serrai un peu plus mes lèvres contre sa queue. Quand je le sentis sur le point d'exploser de jouissance, j'insérai délicatement mon doigt dans son cul. Je le fis aller à l'intérieur d'un va-et-vient lentement. À la troisième pénétration de son cul, il ne pu se retenir davantage. Il gicla une abondante quantité de sperme dans ma bouche. Je continuai à le sucer pour ne pas perdre une seule goutte et à fourrer son cul de mon cul. Son sperme était chaud. Je léchai sans queue sur toute sa longueur pour ne pas en perdre une seule goutte. J'avalai le tout.

Suite à ce doux moment, il réalisa ce qui venait de se passer. Je sentis le malaise. Il s'excusa de ne pas m'avoir avertit qu'il jouirait dans ma bouche. Je lui répondu qu'il n'avait pas besoin de le dire, que c'est ce que je voulais. Je lui ai dit ne pas s'en faire et de savourer le moment présent. Ce n'est que le début mon Pat....

De retour au chalet, Martine nous attendait sur le quai. Elle nous aidait à amarrer le bateau. Elle vit que Pat était un peu bizarre. Je dis à Martine que ça s'était bien passé, qu'on avait eu beaucoup de plaisir. Pat bégaya un peu. Je quitta le quai pour les laisser seul. Je crois qu'elle a remarqué la petite tache circulaire sur le maillot de son chum, pas tout à fait encore sèche. Il dû lui expliquer ce qui s'était passé. Elle semblait à la fois contente mais aussi déçu. Et j'ai su pourquoi un peu plus tard, car elle aurait préféré que je la prenne avant son chum...

La journée continue de se passer à merveille. La chaleur aidant nos pulsions et nos envie devant tant de beaux corps ne cessent de monter. Tout le monde se colle et se sent chaud. Les baisers et les attouchements fusent de toute part. Même les nouvelles personnes du groupe ont baissé la garde et leur gêne n'est plus du tout présente. On entend de plus en plus des gémissements à droite et à gauche.

Pour me calmer un peu les esprits, je décide d'aller me promener sur l'eau. C'est lia que je vis que Martine et Cathou était en train de s'embrasser à pleine bouche. Leurs langues tournaient l'une contre l'autre avec une telle intensité que je bandai instantanément devant ce merveilleux spectacle. Leurs mains se baladaient sur le corps de l'autre avec autant d'intensité que leurs maillots ne tenaient plus qu'à un fil. On voyait leurs chattes bien humides et leurs mamelons bien durs.

En prenant les commandes du bateau pour les amener faire une balade, Pat embarqua à bord, ne voulant rien manquer de la scène et surtout de la suite des choses. Les filles étant sur la banquette arrière, il s'installa sur le siège individuel tout juste devant elle. Sans perdre une seule seconde, il retira son maillot et commençait sans attendre à se masturber. Une fois un peu plus loin sur le lac, je me joignais à eux. Cathou s'installa sur le dos, sur la plateforme coussinée arrière. Martine se positionna au-dessus d'elle et lui lécha et mangea ses seins magnifiques et bien fermes. Étant à quatre pattes, sa chatte détrempées ainsi que son anus bien serré me sauta aux yeux. Je mis ma tête dans ce paradis. Je débutai par lécher sa chatte pour recueillir sur ma langue son précieux jus. Elle se mit à gémir. Une fois son jus bien étendu sur toute la longueur de sa chatte, je remontai pour faire aller ma langue sur son anus. Stupéfaite, elle sursauta n'ayant jamais même imaginé une telle chose. Une fois la surprise passée, cette petite cochonne se mit à savourer ma langue qui tournait et frottait cet anus bien mouillé.

Pendant que je lui mangeai son petit cul, Pat s'approcha et entreprit de lui caresser sa chatte avec ses doigts. Cathou, avec tout se monde entremêlé à elle, léchait et mordillait les seins de Martine. Martine était notre petite salope qu'on caressait à trois. Pat enfonça deux doigts en elle. Ma langue et celle de Cathou continuait avec vigueur de caresser son cul et ses seins. Pat y allait avec vigoureusement d'un v-et-vient dans la plotte de sa douce. Au point tel, qu'elle gicla sa jouissance directement sur la chatte de Cathou. Elle ne peut retenir sa jouissance. Elle déchargeait son liquide sur nous.

C'est à ce moment que je demanda à Pat de me sucer la queue, afin qu'elle soit bien lubrifié. Il s'exécuta. Il mit beaucoup de saliver et se mit à me pomper. Il savait ce que je voulais faire. Que je voulais fourrer ma queue dans le petit cul de sa blonde. Une fois bien mouillé, je suça sa queue en retour. Les filles nous regardaient avec encore plus d'excitation. Elles se doigtais l'une et l'autre en me regardant sucer la bite de Pat.

Par la suite, elles s'installèrent sur la banquette arrière, leur cul bien relevé pour se faire prendre par nos queues bien bandées. Pat et moi, allions tout d'abord bien lubrifié leur anus avec nos langues. Une fois la zone bien chaude et humide, je pris Martine par derrière. Elle m'avoua que son cul à elle aussi était vierge. Pat me confirma le tout du regard. Il n'avait jamais enfouit sa belle queue dans un aussi joli cul. Je pris donc la queue de Pat dans ma main et le rapprochai de Cachou qui n'en pouvait plus d'attendre. Je frottai son gros gland contre l'anus de Cathou toute excitée. Elle savourait le moment. J'insérai tranquillement la queue de Pat dans le cul de Cathou. Elle aimait. Je m'installai derrière Pat avec la grande envie de l'enculer lui aussi. Mais je me suis dit que ça pouvait encore attendre. Je mis mes mains de chaque côté de ses hanches et le poussa et tire pour un va-et-vient de sa queue en Cathou.

Les deux appréciaient grandement le moment. Martine me regarda et claqua une de ses mains contre sa fesse et me dis: "Prends mon cul aussi mon salaud. Encule-moi....Je te veux au fond. Je ne perdis pas une seule seconde et commençai à lui pomper le cul. Tout d'abord doucement. Puis ensuite avec plus de fermeté. Les deux filles une à côté de l'autre se rapprochèrent pour se frencher à pleine bouche. Pat et moi avons synchronisé notre va-et-vient pour que les filles ressentent en simultané ce plaisir. Elles jouissaient forts ces deux cochonnes. Elles avaient de la difficulté à s'embrasser tellement elles criaient leur plaisir. Nous y allions tellement fort que nous étions sur le point de jouir.

Les deux se sont mises à nos pieds. Je pris la queue de Pat et lui prit la mienne. Il me branla et me fit venir sur la bouche de Martine et je le fit venir sur celle de Cathou. Le sperme coulait à flot. Je sentais chacun des jets de sperme jaillir de Pat en le branlant. Les filles avaient tout le sperme sur leurs lèvres et sur leurs joues. Elles se relvèrent et s'embrassa entre elles. Ensuite Martine vint vers moi et me donna sa langue, pleine de mon sperme et de celui de Pat. On s'embrassa longuement et les deux autres aussi, afin de ne plus laisser aucune trace sur nos visages. Tout devait disparaitre, tout devait être avalé.

Après avoir repris nos esprits, nous sautâmes tous à l'eau pour se rafraîchir...